3 La pitié, la détresse et l’altruisme Flashcards
Aider pour regler l’etat d’humeur, 3 situations
Les individus s’engagent quelquefois dans des comportements pro-sociaux pour régler leurs états d’humeur
- La probabilité d’aider est donc élevée dans un état d’humeur négative (SCHALLER & CIALDINI, 1990). - La probabilité d’aider est réduite si l’aide a des conséquences négatives pour celui qui aide (CIALDINI et al., 1973). - Mais la probabilité d’aider est aussi augmentée dans un état d’humeur positive – probablement pour maintenir l’état affectif positif (ISEN & LEVIN, 1972)
Les dons monétaires et le bien-être
Prosocial spending predicting Well-Being
L’étude de CIALDINI et KENRICK (1976)
Enfants qui donnent des coupons ou non
RESULTAT: Dans une humeur négative, l’amplitude de l’aide augmente avec l’âge des enfants
INTERPRETATION: Il faut apprendre qu’on peut régler son état affectif par le comportement pro-social
L’hypothèse «d’empathie – altruisme»: BATSON et al. (1981)
Différence:
Altruisme–>
L’intention d’améliorer la situation des autres en l’absence de l’intention d’améliorer sa propre situation
Comment l’altruisme est déclenché?
–> par l’empathie qui entraîne la pitié
si on essaye d’aider l’autre pour se sentir soi-même mieux c’est un comportement egoïste
Empathy-altruism hypothesis (based on Batson 1991)
La logique des tests empiriques de l’hypothèse d’altruisme
Quand l’empathie est basse est que la motivation est de façon egoïste on a plus tendance a fuire que d’aider, alors quand l’empathie est forte et non egoistic on a plus tendance a vouloir aider.
L’altruisme? –L’étude de BATSON et al. (1981) Elaine qui reçoit des coups de chocs
L’hypothèse: Aider malgré la possibilité de fuir devrait refléter l’altruisme.
Résultat: Si l’empathie est facilité, on aide même s’il est facile de fuir.