4-Analyse de contenu Flashcards

0
Q
  1. Donnez les deux étapes de l’analyse de contenu.
A

1/Analyse du matériau discursif

2/ Interprétation

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0
Q
  1. Que prennent en compte les logiciels d’analyse lexicographiques?
A

Les logiciels prennent en compte les co-occurrence de suites de caractères sans se soucier de leur sens.

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Q
  1. Que prennent en compte les logiciels d’analyse sémantique?
A

Ils catégorisent les mots dans des classes d’inclusion à partir de dictionnaire. Leurs analyses sont utiles face à de gros corpus.

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1
Q
  1. Quels sont les deux méthodes d’analyse automatisée?
A

1/L’analyse lexicographique

2/l’analyse sémantique

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2
Q
  1. Quelles sont les deux raisons pour lesquelles les méthodes d’analyse automatique sont-elles si prisées?
A

1/Elles sont moins empreintes de subjectivité.

2/Le travail d’analyse intervient plus tard et se focalise sur l’interprétation.

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2
Q
  1. Que se passe-t-il pendant l’étape d’analyse automatique?
A

L’analyste s’efface et laisse le logiciel identifier l’ensemble des opérations constituant l’analyse du discours; découpant, organisant, catégorisant la matière discursive selon des principes clairement définis.

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3
Q
  1. Quel est le principal avantage de l’analyse manuelle?
A

Plus subtile pour analyser un entretien et construire des catégories signifiantes.

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3
Q
  1. Vers quel objectif on tend, surtout lors de la phase de constitution des catégories?
A

L’objectivité.

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4
Q
  1. Les analyses lexicographiques automatisées présupposent-elles des significations?
A

Non, elles relèvent de la catégorisation a postériori.

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6
Q

10.Quelles sont les trois méthodes souvent associées dans le cadre d’expérimentations?

A

L’analyse de contenu, la démarche exploratoire et la méthodologie d’observation.

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8
Q
  1. Quel est le préalable théorique à l’analyse de contenu?
A

Le discours est à la fois le reflet des représentations du sujet mais aussi la trace des activités cognitives de l’énnonciateur. On devrait y retrouver les traces de ces activités cognitives.

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10
Q

14.Qu’est-ce qui donne aux informations un statut de vérité non contestable?

A

Les modalisateurs épistémiques

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11
Q
  1. Selon Ghiglione et Trognon (1993) en fonction de quoi se mobilisent les programmes cognitivo-discursifs? Que vont-ils orienter?
A

Selon les situations communicatives. Les programmes cognitivo-discursifs orienteront la sélection de telle ou telle catégorie de mots selon les buts visés.

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13
Q

13.Citez quatre types de modalisateurs épistémiques et leurs fonctions.

A

1/Les verbes implicatifs (savoir que, regretter que) qui s’opposent aux verbes contre-implicatifs qui présupposent la fausseté de l’information.
2/ Les modalisateurs comme “il faut que” qui introduisent un caractère de nécessité.
3/ Les adjectifs dit objectifs rendent compte de la certitude du locuteur.
4/Les déterminants défini qui alimentent le degré d’existence de l’objet.

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14
Q
  1. A quoi servent les modalisateurs dits “polémiques”
A

Ils donnent à l’information un statut de vérité contestable (expression d’une opinion).

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15
Q
  1. Citez 4 modalisateurs polémique.
A

1/ Les verbes non implicatifs.
2/ les modalisations non objectivales.
3/ les adjectifs subjectifs (incertitude)
4/ les déterminants indéfinis

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16
Q
  1. Quelle est la fonction des verbes non implicatifs utilisés en tant que modalisateurs polémiques?
A

Ils ne font aucune présupposition sur la vérité/réalité de la proposition ( penser que, supposer que, croire que).

17
Q
  1. Quelle est la fonction des modalisations objectivales utilisées en tant que modalisateur polémique?
A

Ouvre la possibilité d’expression de points de vue adverses.

18
Q
  1. Que valide la recherche sur le thème des marqueurs langagiers de l’attitude raciste de Castel, Lacassagne Ndobo, 1999?
A

Elle valide les hypothèses à propos de l’utilisation contrastée des modalisateurs épistémiques et polémiques.

19
Q
  1. Quelle est la variable indépendante dans la recherche sur les marqueurs langagiers de l’attitude raciste?
A

On interroge les sujets réputés non racistes sur des sujets réputés racistes.

20
Q
  1. Comment sont construites les variables dépendantes de la recherche sur le thème des marqueurs langagiers de l’attitude raciste?
A

À partir d’indicateurs discursifs suite à l’enregistrement la retranscription et le codage des entretiens et la pondération du nombre d’indicateurs.

21
Q
  1. Comment vérifie-ton la variable indépendante “choix de la population” dans cette recherche?
A

Les sujets réputés racistes sont contre le mariage mixte (fréquence d’arguments négatifs) donc le choix de la population est légitime.

22
Q
  1. Comment compare-t-on les moyennes dans ce type d’étude?
A

Par analyse de la variance (ANOVA)

23
Q
  1. Quelle est la particularité de l’indice épistémique des discours réputés racistes?
A

L’indice épistémique des discours réputés racistes est presque trois fois plus grand que celui des discours non raciste.

24
Q
  1. Comment expliquer le poids de l’indice épistémique des discours réputés racistes?
A

Le statut de vérité associé à la prise en charge personnelle envoie un monde unique avec la Doxa “on” qui repose sur une croyance normative.

25
Q
  1. Comment expliquer le faible poids de l’indice épistémique des discours réputés non racistes?
A

Le statut de possibilité (relativisation polémique) associé à la prise en charge personnelle présuppose l’existence d’au moins deux mondes celui du locuteur et celui de l’autre.

26
Q
  1. Quelle est la conclusion des auteurs de la recherche?
A

Face au problème du mariage mixte les sujets réputés racistes se poseraient comme relais d’un idéal qui les transcende (pureté de la race par exemple) alors que les sujets réputés non racistes se poseraient comme participant à un éventuel débat.

27
Q
  1. Définir une conversation.
A

Une conversation est un échange ou unité d’échange constitué de deux ou trois interventions.

28
Q
  1. Définir l’échange.
A

Plus petite unité dialoguale qui compose l’interaction constituée d’au moins deux tours de paroles de locuteurs différents.

29
Q
  1. Définir l’intervention.
A

Plus grandes unités monologales composant l’échange, de composée d’un (intervention simple) ou de plusieurs (intervention complexe) actes de langage.

30
Q
  1. Définir “acte de langage”.
A

Plus petite unité monologale constituant l’intervention.

31
Q
  1. Qu’est-ce que “dire”?
A

Dire c’est transmettre des informations mais aussi “faire”, agir sur autrui est sur le monde (promettre, évaluer, inciter).

32
Q
  1. Dans la typologie de Bales citez les deux catégories orientées vers la résolution du problème ainsi que leurs sous catégories.
A

Apports: suggestion, Opinions, informations.
Demandes: Informations, opinions suggestions.

33
Q
  1. Dans la typologie de Bales citez les deux catégories orientées vers les activités sociaux-affectives et leurs sous catégories.
A

Positif: Solidarité, détente, approbation.

Négatif: Désapprobation, tension, antagonisme.

34
Q
  1. Quels sont les avantages de la grille de Bales?
A

Cette grille à l’avantage de la simplicité, elle peut être utilisée en temps réel lorsqu’un observateur analyse les interactions de petits groupes.

35
Q
  1. Citez une autre grille que celle de Bales.
A

La grille de Bromberg et Landré, 1993, analyse les stratégies discursives, introduisent la notion d’acte de parole.

36
Q
  1. Que rend compte la notion d’acte de parole? Par qui à-t-elle été introduite? en quelle année?
A

La notion d’acte de parole rend compte des actions de chacun des acteurs de l’interlocution mais aussi de leurs interactions. Bromberg, Landré, 1993.

37
Q
  1. Selon Chabrol et Bromberg, 1999, on communique pour déterminer cinq dimensions, lesquelles?
A

1/Ce qu’il faut savoir à propos du monde: sphère de l’information.
2/Ce qu’il faut croire comme opinion: Sphère de l’évaluation.
3/Ce que l’on croit, veux ou peut faire: sphère actionnelle.
4/Pour être et paraître sphère interactionnelle.
5/ pour réguler les échanges et maintenir le contrat; sphère contractuelle.

38
Q
  1. En fonction de quoi, la structure interactionnelle de tout dialogue évolue-t-elle?
A

En fonction des capacités interlocutoires des locuteurs.

39
Q
  1. Quel rôle joue l’insulte dans la structure interactionnelle?
A

L’insulte est un moyen de déstabilisation qui peut modifier le rapport de place.

40
Q
  1. Que permettent les capacités rhétoriques et argumentatives?
A

Elles permettent à l’interlocuteur de renforcer sa position et de fragiliser celle de son allocutaire.

41
Q
  1. Qu’est-ce qui est prioritaire dans l’utilisation des grilles d’analyse?
A

La connaissance du contexte de production et des statuts et rôles des interlocuteurs.