5-Questions de devoirs Flashcards

0
Q
  1. Quelles difficultés rencontre le chercheur à travers l’étude de données langagières?
A

Le degré de confiance qu’il leur accorde.

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1
Q
  1. Quel est l’objectif de l’étude des comportements sociaux?
A

Déterminer les significations des comportements notamment à travers le recueil de données langagières objectivables, consensuelles et attestées par des observateurs indépendants.

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2
Q
  1. Quelles sont les causes de la faiblesse du degré de confiance?
A

Les individus ne parviennent pas toujours à identifier, verbaliser leurs propres processus interne dont ils ont parfois conscience.

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3
Q

4.VRAI OU FAUX: il peut être difficile d’exprimer directement ce que l’on pense pour certains objets d’étude.

A

VRAI: la validité de données recueillies dans les études sur la discrimination ou la violence dépend fortement de la méthode de recueil des données.

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4
Q
  1. En quoi consiste la méthode d’analyse de contenu des entretiens?
A

À établir des catégories thématiques à partir du discours d’interviewés.

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5
Q
  1. “Nuisances sonores et visuelles, stress, bien-être au travail, maladie psychosomatique” peuvent être reliés à l’une des propositions de catégories suivantes laquelle:
    1/Productivité et bien-être en milieu professionnel.
    2/Nuisances sonores et visuelles
    3/Différentes maladies psychosomatiques.
    4/Environnement de travail et bien-être.
A

4/Environnement de travail et bien-être.

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6
Q
  1. En quoi consistait l’étude de Bromberg, Georget et Frigout (2003 2004)?
A

Déterminer les facteurs en jeu dans l’accession des femmes aux postes à hautes responsabilités (statut de cadre) afin de mettre en œuvre une politique efficace de gestion de carrière.

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7
Q

8/Quelle était la principale hypothèse sous-tendant à la recherche de Bromberg, Georget et Frigout (2003 2004)?

A

Les femmes ne partagent pas le même modèle de représentation de la réussite professionnelle que les hommes, celui-ci diffère également de celui de l’entreprise.

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8
Q
  1. Comment Bromberg, Georget et Frigout (2003, 2004) vérifient-ils leurs hypothèses?
A

Ils effectuent des entretiens exploratoires suivi d’entretiens semi-directifs basés sur une grille d’entretien comportant différents thèmes.

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9
Q
  1. Pourquoi Bromberg, Georget et Frigout choisissent-ils des thèmes plus ou moins liés à la mixité en entreprise?
A

Le thème de la mixité est un sujet pouvant faire l’objet d’une polémique. Les préjugés et stéréotypes observés en littérature risquent d’apparaître si l’on interroge directement les individus sur le thème de la mixité.

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10
Q
  1. Par rapport aux hommes, comment se situent les cadres féminins en ce qui concerne l’ascension hiérarchique?
A

Les cadres féminins sous-estiment l’importance de l’ascension hiérarchique dans leur modèle de réussite et l’acquisition de compétences dans le modèle de réussite qu’elles attribuent à l’entreprise.

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11
Q
  1. Comment se situent les cadres masculins, par rapport aux femmes dans leur conception de l’ascension hiérarchique?
A

Ils privilégient davantage l’ascension hiérarchique dans leur conception de la réussite. Ils pensent que cet élément joue un rôle moins important dans la conception de la réussite qu’ils attribuent dans l’entreprise.

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12
Q
  1. Quelle est la particularité des cadres féminins dans leur conception de l’épanouissement au travail?
A

Elle privilégie la dimension épanouissement dans la sphère privée en recherchant davantage un équilibre entre leur vie professionnelle et leur vie privée.

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13
Q
  1. Quels sont les avantages de l’analyse de contenu automatisé?
A

Le travail de l’analyste intervient plus tard et se focalise essentiellement sur l’interprétation. Le gain de temps est considérable et la subjectivité est réduite à la seule phase d’interprétation.

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14
Q
  1. En quoi ont recours les individus lors des situations de communication? Selon quels auteurs?
A

Les individus ont recours à des programmes cognitivo-discursifs modulant la mise en scène de leur discours. (Ghiglione et Trognon, 1993).

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15
Q
  1. Dans les recherches consacrées à la mise en scène discursive, on relève deux types de modalisateurs discursifs. Lesquels?
A

Les modalisateurs épistémiques et les modalisateurs polémiques.

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16
Q
  1. Donnez trois phrases simples impliquant un modalisateur épistémique.
A

1/Je sais que je vais avoir mon examen (implicatif).
2/ Il faut que je révise davantage (nécessité).
3/je m’imagine que je n’y arriverai jamais (contre-implicatif).

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17
Q
  1. Donnez trois phrases impliquant un modalisateur polémique.
A

1/Je suppose que demain il fera beau (non implicatif).
2/ Il est possible que nous mangions dehors (objectival).
3/Je ne sais pas si je viendrai (indéfini)

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18
Q
  1. Parmi les différentes catégorisations possibles des situations d’interactions verbales que propose Kerbrat-Orecchioni (1990, 1992, 1998)?
A

Il propose un modèle d’analyse basé sur une succession d’unités de rang, emboîtées les unes aux autres structurant les échanges conversationnels.

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19
Q
  1. Sur quel type d’unités, Kerbrat-Orecchioni base-t-il son analyse?
A

Sur l’acte de langage, l’intervention et l’échange.

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20
Q
  1. Qui base son analyse sur l’acte de langage, l’intervention et l’échange?
A

Kerbrat-Orecchioni (1990, 1992, 1998)

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21
Q
  1. Que propose Bales en 1951?
A

Un modèle d’analyse des interactions dans les groupes représenté par une grille d’analyse composé de 12 catégories.

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22
Q
  1. Comment obtenir une grille d’observation pouvant être utilisée pour analyser en temps réel les interactions d’un petit groupe?
A

En distinguant les 12 catégories de Bales selon leur orientation (résolution de problèmes ou activités sociocognitives), leur nature (apport ou demande) et leur polarité (positive ou négative).

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23
Q
  1. Qu’ont Introduit Bromberg et Landré en 1993? Dans quel but?
A

La notion d’acte de parole afin de rendre compte des actions et interaction des acteurs d’une interlocution.

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24
Q

25.Qu’ont intégré Chabrol et Bromberg (1999) à la grille de Bromberg et Landré (1993)?

A

Ils intègrent les “sphères de communication” ce sont des catégories décrivant les grandes fonctions de communication.

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25
Q
  1. Dans le modèle de Chabrol et Bromberg (1999) à quoi correspond la sphère de l’information?
A

À informer à propos des objets du monde dans le but de co-construire un environnement mutuellement manifeste.

26
Q
  1. Dans le modèle de Chabrol et Bromberg à quoi sert la sphère de l’évaluation?
A

A évaluer pour marquer l’attitude d’un locuteur, dans le but d’établir un système de croyances dominant.

27
Q
  1. Dans le modèle de Chabrol et Bromberg (1999) à quoi sert la sphère actionnelle?
A

Inciter afin d’engager autrui à faire ou à ne pas faire quelque chose ou s’engager soi-même à accomplir des actions ou à s’en abstenir.

28
Q
  1. Dans le modèle de Chabrol et Bromberg (1999) à quoi sert la sphère interactionnelle?
A

À reconnaître les qualités du locuteur, l’accuser, le complimenter, s’excuser, prendre une position haute ou basse.

29
Q

30.Dans le modèle de Chabrol et Bromberg (1999) à quoi sert la sphère contractuelle?

A

À gérer ou réguler la communication et les contrats, notamment à travers les formules de politesse ou l’évocation des implicites (objectifs, durée de la conversation par exemple).

30
Q
  1. Citez les 4 étapes d’une recherche.
A

1/L’analyse de la demande.
2/Le recul conceptuel.
3/ L’opérationnalisation de la réponse et production du corpus.
4/L’analyse de contenu.

31
Q
  1. Un comportement est:
A

Une manifestation observable de l’activité d’un individu.

32
Q
  1. Que permet dans une certaine mesure l’analyse des comportements et de leur signification?
A

D’accéder aux états mentaux et de les décoder.

33
Q
  1. Quelle est la réalité théorique sous-jacente aux méthodes d’analyse en psychologie sociale concernant le comportement langagier?
A

Le comportement langagier est observable par le biais d’outils permettant l’identification ou la construction d’indicateurs.

34
Q
  1. VRAI ou FAUX: selon Berelson (1971) “l’analyse de contenu serait une technique de recherche pour la description subjective, systématique et qualitative du contenu manifeste des communications”.
A

FAUX: Elle ne serait une technique de recherche pour la description objective, systématique et quantitative du contenu manifeste des communications.

35
Q
  1. Quelles sont les apports possibles de la méthode d’analyse de contenu?
A

L’analyse de contenu permet d’identifier et de déterminer les catégories thématiques d’un discours produit.

36
Q
  1. Donner une définition de l’hyponymie avec un exemple.
A

Deux unités lexicales sont dites hyponymes lorsqu’elles entretiennent un rapport d’inclusion sémantique. On dit alors de “livre” qu’il est éponyme de “lecture”

37
Q
  1. VRAI OU FAUX: deux unités lexicales sans dites hyponymes lorsqu’elles entretiennent un rapport d’inférence sémantique. Ont dit alors de “journal” qui est un hyponyme de “actualité”.
A

FAUX: deux unités lexicales sont dites hyponymes lorsqu’elles entretiennent un rapport d’inclusion sémantique. On dit alors de “livre” qu’il est un hyponyme de “lecture”.

38
Q
  1. Quelles sont les deux grandes stratégies pour analyser un corpus?
A

1/La catégorisation “a priori”: savoir ce que l’on cherche est aller repérer sa présence dans le corpus.
2/La catégorisation “a posteriori”: constituer des catégories thématiques sans “a priori” en se laissant guider par le contenu.

39
Q
  1. En quoi consiste la catégorisation “a priori”?
A

Savoir ce que l’on cherche et aller repérer sa présence dans le corpus.

40
Q
  1. En quoi consiste la catégorisation “a posteriori”?
A

À constituer des catégories thématiques sans a priori en se laissant guider par le contenu.

41
Q
  1. Le principe de catégorisation thématique consiste à déterminer des catégories…
A

Exhaustive et mutuellement exclusives elles doivent rendre compte de la totalité du texte et doivent se différencier les unes des autres.

42
Q
  1. Quelles sont les 4 étapes de l’analyse de contenu?
A

1/Lecture d’un échantillon du corpus. 2/création d’une ébauche de catégorie. 3/test de l’ébauche.
4/Ajustement de la catégorisation selon le contenu des entretiens.

43
Q
  1. Donnez les quatre étapes-type d’une étude basée sur le raisonnement hypothético-déductif.
A

1/Analyse de la demande.
2/ Recul conceptuel.
3/ Opérationnalisation de la réponse et production du corpus.
4/analyse de contenu.

44
Q

45/dans l’étude de Bromberg et Tijus (2001), quelle est l’hypothèse des auteurs concernant “sécurité” et “insécurité”?

A

Sécurité et insécurité ne serait pas deux pôles d’une même dimension mais constitueraient deux modes de représentation différents.

45
Q
  1. Pourquoi Bromberg et Tijus constituent deux groupes d’interviewés traitant l’un de l’insécurité et l’autre de la sécurité?
A

Si l’on interroge chaque sujet sur la sécurité et la sécurité ils risqueraient de donner des réponses construites par contraste, la sécurité et l’insécurité seraient alors perçues comme les deux pôles d’une même dimension ce qui rendrait l’hypothèse difficilement vérifiable.

46
Q
  1. Dans la représentation d’un lieu public idéal qu’est ce qui génère un sentiment de sécurité?
A

L’environnement immédiat et la présence de représentation de l’ordre public.

47
Q
  1. Dans la représentation d’un lieu public idéal, qu’est-ce qui fait diminuer le sentiment d’insécurité?
A

La présence d’acteurs sociaux hors sécurité et la présence d’une dimension interactionnelle et communicationnelle.

48
Q
  1. VRAI ou FAUX: Ghiglione et Trognon (1993) : Selon les situations communicatives, les interlocuteurs vont mobiliser des programmes Cognitivo-discursifs qui orienteront la sélection de telle ou telle catégorie de mots selon les buts visés.
A

VRAI

49
Q
  1. VRAI ou FAUX: les traces des activités cognitives peuvent être relevées seulement à partir de l’analyse du contenu propositionnel du langage.
A

FAUX

50
Q

51: VRAI ou FAUX: Face à un objet thématique donné et selon son attitude préalable, l’individu active un programme cognitivo-discursif consistant avec cette attitude. Bromberg et Trognon (1993).

A

VRAI

51
Q
  1. VRAI ou FAUX: selon le programme Cognitivo-discursif en fonctionnement, la mise en scène discursive est réalisée grâce à une sélection pertinente de catégories de verbes, d’adjectifs, de pronoms, de joncteurs et de modalisateurs. (Bromberg et Trognon, 1993).
A

VRAI

52
Q
  1. Bromberg et Trognon ont mis en évidence deux catégories de modalisateurs. Lesquels?
A

Les modalisateurs épistémiques et les modalisateurs polémiques.

53
Q
  1. “Il faut détruire Carthage” contient un modalisateur…
A

épistémique

54
Q
  1. “Une personne de grande taille n’est peut-être pas forcément douée pour le basket ball” contient un modalisateur…
A

polémique

55
Q
  1. “Il est évident que ce chien est poilu” contient un modalisateur…
A

épistémique

56
Q
  1. “Je suppose que j’aurais une bonne note à ce devoir” contient modalisateur…
A

polémique.

57
Q
  1. “Je pense que cela n’est pas impossible” contient un modalisateur…
A

polémique

58
Q
  1. “C’est comme ça et pas autrement” contient un modalisateur…
A

épistémique

59
Q
  1. Comment l’analyse de contenu langagier permet de contourner le biais de désirabilité sociale?
A

En mesurant indirectement l’attitude des interviewés, par exemple à travers l’étude des marqueurs langagiers.

60
Q
  1. Quel est le protocole de l’analyse de contenu?
A

L’analyse de contenu applique un protocole de mesures précises sur des indicateurs langagiers observables, comme le relevé du nombre de modalisateurs épistémiques ou polémiques présents dans le discours.

61
Q
  1. L’analyse de contenu est une méthode…
A

…rigoureuse de qualification et de quantification des données.

62
Q
  1. Quels sont les points importants à retenir du cours “collecte et analyse des données”?
A

1/Le déroulement global d’une étude (différentes étapes).
2/ le principe de la méthode d’analyse de contenu verbal (mise en place, avantages, exigences, évitement de certains biais, objectivité).
3/ Processus de catégorisation thématique.