Zizi Flashcards
petit bassin
contient organes péritonéaux
extrapéritonéal/sous-péritonéal
grand bassin
contient les viscères digestives, endopéritonéal
urètre masculin
plus long que le féminin
car va jusqu’au bout du gland
en moyenne 18cm
concave vers l’avant dans le petit bassin
prostate
glande sexuelle masculine
traversé par l’urètre
pas une glande endocrine, elle est exocrine
hormono-dépendante (testostérone, et estradiol)
parties de la prostate
prostate antérieure
prostate centrale/craniale
prostate caudale
prostate transitionnelle => en cause dans les tumeurs prostatiques
physiologie prostatique
sécrète le plasma séminal
99% du volume de l’éjaculat
1% spermatozoïdes qui viennent des vésicules séminales
plasma séminal
glandes de Cowper
il y a-t-il des prolapsus de la vessie chez l’homme ?
non
incontinence à l’effort chez l’homme
non, pas comme chez la femme. Mais pseudo-incontinence à l’effort.
centre sympathique dorso-lombaire
T11-L2
nerf hypogastrique
se sépare => col vésical (contracté) et lame vésical (relâché)
noradrénaline
“c’est sympathique d’être continent”
=> sympathique = continence passive
centre parasympathique sacré
S3-S4
déclenche la miction
contraction du détrusor/dome vésical
Acétylcholine
noyau d’Onuf
S3-S4
acétylocholine
contraction volontaire du sphincter vésical externe ?
continence volontaire
andropause
pas de pause comme pour les femmes
???
taille de la prostate
augmente tout au long de la vie, particulièrement à partir de 50 ans
adénome prostatique
hypertrophie bénigne de la prostate
peut causer une dysurie
adénome prostatique
produit des lobes latéraux qui perturbe la miction
diminution du débit urinaire
utilité d’une échographie
permet d’évaluer le volume et donc le poids de la prostate
mais erreur de ± 30%
lobe médian
manière de se développer d’un adénome prostatique
pousse vers le haut
pas de problème vésicaux
cause peu de troubles, peut atteindre des tailles importantes
étiopathogénies de l’adénome prostatique
1) théorie hormonale : diminution de la testostérone lors de l’andropause => déséquilibre entre testostérone et œstradiol
2) théorie tissulaire : au niveau de la zone transitionnelle => facteurs de croissance, activité embryonnaire qui revient => dérèglement des facteurs de croissance due à la diminution de la testostérone.
qu’et-ce qu’il se passe si on ne traite pas ?
rétention aigue d’urine
=> on ne sonde pas, sinon on va blesser le patient.
cathéter sus-pubien (aiguille)
examen pour la miction
débimètre
infections
pas d’infections urinaires chez l’homme (infection …)
MAIS :
prostatite
…
Lithiase
calcul dans la vessie
hématurie
sang dans les urines :
- microscopique (qui se voit uniquement au microscope) => souffrance du rein
- macroscopique => problème de la vessie ou de l’urètre.
insuffisance rénale
peut causer la mort
nécessite une dialyse
reins en surpression car problème vidage vessie.
toucher rectal
important
teste la consistance
- souple, élastique = adénome
- dure, ligneuse = cancer !!
limites :
- bien ou mal limité
examen pour voir l’intérieur de la vessie
endoscopie
sous AG (car rigide)
permet éventuellement d’opérer le patient
TTT chirurgical
- adénomectomie trans-vésicale réglée (on n’enlève que l’adénome, il reste de la prostate)
- résection trans-urétrale : plus moderne, beaucoup plus long mais on ne passe pas à travers le ventre. avec endoscopie. C’est Itératif !
résection trans-vésical
plus moderne,
beaucoup plus long mais on ne passe pas à travers le ventre.
Avec endoscopie.
C’est Itératif ! Il faut recommencer tous les 10 ans.
UROLIFT
opération très récente qui ne traite pas l’adénome mais la dysurie.
permet l’ouverture de l’urètre à travers la prostate
quelque soit l’opération chirurgicale…
on fait le sacrifice du col vésical et de…
incontinence
plus de fonction reproductrice mais fonction sexuelle préservée.
épidémiologie cancer prostate
3e rang de mortalité en France
Cancer le plus fréquent chez l’homme en France
Après 50 ans, 1 homme sur 7
1/3 des patients en meurent
prédisposition au cancer de la prostate
groupe sanguin A
association avec adénome
pas de lien avec l’activité sexuelle
pas de lien avec la circoncision
facteurs de risque du cancer de la prostate
- > 55 ans
- ATCD familiaux de cancer de la prostate
- Facteurs ethniques => Antilles, Afrique
- facteurs hormonaux
- facteurs environnementaux (?)
éxamens adénocarcinome prostate
- échographie trans-rectale
- biopsie prostatique (par voie périnéale)
- IRM
histopathologie de l’adénocarcinome de la prostate
c’est le bordel dans les cellules
diminue la différentiation
score de Gleason
évalue la différentiation tumorale
de bien différentiées (sain) à non différentiées (patho).
Système TNM
T = tumeur
- T1 = pas palpable, non visible à l’écho
- T2 = localisée, au centre, n’aborde pas la capsule
- T3 = aborde la capsule, non-opérable.
- T4 = sort de la capsule, non-opérable
N = node => atteinte les ganglions
M = métastase
P.S.A.
prostatic specific antigen
marqueur tumoral de l’adénocarcinome
pas spécifique de la tumeur mais spécifique de la prostate. augmente en cas de toucher rectal, et d’activité sexuelle ardente.
servent à surveiller la maladie, pas à la diagnostiquer
normalité = 4ng/ml
P.A.P.
prostatic acid phosphatase
on le fait juste si ya métastase
surveillance => SI plus de PAP, plus de phosphatase
Progression tumorale
- Locale : franchis la capsule, vésicules séminales
- régionale
- générale : métastases osseuses +++, pulmonaires et …
traitements curatifs
pour T1 et T2
- prostatectomie radicale
- radiothérapie externe
- curiethérapie (ou brachythérapie)
traitement palliatif
- TTT hormonal => supprimer la testostérone (qui fait flamber le cancer) => on donne des oestrogène
- chimiothérapie
prostatectomie radicale (ou totale)
- on enlève toute la prostate et les vésicules séminales
- on préserve les bandelettes vasculo-nerveuses
- on perd la lame …
- on enlève les ganglions ilio-obturateurs
- anastomose rétro-vésicale
indiqué pour T1 T2 N0 M0
espérance de vie 10ans si chir bien faite (voie guéri !)
conséquences immédiates de la prostatectomie radicale
70% de dysfonctionnement érectile
incontinence urinaire (incidence variable…)
radiothérapie conformationnelle
accélérateur linéaire de particule, collimateur multilames, système d’imagerie numérique
pré planning => repérage de la prostate par scanner
l’appareil tourne comme ça on touche au max la tumeur et on touche au minimum les tissus environnant
Curiethérapie (brachythérapie)
indication : T1 T2, pas de métastases…
insertion de graines (une centaine) radioactives dans la prostate (iode 125, palladium 103), demi-vie courte, au bout de 6 mois plus de radioactivité
incontinence rare, impuissance minime.
Hormonothérapie
- antagonistes de la LHRH (décapeptyl)
- anti-androgènes périphériques (androcur)
- oestrogènes
- diéthylstilbestrol
chimiothérapie
associée avec la corticothérapie
immunothérapie
premier “vaccin” contre le cancer. la maladie est déjà là mais on réveille le système immunitaire.
Autologue : on prélève du sang, on entraine l’immunité et on réinjecte le sang “entrainé” dans le patient.
pas un vrai vaccin, car vu comment c’est cher on ne le fait pas chez des gens sains
définition de l’incontinence
c’est flou :
- pas de fuites ?
- pas de protection ?
- fuites non gênantes ?
- une seule protection par jour ?
selon le contexte
rééducation
protocole standardisé
rééducation pré-opératoire
rééducation post-opératoire
rééducation pré-opératoire
5 séances
pourquoi les hommes sont mieux que les femmes ?
Les hommes savent contracter leur périnée de manière inée.
principe kiné après opération prostate
- évaluer les symptômes par rapport au bilan pré-op
- agir sur les troubles vésicaux : électrostimulation basse fréquence
- améliorer la proprioception périnée-sphinctérienne
- …
rééducation post-op
20 séances tri-hebdomadaire, on commence immédiatement :
- thérapie manuelle
- electrostimulation, biofeedback
- thérapies comportementales
- programmes d’exercices à domicile
- adaptation des aides à l’incontinence
Pad-Test des 24h
le patient achète des protection, on les numérote, sur 24h on voit combien de protection il utilise, on pèse les protections (dans des sacs hermétiques) et on voit combien ils perdent par miction…
courant d’électrothérapie
courant alternatif
biphasique
moyenne nulle
front raide
vessie : 10 Hz (permanent) pendant 20min
Périnée : 50-80 Hz
stimulation tibiale postérieure
sous malléolaire, 3 travers de doigts sous la malléole
inhibe la vessie
biofeedback
objectiver la fonction périnéale à l’aide de signaux visuels et auditifs
améliorer la prise de conscience
nécessite des capteurs
plan musculaire superficiel muscles périnée femme
plan moyen muscles périneaux femme
muscle transverse profond
centre tendineux du périnée
sphincter strié de l’urètre
rôle des muscles périnéaux superficiels et moyens (femme)
plan profond (femme)
voir diapo !!
structure musculaire des muscles périnéaux
Fibres 1 => sphincter
Fibres 2 => élévateurs
biomécanique pelvis-péritonéale, femme
angle de 140° au repos
devient 180° lors de l’acte => relâchement pour permettre la pénétration.
fermeture du cap vaginal angle de 110° mobilisation du centre tendineux, augmentation du tonus péritonéal.
pendant la période d’excitation (niveau végétatif :
Accélération de la respiration
Accélération rythme cardiaque
Augmentation de la tension artérielle
Accroissement de la tension musculaire
mécanisme de l’érection
déséquilibre de l’apport artériel (augmenté) et le retour veineux (diminué)
compression des veines de retour par l’apport artériel important. augmentation de la pression dans les corps caverneux
artères caverneuses
artères dorsales
controle végétatif de l’érection
sympathique => relâchement
parasympathique => érection
étymologie orgasme et éjaculation
orgasmos : bouillonner d’ardeur
jaculari : javelot
étapes de l’éjaculation
- Émission : contraction des épididymes, canaux déférents, vésicules séminales
- Ballonisation de l’urètre : fermeture des vésicules séminales
- Expulsion :