Alimentation Flashcards

1
Q

Quelles population sont à risque de tb alimentaire ?

A
Prématurés
Retard de développement et PC 
Tb du spectre de lautisme
Reflux gatro-oesophagien 
Malformations (ex. fentes labiales ou palatines)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Pourquoi est-il fréquent d’avoir des consultation tardive avec les tb alimentaires?

A

Pcq les parent sont une certaine tolérance avec les enfants qui refuse ou recrache la nourriture étant bébé… pense juste que leur enfant n’est pas rendu là encore… et après y a le terrible 2, où tu t’attend à ce que ton enfant soit difficile…

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Quels sont les impacts des tb alimentaires sur l’enfant

A

Carence nutritionnelle (anémie)
Déficit de croissance, développement, énergie..
impact sociaux…

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Quels diff. pourraient être rapporté par les parents qui consulte

A

o Positionnement
o Manque d’autonomie (encore au biberon, mais difficulté transition vers paille/verre)
o Comportements problématiques lors des repas
o Difficultés à boire au verre (voir chapitre Marcus et Breton)
o Difficultés à manger proprement, contrôle salivaire
o Difficultés de mastication
o Dysphagie confirmée ou suspectée (Enfant respire et ça fait un ronronnement)
o Refus/sélectivité alimentaire
o Difficultés/refus à transiter vers les purées/aliments solides
o Difficultés/refus à transiter vers les purées/aliments solides
o Transition alimentaire entérale  alimentation orale
o Faciliter la prise de médicaments

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Quels sont les classifications des prob alimentaires

A
  1. Problèmes alimentaires d’origine sensorielle
    o Causes diverses
    o Présentation clinique
    o Stratégies d’interventions
  2. Les problèmes alimentaires d’origine motrice (phase orale)
    o Présentation clinique et stratégies d’interventions
  3. Les problèmes alimentaires de la phase pharyngée (déglutition)
    o Présentation clinique
    o Stratégies d’interventions
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Quels sont les différents diagnostics compris dans les trouble de l’alimentation ou de l’ingestion des aliments ?

A
  • Pica (manger des choses non comestibles (copeaux de bois, sel à déglacer en hiver, etc.) Ne pas mélanger avec la phase d’exploration orale)
  • Mérycisme (font remonter la nourriture et la ravalent (ruminage))
  • Restriction ou évitement de l’ingestion d’aliments
  • Anorexie mentale
  • Boulimie
  • Accès hyperphagiques (Binge-eating disorder)
  • Autre trouble de l’alimentation ou de l’ingestion d’aliments spécifié
  • Trouble de l’alimentation ou de l’ingestion d’aliments, non spécifié
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Qu’est-ce que le tb de restriction ou d’évitement de l’ingestion des aliments (TRÉIA) selon le DSM

A

A. Une perturbation persistante de l’alimentation qui se manifeste par l’incapacité à rencontrer les besoins caloriques et/ou nutritionnels en association avec un ou plusieurs critères suivants :
o Perte significative de poids (ou aplanissement de la courbe chez les enfants)
o Carences nutritionnelles significatives
o Équilibre maintenu par alimentation entérale ou suppléments nutritionnels (quantité de supplément excède la quantité de nourriture)
o Impact psychosociaux
Exemples de perturbations persistantes (DSM-5) : manque d’intérêt, évitement en lien avec les propriétés sensorielles des aliments, craintes en lien avec des traumatismes liés à l’alimentation
D. Ne s’explique pas par dx santé mentale
TRÉIA seulement si critères répondus et requiert interventions spécifiques
• Trouble anxieux généralisé
• Trouble d’anxiété sociale (Phobie sociale)
• Trouble obsessionnel compulsif (TOC)
• Trouble du spectre de l’autisme (TSA)
• Trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH)
• Déficience intellectuelle

D. Ne s’explique pas par condition médicale
TRÉIA seulement si critères répondus et requiert interventions spécifiques, au-delà du tx médical
• RGO
• Allergies/intolérances alimentaires
• Maladie coeliaque
• Maladie de Crohn
• Troubles gastro-intestinaux (rend l’alimentation désagréable et ne veut plus manger)
o digestion lente, constipation chronique, colon irritable,..
• Retards oro-moteurs/dysphagie

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Queel hypothèses nous démontre le modèle tridimensionnel de Thomas et al. 2017

A

Que le tb de restriction ou d’évitement de l’ingestion des aliments (TRÉIA) aurait des prédispositions neurobiologiques :

  1. Hypersensibilité (supertasters: seuils discrimination, perception goûts et odeurs)
  2. Expériences traumatiques/anticipation négatives exagérées (vulnérabilité psychophysiologique à développer une peur phobique) (ex. enfant a été malade = mal à la gorge, alors refuse de manger)
  3. Pauvre intérêt/appétit (centres de régulation de l’appétit, faim et satiété)

et que tu peux avoir un mélange de deux ou trois catégories et donc les réactions de l’enfant seront alors différentes.

ex. Les stratégies utilisées pour la texture ne fonctionnent pas pour les gens qui ont du dégoût envers une sorte de nourriture. Quand tu forces la personne, tu fais juste l’écoeurer avec le temps

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Nommez des impacts psychosociaux du TREIA

A
  • Intégration en garderie/à l’école/travail
  • Isolement (si l’enfant doit toujours manger un repas fait à la maison, les parents ne vont plus manger chez leurs amis).
  • Jugement des autres
  • Nuit ++ à l’établissement d’une routine familiale (ex. si les parents allaient au resto les vendredis soirs mais que ça ne marche plus avec l’enfant).
  • Relations interpersonnelles, échanges
  • Conflits familiaux (parents ne s’entendent: forcer, ne pas forcer, laisser manger ce qu’il veut…)
  • Stress et appréhensions (ex. enfant ne mange que des sandwichs au beurre d’arachide et c’est refusé à l’école).
  • Famille réduit son propre répertoire alimentaire
  • Famille doit faire repas différent
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Comment se développe et évolue le TREIA

A

• Se développe, le plus souvent, petite enfance ou âge scolaire, mais peut persister à l’âge adulte
o Études rétrospectives: aménorrhée, bradycardie, retards croissance, carences
• Lien avec survenue ultérieure d’un trouble de l’alimentation (ex: anorexie) peu démontré
• Interaction parent-enfant, tempérament de l’enfant peuvent contribuer au problème (rare)
• Peut exacerber des phénomènes associés (ex: irritabilité, retards dév.)
• Fonctionnement social des enfants, ados et adultes affecté

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Que faire avec une demande de service pour une jeune de 11 ans qui a peu d’appétit aux repas. Il lui arrive
fréquemment de refuser de manger des aliments de son
répertoire parce qu’ils n’ont pas exactement l’aspect, la forme, la température ou le goût auquel elle s’attend. EIle
peut boire du lait sans restrictions et il lui arrive de manger
des Tostitos en cachette. Lorsque je lui demande ce qu’elle
aimerait améliorer lors des repas, elle réponds : «enlever
mes peurs, mes phobies avec la bouffe».

A

indices moteurs? sensoriels? cognitifs? environnemental?

creuser sur ses peurs/ phobies/ est ce qu’il y a eu un trauma?
c’est quoi l’horaire de repas? les moments où elle mange en cachette?
tests/ faire une liste avec ses préférences pour voir au niveau senso
quand est ce que ça a commencé? habituellement c’est neuro ça peut être acquis
comme dans les cas de reflux ça peut fausser un peu la perception
il devrait y avoir d’autres indices (au brossage des dents…)
il va y avoir des signes dans l’histoire alimentaire
on peut lui poser beaucoup de questions vu qu’elle a 11 ans
voir les conclusions du pédiatre et de psychologue

Mathilde: forme? couleur? manque d’appétit? en lien peut être avec médication?
ou un manque de régulation (horaire). Traitement cognitif, ses peurs et ses pensées

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Que faire avec une demande de service pour un jeune de 3 ans accepte à peu près le même repas que sa famille, s’il
est en purée. Les parents ont essayé à plusieurs reprises
d’introduire des morceaux ou d’augmenter la texture de ses
purées mais cela provoque de vives réactions d’aversion et des haut le coeur. Les parents alimentent David à la cuillère.
Le garçon boit son lait au biberon seulement, souvent
couché sur le divan du salon, en tenant la main de son
parent. La maman l’allaite avant la nuit et l’enfant dort au
salon.

A

signes sensoriels: haut le coeur, morceaux provoque des réactions, difficulté gestion de la texture peut être visuel pas la même chose les morceaux et la purée

allaitement= multi-senso

patron bas dans le niveau de développement: allaiter, purée, nourri par les parents

Autre que TSA? on pourrait voir les habiletés oro-motrices

entrevue avec parents, observation d’habiletés

Pas capable de tenir ustensiles, capacités motrices?
TSA= ttt cognitif est surement différent, comment il manifeste sa faim?

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Quels facteurs de la personne qui sont pertinent à évaluer pour mieux comprendre la causes, les contributeurs possibles aux prob alimentaires ?

A

Niveau d’éveil mal ajusté (avant-durant-après repas)

Faible contrôle / tonus postural

Problèmes oro-moteurs / moteurs global / moteurs fin

Problèmes tx infos sensorielles

Problèmes gastro-intestinaux

Problèmes cardio-respiratoires

Malformations (prob. structures)

Problèmes déglutition

Dysrégulation/manque d’appétit ou de sommeil

Comportements inappropriés

Tx cognitif, connaissances, compréhension (ex: DI, TSA)

Tempérament difficile

Stade de développement (ex: néophobie normale)

Communication difficile (ex: faim-satiété-inconfort-détresse?)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Quels facteurs de l’environnement qui sont pertinent à évaluer pour mieux comprendre la causes, les contributeurs possibles aux prob alimentaires ?

A

SOCIAL
Attentes/exigences mal ajustées (ex: rôles parents vs rôles enfant)
Habitudes alimentaires de la famille: écart significatif avec l’enfant
Ambiance / Relation conflictuelle ou anxiogène
Valeurs / croyances en conflits avec la situation actuelle aux repas
Contraintes financières
Stratégies d’intervention mal ajustées
Mauvaise perception / interprétation des signaux de l’enfant
Rythme trop lent / rapide
Certains aliments ne sont pas autorisés par le contexte (ex: arachides en CPE)
PHYSIQUE
Positionnement / Couverts non-optimaux
Texture des aliments présentés non-optimale
Sur / Sous-stimulation

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Quels facteurs de l’occupation qui sont pertinent à évaluer pour mieux comprendre la causes, les contributeurs possibles aux prob alimentaires ?

A

Peu d’opportunités d’apprentissage liées à l’alimentation (ex: exposition, achat, préparation),

Répertoire alimentaire restreint, lié ou non au contexte

Mange seul / rarement en famille

Horaire-Routines repas et collations non-optimaux

D’autres activités nuisent à la participation / engagement aux repas

Problèmes alimentaires actuels nuisent à la participation à d’autres activités signifiantes ou
essentielles

Retard d’autonomie

La situation actuelle est dangereuse ou constitue un risque important pour la santé de l’enfant

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Décrire le processus d’éval..

A

Processus d’évaluation

  1. Lecture dossier/évaluations antérieures
  2. Questionnaires/entrevue
  3. Observations de repas-collations
  4. Évaluation clinique ciblée
  5. Expérimentation (ex: stratégies)
  6. Analyse des données
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Quoi savoir en entrevue avec parents..

A

Entrevue aux parents/proches
• Description de la problématique alimentaire et de ses impacts
• Attentes/priorités
• Histoire alimentaire
• Évaluations/Suivis passés et actuels
• Santé générale, diagnostics, croissance
• Appétit, préférences, réactions aux aliments
• Menu, horaire, routines, contextes de repas
• Stratégies, valeurs, croyances
• Antécédents familiaux
• Profil de l’enfant en dehors des repas
• Autres habitudes de vie

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Quels sont les questionnaires de dépistages qui nous permettent de départager les problèmes transitoires et dans conséquences des problèmes important?

A

o Eating Disorders in Youth-Questionnaire (EDY-Q) (8 à 13 ans)
 Questionnaire auto-administré
 Pour TRÉIA-ARFID.
o Behavioral Pediatrics Feeding Assessment Scale (20 mois à 85 mois)
 Traduction française et validation culturelle
 Acceptable à bonne sensibilité et bonne à excellente spécificité
o Échelle d’alimentation-HME / The MCH-Feeding Scale (6 mois à 6 ans)
 Bonne sensibilité et spécificité (Sanchez et al., 2015)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

Nommez dautres éval…

A

• Pediatric Eating Assessment Tool (PediEAT) - Full version
o 6 mois à 7 ans, existe aussi en version dépistage
o 77 questions, 4 catégories (Physiologic Symptoms, Problematic Mealtime Behaviors, Selective / Restrictive Eating, Oral Processing)
• Neonatal Eating Assessment Tool – Breastfeeding (NeoEAT – Breastfeeding)
o Bébés (7 mois et –) allaités, existe aussi en version dépistage
o 62 questions, 7 catégories (Infant Regulation, Energy & Physiologic Stability, Oral- Pharyngo-Esophageal Function, Gastroesophageal Function, Feeding Efficiency & Sensory Responsiveness, Compelling Symptoms of Problematic Feeding)
• Neonatal Eating Assessment Tool – Bottle feeding (NeoEAT – Bottle feeding)
o Bébés (7 mois et –) nourris au biberon, existe aussi en version dépistage
o 64 questions, 5 catégories (Infant Regulation, Energy & Physiologic Stability, Gastrointestinal Tract Function, Sensory Responsiveness, Compelling Symptoms of Problematic Feeding)
• Child Oral and Motor Proficiency Scale (ChOMPS)**
o 6 mois à 7 ans
o 63 questions, 4 catégories (complex movement patterns, basic movement pattern, oral-motor coordination, fundamental oral-motor skills)
• Family Management Measure of Feeding (FaMM Feed) **

o 0 à 18 ans
o 49 questions, 2 sections (everyone, partnered parents)
• Impact of Feeding on Parent and Family ***
o 0 à 18 ans32 questions, 2 catégories (impact on family, impact on parent)
• Le Profil alimentaire / Eating Profile (Nadon, 2007) (Sur studium)
o Versions initiales pour une étude auprès d’enfants autistes
o 143 questions, 10 catégories (Histoire alimentaire, État de santé, Histoire alimentaire de la famille, Comportements de l’enfant lors des repas, Préférences alimentaires, Autonomie en lien avec l’alimentation, Comportements hors de la période des repas, Impact sur le quotidien, Stratégies utilisées pour résoudre les difficultés rencontrées lors des repas, Habiletés de communication et d’interaction)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

Comment évaluer les préférences alimentaires?

A

i nombre très restreint, répertorier:
• Les aliments: acceptés-préférés-détestés-difficiles-autrefois acceptés
• Les aliments prioritaires pour les parents
Pour un portrait complet:
• Préférences alimentaires et participation occupationnelle aux repas (PAPOR) (Nadon, Tessier & Crépeau 2019) (mesurer le type de textures, est-ce que l’aliment est mangé souvent ou rarement)
• Anciennement connu sous La liste des aliments (Nadon, 2010) (sur StudiUM)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

Comment évaluer le tx de info sensorielles et leur impact sur l’alimentation

A
  • Oral Hypersensitivity Scale (Beckman, 2004) PDF accessible en ligne
  • Oral Sensitivity Scale (Weir & Dodrill 2005) PDF accessible en ligne
  • Questionnaire de la sphère sensorielle de l’alimentation (QSSA)
  • Profil sensoriel-2 (Dunn) (pas tant conseillé, car trop général)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

Quels outils peuvent soutenir l’observation de repas?

A

(conseillé de filmer durant la séance d’observation pour pouvoir revoir les détails qu’on a pu manquer)
• Occupational Therapy Clinical Feeding Assessment Form
o Disponible dans le livre Infant and Child Feeding and Swallowing Occupational Therapy Assessment and Intervention (Marcus & Breton, 2013)
• Early Feeding Skills (EFS) Assessment
o Outils d’observation clinique pour l’allaitement et biberon (7 mois et -)
o Disponible gratuitement sur demande: http://feedingflock.web.unc.edu/?page_id=461
• Schedule of Oral Motor Assessment (SOMA) (Reilly et al., 2000)
o Évaluation standardisée des habiletés oro-motrices pour les 6-24 mois
o Peut être emprunté à la bibliothèque UdeM
• Developmental Pre-Feeding Checklist
o Disponible dans le livre Pre-feeding skills: a comprehensive resource for mealtime development (Morris & Klein, 2000)
• Neonatal Oral-Motor Assessment Scale (NOMAS) (Palmer et Braun, 1988)
o Pour les prématurés
En contexte de groupe (ex: CPE, garderie)
• Building Mealtime Environments and Relationships Inventory (BMER) : An Inventory for Feeding Young Children in Group
Settings.
• 2 à 5 ans
• 12 thèmes regroupées en 3 catégories

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

Quels sont les critères pour mettre fin au suivi en alimentation

A
  • Mange des aliments de tous les principaux groupes d’aliments (fruits ou légumes, céréales, aliments protéinés et produits laitiers) régulièrement (par exemple, tous les groupes d’aliments plusieurs jours [par exemple, 2 à 3] par semaine).
  • N’est plus dans la catégorie en sous-poids (basé sur une évaluation clinique individualisée), la croissance en hauteur et le développement physique (par exemple, la maturation) ont repris.
  • Pas de carences nutritionnelles
  • Pas plus d’un supplément nutritionnel par jour
  • Ne plus éviter, nécessiter des accommodations majeures ou éprouver de détresse importante lors de situations de repas dans des situations sociales.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

Comment le TSA peut-il influencer l’apprentissage de l’alimentation?

A

2 grands profils
1) Ceux qui sont extrêmement difficiles en raison d’une plus grande réactivité sensorielle
2) Ceux qui ont une « sélectivité alimentaire typique » mais dont les comportements sont exagérés.
(il est normal qu’un enfant dise ah non pas encore ça ou qu’ils refusent de manger leur assiette… mais un comportement exagéré serait de hurler ou lancer son assiette par exemple)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Q

Comment expliquer que les enfants TSA font des associations erronnées qui influence leur alimentation

A

« Quand on est autiste, tout entre par les yeux, que ce soit le toucher, l’image ou le son. Les informations qui entrent sont traitées une à la fois par un cerveau qui ne traite que ce qu’il reconnaît avoir déjà vu et auquel il a pu associer un schéma de réaction. » (exemple de la pomme)
Ils peuvent inclure dans leur compréhension d’un aliment:
• Les personnes
• Les lieux
• Les moments
• Les assiettes ou les contenants
• Un goût spécifique
• Une quantité donnée
• Leur compréhension des mots
• Une expérience vécue ou entendue
Ils peuvent avoir mal compris ce qu’est une situation de repas: Ils ne reconnaissent pas les indices, variables, qui accompagnent une situation de repas
• Repas –> nourriture «comestible»
• Où? Quand? Quoi? Combien? Comment? Fin?
N’ont pas fait le lien avec la faim

26
Q

Quels pourraient être des objectifs généraux pour l’alimentation

A
  • Améliorer la participation et l’engagement aux repas
  • Diminuer les comportements indésirables aux repas
  • Augmenter le répertoire alimentaire régulier
  • Développer les habiletés oro-motrices requises pour manger les aliments attendus pour son âge développemental
  • Améliorer l’autonomie au repas
  • Diminuer suffisamment l’anxiété et l’hyperréactivité face aux aliments moins familiers pour pouvoir leur goûter régulièrement.
  • Que les parents et les proches se sentent outillés pour faire face aux difficultés alimentaire de leur enfant et pour pouvoir l’aider à développer une relation positive et d’ouverture avec les aliments
27
Q

Nommez diff approches et moyens d’intervention

en alimentation

A

• Enseignement aux proches
• Exposition graduée / désensibilisation systématique
• Modifications de l’environnement ou de la tâche*
• Exercices ciblés (oro-moteurs, sensoriels)*
• Approches sensorimotrices*
• Approche d’apprentissage moteur*
• Approches comportementales
• Approches cognitivo-comportementales
* = voir chapitre 4 (lecture)

28
Q

Concernant le rôle du parent, nommez différentes méthodes pour favoriser l’alimentation

A

• Quand, Où, Quoi, Comment
o Quand : (S’assurer d’avoir une certaine prévisibilité, car c’est ce qui construit l’appétit de l’enfant)
o Quoi : (L’enfant n’a pas le désir de manger équilibré, il veut manger quelque chose de bon, il n’a pas la notion de manger un peu de chaque groupe alimentaire non plus… Il faut que ce soit le parent qui décide, car ça ne viendra pas tout seul).
Quoi = aliments offerts
Connaître les préférences de l’enfant
• Propriétés communes des aliments préférés?
• Sélectionner des aliments susceptibles de lui plaire
Présenter une plus grande variété d’aliments appréciés par l’enfant.
• Ex: plusieurs groupes alimentaires - combinaisons variées - marque © - forme - couleur - saveur - texture - température
Exposer plus souvent et de façon plus constante l’enfant à des aliments «non-préférés».
Ne pas utiliser les aliments comme renforçateurs
Attention de ne pas mettre le dessert sur un piédestal… pour réussir à faire manger ses brocolis par exemple. Le brocolis transparait comme une punition et le dessert est super super important pour l’enfant.
Attention aussi de ne pas utiliser les aliments aimé tout au long de la journée comme source de renforcateur, car ça peut faire grignoter l’enfant tout au long de la journée, ce qui peut nuire à l’appétit.

o Comment : Comment il va présenter la nourriture : des fois il y a des habitudes du parent qui vont se créer… Ex. : le saumon est toujours servi de la même façon avec les mêmes accompagnements. L’enfant a aussi besoin de voir autre chose ; différentes associations!
• Être un bon modèle (modeler des stratégies de comment on peut gouter, de comment on mastique, etc. Ne pas donner des commentaires tels que ça c’est bon et ça ce n’est pas bon)

29
Q

Quel est le rôle de l’enfant dans son alimentation

A
  • Oui vs non (est-ce que je le met dans ma bouche ou je ne le met pas dans ma bouche, je l’avale ou je ne l’avale pas?)
  • Combien (décide quand est-ce qu’il arrête, essayer de ressentir quand est-ce qu’on est plein et qu’on arrête de manger)
  • Apprendre
30
Q

Quels éléments sont à considérer dans les préférences de l’enfant

A

Au niveau des préférence : pour chaque aliment/liquide, les classer par couleurs fades/de terre; couleurs vives; goûts; formes.

31
Q

Quels éléments sont à considérer pour avoir un portrait de la situation problématique ?

A

Au niveau de la situation problématique
- L’aliment en question, la marque, la forme, l’endroit du repas, avec qui se passe le repas, contextes favorable, contexte de refus.

32
Q

À quoi faire attention avec les cahier de communication ?

A

Ne pas utiliser le cahier de communication de façon incompatible avec les rôles respectifs du parent et de l’enfant au repas
• Attention aux cahiers qui deviennent des menus de restaurant!!
• OK d’offrir des choix limités à l’enfant
• Pas mettre items non-appréciés dans le cahier de comm. Les mettre plutôt à l’horaire (car imposés) ou dans le tableau de choix (ex: pour choisir le moins pire).
(ex. au repas c’est un aliment décidé par le parent mais au dessert, on donne deux choix à l’enfant)

Approche comportementale peut fonctionner : Ex. tarentule et 1 million… mais il faut que la récompense en vaille la peine…

33
Q

À quoi sert la rotation des menus

A

La rotation de menu c’est aussi pour que les parents fassent pas toujours les mêmes associations entre les aliments (ex.: toujours servir du saumon avec du riz), mais qu’ils alternent les différentes associations et j’avais aussi noté à cette diapo, que certains enfants TSA n’aiment pas que les aliments se touchent donc on peut penser à des assiettes avec séparateur un peu comme dans l’image.

34
Q

Comment appliquer l’exposition graduée / désensibilisation systématique

A

Lentement et graduellement (de façon systématique) introduire de nouveaux aliments et des aliments non-préférés par l’enfant
• Distal → proximal (avoir le plat de tarentules sur la table loin de soi, puis le rapprocher, puis l’avoir devant soir)
• Aliments préférés → aliments plus anxiogènes
• Pairage ou atténuation (ex. rajouter ketchup et atténuer le gout, manger avec autre chose)
• Transition ou alternance (ex. prendre une bouchée de quelque chose qu’on aime pas et alterner avec autre chose ou un grand verre d’eau par exemple).

35
Q

En ordre, comment appliquer le distal à proximal, selon le modèle de Ernsper et stegen-hansor.

A
Aucune intéraction
Tolérer
Intéragir/sentir
Toucher
Gouter
Manger
Séance d'exploration des aliments
- en thérapie 
- avec parent
- sous forme de jeux
en dehors des repas
selon tolérance de l'enfant
36
Q

Comment appliquer la gradation selon la hierarchie de l’étude de Cosbey et Muldoon

A
Toucher avec un outil 
toucher avec la main 
toucher avec le visage
toucher avec la lèvre
toucher avec les dents
toucher avec la langue
promener l'aliment dans la bouche
recracher l'aliment immédiatement
recracher après qq secondes
mastiquer 1x + recracher
Mastiquer plusieurs fois+ Avaler une petite boucher
37
Q

Quel précautions prendre lors du pairage ou l’atténuation

A
  • Ne doit pas être fait à l’insu de l’enfant (si l’enfant le détecte, il pourrait ne plus jamais manger de l’aliment pairé)
  • Prudence si le parent mentionne que l’enfant détecte tout changement ou sensible aux marques de commerce
  • Ne pas modifier l’alimentation de base
38
Q

Qu’est ce que la chaine alimentaire

A

On part de ce que l’enfant aime vraiment et on intègre des aliments qui ressemblent de plus en plus pour élargir le répertoire de l’enfant.
ex. macaronie au from—autre pâtes avec meme mélange—-pates avec sauce rosée—–pâte avec sauce tomate—-pâtes avec sauce à la viande

39
Q

Au niveau de l’environnement et de la routine, quelles interventions d’adaptation sont pssibles ?

A

• Modifier les stimuli environnants pour modifier éveil (voir lecture)
• Endroits désignés et constants
• Distinguer les moments de table (ex: devoirs, repas, collation, jeux,…)
• Chaise adaptée à la taille de l’enfant
• Adultes et enfants ensembles
• Retirer les distractions : ex: rendre TV/tablette «non-disponibles» durant au moins 30 minutes
• Est-ce que la situation de repas est claire/compréhensible pour l’enfant? (qu’a t-il besoin de savoir?)
o s’inspirer de sa façon de comprendre d’autres situation
o avant - début – milieu- fin – après OU avant/après
o quand -où-quoi – combien – comment (vitesse, ustensiles,…)- pourquoi (motivation)

40
Q

Quels habiletés l’enfant doit avoir a/n oro-moteur et sensorielle (voir lecture aussi)

A

• Recracher
o Question de sécurité. Si un enfant arrive à sortir un aliment, il y a moins de chances qu’il s’étouffe. Aussi demande beaucoup de coordination motrice de manipulation de la nourriture dans la bouche pour la recracher. Important de délimiter cela dans le contexte (enfant ne crache pas n’importe quand).
• Force/stabilité de la mâchoire
o Une mâchoire et une posture stable vont favoriser la mobilité de la langue
• Mobilité/force de la langue latéralisation, élévation, nettoyage, lécher
o Une mastication d’un solide demande de la latéralisation de la langue.
• Mobilité/force des lèvres (aide à ce que la nourriture reste dans la bouche, aide à nettoyer la cuillère)
o Arrondissement des lèvres
o Pincement des lèvres (utiliser des sifflets)
• Mobilité/force des joues
• Conscience dans la bouche (travaillé avec des enfants de plus haut niveau)

41
Q

Réflexe nauséeux vif (Gag reflex)

Causes possibles ?

A

coordination et timing, hyperréactivité, structurelle, communication, émotion Traitement:

42
Q

Réflexe nauséeux vif (Gag reflex)

A
  • Augmenter la prévisibilité
  • Donner plus de contrôle à l’enfant
  • Désensibilisation
  • Développer habiletés motrices
  • Distractions, ignorance intentionnelle
  • Rythme/volume des bouchées
43
Q

Quels sont les exercices pour apprendre à recracher (sécurité)

A

Au début : recracher quelque chose à partir des lèvres, devant de la langue, joue, etc. Travailler avec des textures fondantes pour que ce soit sécuritaire. Graduer la grosseur des morceaux à recracher.

Tenir un batonnet entre les lèvres ou les dens puis la propulser dans divers bols pour émettre des sns différents

44
Q

Quels sont les exercices pour la forrce et l’endurence de la mâchoire

A

croquer et stabiliser sur place. ex. jouer au chien et essayer d’enlever un morceau de la bouche.
faire des gros bruits de mastication (on essaie de réveiller papa!) avec des solides fondants.

45
Q

Quels sont les exercices pour la mobilité et la force de la langue ?

A

demander à l’enfant d’aller toucher la dent ou la partie de la bouche touchée (brosse à dent, nuk, V vibe)

L’enfant mange graduellement le bâtonnet tenu sous ses molaires supériures (paille de légumes)

Lécher son assiette comme un petit chat, léchr ses doigts, un ustensile (sirot, yogourt, confiture, crémage, beurre de soya)

46
Q

Quels sont les exercices pour la force et mobilité des lèvre

A

Essayer de tenir la céréale entre les lèvre (au centre ou en latéral) alors que l’adulte tire le fil sur lequel est enfilé la céréale (soie dentaire + céréale anneau )

Nettoyer le bâtonnet sans utiliser ses dens (bâtonnet de bois + miel, beurre de noix)

47
Q

Quels sont les exercices pour la force des joues

A

Jouer à faire dedrôles de pets en poussant plus ou moins rapidement sur ses joues préalablement gonflées d’air

Faire sortir petit à petit un liquide

faire des billes

souffler des ouates

48
Q

Quels sont les exercices pour la conscience à l’intérieur de la bouche

A

Écouter et ressentir la poudre qui pétille dans la bouche au contact avec la salive ( bonbns pétillants)

Mettre un aliment et deviner c’est quoi (doit le promener pour le reconnaitre (céréales de formes ou de saveurs diff.)

49
Q

Quoi, pourquoi et comment faire des interventions comportementales ?

A

C’est l’adulte qui contrôle ce qui est consommé
• Objectifs: qt & variété d’aliments, diminuer comportements indésirables
• Efficacité démontrée en recherche
o Renforcement positif + prévention de la fuite
o Environnement contrôlé surtout
• Prudence: «Prévention de la fuite/Escape extinction» difficile à doser
o Peut aggraver la situation si mal appliquées

Interventions inspirées des approches cognitivo- comportementale
Peut être utilisé avec les enfants plus vieux (métacognition)
Vise à permettre acquisition d’une nouvelle séquence comportementale non-pathologique
• stimulus/perception  interprétation/pensées  émotions  comportements
Les principales techniques de la TCC peuvent s’appliquer
• Psychoéducation, techniques physiologiques, techniques cognitives, exposition graduée

50
Q

quels concepts sont important à enseigner à un enfant ?

A
  • Différentes présentations d’un même aliment
  • Le repas n’est pas toujours prêt au moment où je le veux
  • Je ne peux pas manger toujours (du spaghetti)
  • Les goûts peuvent changer avec le temps
  • Repas vs collation
  • Assis vs debout
  • Quantité
  • Chaud vs froid
51
Q

Selon la lecture de Marcus pourquoi est-il important d’introduire des aliments à défi au début du repas ou à la collation avec des enfants hypersensible à la nourriture ?

A

Pour éviter les gag ou les vomissures puisque l’enfant à l’estomac moins plein et le parent à moins de pression de vouloir éviter la perte de ‘intake’ Ceci est très frustrant pour les parents de voir leur enfant régurgiter le seul intrant de nourriture de la journée…

52
Q

Selon la lecture de Marcus comment donner plus de control à l’enfant durant la prise de repas ?

A

Vérifier les signaux non verbaux pour ne pas pousser l’enfant à manger lorsqu’il communique un refus.

Durant l’alimentation à la cuillère, placer la cuillère contre la lèvre inférieur ou supérieur et attendre que l’enfant tète le liquide ou la nourriture dans sa bouche

Positionne l’enfant droit pour qu’il puisse controler le bolus au lieu que la gravité le lui oblige.

Placer la nourriture dans la cavité buccale (à coté des molaires) réduit les réflexes nauséeux (que si placé sur la langue). L’enfant à le controle pour déplacer la nourriture dans sa bouche et dans son temps.

Si possible, laisser l’enfant se nourrir soi meme. laisser le mordiller ses jouets de mastications en appliquant un peu de nourriture dessus..

53
Q

Selon la lecture de Marcus, comment distinguer un étouffement d’un réflex nauséeux..

A

le réflex nauséeux est un rééflex de protection qui survient avec la stimulation de la langue et les régions pharyngées. elle est caractérisé par un abaissement de la mandibule + mvts d’avancement et abaissement + constriction pharyngé et palais. CE RÉFLEX NE CONCERNE PAS LA RESPIRATION DONC PAS DANGEREUX
Souvent les parents pense que leur enfant à une difficulté à avaler. Si tel est le cas, le réflex nauséeux aurait lieu après avoir avalé! si le bolus est toujours dans la bouche, on doit se retourner vers l’hypothèse d’une hypersensibilité.

54
Q

Selon la lecture de Marcus, quels sont les interventions pour les problématiques sensitives.

A

Encourager la stimulation oral non nutritive
Introduire la stumulation NUTRITIVE même si la non nutritive est pas encore toléré! (pcq la stimulation non nutritive peu être plus difficile que les premières étapes nutritives).
Trouver un bon point de départ (avec un aliment/liquide et une méthode toléré)
Faire un changement à la fois
Faire les changements de façon graduelle
Éviter les purée texturée de grumaux ou mix
Augmenter les input sensoriels de liquide et aliment (pour les hypo: permet de savoir quest ce quils ont dans la bouche et où et augmente l’éveil (épicé etc).
Introduire les aliments moins désiré en début de repas ou à la collation
Enseigner aux parents la différence entre le réflex nauséeux et l’éttouffement.
Réagir de façon approprié au gaging : rassurer l’enfant pour pas associé gag avec peur. Si l’enfant gag, essai de lui donner un mins une dernière bouché pour pas que ce soit associé à ‘la fin du repas”.
Donner du contrôle à l’enfant
Enseigner les habiletés de mastication

55
Q

Selon la lecture de Marcus, est ce qu’un jouet est approprié à la table ?

A

Oui, mais que pour les enfants avec défense oral ou gag hypersensible. puisque la distraction pour les aider à tolérer les stimuli intra oraux plus intense.

56
Q

Selon la lecture de Marcus, Quelle est la fenêtre où l’enfant est prédisposé au développement de la tolérance aux textures

A

6 à 7 mois !

57
Q

Selon la lecture de Marcus, les difficultés oro-motrices peuvent être causé par un retard de la motricité globale et d’autres déficit moteur. Sachant cela, quels éléments doivent être à considérer pour assurer le développement des habiletés ?

A

Le control de la tête et du tronc: car affect l’alignement des structures oro-motrice!
Assurer une maturité du patron de tétage (pour renforcir les muscles péri oraux.

58
Q

Selon la lecture de Marcus, quoi faire pour assister l’enfant avec retard dans l’initiation d’avaler.

A

Utiliser des aliments plus épais, mais pas collant
(plus de temps pour répondre pcq l’aliment prend plus de temps à descendre)

Position droite: évite les risque que le bolus se rende trop vite dans le pharynx

Augmente le input sensorielle (aliment avec un gout prononcé) augmente le niveau d’éveil et la conscience de l’aliment dans la bouche

Support externe physique: assite la lèvre et fermeture de la machoir avec ton pouce et l’index pour incité la langue et fermer la bouche

59
Q

Selon la lecture de Marcus, nomme les interventions pour éviter l’étouffement sur les morceaux solides

A
  1. avoir des attentes réalistes :aliment approprié pour âge développemental.
  2. choisir des aliments qui match les habiletés oro motrices
  3. Enseigner des habiletés oro motrices
60
Q

Selon la lecture de Marcus, pourquoi les enfants avec des déficits oro moteur pourrait se bourrer la bouche ? et quoi faire ?

A

pour compenser leur déficit de control : lorsque la bouche est pleine, besoin de moins de mouvement de la langue pour bouger le bolus et le macher et avaler. de plus petits morceaaux demandent plus de mouvements
Intervention:
- Controller la quantité de nourriture: risque d’éttouffement si bouche pleine et morceaux part précocément dans le pharynx donc assurer que la cavité oral est vide avant d’en redonner.
- Choisir des aliments appropriés. donner des aliments plus difficile au début du repas, mais poursuivre ou finir avec plus facile pour conserver de l’énergie. ces enfants ont souvent moins de force et endurance donc meilleur control tout au long du repas si difficultés bien équilibré.
-Augmenter les input sensorielle (gout prononcé) si l’enfant a aussi un hyposensibilité et cherche à ressentir ce quil a dans la bouche en se la bourrant

61
Q

Selon la lecture de Marcus, quels sont les signes dune difficulté à avaler

A

une haleine humide ou des bruits de souffle ou une voix peuvent se produire après l’hirondelle en raison de la présence d’aliments dans le pharynx.
Plus de faciliter démontré avec des aliments plus minces et plus de difficulté si épais, surtout avec les solides. (les purées solides sont plus collantes et donc plus difficile à clairer).
Complaintes d’avoir de la nourriture collé dans la gorge
La première déglutition est suivi d’une déglutition sèche : l’enfant tente de clairer sa gorge
Étouffement, tousse, gag surviennent après la déglutition

62
Q

Selon la lecture de Marcus, quoi faire pour faciliter la déglutition

A

changer la viscosité et texture de la nourriture
nourrir lentement
encourager la dégutition sèche/vide
Clairer : alterner les bouché régulière à des petits bouché
Modifier le positionnement