6 - Milieu du travail et des organisations Flashcards

1
Q

Il y a plusieurs situations d’interactions interpersonnelles dans les organisations. Donner des exemples.

A

1) Réunions d’équipe
2) Travail collaboratif
3) Interactions entre collègues
4) Supervision et leadership
5) Prise de décision en groupe
6) Gestion des conflits
7) Entretien d’embauche

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2
Q

Définir la communication.

A

La communication est définie comme un processus bidirectionnel impliquant la parole, l’écriture ou des moyens non verbaux qui visent à créer une interprétation commune pour les personnes impliquées (Higgs et al., 2012)

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3
Q

Nommer les différentes perspectives de communication.

A

1) Perspective mécaniste
2) Perspective psychologique

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4
Q

Expliquer la perspective mécaniste de la communication. Schématiser le processus.

A

Émetteur –(codage)– Message canal —(décodage)— récepteur — retour d’information — émetteur

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5
Q

Nommer les compétences de communication selon la perspective mécaniste.

A

1) Choix du support adapté
2) Adaptation à l’audience
3) Clarté des messages
4) Influence et persuasion
5) Retour d’information (feedback) précis
6) Transmission efficace de messages complexes

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6
Q

Que permettent des compétences élevées en communication selon la perspective mécaniste?

A

1) Postes + élevés dans la hiérarchie de l’entreprise
2) + de chance d’être promu
3) + performant

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7
Q

Une compétence important de la communication est la capacité à être persuasif. C’est possible avec des techniques rhétoriques. Nommer des exemples de techniques rhétoriques. Nommer le but de ces techniques.

A

1) images
2) analogies (comparaison)
3) narration (story telling)
4) répétition
5) rythme
6) description

But = Susciter les émotions chez son auditoire

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8
Q

Dans le but d’être persuasif en communication, les images peuvent être utilisé comme méthode rhétorique. L’étude de Emrick (2001) avait comme objectif d’examiner comment l’utilisation de la rhétorique de l’image par les présidents américains influence la perception de leur charisme et leur grandeur. Quels sont les résultats?

A

Les résultats montrent que les présidents qui utilisent plus de rhétorique imagée sont perçus comme plus charismatiques.

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9
Q

Dans le but d’être persuasif en communication, il faut adapter son discours à l’auditoire. Comment cela se fait? Donner un exemple.

A

Correspond au fait de présenter des idées en fonction de la manière dont elles s’alignent sur les attentes et les objectifs de l’auditoire en soulignant ce qu’il a à y gagner pour maximiser l’impact du message.

Exemple: pour l’augmentation des frais de scolarité, le discours devrait être adapté en face d’étudiants ayant des difficultés financière vs des étudiants qui n’en ont pas.

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10
Q

Dans le but d’être persuasif en communication, on peut avoir recours à la preuve sociale. Qu’est-ce? Nommer un exemple.

A

La preuve sociale est un principe psychologique qui suggère que les individus sont influencés par les actions et opinions des autres pour déterminer ce qui est correct ou approprié dans une situation donnée.

Exemple : Persuader les étudiant·es de faire du bénévolat pour la chasse à Sarrazin

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11
Q

Dans le but d’être persuasif en communication, on peut avoir recours au principe d’autorité. Qu’est-ce? Nommer un exemple.

A

Le principe d’autorité désigne la tendance des individus à se conformer aux demandes ou aux directives des personnes perçues comme faisant autorité.

Exemple : Conférencier invité à présenter dans un groupe de recherche

Bémole: il existe aussi le biais d’autorité, dont il faut faire attention

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12
Q

Dans le but d’être persuasif en communication, on peut avoir recours au principe de rareté. Qu’est-ce?

A

Le principe de la rareté repose sur l’idée que les individus accordent plus de valeur aux choses perçues comme rares ou limitées dans le temps. Cela peut être utilisé comme une stratégie persuasive pour inciter à l’action en soulignant
les opportunités qui ne se représenteront peut-être pas.

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13
Q

Expliquer la perspective psychologique de la communication. Schématiser le processus.

A

Émetteur –(codage)– message (canal) –(décodage)– récepteur — retour d’information — émetteur

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14
Q

La communication selon la perspective psychologique vient avec des filtres conceptuels. Qu’est-ce?

A

Les filtres conceptuels désignent les pensées, attitudes et perceptions qui influencent la manière dont une personne encode, interprète et répond aux informations reçues.

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15
Q

Dans la transmission (codage) et la réception du message (décodage), les filtres conceptuels peuvent s’appliquer. Nommer les deux types de filtrage.

A

1) Filtrage conscient
2) Filtrage inconscient

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16
Q

En communication, les filtres conceptuels peuvent engendrer des conflits. Expliquer quel est le lien.

A

Nous avons tours des filtres différents faisant en sorte que la communication peut être difficile ce qui peut mener à des conflits.

17
Q

Les filtres conceptuels peuvent donc entrainer des ruptures de communication. Donner un exemple dans le milieu du travail.

A

Le responsable du marketing pense aux chiffres d’affaires VS le responsable opérationnel qui pense au fonctionnement des opérations. Les deux ensembles peuvent avoir une rupture de communication.

18
Q

Qu’est ce que la communication non-verbale? Donner des exemples.

A

La communication non verbale désigne toutes les informations transmises par un émetteur en dehors des mots.
Exemples : Langage corporel; Expressions faciales; Ton; Apparence; Contact visuel

19
Q

Nommer des bénéfices de la communication non-verbale.

A

1) + crédible
2) + intéressants
3) + convaincant
4) + compétent

20
Q

L’étude de Howard et Ferris (1996) porte sur la communication non-verbale dans les entretiens d’embauche. L’objectif de l’étude est d’examiner l’influence des comportements non verbaux des candidats sur les évaluations d’aptitude à l’emploi lors d’un entretien d’embauche. Quels sont les résultats?

A

Les résultats ont montré que les enquêteurs évaluaient les candidats comme plus aptes à l’emploi lorsqu’ils affichaient un niveau élevé de ces comportements non verbaux, par rapport à ceux qui en montraient peu.

21
Q

Le non-verbal du recruteur a une influence sur l’interlocuteur. On parle d’effet miroir. Donner des exemples d’effet du non-verbal sur l’interlocuteur.

A

1) Un recruteur chaleureux (non-verbal) permettrait une meilleure communication chez le candidat
2) un recruteur hostile (non-verbal) causerait une moins bonne communication du candidat.

22
Q

Nommer des conséquences des interactions à distance selon la communication non-verbale.

A

1) Perte d’indices émotionnels
2) Augmentation des malentendus
3) Interactions moins fluides
4) Réduction de la cohésion et de la confiance

23
Q

Est-ce vrai d’affirmer que la plupart des décisions importantes dans les organisations sont prises par des groupes?

A

oui.

Aux États-Unis, environ 80 % des 500 plus grandes entreprises ont au moins la moitié de leurs employés qui travaillent en équipe

24
Q

La prise de décision en groupe a des avantages et inconvénients. Nommer quelques avantages et inconvénient.

A

Avantages :
* Plus de perspectives et d’idées
* Partage des responsabilités
* Potentiel pour plus de créativité et d’innovation
Inconvénients :
* Influence des autres

25
Q

Qu’est-ce que la pensée de groupe?

A

La pensée de groupe est un processus de prise de décision erronée qui résulte de pressions exercées sur les membres du groupe pour qu’ils parviennent à un accord

26
Q

Qu’est-ce que l’influence normatives selon la pensée de groupe?

A

Pression exercée pour se conformer aux attentes des autres afin d’obtenir leur approbation et éviter des conséquences sociales négatives

27
Q

Quels sont les trois déterminants de la pensée de groupe? Nommer et expliquer chacun.

A

1) Cohésion du groupe:
Plus le groupe est uni et solidaire, plus les membres sont enclins à chercher l’accord, même au détriment de l’objectivité.
2) Leadership directif:
Un leader autoritaire ou trop influent oriente la décision limitant l’expression de perspectives divergentes.
3) Situation d’urgence:
En situation d’urgence, les groupes sont
poussés à décider rapidement limitant la
discussion critique et renforçant la recherche
de consensus.

28
Q

Nommer les (4) solutions pour limiter la pensée de groupe.

A

1) Encourager le rôle d’évaluateur critique:
Inviter chaque membre du groupe à critiquer et analyser activement les propositions.
2) Assurer la neutralité du leader:
Encourager le leader à rester neutre pour favoriser l’expression libre des membres.
3) Désigner un membre “critique”:
Désigner un membre pour contester systématiquement les idées du groupe.
4) Rechercher des avis extérieurs:
Consulter des personnes externes au groupe pour introduire de nouvelles perspectives

29
Q

Qu’est-ce que la polarisation du groupe6

A

La polarisation du groupe est un phénomène par lequel la position des membres d’un groupe tendent à devenir plus extrêmes après une
discussion.
(-) Déplacement extrême de la position des membres du groupe (+)

30
Q

Qu’est-ce que l’influence normatives selon la polarisation du groupe?

A

Pression exercée pour se conformer aux attentes des autres afin d’obtenir leur approbation et éviter des conséquences sociales négatives

31
Q

L’étude de Zhu (2013) sur les influences sociales et la polarisation du groupe avait comme objectif d’explorer comment la polarisation peut influencer les décisions des conseils d’administration en examinant si l’homogénéité d’opinions parmi les membres intensifie leurs positions lors d’acquisitions d’entreprises. Quels sont leur résultats?

A

Les résultats ont montré que les discussions de
groupe mènent souvent à des décisions de prime qui sont soit plus élevées, soit plus basses que la moyenne des expériences antérieures des membres.

32
Q

Nommer les trois biais décisionnels dans les groupes?

A

1) Biais de rétrospection
2) Biais de confirmation
3) Heuristique de représentativité

33
Q

Définir le biais de rétrospection et nommer l’impact.

A

Définition : Tendance à croire, après coup, que
l’événement était prévisible.

Impact : Limite l’apprentissage en rendant les décisions passées “évidentes” à postériori.

34
Q

Définir le biais de confirmation et nommer l’impact.

A

Définition : Recherche ou interprétation
d’informations qui confirment les croyances
initiales en négligeant les informations
contradictoires.

Impact : Réduit l’ouverture d’esprit et peut limiter la qualité des décisions collectives.

35
Q

Définir l’heuristique de représentativité et nommer l’impact.

A

Définition : Jugement basé sur des similitudes
perçues avec une catégorie souvent
stéréotypée.

Impact : Amplifie les stéréotypes et restreint
l’objectivité dans la prise de décision.

36
Q
A