7 - L'attraction, les relations proches et les groupes Flashcards

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1
Q

Trois facteurs sont considérés comme ayant une grande influence sur la probabilité d’être attiré par un autre individu, nomme les

A
  1. L’attirance physique (i.e. la beauté de l’individu)
    1. La proximité
  2. La similarité
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2
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté
À première vue, on peut avoir l’impression que la définition de la beauté est très variable d’une culture à l’autre.
- Nomme 3 exemples de pratiques concernant la beauté dans les autres cultures
- Nous on en penses quoi de ces pratiques? Fais une nuance avec cet opinion
- Ces pratiques ____ dans les cultures
- Dans quel cas il a un consensus dans les cultures concernant la beauté?

A
  • Certaines cultures
    Ex Thaïlande: long cou = plus beau = pratique pour se rendre plus attirante
    Ex: s’allonger la lèvre supérieure = + attirante
    Ex: tattoo autour des lèvres au japon pour augmenter la superficie des lèvres
  • Nous on peut trouver ça étrange, mais on fais aussi des modification/altérations de notre apparence pour être plus attirant (exemple: mascara, chirurgies plastiques)
  • Ces pratiques varient dans les cultures
  • Mais si on compare un visage naturel et on demande aux différentes cultures d’identifier un plus beau visage, il a un énorme consensus entre les cultures
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3
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauaté
Vrai ou faux
De nombreuses cultures, très différentes les unes des autres, s’entendent sur leur définition de la beauté.

A

Vrai

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4
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté
De nombreuses cultures, très différentes les unes des autres, s’entendent sur leur définition de la beauté.
- Une méta-analyse (Langlois et al., 2000) montre une corrélation élevée entre les ____ de ____ par des individus de différentes cultures (0.94)

A

jugements de beauté

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5
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté
- Quelle est l’hypothèse qui pourrait expliquer le fait que les gens de différentes cultures s’entendent sur leur définition de la beauté ?

A

Si les gens de différentes cultures s’entendent sur leur définition de la beauté, c’est qu’ils utilisent probablement les mêmes critères.

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6
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté
Si les gens de différentes cultures s’entendent sur leur définition de la beauté, c’est qu’ils utilisent probablement les mêmes critères.
- Nomme les 3 critères proposés

A
  1. La symétrie du visage
    1. À quel point le visage se situe proche du « prototype » (i.e. est moyen).
  2. Les marqueurs hormonaux
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7
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté
L’importance de ces trois critères pour la perception de la beauté a d’abord été établie chez quelle culture?

A

les occidentaux

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8
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté - La symétrie du visage
- Quelle est la définition de symétrie du visage
- + de symétrie = + d’effet ____

A

Symétrie: si on sépare le visage en 2 sur un axe vertical, voir à quel point ils sont similaires
- + de symétrie = + d’effet miroir

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9
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté - La symétrie du visage
Étude de Rhodes et al., (1998)
- étude permettant de montrer quoi?
- Quelles sont les manipulations faites?

A

– Étude permettant de montrer que la beauté perçue d’un visage est liée à sa symétrie.
– Manipulation de visages pour créer quatre niveaux de symétrie: (faible, normale, élevée, parfaite)

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10
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté - La symétrie du visage
Étude de Rhodes et al., (1998)
Résultats:
- Les visages parfaitement symétriques sont jugés comment
- Les visages avec faible symétrie sont jugés comment
- Ceci appuie quoi?

A
  • Les visages parfaitement symétriques sont jugés comme plus beaux que les visages normaux.
  • Les visages avec faible symétrie sont jugés comme moins beaux que les visages normaux
  • Appuie à quel point le visage symétrique impact le niveau d’attirance qu’on a envers le visage
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11
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté - La symétrie du visage
Explique l’hypothèse évolutionniste de l’importance de la symétrie:

A

– La symétrie reflète l’habileté à résister aux perturbations environnementales durant le développement.
* Si un organisme était plus exposé à de parasites, maladies etc = développe des asymétries (ex: ulcère = reins pas pareils)
– Par le biais des pressions évolutives, l’humanité en est venue à préférer les visages symétriques : Plus de chance de mener à une progéniture qui survit à son tour.
- Trait de symétrie était important à détecter pour modeler notre attirance = nous assure de nous reproduire et de transmettre cette bonne santé à notre progéniture et assurer la survie de mes gènes (motivation = survie de nos gènes)
- Si on était plus attiré à des asymétries = plus de chances qu’on soit attiré à des personnes qui ont plus de risques d’avoir des perturbations de l’organisme = moins bonne survie de mes gènes
* Donc individu symétrique a probablement une bonne génétique.

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12
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté - Le visage est « moyen »
- C’est quoi un visage moyen

A

Visage moyen: à quel point il ressemble à la moyenne de tous les visages ensemble

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13
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté - Le visage est « moyen »
Étude de Rhodes et al. (1999)
- Nomme les 2 étapes de l’étude

A

1 - Crée un visage « moyen », i.e. un visage créé en faisant la moyenne de 24 visages
2 - Ensuite, prend des visages et les manipule de sorte qu’ils s’approchent ou s’éloignent du prototype (i.e. visage moyen).

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14
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté - Le visage est « moyen »
Étude de Rhodes et al. (1999)
1 - Crée un visage « moyen », i.e. un visage créé en faisant la moyenne de 24 visages
- Le visage « moyen » homme est jugé comme étant plus beau que ____ des visages à partir desquels il a été créé.
- Le visage « moyen » femme est jugé comme étant plus beau que ____ des 24 visages à partir desquels il a été créé.

A
  • Le visage « moyen » homme est jugé comme étant plus beau que chacun des 24 visages à partir desquels il a été créé.
    Le visage « moyen » femme est jugé comme étant plus beau que 23 des 24 visages à partir desquels il a été créé.
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15
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté - Le visage est « moyen »
Étude de Rhodes et al. (1999)
2 - Ensuite, prend des visages et les manipule de sorte qu’ils s’approchent ou s’éloignent du prototype (i.e. visage moyen).
- Quel est le résultat

A

Plus les visages s’approchent du prototype, plus ils sont en moyenne jugés comme étant beaux.

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16
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté - Le visage est « moyen »
Explique l’hypothèse évolutionniste de l’importance de la proximité avec la moyenne + donne 3 exemples

A

– Les gens avec des traits faciaux dans la moyenne ont moins de chance d’avoir des défauts génétiques
– Par le biais des pressions évolutives, l’humanité en est venue à préférer les visages moyens.
* Plus de chance de mener à une progéniture qui survit à son tour
Exemple:
Trisomie 21 = 21 forme plus loin de la moyenne de ce qu’on est habitué de voir chez les gens qui ont pas cette maladie
Maladies qui font qu’on est plus grand / petit que la moyenne
Maladie fait qu’on a un plus grand front que la moyenne

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17
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté - Les marqueurs hormonaux
- Fais le lien entre les marqueurs hormonaux et la beauté
- Explique le lien chez la femme et chez l’homme

A

Les hormones sexuelles influencent le développement de certains traits faciaux.
– Chez la femme: Un haut taux d’estrogène est lié à une peau lisse et sans poils (Sont préférées car + œstrogène = + de fertilité)
– Chez l’homme: Un haut taux de testostérone durant la puberté favorise le développement des pommettes, de la mâchoire, du menton et de l’arcade sourcilière.

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18
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté - Les marqueurs hormonaux
Étude de Fink, Grammar & Thornhill (2001)
- Demandent aux participants de faire quoi?
- Qu’est ce qui est mesuré? Explique? Comment?

A

– Demandent à des participants masculins de juger la beauté de plusieurs visages de femmes.
– La texture de la peau de ces visages est mesurée à l’aide d’un programme informatique.
Indique à quel point la texture du visage est homogène (sans défaut, lisse)

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19
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté - Les marqueurs hormonaux
Étude de Fink, Grammar & Thornhill (2001)
- Quel est le résultat de l’étude?
- Explique
- Cela démontre quoi?

A
  • Corrélation entre les jugements de beauté et la texture de la peau (r=0.44)
    - Pas parfaite car il a d’autres facteurs qui viennent jouer, comme par exemple l’asymétrie et la proximité avec la moyenne
    Démontre qu’on utilise des marqueurs hormonaux
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20
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté - Les marqueurs hormonaux
Explique les 5 points de l’Hypothèse évolutionniste de l’importance des marqueurs hormonaux:

A

– Des défauts sur la peau (ex. taches, plaies, éruptions cutanées) peuvent indiquer la présence de maladies.
– Des imperfections sur la peau des femmes peuvent aussi refléter un débalancement hormonal et une diminution des capacités de reproduction.

– Par le biais des pressions évolutives les humains en sont donc venus à préférer les visages dont la peau a une texture homogène.

– La testostérone a pour effet de diminuer l’efficacité du système immunitaire.
– Les traits « masculins », qui reflètent un haut taux de testostérone, reflètent en quelque sorte que l’individu est de « haute qualité », puisqu’il s’est rendu à l’âge adulte malgré ce désavantage.

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21
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté
Si l’hypothèse évolutionniste est vraie et que l’utilisation de ces trois critères (symétrie, moyenne, marqueurs hormonaux) reflète des pressions évolutives, alors ces critères devraient être utilisés de manière ____

A

universelle

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22
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté - L’universalité des critères
Rhodes et al. (2001)
- A vérifié quoi?
- Résultats (2)
- Lien avec occidentaux
- Supporte quelle idée

A
  • A vérifié si la symétrie et la proximité à la moyenne sont utilisés par d’autres cultures pour juger la beauté.
  • Plus les visages étaient proches de la moyenne, plus ils étaient jugés comme étant beaux.
    Plus les visages étaient symétriques, plus ils étaient jugés comme étant beaux.
  • Mêmes effets que chez les occidentaux
  • Supporte l’idée que ce serait universel, mais on a d’autres choses à vérifier
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23
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté - L’universalité des critères
Bien que l’universalité de certains critères de beauté (i.e. moyenne, symétrie) soit appuyée par des études, une autre hypothèse que l’hypothèse évolutionniste a été proposée.
- Nomme la
- explique Objet symétrique
- explique Objet plus proche du prototype
- ceci est lié à quoi

A

Cette hypothèse concerne la facilité avec laquelle un objet est traité par le cerveau.
– Un objet symétrique est plus facile à traiter à cause de la redondance d’information.
- Une fois que t’a traité une moitié t’a fini de traiter
– Un objet proche du prototype est plus facile à traiter.
- Facile à traiter car ça ressemble à tous les autres visages que t’a déjà vu
= La facilité de traitement est liée à un sentiment positif, tout comme l’attraction est un sentiment positif.

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24
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté - L’universalité des critères
Une des preuves proposée pour appuyer l’hypothèse évolutionniste de l’utilisation des marqueurs hormonaux comme critère de beauté est qu’ils sont liés à quoi?

A

au cycle menstruel chez la femme.

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25
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La beauté - Conclusion:
- Qu’est ce qui fait en sorte que les jugements de beauté sont très corrélés entre les cultures (2)
- La raison pour laquelle ces critères sont utilisés demeure encore matière à débat. Explique (2)

A

– Certains critères de beauté sont utilisés de manière universelle (symétrie, moyenne), ou sont liés à des facteurs biologiques (marqueurs hormonaux), ce qui fait en sorte que les jugements de beauté sont très corrélés entre les cultures.
– La raison pour laquelle ces critères sont utilisés demeure encore matière à débat.
* Pressions évolutives liées au choix d’un partenaire en santé et ayant une bonne génétique.
* Facilité du cerveau à traiter l’information redondante ou l’information qui s’approche du prototype

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26
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La proximité physique
La proximité physique entre deux individus influence quoi?

A

influence la probabilité qu’une relation s’établisse entre deux personnes (nous donne plus le goût)

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27
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La proximité physique
Étude de Segal (1974)
- Étudie quoi?
- Déroulement de l’étude
- On veut savoir quoi?

A

Étudie les relations d’amitié développées au sein de l’académie de police de Maryland.

– Pour les nouvelles recrues, la position en classe et dans les dortoirs était déterminée par le rang alphabétique de leur nom.
Ex. Charbonneau s’assoit et dort près de Cousineau; Roy s’assoit et dort près de Rousseau; etc.
– On demande à chaque personne de nommer son meilleur ami au sein de l’académie.

On veut savoir si le fait qu’il étaient assis proche venait augmenter les chances qu’ils étaient amis

28
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La proximité physique
Étude de Segal (1974)
- Quel est le résultat?
- Supporte quelle idée?

A

Corrélation élevée entre le rang alphabétique d’un individu et le rang alphabétique de son meilleur ami (= proximité)
Supporte l’idée que le fait d’être en contact régulier avec un individu augmente la probabilité de développer une relation d’amitié avec ce dernier.

29
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La proximité physique
- QUELLE est une des hypothèses pour expliquer l’influence de la proximité physique sur le développement d’une relation?
- Explique cet hypothèse

A

Une des hypothèses pour expliquer l’influence de la proximité physique sur le développement d’une relation est le « mere exposure effect » (effet de simple exposition):
– L’exposition répétée à un stimulus nous amène à aimer davantage ce stimulus (nous le rend plus agréable)
* Ex. Musique. Plus on entend certaines pièces, plus on les apprécie.
* La proximité fait en sorte que deux individus se voient souvent, donc ont tendance à s’apprécier davantage juste à cause du mere exposure effect.

30
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La proximité physique
« mere exposure effect »
Vrai ou faux
Cet effet n’est pas universel

A
  • Le mere exposure effect est observé même chez les animaux, donc on peut assumer que l’effet de proximité est universel.
    Exemple souris: exposés à une musique lors de leur développement = vont plus l’apprécier
31
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La similarité
L’attraction pour la similarité est un phénomène ____, mais qui avait jusqu’à tout récemment été étudié seulement au sein de populations ____

A

L’attraction pour la similarité est un phénomène robuste, mais qui avait jusqu’à tout récemment été étudié seulement au sein de populations occidentales.

32
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La similarité
Vrai ou faux
En parlant de l’attraction pour la similarité, on veut dite une attirance pour les individus similaires physiquement à nous seulement

A

Faux
Similaire…
Physiquement
Psychologiquement (mêmes valeurs, personnalité, etc)

33
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La similarité
- L’attirance pour la similarité a très souvent été démontrée avec quel paradigme (nomme le) ?
- Nomme et explique les 3 étapes de ce paradigme

A

Paradigme Bogus stranger
2.1.Les participants reçoivent un questionnaire de personnalité rempli par un étranger.
- Pourra avoir pleins d’infos sur le participant
2.Disent “là je vais te faire lire le questionnaire d’une autre personne, et dis-moi si tu aimerais ou non développer une relation avec cette personne
- Le questionnaire a en fait été truqué par l’expérimentateur de sorte que la personnalité de l’étranger est similaire ou dissimilaire à celle du participant.
3.Les participants qui ont reçu le questionnaire d’un étranger similaire à eux jugent qu’ils aimeraient cet étranger davantage que ceux qui ont reçu le questionnaire d’un étranger dissimilaire à eux

34
Q

1. L’attraction interpersonnelle

La similarité
Étude de Heine, Foster & Spina (2009)
- Explique en quoi consiste leur étude
- Quel est le résultat?
- Qu’est ce qu’on peut conclure des résultats?

A

– Utilisent le paradigme du bogus stranger pour comparer l’effet de similarité chez les occidentaux vs. chez les japonais.
– L’effet de similarité est observé chez les occidentaux, mais pas chez les japonais!
– Différence culturelle pour l’effet de similarité!

35
Q

1. L’attraction interpersonnelle

  • Pour résumer, certains facteurs semblent influencer l’attraction pour un autre individu de manière universelle (nommes en 2)
  • Par contre, (nomme un facteur), connu pour avoir une forte influence chez les occidentaux, n’influence pas certaines cultures comme les japonais.
A
  • Pour résumer, certains facteurs semblent influencer l’attraction pour un autre individu de manière universelle:
    – Beauté: critères universaux
    – Proximité physique.
  • Par contre, le facteur de similarité, connu pour avoir une forte influence chez les occidentaux, n’influence pas certaines cultures comme les japonais.
36
Q

2. Les relations proches

Si je vous posais la question: « Avez-vous des ennemis? » (I.e. Quelqu’un qui veut votre perte ou qui tente de saboter vos projets?)
- La réponse à cette question sera-t-elle influencée par la culture ou sera relativement similaire?

A

La réponse à cette question est influencée par la culture.

37
Q

2. Les relations proches

Étude de Adams (2005)
- compare quelles culturs? 2
- observe la différence dans quoi?

A

– Compare des Américains et des Ghanéens
Différence dans la probabilité d’avoir des relations ennemies

38
Q

2. Les relations proches

Étude de Adams (2005)
Résultats de l’étude:
- Le pourcentage de ____ (Ghanéen ou Américains) qui croit avoir un ou des ennemis est beaucoup plus élevé que chez les ____ (G ou A)
- Lorsqu’on leur demande comment ils réagiraient si quelqu’un leur annonçait qu’il croit avoir des ennemis vs ne pas avoir d’ennemis: qu’affirment les G vs A à ce propos?

A

– Le pourcentage de Ghanéen qui croit avoir un ou des ennemis est beaucoup plus élevé que chez les Américains.
– Lorsqu’on leur demande comment ils réagiraient si quelqu’un leur annonçait qu’il croit avoir des ennemis:
* Un fort pourcentage (45%) des Américains affirment qu’ils penseraient que l’autre est paranoïaque.
– Lorsqu’on leur demande comment ils réagiraient si quelqu’un leur annonçait qu’il croit ne pas avoir d’ennemis
* Un fort pourcentage (50%) des Ghanéens affirment qu’ils penseraient que l’autre est naïf

39
Q

2. Les relations proches

Certains proposent que la différence observée au niveau des relations ennemies est liée à quoi?

A

au concept de soi

40
Q

2. Les relations proches

Certains proposent que la différence observée au niveau des relations ennemies est liée au concept de soi (indépendant vs interdépendant)
Concept de soi indépendant:
- Explique à quoi ressemblent leur frontière entre l’endogroupe et exogroupe
- Qu’est ce que cela implique
- Donne les 3 caractéristique de leur mobilité relationnelle

A

Chez les individus ayant un concept de soi indépendant, la frontière entre l’endogroupe et l’exogroupe est fluide.
Cela implique que le lien avec un autre individu peut facilement passer de l’endogroupe (i.e. j’entretiens une relation interpersonnelle avec toi) à l’exogroupe (i.e. je n’entretiens pas de relation interpersonnelle avec toi).
Autrement dit, ces individus ont une forte mobilité relationnelle:
– Les relations sont flexibles
– Les opportunités pour de nouvelles relations sont élevées
– Alors l’individu ne se sent pas forcé d’entretenir des relations avec un individu s’il n’y voit aucun avantage, s’il ne me conviens pu

41
Q

2. Les relations proches

Certains proposent que la différence observée au niveau des relations ennemies est liée au concept de soi (indépendant vs interdépendant)
Concept de soi interdépendant:
- Explique à quoi ressemblent leur frontière entre l’endogroupe et exogroupe
- Qu’est ce que cela implique
- Donne les 3 caractéristique de leur mobilité relationnelle

A

Chez les individus ayant un concept de soi interdépendant, la frontière entre l’endogroupe et l’exogroupe est solide.
Cela implique que certaines relations sont là pour rester, et font partie inhérente du monde social et même du concept de soi de l’individu.
Autrement dit, ces individus ont une faible mobilité relationnelle:
– Les relations sont peu flexibles
– Les opportunités pour de nouvelles relations sont rares
– Alors l’individu sent qu’il a des obligations envers certains individus, et ces obligations guident les relations sociales qu’il entretient.

42
Q

2. Les relations proches

Autrement dit, selon que nous venons d’un milieu ou la mobilité relationnelle est faible vs. élevée, notre conception des relations interpersonnelles est différente.
- Explique la différence entre les 2 et le lien avec le développement de relation ennemies

A

– Faible: Une relation est maintenue peu importe si elle est positive ou non.
* Ce qui peut mener au développement d’une relation ennemi.
– Forte: Une relation n’est pas maintenue si les deux parties ne veulent pas qu’elle le soit.
* Moins de chance de développer une relation ennemi. La relation est tout simplement rompue, et les deux parties s’ignorent.

43
Q

2. Les relations proches

Certains proposent que la différence observée au niveau des relations ennemies est liée au concept de soi (indépendant vs interdépendant)
Concept de soi interdépendant
- Donne deux exemples de à quoi ça ressemble une relation avec faible mobilité relationnelle

A

Exemple: relation avec nos beaux-parents:
- Si mon partenaire, sa relation avec ses parents est très importante, on est obligé d’entretenir une relation avec nos beaux-parents = plus difficile à modifier et on a moins le contrôle sur si je peux ou non interrompe la relation
- C’est ce type de relations qu’on a dès qu’une personne fais partie de mon endogroupe si on a une faible mobilité relationnelle
Exemple: chinois en détresse car va déménager avec sa blonde, mais se sent comme s’il a trahi son coloc, il doit maintenir cette relation avec l’endogroupe et peux pas le remplacer. Nous les occidentaux on sera comme “bin la fais juste en parler avec ton coloc y va comprendre”

44
Q

2. Les relations proches

La faible vs. Forte mobilité relationnelle a aussi un impact sur les critères qui nous amènent à développer une relation.
- Explique cette influence chez ceux ayant une forte vs faible mobilité
- C’est vrai pour quels 3 critères?

A

Beauté, proximité, similarité
* Les individus avec faible mobilité relationnelle devraient moins porter attention à ces critères, puisque de toute façon ils ne cherchent pas à développer de nouvelles relations.

45
Q

2. Les relations proches

Impact de la beauté sur la perception des autres:
- En occident, quele effet est très connu et robuste?
- Donne la def de cet effet
- Explique en quoi cet effet est un type de stéréotype

A

– En occident, « l’effet halo » est connu et très robuste.
– Définition effet halo: Un ensemble de traits positifs est attribué aux individus physiquement attirants.
– L’effet halo est un type de stéréotype: on associe une caractéristique physique à des traits de personnalités/habiletés/compétence, et on généralise à tous les individus ayant ces caractéristiques physiques.

46
Q

2. Les relations proches

Impact de la beauté sur la perception des autres:
- Quel est le Stéréotype de la beauté en occident? (3)
- Quelle question on se pose à propos d ce stéréotype?

A

– Les individus attirants physiquement sont jugés comme plus compétents socialement, comme ayant un meilleur potentiel intellectuel, et comme étant plus dominant socialement (hiérarchie élevée).
* Est-ce que le même stéréotype existe dans les autres cultures?

47
Q

2. Les relations proches

Impact de la beauté sur la perception des autres:
L’Effet halo a un impact sur les relations interpersonnelles en occident:
- Donne 4 exemples

A

– Les professeurs jugent les beaux enfants comme plus intelligents et ayant un meilleur comportement.
– Les politiciens attirants physiquement ont plus de votes.
– Les criminels ayant commis des délits mineurs s’en tirent avec des peines plus légères lorsqu’ils sont attirants physiquement.
– Un essai est jugé plus positivement lorsque les gens croient qu’il a été écrit par quelqu’un de physiquement attirant.

48
Q

2. Les relations proches

Impact de la beauté sur la perception des autres:
Étude de Wheeler et Kim (1997)
- Ils vérifient quoi? 2
- Explique les trouvailles de cette tude (4)

A

– Vérifient si:
(1) Les Sud-Coréens ont un stéréotype pour les individus beaux (est ce qu’ils associent certains traits d’avantages aux individus attirants vs moins attirants) et
(2) si le contenu de ce stéréotype est le même que pour les occidentaux.
– Trouvent que les Sud-Coréens associent les visages beaux avec des traits positifs (ont des stéréotypes de beauté), mais pas les mêmes que les occidentaux.
* Traits positifs valorisés par les asiatiques : intégrité et préoccupation pour les autres
* Traits positifs valorisés par les occidentaux: chaleureux

49
Q

2. Les relations proches

Impact de la beauté sur la perception des autres:
Est-ce que l’effet halo est universel?
- Universalité du jugement de la beauté
- Universalité du stéréotype de la beauté et de son contenu

A

– Le jugement de beauté semble universel.
– Le stéréotype de la beauté semble survenir dans plusieurs cultures, bien que son contenu varie.

50
Q

2. Les relations proches

Impact de la beauté sur la perception des autres:
Étude de Anderson, Adams & Plaut (2008)
- veulent répondre à quelle question
- suggère quoi à cette question
- Explique
- comparent quoi?

A

– Est-ce que ce jugement a le même impact sur le comportement à travers les cultures?
- Suggère que non
- Une personne belle jouit de plus d’avantages qu’une personne pas belle et aura une plus grande satisfaction de vie
- Aura plus un emploi
- Comparent l’effet de la beauté sur la qualité de vie générale des individus.
* Chez des américains
* Chez des Ghanéens

51
Q

2.Les relations proches

Impact de la beauté sur la perception des autres:
Étude de Anderson, Adams & Plaut (2008)
- Explique les 2 phases de l’étude et l’analyse faite à la fin

A

Phase 1: Des individus viennent en laboratoire et remplissent un questionnaire. On prend chacun de ces individus en photo (tête-épaules).
– Exemples de questions:
* « Je suis satisfait avec:
– Mes accomplissements personnels »
– Mes habiletés »
– Ma performance comme étudiant »
– …
* « Je suis heureuse de manière générale »
* « Je suis un bon ami »
* « Je suis un bon fils/une bonne fille »
* « Les autres m’apprécient »
* …

Phase 2: On demande à un autre groupe de participants de coter la beauté des individus à partir de leur photographie.

Ensuite, on vérifie s’il existe une corrélation entre la beauté des individus et leur perception de leur qualité de vie.

52
Q

2.Relations proches

Impact de la beauté sur la perception des autres:
Étude de Anderson, Adams & Plaut (2008)
- QUELLE EST LA corrélation entre la beauté des individus et leur perception de leur qualité de vie chez les Américains vs les Ghanéens?
- que peut-on conclure en gros?

A

Chez les Américains: Plus un individu est beau, plus il rapporte une qualité de vie élevée.
Chez les Ghanéens: Plus un individu est beau, moins il rapporte une qualité de vie élevée.

Donc, l’impact de la beauté sur la qualité de vie est modulé par la culture.
– Dans certaines cultures, la beauté a un impact positif sur la vie de l’individu.
– Dans d’autres cultures, la beauté a un impact négatif sur la vie de l’individu.

53
Q

2.Relations proches

Impact de la beauté sur la perception des autres:
Étude de Anderson, Adams & Plaut (2008)
- Quelle est la lacune de l’étude ?

A

Lacune de l’étude:
Manque d’aller voir le contenu des stéréotypes , donc on est pas sûr de la raison du pourquoi de ce phénomène

54
Q

2.Relations proches

Impact de la beauté sur la perception des autres:
En gros, nomme ce qui est universel et ce qui ne l’est pas:
- Effet halo
- La présence des stéréotypes
- Contenu des stéréotypes

A

L’effet halo n’est pas universel
La présence des stéréotypes est universelle, mais le contenu des stéréotypes varie selon les cultures

55
Q

3.Les groupes

La présence des autres a un impact sur quoi?
Cet impact varie en fonction du ____ et donne lieu à différents phénomènes (nomme en 2 et dit si c’est universel chaque)

A

La présence des autres a un impact sur nos performances. Cet impact varie en fonction du contexte et donne lieu à différents phénomènes:
– Facilitation sociale
- Les évidences vont dans le sens que c’est universel
– Paresse sociale
Pas universel

56
Q

3.Les groupes

La facilitation sociale
- Nomme les 3 étapes du schéma et 2 sous points et 2 sous sous points de la 3ième étape

A

Présence des autres
Augmentation de l’activation de l’organisme
Augmentation de la rigidité (réponse dominante)
- Lorsque la tâche est facile ou automatique, la réponse dominante est la réponse correcte
○ La performance s’améliore
- Lorsque la tâche est difficile ou nouvelle, la réponse dominante est une réponse incorrecte
La performance se détériore

57
Q

3.Les groupes

La facilitation sociale
- C,est quoi en gros la facilitation sociale
- Explique en mots simple le schéma de la facilitation

A

C’est quoi?
Certains comportements / habiletés sont facilités lorsque j’ai des individus qui m’entourent

Être entouré de gens = activation car on veux être prêt aux comportements des autres (préparation aux éventualités). Ceci augmente notre rigidité, ce qui influence différemment la performance en fonction de la tâche qu’il faut faire

58
Q

3.Les groupes

La facilitation sociale
Étude de Zajonc et al. (1969)
- Observe quoi?
- Nomme les 4 conditions

A

Observe l’impact de la difficulté de la tâche et de la présence d’autres individus sur le comportement de coquerelles.
- Condition 1: simple, seule
- condition 2: difficile, seule
- condition 3: simple, deux
- condition 4: difficile, deux

59
Q

3.Les groupes

La facilitation sociale
Étude de Zajonc et al. (1969)
- explique la différence entre la condition facile vs difficile

A

Condition facile: La boîte dans laquelle les coquerelles peuvent se réfugier est en ligne directe avec leur point de départ (car les coquerelles se sauvent de la lumière)
- La cachette est droit devant
Condition difficile: Les coquerelles doivent bifurquer afin d’atteindre la boîte dans laquelle elles peuvent se réfugier.
- La cachette était dans un parcours déviant

60
Q

3.Les groupes

La facilitation sociale
Étude de Zajonc et al. (1969)
- Quels sont les 2 résultats?
- qu’est ce qu’on peut conclure de cette étude?

A

Lorsque le parcours est facile, les coquerelles prennent plus de temps pour se rendre à la boite lorsqu’elles sont seules que lorsqu’elles sont avec une autre coquerelle.
Lorsque le parcours est difficile, les coquerelles prennent plus de temps pour se rendre à la boite lorsqu’elles sont avec une autre coquerelle que lorsqu’elles seules.
Le fait que la facilitation sociale soit observée même chez les insectes suggère fortement qu’elle devrait se retrouver de manière universelle chez l’humain : Pour montrer que c’est ultra fondamental chez tout espèce vivante

61
Q

3.Les groupes

La paresse sociale
- chez qui ce phénomène a été observé?
- C’est quoi

A

Chez les occidentaux, le phénomène de paresse sociale a été observé.
– C’est quoi : Diminution de la performance lorsqu’on travaille en équipe et que la performance individuelle est difficile à évaluer.

62
Q

3.Les groupes

La paresse sociale
Étude de Ingham et al., (1974)
- Quelle est la tâche
- Quelles sont les conditions
- qu’est ce qui est mesuré

A

– Tâche: tirer sur une corde le plus fort possible (2 équipes au bout de chaque corde)
– Conditions: Le nombre de personnes qui tire en même temps est manipulé.
* Ex.: 1, 2, 3, 6.
* Un seul « vrai » participant. Les autres sont de mèche avec l’expérimentateur et font juste semblant de tirer.
- = on mesure la force quand il tire seul vs en groupe

63
Q

3.Les groupes

La paresse sociale
Étude de Ingham et al., (1974)
- Quel est le résultat de l’étude

A

L’effort fourni diminue en fonction du nombre de personne qui tire.

64
Q

3.Les groupes

La paresse sociale
Étude de Ingham et al., (1974)
- Certains ont proposé que la paresse sociale est modulée par quoi?
- À quoi ça ressemble chez les occidentaux?
- Cette observation suggère quoi?

A

Certains ont proposé que la paresse sociale est modulée par les préoccupations de l’individu pour les autres membres du groupe.
– Chez les occidentaux, la paresse sociale diminue lorsque les membres du groupe sont amis.
* Cette observation suggère que la paresse sociale pourrait être moins importante dans les cultures interdépendantes, où les préoccupations pour le groupe sont d’emblée plus importantes.

65
Q

3.Les groupes

La paresse sociale
Étude de Earley, (1993)
- Comparent quoi? Donne 3 exemples
- 2 caract des participants
- quelle est la tâche + exemples
- Doivent faire quoi en tout?

A

– Compare l’effet de paresse sociale chez des individus provenant de cultures individualistes et collectivistes.
* Américains
* Chinois
* Israéliens
– Les participants sont tous des étudiants gradués en gestion et ont de l’expérience dans une compagnie.
– Tâche: Reçoivent une boite remplie de tâches à effectuer. Les tâches sont des activités standard pour des employés en gestion
* Ex. Écrire des mémos, établir des priorités au niveau des rencontres de clients, remplir des formulaires de soumissions, etc.
– Doivent compléter le plus de tâches possible en 60 minutes. La VD est le nombre de tâches complétées.

66
Q

3.Les groupes

La paresse sociale
Étude de Earley, (1993)
Méthode: il y a 3 conditions:
- Nomme les et explique les

A
  • Individuel
    ○ On leur dit que leur performance individuelle sera évaluée
    • Exogroupe
      ○ On leur dit que leur performance en tant que groupe sera évaluée. On leur dit que les membres de leur groupe ont été sélectionnés pour avoir des intérêts distincts, différentes religions, viennent de différentes régions du pays, etc.
    • Endogroupe
      ○ On leur dit que leur performance en tant que groupe sera évaluée. On leur dit que les membres de leur groupe ont été sélectionnés pour avoir des intérêts similaires, même religion, viennent de la même région du pays, etc. Pourraient devenir de bons amis.
67
Q

3.Les groupes

La paresse sociale
Étude de Earley, (1993)
- Explique les 2 résultats de l’étude

A
  • Pour les cultures individualistes (USA), la performance est supérieure lorsque la performance individuelle est évaluée. Pas de différence entre endo vs. Exogroupe.
    • Pour les cultures collectivistes (Israel, Chine), la performance est supérieure lorsque la performance pour l’endogroupe est évaluée (supérieure à individuelle et à exogroupe).
      Pas d’effet de paresse, même le contraire, car performent mieux lorsqu’en groupe, surtout avec des gens d’endogroupe