3. vaginoses, vaginites et infections parasitaires Flashcards
vaginose bactérienne (mado? 3 types)
NON MADO!
gardnerella vaginales
ureaplasma urealyticum
mycoplasma hominis
- sont pas considérées comme ITSS
- ils sont déja présentes dans la flore vaginale et le tract urinaire normal
- c’est leur SURPRÉSENCE qui cause des pathologies.
- toutefois, les relations sexuelles et d’autres facteurs peuvent causer un débalancement de la flore et du PH vaginal qui va favoriser leur prolifération
prélèvement normal : vaginose
test de ph = pH moins de 4.5
prep a l’état frais (secretions sur lame, examiner au microscope, on vérifie la présence de leucocyte, de lactobcilles, de levures et de trichomonas) = cellules épithéliales et globules blancs
prep frais + KOH = négative (aucun odeur)
coloration de Gram = prédominance de gram positif (mauve)
vaginose bactérienne définition
- la vaginose bactérienne est le terme clinique décrivant une altération de la composition du microbiote vaginal (flore vaginale)
- cette flore est dominée par l’espece lactobacillus devient appauvrie en lactobacilles protecteurs et a une prolifération massive d’une flore mixe anérobique, donc prolifération des 3 bactéries.
différence entre vaginose et vaginite
vaginite = inflammation du vagin, souvent associée a l’inflamm de la vulve, et est essentiellement d’origine sexuellement transmissible
- elle ne doit pas etre confondue avk la vaginose qui elle est pas sexuellement transmissible, et est juste dus a un désiquilibre de la flore, meme si certaines vaginoses vont entrainer une vaginite.
- vaginose peut se produire sans contact sexuel (stress, alimentation)
épidémiologie de gardenerella vaginalis
- encore plus courante que la candidose
- 10 à 64% des femmes
- pas de prévalence dans l’urete pénien (porteur de la bactérie mais y se passe rien)
épidémiologie d’ureaplasma urealyticum
présente dans les voies génito-urinaires de 40-80% des personnes actives sexuellement, qui sont majoritairement en santé et asymptomatiques
urètre pénien: moins fréquent, mais colonisation est associee au jeune age (20 ans)
facteurs de risques aux vaginoses bactériennes
douche vaginale, utilisation de dispositifs contraceptifs intra-utérins, nouveaux ou multiples partenaires sexuelles, contact avec la flore de l’urètre pénien, le tabagisme, le stress chronique, l’utilisation de contraceptifs
vaginose bactérienne: modes de transmissions
SEXUELLE
gardnerella vagnialis : pas reconnue comme une itss
ureaplasma urealyticum & mycoplasma hominis: le rôle des 2 bactéries dans l’appartion d’infections génitales est controversé. les études divergent, on jamais vrm prouvés le caractère sexuellement transmissible.
CONGÉNITALE
ureaplasma urealyticum: 3 facons: infection intra-utérine ascendante, diffusion hématogene pr le cordon ou passage a travers la filiere pelvi-génitale infectée qui peuvent tt entrainer la colonisation de la peau de l’enfant
mycoplasma hominis: le risque de transmission verticale de la personne enciente a l’enfant est elevé mais perdure pas longtemps apres la naissance. les infectionss intra utérines sont rare mais possibles et la bactérie semble pas causer de pathologie spécifique chez l’enfant
vaginose bactérienne: signes et sx
asympptomatiques dans 50% des cas
leucorrhées (Fréquent) = pertes vaginales homogènes, blanchatres, grisatres, abondantes
démangaisons + brulure (fréquent) = notamment apres rapport sexuels, du a l’hyperdesquamation de la muqueuse vaginale
odeur désagréable (fréquent): odeur de possion pourri
un ph vaginal plus grand que 4.5 ( fréquent )
pr inféction pénienne: urétrite!
vaginoses bactériennes : complications
endocervicite (rare): inflammation du col de l’utérus possiblement a l’origine des douleurs, pertes et/ou saigmenets anormaux en dehors des règles
endométrite (Rare): inflamm. de la cavité utérine possiblement a l’origine de fievre, douleurs, pertes et/ou saigmenets anormaux en dehors des règles, peuvent etre asso a trouble de fertilité
salpingite (Rare): infections des trompes utérines
prostatite : inflamm de la prostate
epidydimite: inflamm de l’épidydime
incubation et p. fenetre des vaginoses bactériennes
sont pas des ITSS
pas de periode d’incubation, plutot une prolifération des bactéries, mais pas de bareme exact sur leur vitesse de leur prolifération
p fenetre: s’applique pas vu que bactéries sont déja présente dans la flore vaginale normale.
vaginose bactérienne; DX
analyse du ph: ph anormal, soit plus que 4.5
prep a KOH: odeur d’amine
prep frais: présence de clue cells
traitement des vaginoses bactériennes
symptomatique
le meme pr les 3 bactéries
métronidazole, 500g, PO, 2 fpj, 7 jours (impt pas boire)
2 autres traitements topiques
asymptomatique
traitement juste nécessaire qd….. grossesse a risque elevée, avant une chirurgie gynéco, avant pose stériliet, avant avortement…
vaginose bactérienne: recommendation post-traitement
doivent pas boire d’alcool pendant le traitement ainsi que ds les 24 heures suivant le traitement au métronidazole du au effet antabus
une creme est a base dhuile et peut nuuire a l’Efficacité du comdon en latex.
candidose vulvo vaginale (candidose albican)
- présent ds 40-80% des voies génito-urinaires desw femmes actives sexuellement, qui sont majoritairement asymptomatique.
- considéré comme faisant partie de la flore vaginale normale, mais peut causer une pathologie quand il est trop présent
candidose épidémiologie
- presde 75% des fremmes auront au moins 1 episode de CVV et 5-10% plus qu’un
chez l’homme: bcp moins fréquemment (colonisation associée au jeune age)
CVV : facteurs de risques
partenaires sexuels nouveaux ou multiple (contacte avec flore de l’uretre)
usage d’antibiotiques
corticostéroides (Affaiblissement syst immunitaire)
diabète mal maitrisé
immunodépression
grossesse
CVV : mode de transmission et contagiosité
- pas considéré comme ITSS
- toutefois possible d’avoir transmission vagino-penienne
- aucune info selon la transmission parent-enfant
contagiosité: pas possible de l’établir pcq c’est un débalancement d’un orgqanisme deja présent ds les flores
CVV : signes et sx
sx : asymptomatique ds 20% des cas
pertes vaginales, picotements, dysurie externe, dyspareunie superficielle
signes:
pertes blanches, en grain ou en mottes
erythrème et oedème du vagin et de la vulve
infection penienne (Rare):
prurit, rougeur, suintement superficiel, rarement des petits ulcères (surtout chez les non-circonsis)
CVV: complications
- mycose vaginale est pas dangeureuse et guérit souvent spontanément
- mais conseillé en cas de grossesse ou de l’apparition de sx de consulter medecin pour instaurer traitement
CVV: incubation/ pé. fenetre
incubation: pas considéré comme itssw, donc pas p. d’incubation mais prolifération a vitesse variante.
p. fenetre: s’applique pas pccq deja présent.
CVV: dx
analyse du ph vaginal : moins ou égal a 4.5
prep KOH: aucune odeur poisson
prep etat frais: on releve les levures ou filaments pseudo mycéliens
CVV: traitement
asx: pas necessaire
sxmatique: antifongique
CVV: recommendations post traitement
aucun suivi necessaire sauf si sx persistent ou sont récurrents