Cahier final immuno Flashcards
- Lequel est faux?
○ a. La doxorubicine (hydroxydanaurubicin ou Adriamycine) démontre parfois comme effet secondaire aigu chez le chien des arythmies ventriculaires détectés à l’ECG.
b. La vincristine IV, par l’entremise de son produit de dégradation l’acroléine, peut engendrer des cystites hémorragiques stérile (SHC) chez le chien lorsque le furosémide (diurétique) n’est pas administré de manière concomitante.
○ c. La lomustine (CCNU) est potentiellement hépatotoxique (élévation de l’ALT) chez le chien mais ne semble pas l’être chez le chat. Chez ce dernier, nous surveillons plus la possibilité de toxicité rénale (élévation de la créatinine).
○ d. La doxorubicine (hydroxydanaurubicin ou Adriamycine) démontre parfois comme effet secondaire chronique chez le chien un cardiomyopathie dilatée iatrogénique. Cette cardiomyopathie résulte des dommages oxydatifs aux cardiomyocytes et peut progresser en insuffisance cardiaque
b. La vincristine IV, par l’entremise de son produit de dégradation l’acroléine, peut engendrer des cystites hémorragiques stérile (SHC) chez le chien lorsque le furosémide (diurétique) n’est pas administré de manière concomitante.
L’oncologie vétérinaire est une spécialité en plein essor. L’utilisation d’agents chimiothérapeutiques humains amène un contrôle des tumeurs malignes chez nos patients tout en conservant la qualité de vie de ceux-ci. Plusieurs classes d’agents chimiothérapeutiques sont couramment utilisées en clinique. Concernant l’utilisation d’agents chimiques humains, lequel de ces énoncés est clairement faux?
a) La vincristine et la vinblastine sont des agents anti-microtubules qui inhibent la mitose. Elles sont, utilisées chez les patients atteints de lymphome et de mastocytome, respectivement.
b) La cytarabine (cytosine arabinoside) est une enzyme bactérienne qui diminue la synthèse des protéines. Elle est seulement utilisée chez les patients atteints de lymphome.
c) La doxorubicine et la mitoxantrone sont des antibiotiques antitumoraux qui inhibent la synthèse de l’ADN. Elles sont utilisées chez les patients atteints de lymphome et de certains carcinomes.
d) Le melphalan et la cyclophosphamide sont des agents alkylants qui inhibent la synthèse de l’ADN. Ils sont utilisés chez les patients atteints de myélome multiple et de lymphome, respectivement.
b) La cytarabine (cytosine arabinoside) est une enzyme bactérienne qui diminue la synthèse des protéines. Elle est seulement utilisée chez les patients atteints de lymphome.
Dès qu’une tumeur atteint quelques mm en taille, elle requiert son propre apport sanguin pour importer les nutriments et l’oxygène, exporter les déchets métaboliques et potentiellement métastaser. Des cellules endothéliales progénitrices circulantes, recrutées de la moelle osseuse, semblent contribuer à la néovascularisation des tumeurs. Ce processus est la néoangiogenèse néoplasique. La thérapie métronomique semble cibler cet aspect de la tumorigenèse. Concernant la thérapie métronomique, lequel de ces énoncés est clairement faux?
a) Elle semble stabiliser la maladie plutôt qu’induire une rémission complète (ex. : cyclophosphamide ou chlorambucil à petite dose orale périodique).
b) Elle est peu dispendieuse et bien tolérée.
c) Elle augmente la production de nouveaux capillaires tumoraux.
d) Elle diminue le nombre de cellules endothéliales progénitrices en circulation.
c) Elle augmente la production de nouveaux capillaires tumoraux.
Le toceranib phosphate (PalladiaW) est un inhibiteur des récepteurs à tyrosine kinase couramment utilisé en clinique. Il a été développé à l’Ohio State University par la Dre London, vétérinaire oncologue et a été homologué pour le contrôle des mastocytomes cutanés récidivants chez le chien. Concernant le toceranib phosphate, lequel de ces énoncés est clairement faux?
a) Il est utilisé pour le contrôle des mastocytomes, GISTs (gastrointestinal stromal tumors) et la plupart des tumeurs neuroendocriniennes (telles que l’adénocarcinome des glandes apocrines des sacs anaux chez le chien).
b) Il inhibe, entre autres, le récepteur KIT qui possède un rôle clé dans la carcinogenèse de plusieurs mastocytomes chez le chien.
c) Il inhibe les récepteurs de la classe des « split kinases » KIT, VEGFR, PDGFR, FLT3 et CSF1R.
d) Il a un taux de réponse de près de 98,8 % et est surtout utile chez les Boston Terrier ayant une charge tumorale élevée. Son administration IV doit se faire sur 15 minutes pour éviter les réactions anaphylactoide.
d) Il a un taux de réponse de près de 98,8 % et est surtout utile chez les Boston Terrier ayant une charge tumorale élevée. Son administration IV doit se faire sur 15 minutes pour éviter les réactions anaphylactoide.
Joe, un Labrador mâle castré de 11 mois, vient d’avoir un accident de voiture devant sa maison. À l’examen physique, vous détectez un hémoabdomen. Joe a un hématocrite de 14%. En prévision de la chirurgie, vous désirez le transfuser avec une unité de concentré de globules rouges. Quel(s) test(s) de compatibilité devrait(ent) être effectué(s) avant d’administrer l’unité de concentré de globules rouges chez Joe qui n’a jamais reçu de transfusion sanguine auparavant?
a) Seul un typage sanguin pour le groupe sanguin DEA 1 est recommandé afin d’éviter la sensibilisation.
b) Seul un crossmatch sanguin est recommandé.
c) Les réponses a et b, soit un typage sanguin pour le groupe sanguin DEA 1 et un crossmatch sanguin, sont recommandées.
d) Aucun test de compatibilité sanguin n’est indiqué à ce moment.
a) Seul un typage sanguin pour le groupe sanguin DEA 1 est recommandé afin d’éviter la sensibilisation.
Nommez le ou les groupes sanguins reconnus chez les bovins:
a. aucun groupe sanguin identifié
b. les bovins possèdent plus de 70 facteurs répartis dans 11 systèmes de groupes sanguins
c. système érythrocytaire AB comprenant le groupe sanguin A, B et AB
d. Bovine Erythrocyte Antigen (BEA) 1 à 8
b. les bovins possèdent plus de 70 facteurs répartis dans 11 systèmes de groupes sanguins
Le crossmatch MAJEUR est la détermination de la présence d’Ac pour les GR du donneur à partir du plasma du receveur. V/F
VRAI
Pour faire un crossmatch MINEUR : on prend les globules rouges du donneur, on les lave et on les met dans le plasma du receveur. Un résultat positif (incompatibilité) est obtenu s’il y a de l’hémolyse ou de l’agglutination (avec plus de technicalités pour faire peur avec le nombre de gouttes a mettre et blabla pour faire peur) V/F
FAUX
Quelle situation est le plus à risque de causer de l’isoérythrolyse néonatale en consommant le colostrum de sa maman?
a) Une chatte Devon Rex type B ayant sa première portée d’un mâle type A
b) Une chatte type A ayant sa troisième portée d’un mâle Devon Rex type B
c) Une jument Qa négative ayant sa première gestation d’un étalon Qa positif
d) Une jument Qa positive ayant sa troisième gestation d’un étalon Qa négatif
a) Une chatte Devon Rex type B ayant sa première portée d’un mâle type A
d) Une jument Qa positive ayant sa troisième gestation d’un étalon Qa négatif
2 réponses dans la bible
William est un poulain souffrant d’isoérythrolyse néonatale, que peut-il recevoir?
a. GR “lavé” de la mère
b. Sang entier de la mère
c. Sang entier du popa
d. GR “lavé” du père
a. GR “lavé” de la mère
Quel est un effet secondaire possible des glucocorticoïdes retrouvés uniquement chez le chat et non chez le chien ?
a) Ulcères gastriques
b) Immunosuppression
c) Hyperadrénocorticisme
d) Diabète mellitus
d) Diabète mellitus
lequel est vrai
○ a. Les chats ont une quantité supérieure de récepteurs cytoplasmiques
stéroïdiens comparativement aux chiens ce qui explique leur résistance accrue aux glucocorticoïdes.
○ b. L’administration de 0,25 mg/kg de prednisone chez un chien est considérée
comme étant une dose physiologique de glucocorticoïdes.
○ c. La prednisolone est transformée au niveau du foie en sa forme active, la
prednisone.
○ d. La prednisolone a une affinité plus grande pour les récepteurs
cytoplasmiques stéroïdiens que la dexaméthasone ce qui explique en partie qu’elle soit 7-10 fois plus puissant.
b. L’administration de 0,25 mg/kg de prednisone chez un chien est considérée
comme étant une dose physiologique de glucocorticoïdes.
Vous traitez Bobby, un Berger allemand de 6 ans, pour une polyarthrite à médiation immunitaire avec un traitement à base de prednisone à dose immunosuppressive. L’évolution clinique de Bobby est excellente : Bobby ne présente plus aucune boiterie et ses articulations sont de retour à la normale. De plus, la propriétaire rapporte que les effets secondaires de la prednisone sont minimes. Vous soumettez une biochimie de contrôle et trouvez les valeurs suivantes :
- Glucose : 4.4 mmol/L (normale : 3.38-6.88 mmol/L)
- Urée : 4.72 mmol/L (normale : 2 -8 mmol/L)
- ALT : 37 U/L (normale : 4-62 U/L)
- ALP : 650 U/L (normale : 6-80 U/L)
- Bilirubine totale : 4 umol/L (0-8 umol/L)
Comment expliquez-vous les résultats de Bobby sachant que la biochimie initiale (avant l’administration de prednisone) était normale?
a) L’augmentation de I’ALP reflète une induction enzymatique par la prednisone; ce phénomène fréquent chez le chat et le chien cause des problèmes hépatiques à moyen terme.
b) L’augmentation de I’ALP reflète une induction enzymatique par la prednisone; ce phénomène fréquent chez le chien cause des problèmes hépatiques à moyen terme.
c) L’augmentation de I’ALP reflète une induction enzymatique par la prednisone; ce phénomène fréquent chez le chien n’entraîne pas de conséquence clinique défavorable pour l’animal.
d) L’augmentation de I’ALP reflète une induction enzymatique par la prednisone; ce phénomène fréquent chez le chat et le chien n’entraîne pas de conséquence clinique défavorable pour l’animal.
c) L’augmentation de I’ALP reflète une induction enzymatique par la prednisone; ce phénomène fréquent chez le chien n’entraîne pas de conséquence clinique défavorable pour l’animal.
Concernant le système de groupes sanguins chez les équins lequel des énoncés suivants est VRAI:
a) dans le système antigénique érythrocytaire équin, on compte 7 facteurs différents associés à 3 systèmes.
b) le système B des équins est semblable au système B des ovins
c) La majorité des chevaux possèdent des alloanticorps naturels
d) Un donneur de sang équin idéal est négatif pour les facteurs Aa et Qa et ne possède pas d’alloanticorps.
d) Un donneur de sang équin idéal est négatif pour les facteurs Aa et Qa et ne possède pas d’alloanticorps.
concernant agents immunosuppresseurs, lequel est vrai
○ a. L’usage de l’azathioprine est habituellement proscrit chez le chat en raison
de sa grande toxicité rénale chez cette espèce.
○ b. La cyclosporine est la seule drogue immunosuppressive homologuée pour l’utilisation vétérinaire et elle agit principalement sur la fonction des lymphocytes.
○ c. L’hépatotoxicité relativement fréquente de la cyclosporine demande un suivi rapproché de la fonction hépatique lors de son usage chez le chien.
○ d. L’azathioprine a un effet immunosuppresseur rapide dès le début de son administration, d’où son utilité lors d’anémie hémolytique à médiation immunitaire
○ b. La cyclosporine est la seule drogue immunosuppressive homologuée pour l’utilisation vétérinaire et elle agit principalement sur la fonction des lymphocytes.
Lucky, un Cocker de 5 ans, vous est référé pour une suspicion d’anémie hémolytique à médiation immunitaire (AHMI). Son hématocrite à l’arrivée est de 18%. Parmi les trouvailles suivantes, laquelle NE SUPPORTE PAS un diagnostic provisoire d’AHMl.
a) La présence d’un sérum ictérique notée au micro-hématocrite.
b) La présence d’une thrombocytose.
c) La présence de sphérocytes.
d) Un test à la saline positif pour l’auto-agglutination
b) La présence d’une thrombocytose.
Parmi les agents immunosuppresseurs suivants, lequel peut avoir comme effet secondaire de l’hyperplasie gingivale ou la formation de papillomes?
a) Mycophénolate molfetil
b) Chlorambucil
c) Cyclophosphamide
d) Cyclosporine
d) Cyclosporine
Choisir l’énoncé/les énoncés vrais?
a) Les cytokines lié à Th1: IL9, INF-gamma, TGF-bêta et TGF-alpha
b) Les Treg sont stimulés par CD8+ et CD25+
c) Les cytokines lié à Th2: IL-2, IL-4, IL-5, IL-13
d) Les principales sous-populations de lymphocytes (T,B,NK,NKT) peuvent être distinguées à l’aide de microscopie optique
e) Les lymphocytes expriment CD2 et CD3
e) Les lymphocytes expriment CD2 et CD3
La réponse adaptative est basée sur des protéines capables de reconnaître les molécules spécifiques aux pathogènes (« les antigènes »). Celles-ci sont :
a. Les anticorps exprimés à la surface (BCR) ou secrétés par les cellules B.
b. Les récepteurs des cellules T (TCR) exprimés par les cellules T.
c. Les molécules du CMH qui vont présenter les antigènes aux cellules T.
d. Aucun des énoncés a, b et c n’est exact.
e. Les énoncés a, b et c sont exacts.
e. Les énoncés a, b et c sont exacts.
Lequel/lesquels des énoncés suivants est/sont vrai(s)?
a) La fonction primaire des anticorps est de lier les CMH. Ils comprennent deux chaînes (lourdes, H et légère, L). Ces deux chaînes ont une région constante directement impliquées dans la reconnaissance des antigènes.
b) Les gènes du CMH de classe I et II sont sujets à l’exclusion allélique (définie comme l’expression génique d’un seul des deux allèles, maternel ou paternel). Certains allèles des gènes du CMH sont associés à des risques accrus de développer des maladies avec composante auto-immunitaire.
c) Les mastocytes sont des cellules à courte demi-vie, localisées dans de nombreux sites tels que la peau.
d) Les protéines du CMH de classe II sont exprimées par les cellules présentatrices d’antigènes (lymphocytes B, macrophages, cellules dendritiques).
e) Les énoncés b et d sont exacts.
d) Les protéines du CMH de classe II sont exprimées par les cellules présentatrices d’antigènes (lymphocytes B, macrophages, cellules dendritiques).
Quel énoncé est vrai ?
a) 60% des lymphocytes sont TCR ys chez l’humain
b) 60% des lymphocytes sont TCR ys chez la souris
c) 5-15% des lymphocytes sont TCR ys chez les ruminants
d) Les différents allèles du CMH diffèrent généralement par un grand nombre de résidus (10-20)
e) toutes ces réponses sont vraies
f) Aucune de ces réponses sont vrai
d) Les différents allèles du CMH diffèrent généralement par un grand nombre de résidus (10-20)
Lequel/Lesquels des énoncés suivants est/sont vrai(s) ?
a. L’antigène peptide s’ajuste dans le sillon du CMH de classe 1. Ce sillon lie les peptides de 8-10 acides aminés.
b. Test e CMH de classe II est de plus grande taille que celui des CMH de classe 1. II peut accommoder des peptides jusqu’à 30 acides aminés. Les régions impliquées dans la liaison des peptides antigéniques sont particulièrement polymorphiques.
c. Certains allèles du gène du CMH sont associés à des risques accrus de développer des maladies avec composante auto-immunitaire comme le diabète de type I, l’arthrite rhumatoïde et le lupus érythémateux.
d. Aucun des énoncés a,b,c n’est exact
e. Les énoncés a, b et c sont exacts
e. Les énoncés a, b et c sont exacts
Lequel/Lesquels des énoncés suivants est/sont vrai(s) ?
a. La sélection négative élimine la plus grande partie des lymphocytes qui ont une faible affinité pour les complexes peptides du soi-CMH
b. La sélection négative est destinée à enrichir les lymphocytes capables de reconnaître le CMH
c. Au cours du développement des lymphocytes T, la majorité des TCR (issus d’un réarrangement aléatoire) sont incapables de se lier au CMH et donc de reconnaître des complexes CMH peptides antigéniques.
d. Aucun des énoncés a, b et c n’est exact.
e. Les énoncés a, b et c sont exacts.
c. Au cours du développement des lymphocytes T, la majorité des TCR (issus d’un réarrangement aléatoire) sont incapables de se lier au CMH et donc de reconnaître des complexes CMH peptides antigéniques.
Lequel/lesquels des énoncés suivants est/sont vrai(s)?
a. Le BCR lie un seul épitope et est moins efficace que les cellules présentatrices d’antigène dans cette tâche. Les macrophages peuvent activer les Th avec 0,1% de la concentration d’antigène requise par les BCR qui agissent comme cellules présentatrices d’antigènes.
b. Des signes de PU/PD sont observés lorsqu’environ ⅔ des glomérules sont détruits. Les signes cliniques de glomérulonéphropathies les plus courants chez les petits animaux incluent l’anorexie, la perte de poids et vomissement.
c. Chez l’adulte, on distingue les cellules B périphériques conventionnelles, appelées B-1 et les cellules B-2 qui dérivent d’un pool de cellules du foie et omentum adulte.
d. Les cellules B-1 ont un répertoire de BCR large et sont souvent spécifiques pour des polysaccharides bactériens. Une large proportion des plasmocytes sécrétant des IgA a/n intestinal proviennent des B-1.
e. L’activation des lymphocytes B implique une costimulation des cytokines : IL-4, IL-5, IL-6, IL-10, IL-13, TGF-B, IFN-y
b. Des signes de PU/PD sont observés lorsqu’environ ⅔ des glomérules sont détruits. Les signes cliniques de glomérulonéphropathies les plus courants chez les petits animaux incluent l’anorexie, la perte de poids et vomissement.
Lequel/lesquels des énoncés suivants s’applique(nt) le mieux aux maladies auto-immunitaires?
Lequel/lesquels des énoncés suivants s’applique(nt) le mieux aux maladies auto-immunitaires?
a. Un débalancement immunologique avec fonction Treg réduite permettant l’activation de Th1, Th17, Th2 ou lymphocyte B auto-réactifs
b. Certains chiens peuvent développer une polyarthrite à médiation immunitaire 1-2 heures après la vaccination
c. Les infections constituent un facteur déclencheur rarement impliqué mais peuvent agir par plusieurs mécanismes incluant par une activation polyclonale de lymphocytes B par l’agent infectieux avec une hypergammaglobulinémie polyclonale et lymphadénopathie périphérique. Certains lymphocytes B activés sont non-spécifiques pour l’agent infectieux et possiblement auto-réactifs.
d. Aucun des énoncés a, b et c n’est exact
e. Les énoncés a, b et c sont exacts
b. Certains chiens peuvent développer une polyarthrite à médiation immunitaire 1-2 heures après la vaccination
c. Les infections constituent un facteur déclencheur rarement impliqué mais peuvent agir par plusieurs mécanismes incluant par une activation polyclonale de lymphocytes B par l’agent infectieux avec une hypergammaglobulinémie polyclonale et lymphadénopathie périphérique. Certains lymphocytes B activés sont non-spécifiques pour l’agent infectieux et possiblement auto-réactifs.
d. Aucun des énoncés a, b et c n’est exact
e. Les énoncés a, b et c sont exacts
a. Un débalancement immunologique avec fonction Treg réduite permettant l’activation de Th1, Th17, Th2 ou lymphocyte B auto-réactifs
B
A
Lequel/lesquels des énoncés suivants est/sont vrai(s)?
a. Les tumeurs de la gaine nerveuse affectant le trijumeau sont relativement rares mais les tumeurs sont généralement bilatérales et donc on observe une atrophie des muscles de la mâchoire des 2 côtés. La tumeur est fréquemment invasive localement.
b. Le traitement de la méningoencéphalite granulomateuse (MEG) est une condition inflammatoire idiopathique fréquente chez le chien, le cheval et le chat.
c. ¾ des désordres inflammatoires du cerveau chez le chien n’auront pas de dx définitif
d. La méningoencéphalite granulomateuse présente une prédisposition chez les femelles gestantes de race berger.
e. Le pronostic pour une méningoencéphalite nécrosante et leucoencéphalite nécrosante est pauvre à sombre.
e. Le pronostic pour une méningoencéphalite nécrosante et leucoencéphalite nécrosante est pauvre à sombre.
A
Lequel/lesquels des énoncés suivants est/sont vrai(s) concernant la pathophysologie de l’insuffisance rénale et glomérulonéphrite membranoproliférative?
a. Le perte d’antithrombine III (un inhibiteur de la cascade de coagulation) au niveau rénal occasionne des thromboemboli (pulmonaires dans ce cas mais pouvant affecter d’autres artères) causant tachypnée/dyspnée.
b. Prévalence plus élevée chez le chien mâle que chez la femelle
c. Aucune prédisposition de sexe chez le chat
d. Hypertension et lésions tubulointerstitielles sévères associées à un pronostic défavorable.
e. Les énoncés a, b et c sont exacts.
Certains ont mis: d. Hypertension et lésions tubulointerstitielles sévères associées à un pronostic défavorable.
d’autres ont mis: a. Le perte d’antithrombine III (un inhibiteur de la cascade de coagulation) au niveau rénal occasionne des thromboemboli (pulmonaires dans ce cas mais pouvant affecter d’autres artères) causant tachypnée/dyspnée. i
Lequel est vrai ?
a. Les maladies auto-immunitaires primaires sont l’apparition de la maladie auto-immunitaire chez un individu suite à un facteur déclencheur
b. Les maladies auto-immunitaires secondaires sont l’apparition de la maladie auto-immunitaire chez un individu prédisposé suite à l’administration de médication, vaccin, néoplasme ou infection, ou une mutation transmise de facon héréditaire.
c. L’activation des lymphocytes B se faite par interaction de CD86 (cellule B) avec CD28 (cellule T)
d. L’activation des lymphocytes B requiert un co-stimulation des cytokines : IL4, IL5, IL6, IL10, IL13, TGBbeta, IFNgamma
e. aucun de ces énoncés n’est exact
Pas de réponse dans la bible
Vaccins : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) Bactérine : il s’agit des cultures (en général lavées) de bactéries, qui sont ensuite inactivées et mélangées à un adjuvant. C’est un vaccin qui n’utilise pas des antigènes vivants.
b) Les animaux vaccinés avec une bactérine induisent en général des anticorps contre des antigènes produits par la bactérie in vitro et in vivo.
c) En général, les bactérines ont un large spectre contre le pathogène concerné (antigènes multiples).
d) Un toxoïde : il s’agit d’une toxine inactivée, utilisée comme vaccin. L’induction d’anticorps va neutraliser les toxines produites in vivo.
e) En général, la production d’une bactérine est peu sophistiquée et peu dispendieuse.
b) Les animaux vaccinés avec une bactérine induisent en général des anticorps contre des antigènes produits par la bactérie in vitro et in vivo.
Vaccins : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) La protection obtenue grâce à l’immunisation passive artificielle dure, en général, peu de temps. Par contre, il existe une certaine mémoire immunologique (réponse secondaire) lors d’une deuxième immunisation passive artificielle.
b) L’immunisation passive artificielle, si elle est bien administrée, donne une protection immédiate.
c) Les anticorps employés lors d’une immunisation passive artificielle peuvent être produits chez une espèce animale différente (sérum hyperimmun) de celle où ces anticorps seront utilisés. Exemple : anticorps produits chez le cheval pour être utilisés chez le chien.
d) On peut utiliser l’immunisation passive artificielle pour neutraliser les toxines.
e) En général, et à l’exception de certaines infections, l’application de l’immunité passive (des anticorps) en même temps que l’application du vaccin contre lequel les anticorps passifs ont été produits est contre-indiquée.
a) La protection obtenue grâce à l’immunisation passive artificielle dure, en général, peu de temps. Par contre, il existe une certaine mémoire immunologique (réponse secondaire) lors d’une deuxième immunisation passive artificielle.
Vaccins : choisir l’énoncé qui est vrai
a) Dans un vaccin (seulement bactérien), un adjuvant est une substance qui stimule, active, prolonge, renforce ou module la réponse du système immunitaire.
b) Le diagnostic clinique (signes cliniques) d’une infection chez le porc est habituellement suffisant pour décider du vaccin à utiliser.
c) Les anticorps générés par un vaccin sont normalement suffisants pour la protection contre des infections causées par des bactéries intracellulaires.
d) Il est possible d’utiliser des antibiotiques chez les animaux qui viennent d’être vaccinés avec un vaccin vivant viral.
d) Il est possible d’utiliser des antibiotiques chez les animaux qui viennent d’être vaccinés avec un vaccin vivant viral.
Vaccins : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) Un vaccin vivant ne nécessite pas, en général, d’être combiné à un adjuvant et il peut être appliqué, parfois, à une seule dose (pas de « boost ») afin d’obtenir de bons résultats.
b) Par définition, un autovaccin possède la ou les souche(s) isolée(s) à partir de l’animal ou à partir d’une ferme de production. On l’utilise lorsqu’on a la certitude qu’un vaccin commercial n’est pas disponible ou qu’il ne sera pas protecteur (sérotype différent, par exemple).
c) L’avantage d’un vaccin vivant atténué par passages in vitro est qu’il est facile de savoir pourquoi il est moins virulent.
d) Parmi les avantages d’un vaccin vivant, on retrouve : 1. le fait qu’il pourrait générer une immunité contre des antigènes sécrétés (s’il s’agit d’une bactérie); 2. Il peut générer une immunité locale et systémique; 3. Il génère une immunité en général à long terme (immunité mémoire plus importante).
c) L’avantage d’un vaccin vivant atténué par passages in vitro est qu’il est facile de savoir pourquoi il est moins virulent.
Diagnostic: choisir l’énoncé qui est FAUX.
a. Dans certaines circonstances, un animal peut toujours avoir des anticorps (sérologie positive) même si l’antigène contre lequel ces anticorps réagissent n’est plus présent chez l’animal (élimination du pathogène mais présence d’anticorps).
b. En général, dans une infection sous-clinique, l’animal élimine dans l’environnement beaucoup moins d’antigènes que pendant une infection aigue
c. Un test de « screening » (exemple : SNAP test) doit être surtout très spécifique.
d. Un conjugué peut être des anticorps produits chez une espèce (exemple :
lapin) contre les anticorps de l’espèce d’intérêt (exemple : chien) et liés, par exemple, à une enzyme. Un conjugué peut aussi être des anticorps dirigés contre l’antigène d’intérêt et lié à une enzyme ou autre agent rapporteur.
e. Un test avec 90 % de sensibilité diagnostique : si l’on teste 100 animaux
malades, 90 sont positifs au test.
c. Un test de « screening » (exemple : SNAP test) doit être surtout très spécifique.
Diagnostic sérologique : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) Certains animaux pourraient exceptionnellement ne pas produire d’anticorps même s’ils ont été infectés 4-5 semaines auparavant.
b) La détection directe d’antigènes est, en général, moins rapide que l’isolement du microorganisme.
c) La détection d’un antigène avec un test ELISA « sandwich » utilise un anticorps de capture pour reconnaître l’antigène.
d) Le test d’immunoblot n’est pas, en général, un test de « screening », mais plutôt un test de confirmation.
e) On pourrait obtenir un résultat faux négatif (pour la recherche d’antigène) quand la sensibilité analytique est trop faible.
b) La détection directe d’antigènes est, en général, moins rapide que l’isolement du microorganisme.
Vaccins : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) Un porcelet qui ne prend pas du colostrum n’aura pas d’anticorps maternels en circulation, car la transmission d’anticorps transplacentaire est inexistante. Ces animaux ne présenteront pas d’interférence avec des anticorps maternels s’ils sont vaccinés très jeunes.
b) Un vaccin à ADN est composé par un plasmide qui possède une séquence codante pour l’antigène d’intérêt. Ce plasmide peut se répliquer autant chez E. coli que chez les cellules eucaryotes de l’animal. L’antigène est ensuite produit in vivo par les cellules de l’animal vacciné et présenté au système immunitaire.
c) Un vaccin contre une bactérie qui n’élimine pas complètement l’infection (non stérilisante), mais qui réduit significativement les signes cliniques et la prévalence de l’infection est quand même utile en médecine porcine.
d) La réponse immunitaire contre un vaccin viral pourrait éventuellement éliminer complètement le virus seulement si l’infection naturelle induit une immunité qui est stérilisante.nn
e) Le désavantage d’un vaccin à ADN (ou DNA) est que celui-ci sera incorporé dans le noyau de la cellule et transmis aux générations suivantes.
e) Le désavantage d’un vaccin à ADN (ou DNA) est que celui-ci sera incorporé dans le noyau de la cellule et transmis aux générations suivantes.
Diagnostic sérologique : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) La détection d’anticorps pendant la présence de signes cliniques et deux-trois semaines après (sérologie pairée) est un outil intéressant pour le diagnostic d’une infection aiguë.
b) Le sérum d’un patient qui a un titre de 1/1000 par ELISA lors d’un test sérologique a plus d’anticorps que celui d’un autre patient qui a un titre de 1/100.
c) La détection d’anticorps est un diagnostic indirect d’une infection car on ne détecte pas directement la présence de l’agent infectieux chez le patient.
d) La perte de l’épitope recherché (recherche d’antigènes) pendant la conservation de l’échantillon pourrait être à l’origine d’une fausse réaction positive dans notre test.
d) La perte de l’épitope recherché (recherche d’antigènes) pendant la conservation de l’échantillon pourrait être à l’origine d’une fausse réaction positive dans notre test.
Diagnostic sérologique : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) Un test sérologique avec une sensibilité analytique très faible pourrait présenter une haute sensibilité diagnostique.
b) Un animal vacciné pourrait (pour certains vaccins) donner une réaction faussement positive en sérologie (détection d’anticorps).
c) Un animal vacciné avec un antigène vivant pourrait donner une fausse réaction positive (test de détection d’antigènes).
d) Un antigène (utilisé dans notre test) qui présente des réactions croisées avec plus d’un pathogène pourrait être à l’origine d’un test sérologique (détection d’anticorps) peu spécifique (faux positif).
e) Un animal testé en sérologie (détection d’anticorps) trop tôt après l’infection pourrait donner une réaction faussement négative.
a) Un test sérologique avec une sensibilité analytique très faible pourrait présenter une haute sensibilité diagnostique.
Diagnostic sérologique : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) Les anticorps produits dans un sérum hyperimmun contre une bactérie et produit chez une souris sont des anticorps monoclonaux
b) Un facteur de virulence est un facteur présent ou produit par un microorganisme et qui collabore significativement avec sa virulence.
c) Les sérotypes sont des variantes antigéniques d’une même espèce bactérienne.
d) Un facteur de virulence peut être associé à plus d’un sérotype.
e) Un test basé sur des anticorps monoclonaux a moins de variation et il est en général plus spécifique que le même test basé sur des anticorps polyclonaux.
a) Les anticorps produits dans un sérum hyperimmun contre une bactérie et produit chez une souris sont des anticorps monoclonaux
Vaccins : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) Vaccins sous unitaires : comme peu d’épitopes sont visés, la protection induite (dans certains cas) peut être restreinte.
b) Certains vaccins sous unitaires possèdent une faible immunogénicité.
c) Ce n’est pas tous les antigènes sous-unitaires qui sont produits facilement à grande échelle et à faible coût.
d) Avec la « vaccinologie inverse » ou « reverse vaccinology » on peut prédire un antigène seulement si le microorganisme est cultivable.
e) Un candidat à vaccin sous unitaire est souvent un facteur de virulence qui est, à la fois, un antigène protecteur. Cependant, certains facteurs protecteurs pourraient ne pas être un facteur de virulence critique.
d) Avec la « vaccinologie inverse » ou « reverse vaccinology » on peut prédire un antigène seulement si le microorganisme est cultivable.
Lequel/Lesquels des énoncés suivants est/sont vrai(s)?
a) Les maladies auto-immunitaires primaires sont l’apparition de la maladie auto-immunitaire chez un individu suite à un facteur déclencheur.
b) les maladies auto-immunitaires secondaires sont l’apparition de la maladie auto-immunitaire chez un individu prédisposé suite à l’administration de médication, vaccin, néoplasme ou infection, ou une mutation transmise de façon héréditaire.
c) L’activation des lymphocytes B se fait par interaction de CD86 (cellule B) avec CD28 (cellule T)
d) L’activation des lymphocytes B se fait par interaction de CD86 (cellule B) avec CD154 (cellule T)
e) aucun des énoncés n’est exact
c) L’activation des lymphocytes B se fait par interaction de CD86 (cellule B) avec CD28 (cellule T)