APP 5 Flashcards

1
Q

V ou F : les femmes visitent leur médecin plus souvent que les hommes.

A

VRAI.

En clinique, femmes viennent plutôt de façon préventive, alors que les hommes vont arriver dans des stades plus avancés. Santé pour les hommes = tabou.

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2
Q

Éléments de prévention inclus dans la visite périodique chez l’adulte.

A
  • Habitudes de vie (alimentation, activité physique, alcool, tabagisme, ITSS, etc.)
  • Syndromes métaboliques.
  • Cancer.
  • Immunisation.
  • Ostéoporose.
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3
Q

Quels syndromes métaboliques doit-on dépister lors de la visite périodique chez l’adulte?

A
  • Diabète de type 2 : on fait remplir le questionnaire FINDRISC. Si risque faible ou modéré, on repasse le questionnaire au 3 à 5 ans. Si risque élevé, on dépiste aux 3 à 5 ans. Si risque très élevé, on dépiste annuellement. Pour confirmer le diagnostique, on fait un test de l’hémoglobine glyquée (>6.5%). Si test positif, on recommande de le refaire.
  • Dyslipidémie.
  • Hypertension (HTA) : TA systolique >= 140 ou TA diastolique >=90. Il faut revoir le patient au cours du mois.
  • Obésité : calculer IMC et tour de taille. Proposer intervention comportementales.
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4
Q

Dépistage du cancer dans la visite périodique chez les adultes.

A
  • Hommes : cancer de la prostate entre 55 à 69 ans (avec espérance de vie de + de 10 ans).
  • Femmes : 21 à 65 : cancer du col utérin (test PAP aux 2-3 ans).
    50 à 69 : cancer du sein : aux 2 ans dans le cadre du PQDCS.
    70 à 74 : cacner du sein : recommandé aux 2 ans, sous ordonnance individuelle.
  • Femmes et Hommes : cancer colorectal : après 50 ans aux 2 ans.
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5
Q

Immunisation dans la visite périodique chez les adultes.

A

Mettre à jour la vaccination.
Recommander les vaccins suivants :
- Influenza : à partir de 75 ans.
- Pneumocoque : à partir de 65 ans.
- Zona : à partir de 50 ans.
- Envisager tout autre vaccin selon les risques (VPH, Hépatite A et B si ITSS, voyageurs, etc.)

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6
Q

Dépistage de l’ostéporose dans la visite périodique chez l’adulte.

A

50 ans et +.
- Évaluer le risque des fractures.
- Encourager les mesures préventives (exercice physique, prise de vitamine D et de calcium).

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7
Q

Par quoi se caractérise le vieillissement normal.

A
  • Diminution de la réserve fonctionnelle.
  • Diminution de la capacité d’adaptation.
  • Diminution des mécanismes de contrôle.
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8
Q

Changements physiologiques au niveau du sommeil en vieillissant.

A

Rythme circardien modifié (diminution de la variation de l’amplitude corporelle, moins de cortisol plasmatique).
Sommeil désynchronisé (tendance à s’endormir plus tôt et se réveiller plus tôt le matin).

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9
Q

Changements physiologiques du vieillissement : thermorégulation.

A

Plus grande susceptibilité d’hypothermie et d’hyperthermie.

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10
Q

Changements physiologiques du vieillissement : régulation du volume.

A
  • Diminution de la soif (adipsie).
  • Hormone antidiurétique est sécrétée aux mauvais moments et pas assez sécrétée quand nécessaire.
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11
Q

Changements physiologiques du vieillissement : système rénal.

A
  • Difficulté à conserver le sel de façon maximale.
  • Difficulté à excréter une charge d’eau.
  • Entre 30 et 80 ans, la masse rénale diminue de 25 à 30%. Les néphrons capables de concentrer l’urine de façon maximale sont les plus touchés.
  • Diminution linéaire de la clairance à la créatinine avec l’âge.
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12
Q

Changements physiologiques du vieillissement : immunité.

A

Défense de l’hôte moins bonne.
- Peau et muqueuses moins efficaces.
- Urine moins acide et moins concentrée.
- Liquide prostatique a moins d’activité antibactérienne.

Prévalence accure d’infections, de néoplasies et de la présence d’auto-anticorps.
- Involution du thymus et de la production d’hormones thymiques qui diminuent de 90% : « diminution de la réponse des ¢ T aux antigènes et diminution de la production d’interleukine II ».

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13
Q

Changements physiologiques du vieillissement : anatomie et changements de la distribution tissulaire.

A
  • Grandeur diminue de 5cm à 75 ans due aux changements posturaux.
  • Poids augmente jusqu’à l’âge de 50 ans et diminue par la suite.
    • de masse graisseuse (De 15% à 30% vers 75 ans).
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14
Q

Changements physiologiques du vieillissement : système cardiaque.

A

Coeur bat plus lentement et de façon plus irrégulière.

+ de maladies CV.

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15
Q

Changements physiologiques du vieillissement : peau.

A
  • Mince et fragile.
  • Perd de son elasticité : donne des rides.
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16
Q

Changements physiologiques du vieillissement : système nerveux.

A
  • Poids du cerveau diminue.
  • Flot cérébral diminue de 20%.
  • Perte neuronale non généralisée (touche surtout les neurones les plus gros).
  • Sensibilité vibratoire des doigts et des orteils est diminuée (perte significative des neurones médullaires de la corne antérieure).
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17
Q

Changements physiologiques du vieillissement : gastro-intestinal.

A
  • Déglutition moins coordonnée (+ de risque d’aspiration bronchique).
  • Diminution de l’absorption du calcium et du fer.
  • Masse hépatique diminue avec l’âge et débit sanguin hépatique diminue d’environ 10% par décennie.
  • Métabolisme hépatique de phase 1 (oxydation, réduction, hydrolyse) est le plus susceptible de diminuer avec l’âge.
  • Métabolisme hépatique de phase 2 (conjugaison) est préservé.
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18
Q

Changements physiologiques du vieillissement : muscles.

A

Sarcopénie : la masse et la force musculaire diminuent de façon significative. On remplace la fibre musculaire par de la masse adipeuse.
Cartilage : perte d’eau, diminution d’élasticité, arthrose.
Exercice : aide à la résorption osseuse et le gain de muscle, course est bon pour le cartilage, étirement est bon pour l’élasticité.

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19
Q

Changements physiologiques du vieillissement : capacités sensorielles et psychomotrices.

A
  • Autour de 45 ans : difficulté à lire ou écrire sans lunettes.
  • Autour de 50 ans : déclin des facultés auditives.
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20
Q

V ou F : leurs pertes sensorielles et motrices font des vieillards de moins bons conducteurs.

A

FAUX.

Restent de meilleurs conducteurs automobiles.

(Attitudes compensatoires, comme la prudence et l’anticipation).

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21
Q

Facteurs importants de l’ampleur du déclin fonctionnel venant avec la vieillesse.

A
  • Poids d’un enfant à la naissance.
  • Déroulement de la croissance physique durant la petite enfance.
  • Statut socioéconomique des parents.
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22
Q

V ou F : la sexualité deviendrait moins pulsatile et plus affective en vieillissant?

A

VRAI.

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23
Q

Quel % des adultes âgés de 40 à 59 ans au Canada souffre d’HTA?

A

24%.

(ceux faisant de l’embonpoint ou de l’obésité sont 2 fois plus à risque d’en avoir)

Plus de chances d’AVC et d’événements CV et problèmes d’ins. rénale.

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24
Q

Cancers les plus prévalents chez H et F.

A

Femmes : 26% des nouveaux cancers sont des cancers du sein.
Hommes : 21% des cancers sont des cancers de la prostate.

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25
Q
A
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25
Q

Maladies liées aux habitudes de vie.

A

Le tabagisme est un facteur de risque de TOUT. L’exercie permet de diminuer les chances de la plupart des choses.

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26
Q

Quels sont les principaux facteurs de stress à l’âge mur?

A

L’argent et le travail.

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27
Q

Présentisme.

A

Le travailleur est présent, mais sa productivité et son efficacité sont réduites.

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28
Q

Fatigue compensionnelle.

A

Épuisement physique et psychologique vécu par les professionnels de la santé aidants qui sont en contact prolongé avec la souffrance des autres

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29
Q

Activité physique VS exercice physique.

A

Activité physique : Selon OMS, l’activité physique c’est “tout mouvement corporel produit par les muscles squelettiques qui requiert une dépense d’énergie”.
Exercice physique : C’est une sous-catégorie de l’activité physique. C’est une activité planifiée et structurée visant à améliorer ou à maintenir une ou plusieurs composantes de la condition physique (ex. Endurance musculaire, endurance cardiovasculaire, force, etc.).

L’un est l’activité physique en tant que tel et l’autre une sous-catégorie structurée.

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30
Q

Unité de mesure pour décrire l’intensité d’une activité physique.

A

L’équivalence métabolique (MET).

C’est le rapport entre la dépense énergétique et le métabolisme de base.

<2 = aucun essouflement. >6.1 = essouflement marqué, convo impossible.

31
Q

Sédentarité.

A

Dépense énergétique d’au plus 1,5 MET en position assise, inclinée ou couchée (ex : conduire, écouter télé, etc.).

32
Q

À quoi sont associées de longues périodes de sédentarité?

A

Risque augmenté d’accident CV, de mortalité, de diabète et de certains cancers.

33
Q

Pour être considéré comme actif physiquement, que faut-il faire?

A

Au moins 150 minutes d’activité physique aérobie d’intensité modérée à vigoureuse par semaine.

34
Q

Quels sont les bénéfices d’être actif physiquement?

A

Aide avec tout.

Réduit le risque de mortalité, de maladies cardiovasculaires, d’HTA, de diabète de type 2, de plusieurs cancers, de prise de poids, de dyslipidémie, et permet d’améliorer la santé osseuse, la qualité de
vie, et la capacité physique.

35
Q

V ou F : il est possible d’être à la fois sédentaire et actif.

A

VRAI.

Ex : si tu fais beaucoup de sport mais que tu passes quand même la majorité de ta journée à étudier.

36
Q

V ou F : mieux d’augmenter la durée d’une activité physique de 0 à 75 minutes plutôt que d’augmenter une séance de 75 minutes à 150 minutes.

A

VRAI.

37
Q

Est-ce que la marche permet d’atteindre les recomandations canadiennes?

A

Juste le nombre de pas n’est pas assez, il faut également tenir compte de l’intensité des pas pour que ce soit considéré comme une activité physique aérobie d’intensité modérée.

38
Q

Quel est le meilleur paramètre anthropométrique pour déterminer le risque cardiovasculaire lié au surplus de poids et à l’obésité?

A

Accumulation de graisse autour des vicères et du foie.

39
Q

Pourquoi l’IMC est à éviter pour mesurer les risques CV?

A

Ne prend pas en compte la répartition masse adipeuse / masse maigre.

40
Q

Autres paramètres utiles afin d’établir la présence d’excès de graisse viscérale.

A
  • Tour de taille élevé.
  • Taux élevé de triglycérides sanguins.
41
Q

V ou F : la vitesse de marche est reconnue comme un signe vital.

A

VRAI.

Le 6e. Bon indicateur de risque si patient marche lent.

42
Q

Évaluation de la capacité aérobie des patients.

A

Super importante.

  • Test à effort sur tapis roulants.
  • Test en escalier : monter 4 étages le plus rapidement possible sans courir (90 secondes ou moins est bon) .
43
Q

Meilleure type d’approche nutritionnelle à recommander.

A

Reposant sur la liberté de choix, l’expérimentation, le plaisir de manger, et le respect des signaux de faim et de satiété et qui correspond aux valeurs et aux préférences du patient.

44
Q

Meilleure diète.

A

Méditérranéenne.

45
Q

Approches nutritionnelles à éviter.

A
  • Aucun supplément ni produit de santé naturelle engendre une perte de poids.
  • Approches reposant sur un ensemble de règles diététiques sévères, rigides et peu variés.
  • Conséquences : risque de carence nutritionnelle, nuit à la relation harmonieuse avec la nourriture. Risque plus élevé d’abandon et de reprise de poids.
46
Q

Quels sont les 3 grandes mesures de la réussite au long terme d’une perte de poids.

A
  1. La pratique régulière d’activité physique.
  2. La réduction des apports alimentaires.
  3. L’autorégulation.
47
Q

Événements normatifs VS non normatifs.

A

Normatif : la plupart des gens de ton âge, à ton époque vont le vivre.
Non-normatif : événements spécifiques à chaque individu que tout le monde ne vit pas à peu près en même temps.

48
Q

4 catégories de facteurs qui influencent l’adaptation aux événements.

A

1) Variables biologiques et intellectuelles : énergie disponible pour l’adaptation aux événements dépend en partie du niveau de santé et un certain niveau de capacité intellectuelle est nécessaire pour évaluer l’importance et la signification d’un événement. Ces variables ne garantissent pas une adaptation réussie.
2) Caractéristiques de la personnalité: confiance en soi et ouverture = plus confiante de pouvoir s’en sortir. Au contraire, une personne anxieuse ou déprimée pourrait avoir plus de difficulté.
3) Facteurs sociaux : statut socio-économique plus élevé peut faciliter l’adaptation à un événement en raison des ressources financières plus grandes. Un réseau social plus large peut donner accès à plus de personnes susceptibles d’apporter de l’aide. Un bon réseau de soutien permet de répondre aux besoins accurs en termes de soutien affectif, cognitif et matériel.
4) Expérience passée : si quelqu’un a su s’adapter à plusieurs événements, il sera plus confiant en ses capacités de pouvoir s’en sortir à nouveau.

49
Q

2 fonctions majeures du coping.

A

1) Régulariser les émotions de détresse (coping centré sur les émotions).
2) Changer la relation personne-environnement pertubée qui cause la détresse (coping centré sur le problème).

50
Q

8 grands types d’adaptation à une situation difficile.

A

1) Coping de confrontation : Efforts agressifs faits pour changer la situation (défendre son point de vue, lutter pour ce qu’on veut, faire des efforts pour que la personne responsable change d’idée, exprimer de la colère envers la personne qui a causé le problème).
2) Coping en prenant de la distance : Efforts faits pour se détacher de la situation (on ne se laisse pas atteindre par la situation, on n’y pense pas, on essaie de voir le côté positif).
3) Coping par le contrôle de soi : Efforts faits pour ne pas révéler sa détresse aux autres. On tente de cacher ses émotions. On veut cacher aux autres la gravité de la situation ; on se retient d’une action impulsive.
4) Coping en acceptant la responsabilité : On reconnaît son propre rôle (on réalise qu’on a soi-même causé le problème, on se promet d’agir différemment à l’avenir, on tente d’arranger les choses).
5) Coping en cherchant du soutien social : On essaie d’obtenir du soutien en termes d’information, d’aide concrète et de soutien émotionnel en s’adressant à d’autres. :
6) Coping en évitant : On espère que la situation difficile disparaisse ou bien on adopte des comportements d’évitement, tels que manger, boire, fumer, prendre des médicaments, dormir…
7) Coping en planifiant une solution : on fait des efforts pour changer une situation, on fait un plan d’action.
8) Coping en envisageant la situation positivement : efforts faits pour donner une signification positive à l’événement. On envisage le problème comme un esituation qui peut permettre une croissance.

51
Q

Différence entre coping en prenant de la distance et coping en évitant.

A

Distance = tu n’y penses pas du tout, tu es détaché.
Évitant = tu espères que ça passe et tu adoptes des comportements compensatoires pour éviter d’y penser.

52
Q

V ou F : au Canada, près de 1 enfant sur 5 grandit sous le seuil de la pauvreté.

A

VRAI.

53
Q
A
53
Q

Quel % des enfants autochtones vivant dans les réserves sont pauvres?

A

37,9%

54
Q

Quels risques sont augmentés par la pauvreté?

A
  • Grossesses précoces (à l’âge adolescent) ou non-désirées.
  • Être mère monoparentale.
  • Prématurité.
  • RCIU.
  • Mort néonatale ou infantile.
55
Q

Quel % des naissances de petits poids serait attribuées à une basse classe sociale de la mère?

A

30%.

56
Q

V ou F : la pauvreté durant l’enfance n’a pas d’impact sur le risque de mort à 55 ans.

A

FAUX.

Elle le double! Et peut même le 5x si l’exposition continue au début de l’âge adulte.

57
Q

Caractéristiques des femmes ayant un revenu plus faible.

A
  • Plus de risque de tabagisme.
  • Plus de risque d’avoir de mauvaises habitudes alimentaires.
  • Plus bas niveau d’éducation.
  • Plus de risque de s’engager dans des pratiques à haut risque et de rétrogradation.
58
Q

ACE

A

Allocation Canadienne pour Enfants.

Pourrait avoir un grand impact sur les familles issues de la pauvreté pour améliorer leurs conditions.

59
Q

TSC

A

Transfert social Canadien.

Autre forme de financement pour contrer la pauvreté.

60
Q

Quelques solutions pour remédier à la pauvreté.

A
  • Assurer une sabilité d’emploi, des emplois décents, des avantages sociaux et une sécurité d’emploi (assurances, etc.).
  • Rétablir l’équité du régime d’imposition (éliminer les échappatoires fiscaux).
  • Implanter un syst. universel de service de garde à l’enfance (Les services de garde de qualité stimulent le développement de l’enfant, préparent les enfants pour l’école et les protègent contre les effets négatifs de la pauvreté).
61
Q

V ou F: il y a plus de pauvreté chez les familles monoparentales dirigées par les femmes comparativement aux familles monoparentales dirigées par les hommes et les familles biparentales.

A

VRAI.

62
Q

V ou F : tout le monde au Québec a accès à de l’eau potable.

A

FAUX.

Des avis sur la qualité de l’eau potable dans plusieurs communautés autochtones sont toujours actifs.

63
Q

V ou F : il y a autant d’enfants de communautés non marginalisées que marginalisées dans les systèmes d’aide de la protection de l’enfant.

A

FAUX.

Enfants de communautés racialisées sont surreprésentés. Cette situation touche surtout les autochtones et les noirs.

64
Q

Recommandations contre la pauvreté.

A
  • Appliquer les critères d’équité pour les emplois, de façon à ce que les parents qui font partie de groupes discriminés puissent avoir accès aux possibilités d’emplois.
  • Étendre la Loi sur l’équité en matière d’emploi du Canada pour inclure l’orientation sexuelle et l’identité de genre.
  • Accélérer l’adoption de mesures législatives pour l’égalité salariale homme-femme.
  • Augmenter l’accès au Crédit d’impôt pour personnes handicapées en le transformant en crédit remboursable.
  • Faire de la collaboration intergouvernementale et interorganisationnelle pour l’harmonisation des mécanismes pour évaluer et reconnaître les compétences et accélérer les procédures de reconnaissance des diplômes internationaux.
  • Remettre à jour et améliorer le Plan d’action canadien contre le racisme.
  • S’assurer que la loi fédérale sur l’accessibilité ait suffisamment de pouvoirs contraignants pour remédier aux obstacles dans les domaines où les besoins sont les plus grands.
65
Q

V ou F : les enfants réagissent comme de petits adultes aux situations difficiles.

A

FAUX.

Les enfants ne sont PAS de petits adultes. Ils pensent et ressentent les choses comme des enfants et ont besoin de leurs années d’enfant pour se développer sainement.

66
Q

Deux peurs fréquentes chez l’enfant de tout âge.

A
  • Peur du danger.
  • Peur de la mort.
67
Q

Résilience

A

Capacité à surmonter les traumatismes de la vie et à se développer en dépit de l’adversité.

Résilient = à partir du moment ou personne subit un traumatisme qu’elle tente de la surmonter en mettant en place des processus de résilience

68
Q

Pourquoi dit-on que le traumatisme est psychique avant tout?

A

Ce n’est pas l’évènement en lui meme qui est traumatique mais l’incapacité qu’a le sujet d’y faire face

69
Q

Pourquoi la résilience est un processus.

A

Ce n’est pas un trait de personnalité, c’est plutôt acquis en fct de chaque événement.

Si déjà acquis, ce n’est pas non plus acquis une fois pour toute.

70
Q

2 axes du processus de résilience.

A

1) Axe intrapsychique : concernant les capacités propres à chaque individu.
2) Axe relationnel : concernant les liens que le sujet met en place avec l’environnement.

71
Q

V ou F : les facteurs de résiliences suffisent seuls à développer le processus de résilience.

A

FAUX.

**7 caractéristiques de personnalité avec rôle protecteur face aux événements difficiles : **
1) Perspicacité : capacité d’analyse, de repérage, de discrimination.
2) Indépendance : capacité à être seul, autonomisation.
3) Aptitudes aux relations : facteur de socialisation.
4) Initiative : capacité d’élaboration et de représentation.
5) Créativité : capacité à créer des formations réactionnelles et substitutives.
6) Humour : sublimation.
7) Moralité : capacité à interroger les valeurs.

72
Q

Deux étapes au processus de résilience.

A

1- Temps du traumatisme : l’enfant résiste aux désorganisations psychiques en mettant en place des mécanismes de défense lui permettant de s’adapter à la réalité frustrante.
2- temps de l’intégration du choc et de la réparation : « Intégrer » ne veut pas dire « effacer » mais « faire avec ». Après le traumatisme, il y a rétablissement progressif des liens, puis une reconstruction à partir de l’adversité. Cela passe par la nécessité de donner un sens à sa blessure.

73
Q

Facteurs extérieurs qui favorisent la résilience.

A
  • Bon entourage.
  • Attachement sécurisant.