Week 3 (Supports et séquences de détection) Flashcards

1
Q

Que sont différentes manières de catégoriser des objets ?

A
  • analytiquement (mesure de porosité, hydrophobocité, densité, etc)=>proche de réalité mais pas applicable en opérationnel
  • empiriquement (caractérisation visuelle)=>simple et pratique mais présentant des limites
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Q

Qu’est le critère de sélection utilisé actuellement ?

A

La porosité perçue aux liquides

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3
Q

Comment déteminer si un objet est très poreux?

Analogiquement

A

Si l’eau est absobé en moins d’une minute

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4
Q

Comment déteminer si un objet est semi-poreux?

Analogiquement

A

Si l’eau est absorbé entre 1 et 15 minutes

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5
Q

Comment déteminé si un objet est non-poreux?

A

Si l’eau est absorbé au-dela de 15 minutes

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6
Q

Qu’arrive à la fraction hydrosoluble et la fraction non-hydrosoluble sur les supports poreux ?

A
  • La fraction hydrosoluble est absorbée rapidement et des migrations de certains éléments
  • la fraction non-hydrosoluble reste en surface et vieille
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7
Q

Que sont des exemples de supports poreux ?

A
  • papier
  • carton
  • bois brut
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8
Q

Que sont des choses impactés par les supports poreux par rapport aux traces et leur détection ?

A
  • les traces digitales assez résistantes car elles pénetrent dans le support
  • les crêtes floues si les composés n’arrêtent pas de migrer
  • l’impact délètère de l’immersion (perte de la fraction hydrosoluble) car le support est fragile
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9
Q

Que sont d’autres traces d’intérêt forensique potentiellement présents sur des supports poreux ?

A
  • le texte/écriture/encre
  • le foulage
  • les semelles
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10
Q

Qu’arrive à la fraction hydrosoluble et la fraction non-hydrosoluble sur les supports non poreux?

A
  • la fraction hydrosoluble reste en surface et vieillie
  • la fraction non-hydrosoluble reste en surface et vieillie
  • aucun résidu est absorbé dans le support
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11
Q

Que sont des exemples de supports non poreux ?

A
  • plastiques
  • verre
  • métal
  • céramique lisses
  • peintures brillantes
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12
Q

Que sont des choses impactés par les supports non poreux par rapport aux traces et leur détection ?

A
  • les traces digitales en surface sont peu résistantes aux frottements
  • impact délétère de l’exposition à certains solvants=> la trace ce “détache”
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13
Q

Que sont d’autres traces d’intérêt forensique potentiellement présents sur des supports poreux ?

A
  • les fluides biologiques(ex: salive)
  • les traces de semelles
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14
Q

Qu’arrive à la fraction hydrosoluble et la fraction non-hydrosoluble sur les supports semi-poreux?

A
  • la fraction hydrosoluble absorbée lentement
  • la fraction non-hydrosoluble restent en surface et vieilliessent
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15
Q

Que sont des exemples de supports non poreux ?

A
  • emballages avec surfaces luisantes
  • surfaces cirées
  • papiers peints
  • bois verni
  • certains plastiques
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16
Q

Que sont des problèmes de la catégorisation empirique des objets ?

A
  • il y a manque d’études approfondies sur les propriétés intrinsèques des surfaces (porosité, perméabilité
  • des connaissances limitées des interactions entre les sécrétions(traces) et les supports
17
Q

Qu’est le but d’une séquence de détection ?

A

A le but de maximiser les chances de détecter les traces papillaires présentes sur un support donné car elle cible multiples molécules ou fractions et optimise la séléctivité et la sensibilité

18
Q

Que sont les étapes générales d’une séquence de détection ?

A
  1. Examens préliminaires (appreciation de la surface des objets et observations des traces visibles)
  2. Appliquer les techniques ciblant les molécules hydrosolubles(ex: acides aminés) et/ou incompatibles avec une surface mouillée ( généralement les plus fragiles)
  3. Appliquer les techniques ciblant les lipides + fraction non-hydrosoluble et/ou basées sur une formulation aqueuse (généralement les plus robustes
  • On peut utiliser des techniques sans solvants (fumigation, poudres) à n’importe quelle étape après les examens préliminaires
19
Q

Quoi faut-il faire dès qu’une trace digitale exploitée est visible ?

A

Il faut l’enregistrer photographiquement

20
Q

Qu’est la définition de la sélectivité ?

A

c’est la maximisation du contraste “trace - support”

21
Q

Qu’est la définition de la sensibilité ?

A

c’est la détection des traces présentant peu de matière réactive

22
Q

Comment est appliqué une séquence et pourquoi?

A

Une séquence s’applique jusqu’au bout, sauf indications contraires, car cela aide à détecté des nouvelles traces et aide à possiblement renforcé des traces préalablement détectées

23
Q

Est-ce que la catégorisation du support garantit du succès dans l’application d’une séquence ?

A

Non. Les pièces peuvent réagir différemment

24
Q

Puisqu’il y a trois catégories de support, y’a-t-il 3 séquences ?

A

Oui mais non. Il y a 3 séquences de bases mais il y a de nombreuses séquences dépendant des traces particulières (sang et contaminations graisseuse)
les supports particuliers ( adhésifs, papier thermique, métal, peau…) et
événements particuliers ( immersion dans de l’eau,…)

25
Q

Que peut être les différentes type de traces présentent sur un objet ?

A
  • traces digitales
  • traces de semelle
  • foulage
  • matériel biologique/ADN
  • encre
  • fibres
26
Q

Comment choisir la séquence et ses plusieurs voies ?

A
  • En fonction dela catégorisation du support et ses particularités
  • les informations contextuelles
  • Les séquences en cours et l’équipement disponible
27
Q

Que faire si on doit traité un cas inhabituel ?

A
  • se baser en priorité sur la littérature scientifique
  • se concentrer sur les fractions moléculaires non affectées
  • réflechir sur base des connaissances acquises
28
Q

Qu’est ce qui est nécessaire pour mettre en place une nouvelle séquence ?

A
  • recherche de la nature du support sur laquelle des traces son recherchées
  • regarder les techniques existantes applicables sur le support ou dans un contexte considéré
  • rechercher la possibilité de combiner des techniques en séquence

test et validations requis avant de pouvoir être appliquée sur une pièce d’expertise

29
Q

Avant toute application sur la pièce d’expertise, que faut-il faire ?

A
  • Il faut appliquer les séquences sur un “support test” aka une surface identique ou similaire avec des traces déposées de manière controlée
  • Mettre en évidence d’éventuels problèmes majeurs (incompatibilité) et aide à la décision (bifurcation de séquence)
30
Q

Quand est-il juste de ne pas appliquer une séquence jusqu’au bout ?

A
  • Si une technique est incompatible avec le support
  • Si des techniques sont incompatibles entre elles
  • Si le support a été exposé à des conditions ayant modifié fortement la composition des trace ex: la pluie et incendies
31
Q

Qu’est une formulation à éviter au niveau d’une technique ?

A

Il faut éviter de parler de dire qu’une technique est destructif car la plupart des techniques modifient plus au moins fortement l’intégrité physique et/ou chimique des pièces/traces