wtf Flashcards
• Symptômes et signes non spécifiques problèmes de déglutition :
o augmentation de la durée des repas
o Perte de poids involontaire
o Dysphonie
o Mouvements anormaux ou posture inhabituelle de la tête
o Refus de manger (enfants, personnes âgées)
o Fausse route
o Infection respiratoire
tout signes d’aspiration :
i. Incapacité à dégager les sécrétions
ii. Toux fréquentes ou chroniques
iii. Modification de la voix après déglutition
iv. Larmoiement
• Bon outil doit :
o Être administré rapidement
o Nécessiter peu d’équipement
o Évaluer l’état d’alerte, prise d’eau en continue, état respiratoire et changement de voix
• Problème de déglutition après AVC :
dysfonction motrice dans la région oro-pharyngée
o Faible initiation de déglutition de la salive
o Inhabileté à former le bol alimentaire et à garder le bolus en bouche (bavage)
o diminution de la force, de la vitesse et de l’amplitude des mouvements de la langue, lèvres du côté opposé à la lésion
o Accumulation de nourriture dans cavité orale
o Retard ou absence de réflexe de déglutition
o Déglutition multiples, dérhumage fréquent, voix rauque ou mouillée, toux associée à la déglutition
o diminution de péristaltisme pharyngé, augmentation du temps de transit au niveau du pharynx et dysfonction du sphincter crico-pharyngé
o Faible relaxation du sphincter œsophagien
o AVC du coté droit du lobe pariétal
agnosie
o AVC dans lobe temporal
aphasie (trouble de langage allant de la difficulté à trouver les mots à une perte de la faculté de s’exprimer)
o À moins que les côtés droit et gauche du lobe soient endommagés, la perte de mémoire après AVC souvent temporaire
• Tronc cérébral AVC
o AVC du tronc cérébral = souvent fatal
o Retard/absence du réflexe de déglutition
o Réduction du péristaltisme pharyngé
o Réduction de la fermeture du larynx
o Difficulté de relaxation du SOS
o Manque de coordo entre déglutition et respiration
• Prise en charge nutritionnelle AVC
: éviter les risques d’aspiration, malnutrition, déshydratation
o 24 premières heures si possibles : dépistage de la dysphagie : test de la gorgée d’eau pour savoir s’il est possible de nourrir le patient per os : administrer 3-5 ml d’eau clair au patient et vérifier s’il tousse, si sa voix change et s’il a une baisse de saturation d’O2 après déglutition (dépend du niveau d’alerte du pt)
o Dans les jours qui suivent : si pt présente d’autres déterminants cliniques : déficit neurologique sévère, aphasique etc. évaluation clinique de la déglutition au chevet incluant endoscopie ou VFS
Si ø de contre-indication : essai alimentaire
o Par la suite : évaluer quotidiennement
Si dysphagie persiste : évaluer > 2fois/sem et avant congé
Adapter la texture et la consistance sein les capacités du patient, petites qte à la fois
Surveiller état nutritionnel et hydratation
o NE dans les premiers jours (<72h) si :
Patient comateux et sous respirateur
Patient déjà dénutri à son arrivée
Aspiration trop importante
Si la NE sera nécessaire sur une longue période (>28jours) PEG (gastrostomie d’alimentation) lorsque l’état du patient est stable
o NE : aspect éthique à considérer, préparation polymérique, riche en protéines et en fibres (pauvre en fibres si pt à USI)
• Problèmes de déglutition pharyngé parkinson
- diminution du péristaltisme pharyngé
- Élévation incomplète du voile du palais
- Larynx : élévation diminution , fermeture laryngée inadéquate
- Stases pharyngée et valléculaires
- Aspiration, toux, étouffement
- Crico-pharynx (trouble de relaxation)
o Proposer des stratégies d’intervention personnalisées et adaptées à l’évaluation de la déglutition parkinson
Retard de réflexe de déglutition, répond aux stimulations sensorielles (T° froides, saveurs et odeurs relevées, volume de la bouche augmenté)
augmentation la qte de m.g (facilite la déglutition)
Hygiène dentaire rigoureuse pour prévenir les aspirations
• Prise en charge nutritionnelle : parkinson
o Dépister et évaluer la dysphagie (évaluation dans les pires et meilleures conditions de la journée)
o Proposer des stratégies d’intervention personnalisées et adaptées à l’évaluation de la déglutition
Retard de réflexe de déglutition, répond aux stimulations sensorielles (T° froides, saveurs et odeurs relevées, volume de la bouche augmenté)
augmenter la qte de m.g (facilite la déglutition)
Hygiène dentaire rigoureuse pour prévenir les aspirations
o Prise de repas quand le patient est à sa condition optimale
o Faire historique du poids corporel, assurer un suivi étroit du poids corporel et identifier les causes de la perte de poids.
Causes : augmentation de la dépense énergétique due aux mouvements hyperkinétiques, diminution de l’apport alimentaire 2nd à la dysphagie, diminution de l’autonomie fonctionnelle, perte d’appétit, diminution du gout et olfaction
Aviser CLSC pour assurer une assistance dans les tâches (popote roulante, traiteur, aide à domicile)
Consultation en ergo si patient éprouve des difficultés à manipuler les ustensiles ou les verres
Vérifier l’horaire des repas/collations, offrir les repas lorsque le patient est dans une condition optimale selon l’horaire du Lévodopa
o Calculer besoins énergétiques :
Dépense énergétique augmentée même en période off
Perte de poids entraine une fonte musculaire (marche difficile, équilibre précaire, difficulté dans AVQ)
Déficiences nutritionnelles surviennent et peuvent provoquer des modifications du comportement, une faiblesse du système immunitaire, une fragilité osseuse etc…
Besoins = MB X FA X FS (1 à 1,5). Évaluer d’après un relevé de l’alimentation habituelle
o Augmenter l’apport énergétique :
Augmenter la densité énergétique
Fractionner les repas
Favoriser les boissons nutritives
Éviter les aliments + difficiles à manipuler
Présentation du repas plat par plat
Suggérer des suppléments nutritionnels oraux au besoin
Choisir aliments + faciles à manger et appropriés
o Suppléments de vitamine et minéraux souvent nécessaire
Avec lévodopa : attention aux niveaux d’homocystéine et le statut en B
Supp de B9, B6, B12 souvent nécessaire
B6 : interfère avec absorption de Lévodopa (Max 4-8mg/j)
Fer : supp l’efficacité du Sinemet prendre supp de Fe après repas
o Surveiller état d’hydratation :
Insuffisante : constipation, soif excessive, sécheresse des yeux et muqueuse, hypotension (chutes), colonisation oropharyngée.
Médication rend la bouche sèche
Eau prévient les infections urinaires
Boire 4-8 verres d’eau/j
Limiter alcool 1/xsem
• Problème de déglutition : demence
o diminution force et motricité des structures buccales impliquées dans la formation du bol
o diminution habileté à organiser des mouvements séquencés a/n buccal qui s’identifie à mesure que la maladie progresse
o diminution sensibilité orale
o augmentation Temps de transit oral
o Retard du réflexe pharyngé
o augmantation Risque d’aspiration
forme o Bulbaire
: motoneurones de la région cortico-bulbaire du tronc cérébral (responsable de fonction vitales) sont touchés en premier
Débute par l’atteinte des muscles de l’élocution, déglutition et/ou respiration
Hypersalivation ou xérostomie
Période de rires ou pleurs invoontaires
Amaigrissement et fatigue importants
Constipation
Dysphagie (80% des cas)
• Problèmes de déglutition :sla
Difficulté à gérer les sécrétions oropharyngées (hypersalivation) et à faire l’hygiène buccale
Faiblesse des muscles impliqués dans les phases orales de préparation et de transport : masséters, temporaux, ptérygoïdes
Fasciculation de la langue
Difficulté à former le bol
Toux, étouffement
Durée des repas augmentée, anxiété, fatigue
• Radiothérapie et effets secondaires aigus
o Mucite (inflammation de la muqueuse avec douleur) – phase orale difficile
o Radiodermite (lésion cutanée)
o Candidose (infection bactérienne ou fongique)
o Dysfonction des glandes salivaires (xérostomie)
o Dysgeusie (modification gout)
o Odynophagie (douleur déglutition)
o Ulcère
o Fatigue, malnutrition
o + tardifs : tumeur, œdème, douleur, changements anatomiques (épiglotte atrophiée ou arrondie, luette fondue), fibrose atrophique
Quand faire une évaluation de la déglutition
- Perte de poids
- Symptômes de dysphagie au quotidien
- Symptômes qui limitent les apports alimentaires (étouffement)
- Histoire d’infection pulmonaire récidivante (pneumonie)
- Peur de s’alimenter
- Situation médicale aigue qui pose un risque ou dépistage + (avc, post-intubation, trauma crânien)
- On évalue la dysphagie lors d’une situation clinique aigue à risque ou lorsque la personne vit des conséquences de cette problématique