Vrai/faux avec l'exam Flashcards
E. L’ADN double brin sert de matrice pour sa propre réplication.
vrai
F. La lecture du brin matrice se fait toujours du sens 5’ vers le sens 3’.
faux
G. La synthèse des amorces sur le brin précoce est initiée par l’ADN primase.
faux
H. L’ADN ligase va unir les chaines d’ADN néosynthétisées sur le brin précoce.
faux
E. L’activité topoisomérase nécessite de l’ATP.
vrai
F. L’anneau coulissant permet de maintenir l’ADN polymérase sur l’ADN.
vrai
G. L’initiation de la réplication dépend de l’activité des CDK de la phase S.
vrai
H. La topoisomérase II corrige les erreurs d’appariement.
faux
E. L’assemblage du fuseau mitotique a lieu pendant la prométaphase.
faux
F. Les condensines permettent l’enroulement de l’ADN répliqué.
vrai
G. Le kinetochore est un complexe de protéines qui attache les chromatides sœurs au niveau du centromère au fuseau mitotique.
faux
H. La séparation des chromatides sœurs a lieu pendant la télophase.
faux
E. La vérification de l’attachement des kinetochores au fuseau mitotique fait intervenir les M-Cdk.
vrai
F. Les Kinésine 5 et Kinésine 14 assurent le positionnement du chromosome sur le fuseau.
faux
G. Les microtubules astraux positionnent les centrosomes de part et d’autre de la cellule.
vrai
H. La contraction et le raccourcissement des microtubules du kinetochore intervient pendant l’anaphase A.
vrai
E. Tous les acides aminés portent un groupement amine primaire et un groupement carboxyle.
vrai
F. Tous les acides aminés sont amphotères.
vrai
Parmi ces propositions concernant les acides aminés et les protéines;
G. Ils constituent les unités de base de la molécule d’ARN.
faux
Parmi ces propositions concernant les acides aminés et les protéines;
H. Le lien peptidique est de type CO-NH
vrai
E. Les protéines ont une structure tridimensionnelle organisée en 3 niveaux.
faux
F. Les 2 extrémités d’une protéine présentent des groupements identiques.
faux
G. Les ponts disulfures participent au maintien de la structure primaire.
faux
H. L’hélice alpha est une forme de structure secondaire.
vrai
E. Un inhibiteur non compétitif diminue le Vmax d’un substrat.
vrai
F. La liaison entre une enzyme et un inhibiteur compétitif se fait au niveau du site actif de l’enzyme et est irréversible.
faux
G. Dans le cas de l’inhibition compétitive, l’inhibiteur et le substrat se lient sur le même site de l’enzyme.
vrai
H. Les statines sont des inhibiteurs compétitifs de la HMG-COA réductase.
vrai
E. La liaison des effecteurs allostériques inhibiteurs sur l’enzyme provoque la séquestration du substrat.
faux
F. La présence d’un effecteur allostérique modifie uniquement l’affinité de l’enzyme pour son substrat, sans modifier l’efficacité de la réaction.
faux
G. L’activation des enzymes par phosphorylation se fait sur un acide aminé spécifique (serine, thréonine ou tyrosine).
vrai
H. Les kinases hydrolysent la liaison phosphate.
faux
E. Un deltaG negatif correspond à un dégagement d’énergie, on parle de réaction exergonique
vrai
F. Un deltaG positif correspond à une réaction à qui il faut apporter de l’énergie, on parle de réaction endergonique
vrai
G. Lorsque l’énergie dégagée par une voie exergonique est utilisée par une voie endergonique, on parle de couplage énergétique.
vrai
H. L’énergie dégagée par une voie exergonique ne peut être utilisée que par une seule voie endergonique.
faux
E. L’oxydation de substrats (lipides et glucides) consomme de l’énergie sous forme d’ATP.
faux
F. L’énergie de l’ATP est contenue dans ses liens phosphoanhydrides.
vrai
G. On retrouve assez d’ATP dans une cellule pour la fournir en énergie pendant à peine une minute.
vrai
H. Les coenzymes réduits peuvent servir à la formation d’ATP.
vrai
E. Les cétoses forment un cycle furane (5 arêtes).
vrai
F. Les oses peuvent être liés entre eux par des liens glycosidiques.
vrai
G. Le processus d’absorption intestinale du glucose fait intervenir des transporteurs membranaires.
vraI
H. Les aldoses portent une fonction cétone qui permet de former un cycle pyranne (6 arêtes).
faux
E. Le glucose nécessite des transporteurs pour traverser les membranes.
vrai
F. La phosphorylation du glucose le retient dans la cellule.
vrai
G. Pendant la glycolyse, 4 pyruvates sont formés pour chaque glucose
faux
H. L’enzyme phosphofructokinase est régulée par le niveau énergétique de la cellule (activée par l’AMP et inhibée par l’ATP).
vrai
E. Le pyruvate traverse les membranes internes et externes de la mitochondrie.
faux
F. La réaction clé du cycle est l’isomérisation du citrate.
faux
G. La réaction clé du cycle est l’oxydation et la décarboxylation de l’isocitrate.
vrai
H. La réaction clé du cycle est le clivage du succinyl-CoA.
faux
E. La pyruvate deshydrogénase est activée par l’acétyl CoA.
faux
F. La citrate synthase est inhibée par le NADH.
faux
G. Le complexe alpha-cetoglutarate deshydrogénase est un point de contrôle du cycle.
vrai
H. L’oxydation des acides gras est une voie cataplérotique pour le cycle de l’acide citrique.
faux
E. Le cycle de l’acide citrique est finement régulé par la disponibilité des substrats
vrai
F. Le cycle de l’acide citrique est finement régulé par la production ou l’utilisation d’intermédiaires par d’autres voies métaboliques
vrai
G. Le cycle de l’acide citrique n’est pas régulé.
faux
H. Le cycle de l’acide citrique est finement régulé par les besoins en ATP de l’organisme.
vrai
E. Les voies cataplérotiques sont les voies à l’extérieur du cycle de l’acide citrique qui fournissent des intermédiaires métaboliques.
faux
F. Les voies anaplérotiques sont les voies à l’extérieur du cycle de l’acide citrique qui utilisent des intermédiaires métaboliques.
faux
G. L’acetyl-CoA provient uniquement de la glycolyse.
faux
H. Un inhibiteur de la pyruvate deshydrogenase aurait le potentiel de bloquer le cycle de l’acide citrique.
vrai
E. Les liaisons glycosidiques entre les glucoses de la chaine sont de type alpha1-3.
faux
F. Les liaisons glycosidiques entre les glucoses des embranchements sont de type alpha1-6.
vrai
G. Le glycogène est empaqueté dans la mitochondrie.
faux
H. Le glycogène représente 10% du poids d’un muscle cardiaque adulte en santé.
faux
E. La synthèse du glycogène se fait à partir du beta-D-glucose
faux
F. La synthèse du glycogène produit plus d’ATP que la glycolyse.
faux
G. La première étape de la conversion du glucose en glycogène est identique à la première étape de la glycolyse.
vrai
H. L’hexokinase a une faible affinité pour le glucose.
faux
E. En absence de glycogène, la glycogénine sert d’accepteur d’UDP-glucose.
vrai
F. La glycogène phophorylase nécessite un fragment de glycogène pour fonctionner.
faux
G. L’enzyme de ramification agit en 2 étapes.
vrai
H. L’isomérisation permet de passer le phosphate du carbone 6 au carbone 1 du glucose.
vrai
E. La glycogène phosphorylase produit du glucose-1-phosphate.
vrai
F. La glycogène phosphorylase produit du glucose-4-phosphate.
faux
G. La glycogène phosphorylase produit du glucose-6-phosphate.
faux
H. La glycogène phosphorylase produit du glucose-1,6-bisphophate
faux
E. Dans le foie la synthèse de glycogène est activée durant les périodes de jeun.
faux
F. Dans le foie la glycogénolyse est activée après les repas.
faux
G. Dans les muscles la glycogénolyse est activée lorsque les muscles sont actifs.
vrai
H. Dans les muscles la synthèse de glycogène est activée lorsque les muscles sont actifs.
faux
Concernant la voie des Pentoses phosphate
E. Elle permet l’utilisation des glucides à 5 carbones.
vrai
Concernant la voie des Pentoses phosphate
F. Elle constitue la source principale du NADPH dans l’organisme.
vrai
Concernant la voie des Pentoses phosphate
G. Elle permet la formation de ribose 5-phosphate essentiel pour la synthèse des nucléotides.
vrai
Concernant la voie des Pentoses phosphate
H. Les 3 premières réactions de la voie des Pentoses phosphate sont non oxydatives
faux
E. La voie des pentoses phosphate se produit dans le cytosol et le REL.
vrai
F. La première phase de la voie des pentoses phosphate comprends 5 réactions, dont 4 réversibles.
faux
G. La seconde phase de la voie des pentoses phosphate aboutit à la formation d’acétyl-CoA.
faux
H. La seconde phase de la voie des pentoses phosphate aboutit à la formation de glucose-6-phosphate.
faux
E. Le coenzymeQ fait la navette entre le complexe III et le cytochrome C.
faux
F. Les complexes I et III participent à l’établissement du gradient de proton.
vrai
G. Le gradient de proton alimente l’ATP synthase (complexe V).
vrai
H. Le complexe II participe également à une autre voie catabolique se déroulant dans la mitochondrie.
vrai
E. Le complexe I relâche du NAD+
vrai
F. Le complexe II relâche du FAD
vrai
G. Le complexe III ne participe pas au gradient de proton
faux
H. Le complexe IV forme une molécule d’eau.
vrai
E. Le transfert d’énergie implique uniquement des réactions d’oxydations.
faux
F. La chaine de transport des électrons est orientée des composés à fort pouvoir réducteur vers les composés à fort pouvoir oxydant.
vrai
G. La chaine de transport des électrons est orientée des composés à fort pouvoir oxydant vers les composés à fort pouvoir réducteur.
faux
H. Le gradient de proton est un gradient uniquement chimique.
faux
E. Les lipides forment un groupe de molécules très hétérogènes.
vrai
F. Les glucides ont un meilleur potentiel énergétique que les triglycérides (TAG).
faux
G. Les acides gras insaturés ont seulement une double liaison dans leur structure.
faux
H. Les stéroïdes sont dérivés des acides gras insaturés.
faux
E. La lipase pancréatique hydrolyse les triglycérides (TAG) aux positions 1 et 3.
vrai
F. Les phospholipides sont hydrolysés par les lipoprotéines lipases.
faux
G. Le cholestérol ester est hydrolysé par la cholestérol estérase.
vrai
H. Les triglycérides (TAG) et le cholestérol estérifié sont hautement hydrophobes.
vrai
Concernant la beta oxydation
E. Elle est une voie catabolique mineure pour les acides gras.
faux
Concernant la beta oxydation
F. Elle se produit dans les mitochondries.
Vrai
Concernant la beta oxydation
G. Elle intervient principalement dans le tissue adipeux.
faux
Concernant la beta oxydation
H. Elle dégrade les acides gras en enlevant 1 carbone à la fois.
faux
C. Il y a production excessive de corps cétoniques chez les diabétiques de type 1.
vrai
D. Il y a production excessive de corps cétoniques chez les diabétiques de type 2
faux
Concernant la synthèse des acides gras
E. Elle ne nécessite pas d’acétyl-CoA.
faux
Concernant la synthèse des acides gras
F. Elle ne nécessite pas de NADPH
faux
Concernant la synthèse des acides gras
G. Elle ne nécessite pas d’ATP
faux
Concernant la synthèse des acides gras
H. Elle ne nécessite pas de glucose
vrai
E. La carboxylation de l’Acétyl-CoA pour former le malonyl-COA est catalysée par l’acétyl-CoA carboxylase (ACC).
vrai
F. La carboxylation de l’Acétyl-CoA pour former le malonyl-COA est l’étape limitante de la synthèse des acides gras.
vrai
G. L’acétyl-CoA carboxylase (ACC) est régulée de façon allostérique.
vrai
H. La kinase dépendante de l’AMP (AMPK) phosphoryle l’ACC ce qui l’active.
faux
E. Les phospholipides regroupent plusieurs familles de molécules qui sont tous composés d’un squelette de sphingosine.
faux
F. Les glycrophospholipides contiennent tous un acide phosphatidique.
vrai
G. Le groupement polaire des sphingolipides est toujours la sérine.
faux
H. L’ancrage membranaires des phospholipides intervient seulement après leur assemblage.
faux
E. L’HMG-CoA réductase est l’enzyme limitante dans la synthèse de cholestérol.
vraI
F. L’HMG-CoA réductase est localisé dans le cytoplasme.
faux
G. L’expression génique de l’HMG-CoA réductase est régulée par le facteur de transcription SREBP.
vrai
H. L’HMG-CoA réductase phosphorylée est inactive.
vrai