APP 5 Flashcards

1
Q

V/F Les femmes vivent plus longtemps que les H, car elles éprouvent un moins grand taux de maladies physiques et de limitations fonctionnelles

A

F, Malgré le fait que les femmes vivent plus longtemps que les hommes, elles éprouvent également un plus grand taux de maladies physiques et limitations fonctionnelles que les hommes à partir de l’adolescence.

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2
Q

concernant les F, Dire pour chaque énoncé si c’est V/F:
o Passent moins de jours à l’hôpital
o Manque plus de jours de travail à cause de maladies
o Prennent moins de médicaments que les hommes
o Elles signalent plus souvent par elles-mêmes leurs limitations fonctionnelles
o Sont surreprésentées relativement à leur proportion de la population dans les maisons de retraites

A

o F–> Passent PLUS de jours à l’hôpital
o V –> Manque plus de jours de travail à cause de maladies
oF–> Prennent PLUS de médicaments que les hommes
o V–> Elles signalent plus souvent par elles-mêmes leurs limitations fonctionnelles
o V–> Sont surreprésentées relativement à leur proportion de la population dans les maisons de retraites

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3
Q

quelle serait une hypothèse de pourquoi les F sont plus disposés à consulter le MD p/r a leurs maux

A

car les F sont plus attentives que les H aux inconforts physiques

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4
Q

Dire pour chaque énoncé si c’est V/F:
* Moins d’hommes que de femmes ont un médecin de famille.
* Les hommes sont moins susceptibles d’être hospitalisés longtemps et d’éprouver des problèmes de santé chroniques.
* Moins d’hommes que de femmes connaissent et utilisent les services info-santé du CLSC.

A
  • V–> Moins d’hommes que de femmes ont un médecin de famille.
  • V–>Moins d’hommes que de femmes connaissent et utilisent les services info-santé du CLSC.
  • F–> Les hommes sont PLUS susceptibles d’être hospitalisés longtemps et d’éprouver des problèmes de santé chroniques.
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5
Q

V/F les F sont plus portés à es gestes préventifs que les H

A

V

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6
Q

V/F les H vont consulter plus souvent pour les problèmes de santé, avant même qu’une crise de santé se présente et sans la pression de leur entourage

A

F, Ils consultent plus tardivement, souvent sous la pression de l’entourage ou suite à une situation de crise.

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7
Q

décrire les éléments de prévention de la santé concernant les habitudes de vie

A
  • Promouvoir une saine alimentation et un mode de vie physiquement actif
  • Tabagisme
    − Documenter + recommander cessation
    − Counseling pour soutenir le changement et proposer une aide anti tabagique seule ou combinée
    − Diriger le patient vers des services gratuits présentés sur le site Québec sans tabac
  • Alcool
    − Dépister l’abus, Offrir une intervention brève, Diriger le patient vers les ressources pour le dépistage et le tx du Centre Canadien sur les dépendance et l’usage de substances
  • ITSS
    − Évaluer les fcts de risque (au moins 1/an) –>Dépister selon fct de risque
    − Offrir un counseling préventif sur l’adoption et le maintien de comportements sécuritaires
    − Soutenir la personne avec un ITSS pour qu’elle avise ses partenaires
    − Offrir une chimioprophylaxie aux personnes exposées lorsqu’indiqué
    − Offrir les vaccins contre le VPH, l’Hépatite A et B aux personnes visées par le PIQc
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8
Q

quels sont les composantes d’un syndrome métabolique

A
  • DM type 2
  • DLP
  • HPTN
  • obésité
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9
Q

décrire les critères de dépistage du DM type 2

A
  • remplir le FINDRISC (évalue les risques pour le patient de développer un diabète dans les 10 prochaines années)
  • Risque faible ou modéré: ne pas dépister- repasser le questionnaire aux 3 à 5 ans
  • Risque élevé: dépister aux 3 à 5 ans
  • Risque très élevé: dépister annuellement
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10
Q

Cmt confirmer le Dx de DM type 2

A

faire test de HbA1c (l’hémoglobine glyquée)
▪ Un résultat de HbA1c de 6.5% ou supérieur = diagnostic de diabète type 2
▪ La glycémie à jeun ou l’hyperglycémie provoquée sont d’autres options acceptables
▪ Si l’un des tests suggère un diabète= l’Association canadienne du diabète recommande de répéter le test pour confirmer le diagnostic

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11
Q

décrire les intervalles de visites pour quelqu’un qui n’a pas de Dx de l’HTA selon la TA systolique et diastolique

A

▪ TA systolique supérieur ou égale à 140 ou TA diastolique supérieur ou égale à 90: revoir le patient au cours du mois
▪ TA systolique entre 130-139 ou TA diastolique entre 85-89 en absence d’un organe cible et en absence de diabète: revoir le patient durant l’année
▪ TA systolique inférieur à 130 ou TA diastolique inférieur à 85: augmenter la fréquence des contrôles de la TA en présence de facteur de risque de MCV, si le patient appartient à un groupe ethnique plus à risque d’HTA ou si une tendance à la hausse est observée dans les mesures de la TA

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12
Q

décrire les composantes de prévention concernant l’obésité dans la visite périodique de l’adulte

A
  • Calculer IMC (mesure taille et poids)
  • Tour de tailles
  • Proposer des interventions comportementales (visant sur la gestion de poids) aux personnes qui présente un surpoids ou de l’obésité
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13
Q

V/F le cancer de la prostate, du sein et colorectal sont dépistés systématiquement dans la population québécoise adulte

A

Faux, seulement cancer du sein et colorectal.

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14
Q

quels sont les cancers à dépister pour l’H, à quel âge et selon quels indications

A

cancer prostate
- entre 55 à 69 ans et ayant un espérance de vie de >10ans
- uniquement à la demande, pas de dépistage systématique
cancer colorectal
- apres 50 ans
- aux 2 ans par ROSi

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15
Q

quels sont les cancers à dépister pour la F, à quel âge et selon quels indications

A

cancer du col utérin
- 21 à 65ans
test de pap aux 2-3 ans
cancer du sein
- 50-69 ans –> aux 2 ans selon cadre du PQDCS
- 70 à74 –> aux 2 ans, sous ordonnance individuelle
cancer colorectal
- apres 50 ans
- aux 2 ans par ROSi

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16
Q

décrire les composantes de prévention concernant l’immunisation dans la visite périodique de l’adulte (quels vaccins sont recommendés)

A
  • mettre à jour la vaccination
  • recommander les vaccins suivants:
  • Influenza: à partir de 75 ans (ou avant si présence de conditions particulières)
  • Pneumocoque: à partir de 65 ans (ou avant, si présence de conditions particulières)
  • Zona: à partir de 50 ans
  • Envisager tout autre vaccin selon les risques (ITSS, voyageurs)
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17
Q

décrire les composantes de prévention concernant l’ostéoporose dans la visite périodique de l’adulte

A
  • Évaluer le risque de fractures de fragilisation sur 10 au moyen d’un outil validé tel que le FRAX
    ▪ Un médicament si la score est inférieur à 20% en cas de fracture de fragilisation antérieure ou en cas d’utilisation prolongée de corticostéroïdes systémiques
  • Encourager les mesures présentatives
    ▪ Exercice physique, prise de vitamine D, prise de calcium
  • Après 65 ans, évaluer et prévenir le risque de chute libre
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18
Q

décrire de quoi dépend le vieillissement des individus

A
  • du bagage génétique
  • son environnement
  • les habitudes de vie
  • les maladies ou accident
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19
Q

définir le vieillissement normal

A

caractérisé par une diminution de:
* réserve fonctionnelle,
* capacité d’adaptation
* des mécanismes de contrôle

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20
Q

décrire les changements qui surviennent a/n du rythme circadien

A
  • La variation de l’amplitude de la température corporelle est diminuée.
  • La courbe de concentration de cortisol plasmatique au cours de la journée est aplatie.
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21
Q

décrire les changements qui surviennent a/n du sommeil avec le vieillissement

A

Sommeil devient désynchronisé –> Une avance des phases de sommeil est observée : le début du sommeil survient 1 à 2 heures plus tôt. → Il y a donc une tendance à s’endormir plus tôt le soir et à se réveiller plus tôt le matin.

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22
Q

il y a une diminution des sécrétions pulsatiles de quels type d’hormones?

A

gonadotrophine, hormone de croissance, mélatonine

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23
Q

décrire les changements qui surviennent a/n de la PA (changement homéostasie)

A
  • diminution de l’activité beta-adrenergique (mais pas de diminution du nbr des R)
  • risque d’hypotension orthostatique –> dcr dans perfusion cérébrale –> risque de chute
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24
Q

quel changement physiologique explique l’excès de mortalité des personnes âgés durant les mois plus froid et les plus chauds de l’année

A

les changement dans la thermorégulation des personnes viellissante les rendent plus susceptibilite à l’hypo et hyperthermie
** (changement homéostasie) **

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25
Q

décrire les changements qui surviennent a/n de la régulation du volume (changement homéostasie)

A
  • Diminution de la soif
  • Hormone antidiurétique (action : conserver l’eau libre) est sécrétée de façon exagérée aux stimuli osmotiques, mais de façon diminuée lors d’hypovolémie
  • Changements rénaux → Expliquent la propension des personnes âgées aux troubles électrolytiques (hyponatrémie, déshydratation)
    − Difficulté à conserver le sel de façon maximale
    − Difficulté à excréter une charge d’eau
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26
Q

décrire les changements qui surviennent a/n des défense physiques/chimiques de l’hôte

A
  • Peau et muqueuses = barrières moins efficaces
  • Muqueuses des tractus génito-urinaire et respiratoire : augmentation de l’adhérence bactérienne → augmentation de la colonisation par les bactéries gram négatif
  • Mécanisme de toux diminué (encore plus chez les fumeurs)
  • Urine moins acide et moins concentrée
  • Liquide prostatique a moins d’activité antibactérienne
  • Vidange de la vessie peut être incomplète
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27
Q

décrire les changements a/n du muscle

A

Sarcopénie: déclin de la taille + masse musculaire (et de la force)
* Déclin quantitatif: ↓ de la quantité de myocytes, de fibres musculaires, d’unités motrices et de pompes
Na-K
* Déclin qualitatif: ↓ de la force musculaire
* De 30 à 80 ans: ↓ de 30-40% de la masse musculaire par rapport au poids corporel
* Vitesse de déclin des muscles: membres inférieurs > membres supérieurs

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28
Q

décire cmt la sarcopénie est multifactorielle REVIEW THIS CARD, NOT SURE ABT THE ANSWER!!!!

A

Conséquences multifactorielles
- Neurologiques
- Hormonales
- Nutritionnelles
- Métaboliques
- Changements dans l’activité physique
- Co-morbidités d’autres maladies

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29
Q

Décrire les changements a/n des os

A
  • Faiblesse au niveau de la composition des os
  • Ralentissement du processus de résorption-redéposition des protéines et des sels dans la matrice osseuse
  • Accélération de la perte lors de la ménopause chez la femme
  • Perte au niveau de –> Os trabéculaire –🕓10 ans → os cortical
  • Réduction des réserves corporelles de calcium
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30
Q

décrire les changements a/n du cartilage

A
  • Diminution des sous-unités de protéoglycan
  • Diminution de l’élasticité cartilagineuse–>↑ de l’incidence de l’arthrose
  • Perte du contenu en eau
  • Articulations particulièrement à risque: Genoux, Hanches, Chevilles, Articulations des facettes vertébrales & Petites articulations distales des pieds et des mains
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31
Q

décrire les changements a/n des ligaments/endons

A
  • Perte du contenu en eau
  • Diminution de l’élasticité, de la flexibilité et de l’amplitude de mouvement
  • ↑ de l’incidence d’entorses et de foulures
  • ↑ de l’incidence de déchirures musculaires (à cause de l’effort et de la force directement supportés par
    l’articulation)
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32
Q

décrire les changements a/n du système immunitaire

A
  • Involution du thymus et de la production d’hormones thymiques qui diminuent de 90% → diminution de la réponse des cellules T aux antigènes et diminution de la production d’interleukine II
  • Réponse humorale (anticorps)
    − Diminuée suite à l’exposition à un antigène
    − Augmentation des anticorps auto-immuns
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33
Q

les changements a/n du système immunitaire augmente la prévalence de quelles maladies/pathologies

A

observe avec l’âge une prévalence accrue d’infections, de néoplasies et de la présence d’auto-anticorps.

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34
Q

Pourquoi il y a une diminution de la taille avec le vieillissement, la taille diminue de cmb?

A
  • diminution de 5cm à partir de 75ans d/t changements posturaux:
  • incr de la flexion des hanches
  • dcr de la hauteur des corps vertébraux et des disques intervertébraux
  • aplatissement de l’arche du pied
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35
Q

avec le vieillissement dérire sir les éléments suivants incr ou dcr:
* épaisseur du thorax
* largeur des épaules
* poids
* compartiment de masse graisseuse

A
  • incr
  • dcr
  • incr ad 50ans puis diminue
  • incr
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36
Q

la masse graisseuse augmente de cmb (en %) avec l’âge, à partir de quel âge + aux dépend de quoi?

A
  • Compartiment de la masse graisseuse augmente avec l’âge, passant de 15% à 30% vers 75 ans.
  • Ce changement se fait aux dépens de la masse maigre, des muscles et du contenu d’eau corporelle totale.
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37
Q

décrire les changements a/n du système cardioVS

A
  • diminution de la fréquence cardiaque maximale
  • dcr du débit cardiaque
  • Diminution du temps de course d’un 10 km
  • rythme irrégulier cardiaque
  • Diminution de la capacité aérobie (VO2max)
  • Diminution de la capacité anaérobie maximale (CAM)
    de 10% par décennie après 30 ans
  • maladies CVS plus fréquentes
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38
Q

décrire les changements a/n de la peau

A
  • amincissement de la couche de gras sous-cutanée
  • peau devient plus mince et plus fragile aux traumatismes mineurs
  • molécules de collagènes deviennent plus rigide
  • fibres élastiques plus cassante
  • renouvellement cellulaire ralentit
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39
Q

conséquence de la diminution de la sécrétion des glandes eccrines

A

Diminution de l’acidité de surface et sécheresse de la peau

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40
Q

décrire les changements a/n du système nerveux

A
  • dim de 37% dans le nbr d’axones de la moelle épinière
  • dim de 10% dans la vitesse de conduction neuronal
  • Prédisposition des nerfs sensitifs aux névromes et à l’hypersensitivité secondaire aux changements de temp
  • Diminution des capacités visuelles et auditives
  • DIminution de la vitesse de réaction
  • dcr du poids du cerveau avec l’âge
  • dcr du flot cérébral de 20%
  • changements dans l’auto-régulation cérébrale
  • perte neuronale non généralisée qui touche les gros neurones
    *diminution du réseau dendritique en général, mais peut être incr dans certaines régions cérébrales
  • changements (incr or dcr) a/n des NT, R et enzymes cérébraux
  • perte significative des neurones médullaires de la corne antérieur
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41
Q

quelle est la conséquence de la perte significative des neurones médullaires de la corne antérieur

A

Sensibilité vibratoire des doigts et des orteils est diminuée.

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42
Q

décrire les changements a/n du système GI et leurs risques

A
  • Déglutition moins coordonnée → Augmente le risque d’aspiration bronchique
  • Diminution de l’absorption du Ca et du fer 2nd à une dim. de l’acidité de l’estomac et une dim. des récepteurs intestinaux à la vit D
  • Masse hépatique diminue avec l’âge et débit sanguin hépatique diminue d’environ 10% par décennie.
  • Métabolisme hépatique de phase 1 (oxydation, réduction, hydrolyse) est le plus susceptible de diminuer avec l’âge.
  • Métabolisme hépatique de phase 2 (conjugaison) est préservée.
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43
Q

décrire les changements a/n du système rénal

A
  • perte du cortex rénal –> dim. de masse rénal de 25-30% entre 30 et 80ans
  • dim. de concentration de l’urine –> car perte de néphrons capable de concentrer l’urine de façon maximale
  • dim linéaire de la clairance de créatinine
  • dim de l’acidification des urines
  • dim de capacité à excreter une surcharge en acide ou eau libre
  • Sclérose (perte) des glomérules rénaux
  • Perte au niveau de la filtration rénale
  • Perte de la quantité totale en eau dans les cellules et le corps –> Prédisposition à la déshydratation
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44
Q

décrire les changements a/n psychologique

A
  • Diminution de la tension, de la dépression, de la fatigue, de la colère et de la confusion
  • Plus grande vigueur et attitude positive
  • Plus grande estime de soi et de sa condition physique
  • meilleur gestion de stress
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45
Q

quelles sont les capacités sensorielles et psychomotrices qui sont les plus touchés avec l’âge

A

vue, ouïe, odorat, toucher, force, endurance, temps de réaction, mobilité. Les pertes augmentent à mesure que l’âge avance. Les pertes restent relativement minimes

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46
Q

V/F l’écriture et la lecture deviennent difficile seulement à partir de 70 ans

A

F, autour de 40 ans les difficultés commencent à s’installer

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47
Q

vers quel âge il y a des déclins des facultés auditives

A

autour de 50 ans

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48
Q

V/F Une diminution de l’alerte, de l’équilibre et de la coordination sont des processus pathologiques et non des changements normaux avec le vieillissement

A

F,
* Dans la soixantaine : ne se sentent plus aussi alertes et solides sur leurs jambes
* Capacité de la force physique et de la coordination décline graduellement
− Perte de fibres musculaires qui sont remplacés par du tissus adipeux

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49
Q

quels sont les prédicteurs important de l’ampleur du déclin fonctionnel

A
  • poids d’un enfant à la naissance
  • déroulement de la croissance physique durant la petite enfance
  • le statut socioéconomique des parents
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50
Q

** Ménopause**
* définition
* changements hormonaux

A
  • arrêt définitif des menstruations et de l’ovulation qui survient environ 1 an après les dernières menstruations et qui met fin à la capacité de reproduction de la femme (42 à 56 ans, âge moyen 52 ans pour les femmes canadiennes).
  • dcr dans la sécrétions d’oestrogènes des ovaires
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51
Q

** ménopause**
* s/s physiques
* s/s psycho

A

*s/s physiques
- menstruations irrégulières ou absentes
- flux sanguin diminue
- moment de l’ovulation varie
- Des bouffées de chaleur et sueurs nocturnes
- décalcification osseuse
- diminution de la lubrification vaginale, - amincissement des muqueuses des parois vaginales - dysfonctionnement urinaire
* s/s psycho
- irritabilité
- instabilité de l’humeur
- insomnies
- difficultés de concentration
- dépression.

52
Q

quel est la cause derrière les sueurs noctures et bouffés de chlr

A

réduction du taux d’oestrogènes, laquelle perturbe les centres cérébraux de contrôle de la température

53
Q

V/F Les dlr lors de la pénétration sexuelle sont d’origine pathologique et ne font pas partie d’un vieillissement nrml de la F

A

F, Des douleurs pendant la pénétration, secondaires à la diminution de la lubrification et de l’amincissement des muqueuses, peuvent survenir

54
Q

** andropause**
*définition
* changement

A
  • La production de spermatozoïdes décroit et leur motilité diminue + âge génétique du sperme se détériore
    changements
  • Fatigue
  • Irritabilité
  • Troubles du sommeil
  • Dysfonctionnement érectile
  • Baisse du désir sexuel
  • Réduction de la masse osseuse et musculaire
55
Q

décrire le classement de l’Activité physique, son unité de mesure et comment elle se caract.rise

A
  • classé en fx de son intensité sur un échelle de 0 à 10
  • équivalence métabolique (MET)
  • se caractérise par sa fréquence, l’intensitém le type et la durée (FITT)
56
Q

définir le MET

A
  • représente le rapport entre dépense énergétique liée à une activité physique donnée et le métabolisme de base
  • 1 MET = dépense énergétique au repos
57
Q

quels sont les différents classements de l’intensité physique

A
  • très légère
  • légère
  • modérée
  • vigoureuse
  • très vigoureuse
58
Q

l’activité physique avec intensité très légère- décrire:
* Signes cliniques
* types d’activité

A

*signes cliniques
- Aucun essoufflement
- Conversation facile
- Aucune transpiration
*types
- Conduite
- Écoute de la télévision
- Activités sexuelles

59
Q

l’activité physique avec intensité légère- décrire:
* Signes cliniques
* types d’activité

A

*signes cliniques
- Aucun essoufflement
- Conversation facile
- Aucune transpiration
*types
- Marche lente (< 3,2 km/h)
- Douche
- Cuisine

60
Q

l’activité physique avec intensité modérée- décrire:
* Signes cliniques
* types d’activité

A

*signes cliniques
- Essoufflement modéré
- Conversation difficile
- Transpiration modérée
*types
- Tâches ménagères
- Gazon
- Marche rapide (6,4 km/h)
- Pelletage de neige légère

61
Q

l’activité physique avec intensité vigoureuse- décrire:
* Signes cliniques
* types d’activité

A

*signes cliniques
- Essoufflement marqué
- Conversation impossible
- Transpiration abondante
*types
- Course à pied (8 km/h)
- Tennis

62
Q

l’activité physique avec intensité très vigoureuse- décrire:
* Signes cliniques
* types d’activité

A

*signes cliniques
- Essoufflement marqué
- Conversation impossible
- Transpiration abondante
*types
- Course à pied (9,7 km/h et +)

63
Q

définir la sédentarité

A

Comportement sédentaire: toute activité éveillée caractérisée par une dépense énergétique d’au plus 1,5 MET en position assise, inclinée ou couchée

64
Q

les Longues périodes de comportements sédentaires sont associées à un risque augmenté de…

A

■ ACV
■ Mortalité
■ Diabète
■ Certains cancers chez l’adulte

65
Q

La réduction ou l’élimination des comportements sédentaires améliore quoi?

A

La réduction ou l’élimination des comportements sédentaires améliore la composition corporelle et les marqueurs de risque cardiométabolique

66
Q

être actif physiquement consiste à ____

A

Consiste à pratiquer au moins 150 minutes d’activité physique aérobie d’intensité modérée à vigoureuse par semaine

67
Q

quels sont les avantages d’être actif physiquement

A

réduit le risque de:
- mortalité
- de maladies cardiovasculaires, d’HTA
- de diabète de type 2
- de plusieurs cancers
- de prise de poids,
- dyslipidémie
- permet d’améliorer la santé osseuse, la qualité de vie, et la capacité physique
- plus grde sensibilité musculaire à l’insuline qui dure 24-48h
- effet hypotenseur qui dure ad 22h après activité
- dcr de triG sanguins de 18-24h qui dure 72h

68
Q

V/F il est possible d’être à la fois sédentaire et actif

A

V, puisqu’il s’agit de deux concepts distincts

69
Q

quels sont les directives canadiennes en matire de mvt sur 24h chez les adultes

A
  • activités physiques aérobies d’intensité moyenne - vigoureuse d’une durée cumulative d’au moins 150min/semaine
  • plusieurs h d’activités physiques d’intensité légère avec des périodes en position debout
  • max de 8h/j de sédentarité
  • max de 3h de loisir devant un écran compris dans les 8h
  • interruption fréquente de position assise
70
Q

V/F La marche permet d’atteindre les recommendations canadiennes d’activité d’une intensité vigoureuse

A

F, Atteindre un certain nombre de pas par jour N’EST PAS AUTOMATIQUEMENT associés aux bienfaits de l’activité physique.
* Une cadence de marche de 100 pas à la minute représente une intensité modérée. Si les patients peuvent marcher à cette vitesse, la marche pourrait compter comme une activité physique aérobie d’intensité modérée.

71
Q

V/F l’IMC est le meilleur paramètre afin de déterminer le risque cardiovasculaire

A

F, IMC ne fait pas la distinction entre masse adipeuse et maigre et leur emplacement. slmt utilise pour estime l’excès de poids

72
Q

quels sont les meilleurs paramètres afin de déterminer le risque cardiovasculaire

A

ces paramètres permettent d’établir la présence d’excès de graisse viscérale et le risque de DM II ou maladies CVs
* tour de taille
- F : >88cm = risque
- H: >102cm = risque
* taux de triglycérides
- F: >2 mmol/l
- H: >1.5mmol/l

73
Q

V/F la capacité aérobie d’une personne est l’un des plus puissants prédicteurs de santé CVS et de survie

A

V

74
Q

cmt évaluer la capacité aérobie d’une personne

A
  • Test à effort sur le tapis roulant
  • Test en escalier : monter 4 étages (environ 60 marches) le plus rapidement possible sans courir
75
Q

Caractéristiques des approches nutritionnelles à
préconiser pour favoriser la perte de poids

A

● But = provoquer un déficit énergétique quotidien de 600kcal
● Action = tant sur les comportements alimentaires que sur les habitudes de consommation
● Vise un diminution du sentiment de privation
- Liberté de choix
- Expérimentation
- Plaisir de manger
- Respect des signaux de faim et de satiété
● Flexibilité de l’alimentation = meilleure gestion du poids à long terme
● Diminution à long terme plutôt que restriction complète
● Pratique régulière d’activité physique (150
minutes/semaine)
● Autorégulation
- Mesure de la grosseur des portions
- Décompte calorique
- Calcul des grammes de lipides consommés
● Apports limités en matières grasses
● Consommation d’aliments provenant de toutes les
catégories
● Prise régulière de 3 repas/jour et de collations
● Restaurants: 2,5x/semaine
● Fast food: >1x/semaine
● Pesée corporelle 1x/semaine

76
Q

quelles sont les approches nutritionnelles pour une saine gestion de poids

A
  • alimentation intuitive ou manger pleine conscience
  • favorise respect des signaux de faim/satiété
  • alimentation médirerranéenne
  • ++ d’aliments d’origine végétales riches en antioxidants avec apport riche en gras (conso huile d’olive)
  • réduction des portions
  • mesurer les aliments/repas afin de limiter les apports caloriques totaux
  • régime faible en gras
    *régime à faible charge glycémique
    *régime faible en glucides
    *jeune intermittent
    *régimes commerciaux
77
Q

quels sont les approches nutritionnelles à éviter

A
  • tous les régimes reposant sur un ensemble de règles diététiques sévères, rigides et peu variés:
  • Les régimes à très faible apport calorique (entre 800 kcal et 1200 kcal par jour)
  • Les régimes qui excluent une catégorie d’aliments
  • Les régimes qui proposent des substituts de repas
78
Q

quelles sont les risques de régimes sévères, rigides et peu variés

A
  • Risque de carence nutritionnelle
  • nuit à la relation harmonieuse avec la nourriture,
  • augmentation de la restriction cognitive
  • incr des épisodes de désinhibition
  • incr susceptibilité à la faim.
  • Risque plus élevé d’abandon de reprise de poids (parfois surpasser le poids initial = aggravation de l’obésité)
79
Q

quelles sont les habitudes alimentaires susceptibles de contribuer à la prise de poids

A
  • Restriction alimentaires sévères (exclusion absolue de certains aliments ou catégories d’aliments) occasionne des lâcher-prises
    o Modèle alimentaire qui oscille entre destin et famine
    o Conséquences: dissocier l’individu de ses signaux internes de faim et de satiété, à favoriser la reprise de poids, à provoquer le découragement, et à augmenter la détresse psychologique et l’insatisfaction corporelle
    o Solution: La diminution de la fréquence plutôt que la restriction complète de certains aliments est plus favorable à long terme
  • Trop de restrictions ne fonctionnent pas→ désinhibition
  • Absence de réduction des portions
    o Bilan calorique positif
    o Conséquence: accroissement pondéral
  • Fréquence de consommation des aliments à haute densité énergétiques (restauration rapide)
    o Conséquence: prédispose à la reprise de poids
80
Q

la réussite à long term d’une perte de poids réside dans 3 grande mesures, which ones are they?

A
  1. La pratique régulière d’activité physique
  2. La réduction des apports alimentaires
  3. L’autorégulation
81
Q

décrire la différence entre:
* un évènement normatif lié à l’âge
* un évènement normatif lié au contexte historique
* un évènement non-normatif

A

lié à l’âge
- La plupart des rôles sociaux au cours de l’âge adulte sont initiés par des événements de vie.
- Dépendent en partie de la capacité biologique (Nx d’un enfant) et/ou de normes sociales (ex : retraite).
lié au contexte historique
- Vécus par la plupart des membres d’une cohorte donnée (ex : guerre).
- Peuvent avoir un impact à long terme sur le style de vie et sur les caractéristiques de personnalité des individus.
non-normatif
- Événements spécifiques à chaque individu (ex : divorce)

82
Q

décrire comment les variables biologiques et intellectuelles vont influencer l’adaptation aux évènements

A

− Énergie disponible pour l’adaptation aux événements dépend en partie du niveau de santé.
− Un certain niveau de capacité intellectuelle est nécessaire pour évaluer l’importance et la signification d’un événement.
− Ces variables ne garantissent pas une adaptation réussie.

83
Q

décrire comment les Caractéristiques de la personnalité vont influencer l’adaptation aux évènements

A

− Une personne qui a généralement confiance en elle et qui est ouverte sera plus confiante de pouvoir s’en sortir.
− Au contraire, une personne qui a tendance à être anxieuse ou déprimée pourrait avoir plus de difficulté à s’adapter

84
Q

décrire comment les Facteurs sociaux vont influencer l’adaptation aux évènements

A

− Un statut socio-économique plus élevé peut faciliter l’adaptation à un événement en raison des ressources financières plus grandes.
− Un réseau social plus large peut donner accès à plus de personnes susceptibles d’apporter de l’aide.
− Un bon réseau de soutien permet de répondre aux besoins accrus en termes de soutien affectif, cognitif et matériel.

85
Q

décrire comment les expériences passées vont influencer l’adaptation aux évènements

A

− Si quelqu’un a su s’adapter à plusieurs événements, il sera plus confiant en ses capacités de pouvoir s’en sortir à nouveau.

86
Q

définir le coping

A

efforts cognitifs + comportementaux conscients (VS mécanismes de défense qui sont inconscients) d’une personne qui sont constamment changés afin de répondre aux demandes internes et externes qui exercent un stress sur les ressources de la personne

87
Q

décrire les étapes du coping

A

Coping = processus d’adaptation utilisé par les gens lors d’un évènement stressant

  1. Évaluation cognitive
    1a. Évaluation primaire –> Évaluation de ce que l’évènement représente pour la personne et de son importance
    1b. Évaluation secondaire –> Évaluation de ce qui peut être fait pour faire face à l’évènement (stratégies de coping)
  2. Coping
88
Q

quelles sont les 2 fx du coping

A
  • Régulariser les émotions de détresse (coping centré sur les émotions)
  • Changer la relation personne-environnement perturbée qui cause la détresse (coping centré sur le problème)
89
Q

quels sont les 8 stratégies de coping et leur description

A
  • Coping de confrontation : Efforts agressifs faits pour changer la situation (défendre son point de vue, lutter pour ce qu’on veut, faire des efforts pour que la personne responsable change d’idée, exprimer de la colère envers la personne qui a causé le problème).
  • Coping en prenant de la distance : Efforts faits pour se détacher de la situation (on ne se laisse pas atteindre par la situation, on n’y pense pas, on essaie de voir le côté positif).
  • Coping par le contrôle de soi : Efforts faits pour ne pas révéler sa détresse aux autres. On tente de cacher ses émotions. On veut cacher aux autres la gravité de la situation ; on se retient d’une action impulsive.
  • Coping en acceptant la responsabilité : On reconnaît son propre rôle (on réalise qu’on a soi-même causé le problème, on se promet d’agir différemment à l’avenir, on tente d’arranger les choses).
  • Coping en cherchant du soutien social : On essaie d’obtenir du soutien en termes d’information, d’aide concrète et de soutien émotionnel en s’adressant à d’autres.
  • Coping en évitant : On espère que la situation difficile disparaisse ou bien on adopte des comportements d’évitement, tels que manger, boire, fumer, prendre des médicaments, dormir…
  • Coping en planifiant une solution : On fait des efforts pour changer la situation, on double ses efforts, on fait un plan d’action.
  • Coping en envisageant la situation positivement : Efforts faits pour donner une signification positive à l’événement. On envisage le problème comme une situation qui peut permettre une croissance.
90
Q

quels sont les enjeux psycho-affectif de l’adulte d’âge mur
* nom de la phase
* âge
* décrire les 2 concepts qui s’opposent

A
  • generativité Vs stagnation
  • Âge: 35-65 ans (adulte mûr)
  • Générativité
    ■ Vieillissement + passage vers la deuxième partie de la vie amène des réflexions sur sa propre mortalité et le sens qu’on accorde à notre propre existence
    ■ Sentiment du besoin de laisser sa marque sur le monde/les gens qui l’entourent
    ■But = donner un sens à sa vie
    ■ Immortalité symbolique
    ■ 3 moyens possibles: Élevage d’enfants et de petits-enfants, Mentorat de personnes plus jeunes et/ou Implication dans des causes politiques, artistiques…
  • Stagnation
    ■ Si l’adulte a plus de difficulté à traverser la crise –> Stagnation du développement identitaire et Sentiment de futilité/de vide par rapport au sens accordé à leur vie
90
Q

quels est la force adaptative développé durant generativité Vs stagnation

A

souci pour autrui, sollicitude

91
Q

quels sont les enjeux psycho-affectif du jeune adulte
* nom de la phase
* âge
* décrire les 2 concepts qui s’opposent

A
  • intimité VS isolement
  • Âge: 18-35 ans (jeune adulte)
  • Intimité
    ■ Début des recherches d’une relation intime plus sérieuse vers le début de la vingtaine
    ■ Résolution de la crise précédente (identité VS confusion des rôles) = nécessaire
    ○ Base identitaire solide = nécessaire avant de pouvoir inclure une autre personne dans son intimité
    ■Capacité à: Se dévoiler + Faire des compromis+ S’engager envers une autre personne

● Isolement
○ Une incapacité à atteindre l’intimité peut mener à : Isolement + Solitude + Préoccupation excessive envers soi-même en dépit des autres

92
Q

quels est la force adaptative développé durant intimité VS isolement

A

capacité d’aimer
* Résolution adéquate de la crise permet –> l’ Épanouissement et l’Engagement dans une relation intime tout en se sentant sécure dans la relation
* Identité forgée à travers les 5 premières crises = assez solide pour y inclure une autre personne via la force de l’amour

93
Q

V/F Les enfants sont plus particulièrement vulnérables à la pauvreté durant les années charnières de la petite enfance de la naissance à l’âge de 5 ans.

A

V

94
Q

la pauvreté est associé à ___

A
  • augmentation du taux de fertilité
  • à des grossesses précoces (à l’âge adolescent) ou non-désirées
  • à être une mère monoparentale
95
Q

les F vivant dans la pauvreté sont plus susceptibles de quels comportements

A
  • de fumer
  • d’avoir de pauvres habitudes alimentaires et un faible niveau d’éducation
  • de s’engager dans des pratiques à haut risque et de rétrogradation
  • Dim. de la présence aux cours prénataux
96
Q

pendant la grossesse les F enceintes dans la pauvreté ont plus de risque de: ___

A
  • Vivre de multiples événements stressants (et le stress peut avoir beaucoup de conséquences - )
  • Être une mère seule
  • Grossesse durant l’adolescence
  • Pas d’emploi
  • Environnements plus peuplés et pollués
  • Beaucoup moins de ressources pour gérer les expositions
  • Plus haut niveau de stress
  • Ne pas assister aux cours prénataux
97
Q

Pourquoi la pauvreté peut mener à une augmentation du taux de prématurité, de RCIU, une mort néonatale ou infantile

A
  • plus haut taux de tabagisme maternel
  • une nutrition plus pauvre
  • une prévalence augmentée (chez la F enceinte) d’infections génito-urinaires.
  • Une augmentation de l’exposition de ces femmes enceintes à des stresseurs chroniques –> absence d’emploi, monoparentalité, support social restreint, problèmes financiers, etc.
98
Q

la prématurité et le RCIU sont des importants prédicteurs de ___

A
  • déficits de la fonction neurocognitive
  • d’un faible niveau de scolarité
  • d’un faible statut socio-économique.
99
Q

quels sont les impacts sur les enfants de vivre dans un milieu pauvre

A
  • mortalité infantile est ++ supérieur. Plsu grand risque de mort néonatale et post-natale
  • dév. cognitif retardé et performance scolaire difficile
  • moins bonne santé globale
  • pb de comportement chez les jeunes,
100
Q

les jeunes ayant des pb de comportement sont plus susceptible de: ___

A
  • Adoption de pratiques de rétrogradation de la santé
  • Santé faible à l’adolescence et à la période de jeune adulte
101
Q

la combinaison de faible SES et habitudes de vie en santé est associé à quoi:

A
  • Problèmes de comportement à l’adolescence
  • Décrochage scolaire
  • Mariage précoce, grossesse précoce et problèmes mentaux lorsqu’ils seront parents
  • Augmentation des taux de maladies communes
102
Q

comment médier au dév. cognitif retardé et les difficultés scolaire qu’un enfant vivant dans un milieu pauvre peut subir

A

ces aspects sont grandement médiés par:
- l’environnement physique et social dans lequel les enfants défavorisés vivent
- les caractéristiques maternelles
- l’environnement d’apprentissage à la maison
- les caractéristiques organisationnelles communautaires.

103
Q

quels autres caractéristiques trouvés chez la F vivant dans la pauvreté intéragisse avec les pbs de comportement des jeunes

A
  • Faible éducation
  • Santé maternelle difficile
  • Conflit marital
  • Famille monoparentale
  • Adoption de mauvaises habitudes de vie (ex : tabagisme)
104
Q

quelles sont les caractéristiques associés aux gens qui sont pauvres (en général)

A
  • Moins éduquées
  • Moins capable de faire face à des événements stressants de la vie
  • Ont accès à moins de ressources lorsque requises.
  • ex : Préparation inadéquate pour prendre soins d’un nouveau-né et d’un enfant
105
Q

quelles sont les caractéristiques des F qui ont un revenu faible

A
  • Plus de risque de tabagisme.
  • Plus de risque d’avoir de mauvaises habitudes alimentaires.
  • Plus bas niveau d’éducation.
  • Plus de risque de s’engager dans des pratiques à haut risque et de rétrogradation.
106
Q

quelles sont les interventions et programmes afin de réduire les conséquences reliés à la pauvreté (autant sur la Mère que sur l’enfant)

A
  • Formation précoce des parents
  • Visites prénatales et post-natales à domicile
    ■ Elles ont des effets positifs sur l’utilisation de services de santé et les comportements des parents. Toutefois, les bénéfices en termes de santé mentale et physique sont questionnables.
  • Visites éducatives post-natales avec un pédiatre
    ■ Améliorent les compétences parentales.
  • Programmes populationnels ciblant le support social –> Peu efficaces.
  • Programmes parentaux en groupe
    ■ Meilleures issues dans la santé mentale, puisqu’à court terme, ils diminueraient l’anxiété ou la dépression et augmenteraient l’estime de soi.
107
Q

quels sont les interventions sur le plan gouvernementale pour réduire la pauvreté des enfants/familles

A
  • bonifier le congé maternel/paternel
  • réduire l’écart de salire H-F
  • optimiser l’allocation canadienne pour enfants
  • créer un crédit de TPS supplémentaire pour les gens vivant sous le seuil de la pauvreté
  • améliorer le transfert social canadien
  • respecter le droit à la pension alimentaire des enfants
  • mettre en place un revenu de base
108
Q

Donner d’autres exemples de solutions/recommendations pour réduire la pauvreté

A
  • Apporter des modifications à la Prestation fiscale pour le revenu de travail (PFRT) pour en améliorer l’accès et bonifier les prestations.
  • Adopter un programme pour contrer le sous-emploi et renforcer l’équité en obligeant l’embaucher des personnes marginalisées et en leur offrant des formations préparatoires à l’apprentissage.
  • Empêcher le roulement d’emplois.
  • Mettre en oeuvre une stratégie de création d’emplois verts et conclure des ententes pour la création d’emplois locaux.
  • Créer des infrastructures sociales robustes, notamment pour les services de garde.
  • Augmenter le salaire minimum et instaurer un salaire minimum fédéral indexé en fonction de l’inflation.
  • Réviser et modifier le régime d’assurance-emploi, afin de donner un meilleur accès aux prestations et aux congés
    − La perte d’un emploi et la maladie sont des facteurs très stressants pour les travailleurs.
  • Augmenter les prestations d’assurance-emploi.
  • Réduire les disparités régionales de couverture en fixant la participation à 360 heures et en étendant la durée des prestations en fonction du pourcentage moyen de chômage.
  • Remplacer le supplément familial de l’assurance-emploi par un supplément au faible revenu basé sur le droit du cotisant aux prestations d’assurance-emploi.
  • Accroître l’accès à l’assurance-emploi à plus de familles.
  • Bonifier le programme d’assurance-maladie en couvrant les médicaments, les soins dentaires et divers services de réhabilitation.
  • Créé une indemnité de maladie de 26 semaines.
  • Prévoir 8 semaines de congé parental pour un 2e fournisseur de soins.
  • Redonner l’accès aux congés parentaux et pour raisons familiales aux travailleurs migrants.
109
Q

quelles sont les causes de la pauvreté chez les autochtones

A
  • Sous-financement systémique
  • Déni de services et de soutien pour les Autochtones
  • Génocide culturel
  • Discrimination systémique constante :
    − Eau non potable, logements à peine décents, séparation des familles, disparition des femmes et des filles, suicide chez les jeunes
110
Q

quelles sont les solutions afin de remédier à la pauvreté autochtone

A
  • Collaboration entre les gouvernements et les organisations autochtones pour prévenir, réduire et éliminer la pauvreté des enfants et des familles autochtones.
  • Respecter les promesses et les ententes des traités conclus avec les gouvernements des Premières nations.
    − En ayant la maîtrise de leurs ressources et en disposant d’une enveloppe globale de financement, les Premières Nations pourront élaborer des stratégies efficaces de réduction de la pauvreté ou actualiser des plans d’action.
  • Donner aux autochtones la maîtrise de leurs ressources et une enveloppe financière suffisante pour qu’ils établissent eux-mêmes des stratégies de réduction de pauvreté.
  • Donner suite aux 94 appels à l’action lancés par la Commission de vérité et de réconciliation et aux recommandations de la Commission royale sur les peuples autochtones
111
Q

définir les enfants de milieux marginalisés

A

Inclus les enfants de familles racialisées ou monoparentales dirigées par une femme, de familles autochtones, d’immigrants récents ou de famille ayant des incapacités.

112
Q

V/F Il y a plus de pauvreté chez les familles monoparentales dirigées par les femmes comparativement aux familles monoparentales dirigées par les hommes et les familles biparentales

A

V

113
Q

pourquoi les enfants marginalisés sont plus susceptibles de grandir dans des milieux pauvres

A

Discrimination systémique et exclusion (dans la recherche d’emploi, au travail, dans la location d’appartement, pour l’accès à l’eau potable, l’accès aux services éducatifs, dans le système de justice pénale, la protection de l’enfance et les services frontaliers)

114
Q

quelles sont les recommendations afin de réduire les enfants dans les milieux marginalisés

A
  • Appliquer les critères d’équité pour les emplois, de façon à ce que les parents qui font partie de groupes discriminés puissent avoir accès aux possibilités d’emplois.
  • Étendre la Loi sur l’équité en matière d’emploi du Canada pour inclure l’orientation sexuelle et l’identité de genre.
  • Accélérer l’adoption de mesures législatives pour l’égalité salariale homme-femme.
  • Augmenter l’accès au Crédit d’impôt pour personnes handicapées en le transformant en crédit remboursable.
  • Faire de la collaboration intergouvernementale et interorganisationnelle pour l’harmonisation des mécanismes pour évaluer et reconnaître les compétences et accélérer les procédures de reconnaissance des diplômes internationaux.
  • Remettre à jour et améliorer le Plan d’action canadien contre le racisme.
  • S’assurer que la loi fédérale sur l’accessibilité ait suffisamment de pouvoirs contraignants pour remédier aux obstacles dans les domaines où les besoins sont les plus grands.
115
Q

expliquer et décrire la résilience

A

○ Capacité à vivre, à réussir, à se développer en dépit de l’adversité
○ Capacité particulière à surmonter les traumatismes de la vie pour s’en sortir
○ Capacité d’une personne/d’un groupe à : Se développer bien et continuer de se projeter dans l’avenir en dépit d’évènements déstabilisants, de consitions de vie difficiles et de traumatismes parfois sévères

○ Selon Boris Cyrulnik…
■ Résilience = antidestin –> Processus complexe par lequel les blessés de la vie peuvent déjouer tous les pronostics
■ Pires épreuves de la vie = surmontables
■ Guérison = toujours possible car Nul n’est condamné au malheur

116
Q

pourquoi le stress a bcp augmenté chez l’enfant? quelles sont les sources de stress?

A
  • en raison de leur rythme de vie actuel et du stress qu’ils ressentent.
  • 2 peurs sont fréquentes chez l’enfant de tout âge : peur du danger et de la mort
117
Q

quels sont les 2 étapes de la rx d’un enfant à un évènement traumatisant

A
  1. Succession d’émotions (frayeurs, incrédulité, déni, chagrin et soulagement si les proches sont indemnes)
  2. Quelques jours ou semaines plus tard : signes de régression et détresse émotionnelle (anxiété, peur, isolement, perturbation du sommeil, pessimisme envers le futur, jeux liés à l’événement stressant).
118
Q

quels sont les types de facteurs de protection qui contribuent le plus à la resilience

A

type cognitif :
- Les enfants résilients tendent à démontrer des QI supérieurs à la moyenne et de bons mécanismes de résolution de problèmes. Leurs habiletés cognitives les aideraient à affronter l’adversité, à se protéger eux-mêmes, à adapter leurs comportements et à apprendre de leurs expériences.
type familiale
- Les enfants résilients entretiennent une relation d’attachement intense avec au moins un parent ou un autre adulte significatif (tuteur de résilience

119
Q

quels sont les fcts de protection les plus connues contre les évènements traumatisants

A

Tempérament et personnalité de l’enfant
* Soutien social
* Facteur de risque réduit

120
Q

décrire comment le tempérament et la personnalité de l’Enfant son protecteur contre les évènements traumatisants

A

Les enfants résilients s’adaptent facilement ; ils sont sympathiques, indépendants et sensibles aux autres. Ils sont compétents, ont une estime de soi élevée, sont créatifs, motivés et agréables à fréquenter. Ils réussissent à réguler leurs émotions en prêtant attention à autre chose quand ils subissent un stress.

121
Q

décrire comment le soutien social est protecteur contre les évènements traumatisants

A

Soutien social : Des parents chaleureux, des amis proches et le soutien des adultes aident l’enfant à se protéger. D’autres facteurs d’importance sont la sécurité alimentaire et financière et le fait de fréquenter une école ou un quartier stable et sécuritaire.
* Facteur de risque réduit

122
Q

décrire comment les fcts de risque réduit sont protecteur contre les évènements traumatisants

A

− Facteurs de risque réduit: discorde des parents, faible statut social, mère perturbée, père criminel, expérience en foyer d’accueil ou en établissement, etc.

123
Q

V/F Les enfants plus résilients ne sont pas affectés par les difficultés de la vie.

A

F, Les enfants plus résilients peuvent tout de même être affectés par les difficultés de la vie.
* En général, les enfants issus de milieux difficiles ont davantage de problèmes d’adaptation que ceux venant de milieux plus favorables.
* Les enfants les plus résilients peuvent ressentir une détresse intérieure susceptible d’engendre des conséquences à long terme.

124
Q
A