UE 3.1 Flashcards
Accueil du patient au bloc opératoire :
Quels sont les 3 étapes de l’accueil du patient :
- Sécuriser la personne accueillie
- Connaître la personne
- Favoriser l’adaptation de la personne à sa situation
La profondeur de l’anesthésie :
Citez les 4 stades de l’anesthésie selon Guédel :
- Analgésie
- Agitation
- Anesthésie chirurgicale
- Paralysie respiratoire
La profondeur de l’anesthésie :
Vous utilisez l’index bi spectral (ou BIS) pour monitorer la profondeur de l’anesthésie, quels sont vos objectifs en termes de valeur du BIS pour éviter la mémorisation et le surdosage :
Les valeurs seuils reconnues : entre 40 et 60
La profondeur de l’anesthésie :
Vous utilisez l’ANI, quels sont vos objectifs en termes de valeur :
Les valeurs seuils reconnues : entre 50 et 70
Les moyens de prévention de l’hypothermie :
Vrais / Faux concernant l’hypothermie :
- Durant l’anesthésie, en l’absence de moyens de prévention, l’hypothermie s’installe en 2 étapes
FAUX
3 étapes :
Phase initiale : baisse rapide de 2° la 1ere heure
Phase lente : baisse lente (en 1h30) de la température jusqu’à 34,5°
Phase 3 : réapparition de la vasoconstriction
Les moyens de prévention de l’hypothermie :
Vrais / Faux concernant l’hypothermie :
- Sous anesthésie, le seuil de vasoconstriction se situe entre 35 et 36°
FAUX
< 34,5°
Les moyens de prévention de l’hypothermie :
Vrais / Faux concernant l’hypothermie :
- En post-opératoire immédiat, le frisson est bénéfique quel que soit le terrain du patient
FAUX
Les frissons accélèrent le réchauffement, mais :
Augmentation VO2
Augmentation du travail cardiaque
Augmentation du travail respiratoire
Augmentation de l’extraction de l’O2 en périphérie
Les moyens de prévention de l’hypothermie :
Vrais / Faux concernant l’hypothermie :
- Il n’existe aucune possibilité de prévenir la perte initiale d’environ 1° durant la 1ère heure sous anesthésie
VRAIS
Les moyens de prévention de l’hypothermie :
Citez les conséquences peropératoires de l’hypothermie :
- Protection contre ischémie, hypoxie
- Modification pharmacocinétique
- Augmentation de la puissance des halogénés (diminution de la MAC)
- Augmentation de la durée d’action des curares
- Augmentation du saignement chirurgical
- Augmentation du TS
Les moyens de prévention de l’hypothermie :
Quels sont les moyens de prévention contre l’hypothermie :
- Contre les pertes pulmonaires :
- Filtre humidificateur
- Circuit filtre (en circuit fermé)
- Contre les pertes liées aux perfusions et transfusions :
- Utilisation d’un réchauffeur de soluté
- Utilisation d’un réchauffeur à sang
- Contre les pertes cutanées :
- Recouvrir le patient le plus rapidement possible
- Recouvrir le maximum de surface possible
- Bair Hugger : avant l’installation du patient et continue dès son installation
Les moyens de prévention de l’hypothermie :
Citez les conséquences post-opératoires de l’hypothermie :
Immédiat :
- Inconfort
- Mauvais souvenir
- Douleur augmentée par les frissons
- Vasoconstriction
- Réponse thermorégulatrice
- Protège le noyau central
- Ralenti le réchauffement
- Cyanose
- Altération du signal SPO2 : problèmes de surveillance en SSPI
- Réponse adrénergique
- Augmentation des catécholamines (adrénaline, noradrénaline) : augmentation FC + HTA
- Frissons : accélération du réchauffement, mais :
- Augmentation VO2
- Augmentation du travail respiratoire
- Augmentation du travail cardiaque
- Augmentation de l’extraction d’O2 en périphérie
- Risque de décompensation (insuffisance cardiaque, respiratoire, coronarienne)
A long terme :
- Septique
- Augmentation de la fréquence des abcès de paroi
- Morbidité cardio-vasculaire
- Augmentation fréquence d’ischémie myocardique
- Augmentation fréquence trouble du rythme
- Augmentation de la durée d’hospitalisation
Les moyens de prévention de l’hypothermie :
Citez et expliquez l’intérêt principal de réchauffer le tissu sous cutané du patient avant l’induction :
Le tissu-sous cutanée est un isolant thermique, l’intérêt de réchauffer ce tissu est de réduire le gradient thermique entre le noyau et l’écorce, la chaleur se déplaçant toujours du noyau vers l’écorce puis de la périphérie vers le milieu extérieur.
Le fait de réchauffer les tissus sous-cutanés vas ralentir l’hypothermie par convection.
Le réveil anesthésique :
Quels éléments cliniques et paracliniques vous permettent d’affirmer l’absence de morphinisassions résiduelle chez un patient ayant bénéficié d’une AG ?
Cliniques :
- Pupille intermédiaire
- Pas de rigidité thoracique
- Pas de dépression respiratoire
- Reprise de la toux
- Reprise du transit et de la diurèse
- Absence de NVPO
Paracliniques :
- FC normal
- Normo tension
- Normocapnie
- FR normale
Le réveil anesthésique :
Donnez les moyens de préventions des NVPO :
- Dépistage des patient (score d’Apfel)
- Epargne morphinique
- Traitement préventif
- Anticipation de l’analgésie postopératoire
- Prévention de la déshydratation en limitant le jeune
- Prise en charge de l’anxiété pendant la chirurgie sous ALR
- Privilégier l’ALR
- Si AG, l’anesthésie intra veineuse continue (type AIVOC) est à privilégier
- Le N2O est proscrit
Le réveil anesthésique :
Définir la classe altemeier :
- Altemeier I : chirurgie propre
- Altemeier II : chirurgie propre contaminée
- Altemeier III : chirurgie contaminée
- Altemeier IV : chirurgie sale ou infectée
Le réveil anesthésique :
Définir le score d’Apfel :
Score d’évaluation des risques de nausées / vomissements post opératoire afin d’établir une prophylaxie par antiémétique
Il est noté entre 0 et 4 avec une probabilité constante
- Sexe féminin = 1 point
- Non-fumeur = 1 point
- Antécédents de NVPO ou mal de transport = 1 point
- Morphinique post-opératoire = 1 point
Le réveil anesthésique :
Vrais ou faux concernant les traitements des NVPO :
- L’ondansétron agit sur les récepteurs sérotoninergiques 5HT3
VRAIS
Le réveil anesthésique :
Vrais ou faux concernant les traitements des NVPO :
- Dexaméthasone et ondansétron ont une action synergique
VRAIS
Le réveil anesthésique :
Vrais ou faux concernant les traitements des NVPO :
- Tramadol et ondansétron ont une action synergique
FAUX
action antagoniste
Le réveil anesthésique :
Vrais ou faux concernant les traitements des NVPO :
- Le Dropéridol agit sur les récepteurs D2
VRAIS
Le réveil anesthésique :
Vrais ou faux concernant les traitements des NVPO :
- L’atropine est le traitement de référence des NVPO
FAUX
Le réveil anesthésique :
Définir la classification ASA :
Indicateur de la probabilité de mortalité péri-opératoire globale.
Si ASA > 3 = facteur de risque anesthésique
Le sigle U peut être ajouté en cas d’intervention faite en urgence
- ASA 1 : patient en état de santé normal
- ASA 2 : patient avec une anomalie systémique modérée
- ASA 3 : patient avec une anomalie systémique sévère
- ASA 4 : patient avec une anomalie systémique sévère représentant une menace vitale constante
- ASA 5 : patient moribond dont la survie est improbable sans l’intervention
- ASA 6 : état de mort cérébrale
Le réveil anesthésique :
Quels sont les critères de sortie du Score d’Aldrete modifié :
Score minimum de 9 pour sortir
- Activité motrice
- 2 : mobilise ses 4 membres
- 1 : mobilise 2 membres
- 0 : aucun mouvement
- Respiration
- 2 : grands mouvements respiratoires + toux
- 1 : efforts respiratoires limités ou dyspnée
- 0 : aucune activité respiratoire spontanée
- Activité circulatoire
- 2 : PA systolique : delta < 20 % valeur préopératoire
- 1 : PA systolique : delta entre 20 et 50 % valeur préopératoire
- 0 : PA systolique : delta > 50 % valeur préopératoire
- Conscience
- 2 : complètement réveillé
- 1 : réveillé à l’appel de son nom
- 0 : aucun réveil à l’appel
- Saturation en oxygène
- 2 : 92 % AA minimum
- 1 : > 90 % sous O2
- 0 : < 90 % sous O2
Le réveil anesthésique :
Donnez les causes possibles d’obstruction des VAS pouvant survenir au réveil anesthésique
- Bronchospasme
- Œdème laryngée
- Trachéomalacie
- Curarisation résiduelle
- Chute de la langue par relargage d’agent anesthésique (surtout si hypothermie lors du réchauffement)
- Syndrome des loges ou hématome cervical
Le réveil anesthésique :
Donnez les causes possibles d’hypoventilation alvéolaire pouvant survenir au réveil anesthésique
- Imprégnation aux agents anesthésiques (morphiniques, bzd, curares, hypnotiques)
- Hypocapnie
- Asthme, encombrement bronchique, OAP
- Obésité
- Baisse de la compliance pulmonaire
- Atélectasie
Le réveil anesthésique :
Quels sont les critères de sortie de salle de surveillance post-interventionnelle du KB :
Pour pouvoir quitter la SSPI, un score de 0 est exigé :
- Respiration :
- 0 : normal, toux facile
- 1 : dyspnée, toux limitée
- SpO2 en AA (10 min minimum) :
- 0 : SpO2 > 95 %
- 1 : SpO2 < 95 %
- Variation de la PA :
- 0 : delta PA <20 % valeur préopératoire
- 1 : delta PA >20 % valeur préopératoire
- Variation de la FC :
- 0 : delta FC <20 % valeur préopératoire
- 1 : delta FC >20 % valeur préopératoire
- Marbrures :
- 0 : non
- 1 : oui
- Conscience :
- 0 : réveillé
- 1 : endormi
- Agitation :
- 0 : non
- 1 : oui
- Motricité normale :
- 0 : oui
- 1 : non
- Globe vésical :
- 0 : non
- 1 : oui
- EVA :
- 0 : < 3
- 1 : > 3
- Température :
- 0 : > 36°C
- 1 : < 36°C
- Frissons :
- 0 : non
- 1 : oui
- Nausées, vomissements :
- 0 : non
- 1 : oui
- Saignement anormal :
- 0 : non
- 1 : oui
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- La valeur de la MAC de réveil du desflurane est de 0,6%
FAUX
MAC awake desflurane 2,5%
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- La valeur de la MAC de réveil du sévoflurane est de 0,6%
VRAIS
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- La ½ vie contextuelle du desflurane est plus courte qu’avec le sévoflurane lorsque nous faisons 2 heures d’anesthésie
VRAIS
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- Il y a un risque d’accumulation et d’apnée secondaire avec l’alfentanil à partir de 40 µg/kg
FAUX
Il y a un risque de retard d’élimination et d’apnée secondaire avec l’alfentanil à partir de 40 µg/kg
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- Il y a un risque de recirculation (accumulation) et d’apnée secondaire avec le fentanyl à partir de 5 µg/kg
VRAIS
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- Il y a un risque de recirculation (accumulation) et d’apnée secondaire avec le sufentanil à partir de 0,5 µg/kg
VRAIS
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- En cas d’anesthésie avec des halogénés et du sufentanil, si vous avez des signes de réveil, vous injectez du sufentanil
FAUX
Augmentation des halogénés, car délais d’action plus cours : rémifentanil > alfentanil > propofol, halogénés > sufentanil
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- La MAC des halogénés pour l’intubation endotrachéales est de 2%
FAUX
MAC-EI (endotracheal intubation) = 1,3 à 1,5
MAC-BAR (stimulation douloureuse) = 1,5 à 2
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- A BIS égal, la Co-administration d’un morphinique réduit la quantité de propofol injecté à l’induction
VRAIS
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- Le sufentanil doit être administré 8 min avant l’induction
FAUX
Pic d’action : 6 min
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- Les pics d’action du propofol et du rémifentanil sont identiques
FAUX
Rémifentanil : 1 min 30
Propofol : 2 à 3 min
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- La curarisation est indispensable pour la chirurgie
FAUX
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- Si lors de la reprise de ventilation, on a une fréquence respiratoire basse et un grand volume courant, c’est un surdosage en Sufentanil
VRAIS
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- Si lors de la reprise de ventilation, on a une fréquence respiratoire basse et un grand volume courant, c’est un surdosage en Cisatracrium
FAUX
FR élevé + petit volume courant = patient probablement curarisé
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- Si lors de la reprise de ventilation, on a une fréquence respiratoire basse et un volume courant normal ou grand, c’est un surdosage en sufentanil
FAUX
FR basse + grand volume courant + patient décurarisé = trop de morphiniques
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- Si lors de la reprise de ventilation, on a une fréquence respiratoire élevée et un grand volume courant, c’est un manque d’analgésie
VRAIS
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- Pour la gestion de la fin d’anesthésie, il est préférable de diminuer la fréquence machine (+/- l’AI) quand on arrive à une MAC proche de la valeur de réveil
VRAIS
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- Pour la gestion de la fin d’anesthésie, il faut maintenir le protoxyde d’azote jusqu’à une valeur de réveil de la MAC de l’halogéné
VRAIS
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- Le risque d’apnée secondaire avec le sufentanil existe à partir de doses supérieures à 0,5 µg/kg
VRAIS
Les apnées secondaires du sufentanil apparaissent à partir de 0,5 µg/kg par accumulation (+ recirculation)
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- Le risque d’apnée secondaire avec l’alfentanil existe à partir de doses supérieures à 0,5 µg/kg
FAUX
Les apnées secondaires de l’alfentanil apparaissent à partir de 40 µg/kg par retard d’élimination
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- Le risque d’apnée secondaire avec le fentanyl existe à partir de doses supérieures à 0,5 µg/kg
FAUX
Les apnées secondaires du fentanyl apparaissent à partir de 5 µg/kg par accumulation (+ recirculation)
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- En cas d’entretien de l’analgésie supérieure à 30 min, l’alfentanil a un ½ vie contextuelle plus longue que celle du sufentanil
FAUX
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- Devant une tachycardie peropératoire liée à une profondeur d’anesthésie insuffisante à proximité du réveil, augmenter la concentration de sévoflurane est plus indiqué qu’injecter du sufentanil
VRAIS
Il faut ajuster avec le produit ayant la décroissance la plus rapide
- Rémifentanil > alfentanil > propofol, halogénés > sufentanil
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- Devant une tachycardie peropératoire liée à une profondeur d’anesthésie insuffisante, augmenter la concentration de sévoflurane est plus indiqué qu’injecter du sufentanil
VRAIS
Il faut toujours tenir compte du délai d’action de l’agent et du temps de décroissance :
- Ajustement sur l’agent ayant le délai d’action le plus court
- Rémifentanil > alfentanil > propofol, halogénés > sufentanil
La conduite de l’anesthésie :
Vrais / Faux concernant la conduite de l’anesthésie :
- Le sufentanil doit être injecté en même temps que le propofol à l’induction
FAUX
Préparation du site d’anesthésie :
Décrire le contrôle du site d’anesthésie (branchement) :
- Pressions O2>AIR>N2O
- Respirateur-moniteur sur onduleur
- Système antipollution
- Table d’opération fonctionnelle et mobilisation satisfaisante de la têtière
- Système d’aspiration branché au vide et fonctionnel (vide suffisant, succion adéquate avec sonde d’aspiration adaptées)
Préparation du site d’anesthésie :
Décrire le contrôle du site d’anesthésie (système de ventilation) :
-
Respirateur
- Extinction du respirateur : attendre 30 secondes avant de le rallumer
- Montage du circuit conforme avec filtre
- Autotest respirateur
- Fonctionnement sur ballon test
- Cuves halogénées : niveau et verrouillage
- Chaux sodée fonctionnelle
-
Ventilation manuelle
- Insufflateur manuel
- Bouteille d’O2 de secours et tubulure
- Ballon, valves et masques vérifiés
- Manomètre O2 et tubulure
-
Intubation
- Plateau d’intubation prêt
- Vérifier présence sondes d’intubation et endotest
- Masques laryngés
- Mardin d’Eschmann
- Boite d’intubation difficile disponible et verrouillée
- Stéthoscope présent
Préparation du site d’anesthésie :
Décrire le contrôle du site d’anesthésie (médicaments d’urgences et d’anesthésie) :
- Médicaments d’urgence (adrénaline, éphédrine, atropine, célocurine)
- Médicaments d’anesthésie
- Dispositifs médicaux d’abord veineux
Préparation du site d’anesthésie :
Décrire le contrôle du site d’anesthésie (autres) :
- Feuilles d’anesthésie
- Bon de commandes de sang
- Bon de laboratoires
- Procédure d’hyperthermie maligne
- Kit choc anaphylactique
Préparation du site d’anesthésie :
Décrire le contrôle du site d’anesthésie (monitorage et appareils) :
-
Monitorage
- Cardioscope
- PNI
- SpO2
- Capnographe
- Analyseur de gaz
- Sonde thermique
- Curarimètre
- Câble et module de PI disponible et poche de contre pression
-
Appareils
- Défibrillateur en charge testé avec gel, patch et palettes intra cardiaques
- Matériel de réchauffement disponible (bair hugger, fluido)
- Récupérateur de sang
- Hemocue
- HGT
- PSE branchés
Préparation du site d’anesthésie :
Décrire le contrôle entre chaque patient du site d’anesthésie (branchement) :
- Système d’aspiration branché au vide et fonctionnel (vide suffisant, succion adéquate avec sonde d’aspiration adaptées)
Préparation du site d’anesthésie :
Décrire le contrôle entre chaque patient du site d’anesthésie (système de ventilation) :
-
Respirateur
- Cuves halogénées : niveau et verrouillage
- Chaux sodée fonctionnelle
-
Ventilation manuelle
- Insufflateur manuel
- Bouteille d’O2 de secours et tubulure
- Ballon, valves et masques vérifiés
-
Intubation
- Plateau d’intubation prêt
- Vérifier présence sondes d’intubation et endotest
- Masques laryngés
- Mardin d’Eschmann
- Boite d’intubation difficile disponible et verrouillée
- Stéthoscope présent
Préparation du site d’anesthésie :
Décrire le contrôle entre chaque patient du site d’anesthésie (monitorage et appareils) :
- Matériel complet, décontaminé, fonctionnel et rangé
Préparation du site d’anesthésie :
Décrire le contrôle entre chaque patient du site d’anesthésie (médicaments d’urgences et d’anesthésie) :
- Médicaments d’urgence (adrénaline, éphédrine, atropine, célocurine)
- Médicaments d’anesthésie
- Dispositifs médicaux d’abord veineux
Préparation du site d’anesthésie :
Décrire le contrôle entre chaque patient du site d’anesthésie (autres) :
- Feuilles d’anesthésie
- Bon de commandes de sang
- Bon de laboratoires
Préparation du site d’anesthésie :
Décrire la fermeture du site d’anesthésie (branchement) :
- Déconnecter le circuit patient du respirateur
- Système d’aspiration branché au vide et fonctionnel (vide suffisant, succion adéquate avec sonde d’aspiration adaptées)
Préparation du site d’anesthésie :
Décrire la fermeture du site d’anesthésie (système de ventilation) :
-
Respirateur
- Eteindre le respirateur pendant au moins 1 min
- Relancer les autotests du respirateur pour les salles d’urgences
- Cuves halogénées : niveau et verrouillage
- Chaux sodée fonctionnelle
-
Ventilation manuelle
- Insufflateur manuel
- Bouteille d’O2 de secours et tubulure
-
Intubation
- Plateau d’intubation prêt
- Vérifier présence sondes d’intubation et endotest
- Masques laryngés
- Mardin d’Eschmann
- Boite d’intubation difficile disponible et verrouillée
- Stéthoscope présent
Préparation du site d’anesthésie :
Décrire la fermeture du site d’anesthésie (monitorage et appareils) :
- Matériel complet, décontaminé, fonctionnel et rangé
Préparation du site d’anesthésie :
Décrire la fermeture du site d’anesthésie (médicaments d’urgences et d’anesthésie) :
- Médicaments d’urgence (adrénaline, éphédrine, atropine, célocurine)
- Médicaments d’anesthésie
- Dispositifs médicaux d’abord veineux
Préparation du site d’anesthésie :
Décrire la fermeture du site d’anesthésie (autres) :
- Feuilles d’anesthésie
- Bon de commandes de sang
- Bon de laboratoires
- Procédure d’hyperthermie maligne
- Kit choc anaphylactique
La ventilation manuelle :
Quels sont les critères de ventilation au masque difficile :
- Age > 55 ans
- IMC > 26 kg/m2
- Patient édenté
- Antécédent de ronflement
- Patients barbus
La ventilation manuelle :
Quel sont les complications de la canule de Guédel :
- Obstruction des voies aériennes
- Refoulement de l’épiglotte contre le mur pharyngé postérieur = obstruction de la glotte
- Œdème de la glotte
- Traumatisme labial
- Laryngospasme, toux
- Allergie
- Réponse cardio-vasculaire avec augmentation de la FC et de la PA
La ventilation manuelle :
Quel sont les complications de la ventilation manuel :
- Inhalation bronchique
- Complication oculaires (œdème de paupières, chémosis de la conjonctive, compression du nerf sus orbitaire, abrasion cornéenne
- Complications cutanées (dermites, allergie)
- Complications nerveuses (atteintes des nerfs trijumeau ou facial ; subluxation excessive = lésions d’étirement)
- Majoration des lésions due à la mobilisation du rachis
- Pollution de l’environnement proche liée aux fuites et à l’échappement des gaz dans la pièce
L’intubation :
Vous devez réaliser une AG pour un patient, vous constatez que l’état dentaire du patient est dégradé, citez les précautions que vous prenez en regard de l’intubation :
- Lui faire remarquer et insister sur le risque inhérent
- Utiliser un protège dents
- En cas de lésion même légère, avertir le stomatologue pour un constat à insérer dans le dossier médical
L’intubation :
Donnez les éléments cliniques et paracliniques qui contribuent à attester d’un bon positionnement de la sonde d’intubation :
- Absence bruits d’insufflation estomac + auscultations axillaires symétriques
- Ampliation thoraciques symétriques
- Courbe de débimètre cohérente
- Buée
- Courbe EtCO2 cohérente sur 6 cycles
L’intubation :
Quels sont les indications de l’intubation :
- Assurer la liberté des voies aériennes (suppression d’un obstacle)
- Protéger les voies aériennes de l’inhalation des sécrétions digestives chez un patient inconscient
- Permettre l’étanchéité de la trachée pour la ventilation contrôlée
- Faciliter l’aspiration des sécrétions trachéobronchiques
L’intubation :
Quels sont les contre-indications de l’intubation nasotrachéale :
- Traumatisme crânien avec suspicion de la fracture de la base
- Troubles de l’hémostase
- Thrombopénie
L’intubation :
Quels sont les conséquences physiopathologiques de l’intubation :
- Court-circuit du nez
- Absence de réchauffement et d’humidification de l’air ou des gaz inspirés (muqueuse)
- Perte de la fonction filtre et antibactérien
- Corps étrangers
- Favorise les sécrétions buccales
- Peut entrainer des réflexes de toux
- Augmentation de l’espace mort
- Augmentation de l’espace qui ne participe pas aux échanges gazeux
- Disparition de la PEEP physiologique
L’intubation :
Décrire la classification de Mallanpati :
- Classe I : la luette, le voile du palais et les piliers du voile sont parfaitement visibles
- Classe II : La pointe de la luette est masquée par la base de la langue
- Classe III : seul le voile du palais est visible
- Classe IV : aucune visibilité
L’intubation :
Décrire les grade de Cormack :
- Grade 1 : toute la fente glottique est vue
- Grade 2 : seule la partie antérieure de la glotte est vue
- Grade 3 : seul l’épiglotte est visible
- Grade 4 : l’épiglotte n’est pas visible
L’intubation :
Quel sont les critères d’extubation :
- Critère de conscience
- Patient réveillé
- Réponse motrice adapté aux ordres
- Critères respiratoires
- Respiration spontanée, régulière, sans tirage
- Vt = 5 – 8 ml/kg
- FR = 12-25 / min
- Capacité à tousser
- Critères oxymétriques
- SpO2 > 95% avec FiO2 < 50% et PEP < 5 cmH2O
- Critères neuro-musculaires
- Reflexe de déglution récupéré
- T1/T4 > 90% à l’adducteur du pouce
- Critère cardio-vasculaire
- PA et FC : delta +/- 20% valeur initiale
- PA et FC : delta +/- 10% valeur initiale chez les patients précaire
- Critères généraux
- Température > 36°C (normal) ou 36,5°C chez patient précaire
- Absence de frissons
L’intubation :
Citez les complications de l’extubation :
- Extubation accidentelles (ballonnet gonflé)
- Détresse respiratoire post extubation
- Bronchospasme
- Laryngospasme
- Obstruction des VA (CE, bouchon muqueux)
- Hypoventilation sur queue d’anesthésie
- Inhalation
- Lésions dentaires
- Douleur gorge
L’intubation :
Citez les complications immédiates de l’intubation orotrachéale par laryngoscopie directe, en y associant les moyens éventuels de prévention :
- Echec d’intubation : oxygénation puis mise en place de l’algorithme de l’intubation difficile
- Lésions mécaniques / anatomiques
- Lésions dentaires : protège dent, gestes prudents et doux, éviter morsure du tube
- Traumatisme stomato-ORL-trachéo-bronchique : gestes prudents et doux
- Complications physiopathologiques
- Inhalation : ventilation avec des volume adaptés
- Laryngospasme : anesthésie suffisante, intubation atraumatique
- Intubation sélective : auscultation, angle alpha du capnogramme
- Bronchospasme : auscultation, curarisation si besoins
- Corps étranger / bouchon muqueux : auscultation, aspiration
L’intubation :
Citez les complications différées ou tardives de l’intubation :
- Commissure post / région sous glottique / trachée
- Infection-inflammation
- Ischémie (hyperpression due au ballonnet et / ou hypoperfusion en cas de choc)
- Granulome des cordes vocales (dysphonie)
- Ankylose cricoaryténoïdienne
- Compression du larynx
- Grosse sonde
- Anesthésie > 6h
- Sténose trachéale
- Pression du ballonnet
- Petite sonde
- IOT prolongée
- Choc
- Fistule oesotrachéale
La préoxygénation :
Quel est le principe de la préoxygénation :
La préoxygénation est l’oxygénation (FiO2 = 1OO% à 10 l/ mn) en ventilation spontanée pendant 3 mn (et/ou FETO2 = 90%) avec un masque facial étanche pour remplacer l’azote par de l’O2 dans la CRF (principale réserve d’O2)
La préoxygénation :
Quel est l’intérêt de la préoxygénation avant l’induction anesthésique :
L’oxygénation préalable à l’anesthésie générale a pour objectif de réduire le risque d’hypoxémie pendant l’induction en augmentant les réserves pulmonaires en O2.
Cela permet de doubler (voire tripler) le temps d’apnée avant désaturation
La préoxygénation :
Vrais/Faux concernant la préoxygénation :
- Une SaO2 égale à 100% est un élément prédictif d’une bonne préoxygénation
FAUX
Seul le monitorage de la fraction expirée d’oxygène permet d’objectiver la qualité de la préoxygénation
L’obtention d’une FETO2 = 90% est le témoin d’une dénitrogénation optimale
La préoxygénation :
Vrais/Faux concernant la préoxygénation :
- La préoxygénation nécessite l’inhalation d’oxygène pur à grand débit de gaz frais
VRAIS
Débit de gaz frais = 10 l/mn
La préoxygénation :
Vrais/Faux concernant la préoxygénation :
- Une fraction expirée d’oxygène supérieure à 70% est le témoin d’une préoxygénation optimale
FAUX
L’obtention d’une FETO2 = 90% est le témoin d’une dénitrogénation optimale
La préoxygénation :
Vrais/Faux concernant la préoxygénation :
- Lors d’une manœuvre de préoxygénation, il est possible d’atteindre une fraction expirée d’oxygène supérieure à 94%
FAUX
6 % CO2
La préoxygénation :
Vrais/Faux concernant la préoxygénation :
- Après la préoxygénation, le temps d’apnée avant désaturation est indépendant de la CRF
FAUX
La préoxygénation :
Vrais/Faux concernant la préoxygénation :
- Le temps d’apnée avant désaturation est d’autant plus court que la consommation d’oxygène de l’organisme est élevée
VRAIS
Le temps d’apnée avant désaturation est d’autant plus court que :
- La CRF est faible
- La PAO2 (pression alvéolaire moyenne en O2) est basse
- La consommation d’O2 de l’organisme est élevée
La préoxygénation :
Vrais/Faux concernant la préoxygénation :
- Le temps d’apnée avant désaturation est d’autant plus long que la pression partielle de l’oxygène contenu alvéolaire (PAO2) est haute
VRAIS
Le temps d’apnée avant désaturation est d’autant plus court que :
- La CRF est faible
- La PAO2 (pression alvéolaire moyenne en O2) est basse
- La consommation d’O2 de l’organisme est élevée
La préoxygénation :
Vrais/Faux concernant la préoxygénation :
- Le temps d’apnée avant désaturation est d’autant plus court que la capacité résiduelle fonctionnelle est faible
VRAIS
Le temps d’apnée avant désaturation est d’autant plus court que :
- La CRF est faible
- La PAO2 (pression alvéolaire moyenne en O2) est basse
- La consommation d’O2 de l’organisme est élevée
La préoxygénation :
Vrais/Faux concernant la préoxygénation :
- Le temps d’apnée avant désaturation est d’autant plus court que la pression alvéolaire moyenne en oxygène (PAO2) est basse
VRAIS
Le temps d’apnée avant désaturation est d’autant plus court que :
- La CRF est faible
- La PAO2 (pression alvéolaire moyenne en O2) est basse
- La consommation d’O2 de l’organisme est élevée
La préoxygénation :
Vrais/Faux concernant la préoxygénation :
- Le temps d’apnée avant désaturation est d’autant plus court que la consommation d’oxygène de l’organisme est élevée
VRAIS
Le temps d’apnée avant désaturation est d’autant plus court que :
- La CRF est faible
- La PAO2 (pression alvéolaire moyenne en O2) est basse
- La consommation d’O2 de l’organisme est élevée
La capnographie :
La mesure du CO2 expiré est liée aux variations de 4 composantes physiologiques. Citez-les et donnez un exemple de variation pour chacune d’elles :
- Le métabolisme
- Baisse : Anesthésie, Hypothermie, Curarisation
- Augmentation : Douleur, Anxiété, Frisson, Hyperthermie, HTM, Levée de garrot, Déclampage, Apport externe (HCO3-, transfusion, coelioscopie)
- La circulation
- Baisse : Baisse du DC, Arrêt circulatoire, EP
- Augmentation : Rétablissement du DC
- La ventilation
- Baisse : Hyperventilation
- Augmentation : Hypoventilation
- Le circuit (non physiologique)
- Baisse : Débranchement, Extubation, Apnée, Intubation œsophagienne, Obstruction
La capnographie :
Quel est la valeur de la normocapnie :
35 à 43 mmHg (4,5 à 5,7%)
La capnographie :
Quel est la valeur de l’hypocapnie :
< 34 mmHg (4,5%)
La capnographie :
Quel est la valeur de l’hyperapnie :
> 43 mmHg
La capnographie :
Vrais/ Faux concernant la PetCO2 :
- En cas d’hyperthermie, la PetCO2 va vers une augmentation.
VRAIS
Hyperthermie = augmentation de la PetCO2
La capnographie :
Vrais/ Faux concernant la PetCO2 :
- En cas d’hyperthermie maligne, la PetCO2 va vers une diminution.
FAUX
Hyperthermie maligne = augmentation rapide de la PetCO2
La capnographie :
Vrais/ Faux concernant la PetCO2 :
- En cas d’état septiques, la PetCO2 va vers une augmentation.
VRAIS
Etat septique = augmentation lente de la PetCO2
La capnographie :
Vrais/ Faux concernant la PetCO2 :
- En cas d’injection de bicarbonates, la PetCO2 va vers une diminution.
FAUX
Bicarbonates = augmentation rapide de la PetCO2
La capnographie :
Vrais/ Faux concernant la PetCO2 :
- En cas de coelioscopie, la PetCO2 va vers une augmentation.
VRAIS
Coelioscopie = augmentation lente de la PetCO2
La capnographie :
Vrais/ Faux concernant la PetCO2 :
- En cas de levée de garrot, la PetCO2 va vers une augmentation.
VRAIS
Lâchage de garrot = augmentation rapide de la PetCO2
La capnographie :
Vrais/ Faux concernant la PetCO2 :
- En cas d’hypothermie, la PetCO2 va vers une diminution.
VRAIS
Hypothermie = diminution lente de la PetCO2
La capnographie :
Vrais/ Faux concernant la PetCO2 :
- En cas d’anesthésie, de sédation la PetCO2 va vers une augmentation.
FAUX
Sédation, anesthésie = diminution lente de la PetCO2
La capnographie :
Vrais/ Faux concernant la PetCO2 :
- En cas de reprise d’activité cardiaque, la PetCO2 va vers une diminution.
FAUX
Reprise d’activité cardiaque = augmentation rapide de la PetCO2
La capnographie :
Vrais/ Faux concernant la PetCO2 :
- En cas d’état de choc, la PetCO2 va vers une diminution.
VRAIS
État de choc = diminution rapide de la PetCO2
La capnographie :
Vrais/ Faux concernant la PetCO2 :
- En cas d’embolie gazeuse ou cruotique, la PetCO2 va vers une diminution.
VRAIS
Embolie gazeuse ou cruotique = diminution rapide de la PetCO2
La capnographie :
Vrais/ Faux concernant la PetCO2 :
- En cas d’hyperventilation, la PetCO2 va vers une diminution.
VRAIS
Hyperventilation = diminution lente de la PetCO2
La capnographie :
Vrais/ Faux concernant la PetCO2 :
- En cas d’hypoventilation, la PetCO2 va vers une diminution.
FAUX
Hypoventilation = augmentation lente de la PetCO2
La capnographie :
Vrais/ Faux concernant la PetCO2 :
- En cas de fuites du circuit, la PetCO2 va vers une diminution.
VRAIS
Fuites du circuit = diminution lente de la PetCO2
La capnographie :
Vrais/ Faux concernant la PetCO2 :
- En cas de recrutement, la PetCO2 va vers une augmentation.
VRAIS
Recrutement = augmentation lente de la PetCO2
La capnographie :
Vrais/ Faux concernant la PetCO2 :
- En cas de diminution de la perfusion pulmonaire, la PetCO2 va vers une augmentation.
FAUX
Hypovolémie = diminution lente de la PetCO2
La capnographie :
Vrais/ Faux concernant la PetCO2 :
- En cas de réveil per opératoire, la PetCO2 va vers une diminution.
FAUX
La capnographie :
Vrais/ Faux concernant la PetCO2 :
- En cas d’arrêt circulatoire, la PetCO2 va vers une diminution.
VRAIS
La capnographie :
Vrais/ Faux concernant la PetCO2 :
- En cas de déconnection circuit, la PetCO2 va vers une diminution.
VRAIS
absence brutale de courbe
La capnographie :
Vrais/ Faux concernant la PetCO2 :
- En cas de chaux sodée saturée, la PetCO2 va vers une diminution.
FAUX
La capnographie :
Vrais/ Faux concernant la PetCO2 :
- En cas d’hypotension sévère, la PetCO2 va vers une diminution.
VRAIS
La capnographie :
Donnez une interprétation possible de ces courbes de capnographie :

Intubation œsophagienne
La capnographie :
Donnez une interprétation possible de ces courbes de capnographie :

- Embolie gazeuse,
- Arrêt cardiaque,
- Hypotension sévère (choc)
La capnographie :
Donnez une interprétation possible de ces courbes de capnographie :

Relaxation insuffisante (signes de réveil)
La capnographie :
Donnez une interprétation possible de ces courbes de capnographie :

Hypercapnie et hypoventilation
La capnographie :
Donnez une interprétation possible de ces courbes de capnographie :

Déconnexion du système de ventilation
La capnographie :
Donnez une interprétation possible de ces courbes de capnographie :

Réinhalation de CO2 (saturation de la chaux sodée)
La capnographie :
Donnez une interprétation possible de ces courbes de capnographie :

Augmentation partielle des VA (asthme, BPCO, …)
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais / Faux concernant la ventilation en mode volume contrôlée :
- Le réglage étroit de la pression d’échappement est particulièrement recommandé
VRAIS
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais / Faux concernant la ventilation en mode volume contrôlée :
- La pression de crête est indépendante de la compliance du patient
FAUX
La pression de crête sera la conséquence de la compliance thoraco-pulmonaire et des résistances à l’écoulement du débit
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais / Faux concernant la ventilation en mode volume contrôlée :
- La pression de plateau est indépendante de la compliance du patient
FAUX
La pression de plateau est le reflet de la pression alvéolaire, mais est révélateur de la compliance pulmonaire
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais / Faux concernant la ventilation en mode volume contrôlée :
- Pour un même volume réglé, plus vous diminuez le temps d’insufflation, plus la pression de crête augmente
VRAIS
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais / Faux concernant la ventilation en mode volume contrôlée :
- Vous imposez le rapport I/E, la fréquence ventilatoire, la PEEP, le temps de plateau
VRAIS
Réglage du Vt + FR + I/E, temps de pause (plateau) + PEEP
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais / Faux concernant la ventilation en mode volume contrôlée :
- La pression de plateau varie dans le même sens que le volume
VRAIS
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais ou faux concernant la ventilation en mode pression contrôlée :
- Le volume délivré est le résultat de la pression consigne de ventilation et de la compliance du patient
VRAIS
Le volume délivré sera la conséquence de la compliance du patient et des résistances du circuit et du patient à l’écoulement du débit par rapport à la pression consigne
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais ou faux concernant la ventilation en mode pression contrôlée :
- Pour une même pression consigne et un même rapport I/E, si vous diminuez la fréquence le volume courant augmente
VRAIS
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais ou faux concernant la ventilation en mode pression contrôlée :
- Pour une même pression consigne et un même rapport I/E, si vous diminuez la fréquence le volume courant diminue
FAUX
Pour une même pression consigne et un même rapport I/E, si vous diminuez la fréquence le volume courant augmente
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais ou faux concernant la ventilation en mode pression contrôlée :
- Un réglage très étroit de l’alarme de spirométrie est particulièrement recommandé
VRAIS
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais ou faux concernant la ventilation en mode pression contrôlée :
- Vous ne pouvez imposer que la fréquence ventilatoire et la PEEP
FAUX
Pression consigne + PEEP + FR + I/E
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais ou faux concernant : lors de la ventilation mécanique, les atélectasies sont favorisées par :
- L’anesthésie générale
VRAIS
les atélectasies sont favorisées par :
- L’anesthésie générale
- L’obésité
- La position déclive
- L’utilisation d’une FiO2 à 100%
- La compression diaphragmatique abdominal (coelio)
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais ou faux concernant : lors de la ventilation mécanique, les atélectasies sont favorisées par :
- L’obésité
VRAIS
les atélectasies sont favorisées par :
- L’anesthésie générale
- L’obésité
- La position déclive
- L’utilisation d’une FiO2 à 100%
- La compression diaphragmatique abdominal (coelio)
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais ou faux concernant : lors de la ventilation mécanique, les atélectasies sont favorisées par :
- La position déclive
VRAIS
les atélectasies sont favorisées par :
- L’anesthésie générale
- L’obésité
- La position déclive
- L’utilisation d’une FiO2 à 100%
- La compression diaphragmatique abdominal (coelio)
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais ou faux concernant : lors de la ventilation mécanique, les atélectasies sont favorisées par :
- La mise en place d’une pression télé expiratoire positive (PEEP)
FAUX
les atélectasies sont favorisées par :
- L’anesthésie générale
- L’obésité
- La position déclive
- L’utilisation d’une FiO2 à 100%
- La compression diaphragmatique abdominal (coelio)
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais ou faux concernant : lors de la ventilation mécanique, les atélectasies sont favorisées par :
- L’utilisation d’une FiO2 à 100%
VRAIS
les atélectasies sont favorisées par :
- L’anesthésie générale
- L’obésité
- La position déclive
- L’utilisation d’une FiO2 à 100%
- La compression diaphragmatique abdominal (coelio)
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais ou faux concernant : lors de la ventilation mécanique, les atélectasies sont favorisées par :
- La compression diaphragmatique abdominal (coelio)
VRAIS
les atélectasies sont favorisées par :
- L’anesthésie générale
- L’obésité
- La position déclive
- L’utilisation d’une FiO2 à 100%
- La compression diaphragmatique abdominal (coelio)
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais ou faux concernant la ventilation en mode AI :
- Le volume pris par le patient varie avec le niveau d’aide proposé
VRAIS
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais ou faux concernant la ventilation en mode AI :
- Le débit inspiratoire est constant
FAUX
Débit inspiratoire variable :
La durée du temps inspiratoire dépendra de l’évolution du débit inspiratoire au cours du cycle
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais ou faux concernant la ventilation en mode AI :
- Le débit inspiratoire est variable
VRAIS
La durée du temps inspiratoire dépendra de l’évolution du débit inspiratoire au cours du cycle
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais ou faux concernant la ventilation en mode AI :
- Une aide respiratoire trop important peut induire un phénomène de trapping
VRAIS
Un niveau d’aide inspiratoire trop élevé peut entrainer une augmentation très importante du volume courant avec l’impossibilité pour le patient d’exsuffler totalement ce volume entre deux cycles créant ainsi un phénomène de « trapping »
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Vrais ou faux concernant la ventilation en mode AI :
- Vous imposez le volume courant, le rapport I/E, la fréquence ventilatoire
FAUX
AI (entre 10 et 20) + Trigger + FR minimum : pas de possibilité de régler I/E et pas de temps de pause
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Quel sont les surveillances cliniques d’un patient ventilé :
- Couleur
- Sécheresse
- Chaleur
- Amplitude thoracique
- Auscultation pulmonaire (symétrie, encombrement, sibilance, …)
- Perméabilité
- Position de la sonde d’intubation
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Quel sont les surveillances paracliniques d’un patient ventilé :
- SpO2
- Capnogramme
- Selon le mode choisi :
- Spirométrie (Fr + VT)
- Pression d’insufflation
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Quels sont les modes de ventilation en volume :
- VC : Ventilation contrôlée (Vt x FR)
- VAC : Ventilation assistée contrôlée (VC + trigger)
- VACI : Ventilation assistée contrôlée intermittente (VAC + AI)
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
Quels sont les modes de ventilation en pression :
- VPC
- CPAP
- BiPAP
- VS-AI
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
En ventilation en volume contrôlée, quels paramètres de monitorage de la ventilation doit avoir un réglage étroit de l’alarme et pourquoi :
La pression dans les voies aériennes résulte de la compliance du patient et des volumes.
Une augmentation inconsidérée du volume amènera une augmentation des pressions d’insufflation au risque de créer un barotraumatisme.
Cette complication est également possible lors d’une toux
Cela oblige donc un réglage attentif non seulement des alarmes de pression maximale (pression de plateau), mais aussi de la valve d’échappement (réglée à 30 mb par défaut)
Surveillance de la ventilation en anesthésie :
En ventilation en pression contrôlée, quel paramètre de monitorage de la ventilation doit avoir un réglage étroit de l’alarme et pourquoi :
En ventilation contrôlée la surveillance de la spirométrie (volume courant) est primordiale, car un obstacle (spasme, coudure, pliure, …) entraîne une hypoventilation, voir une absence de ventilation car la pression consigne sera atteinte rapidement malgré un faible débit voire un débit nul
Le masque laryngé :
Quelles sont les indications du masque laryngé :
- Intervention courtes ou intermédiaires
- Chirurgie réglée, en DD
- Accès facile à la tête
- Actes peu réflexogènes
- Intubation difficile
- Adulte et enfant
- Hospitalier ou urgences
Le masque laryngé :
Quelles sont les avantages du masque laryngé :
- Libère les mains de l’anesthésiste (ventilation)
- Monitorage des gaz expirés
- Limite la pollution du bloc
- Curarisation non nécessaire
- Pas de risque d’intubation sélective ou œsophagienne
- Moins traumatique que l’IOT
- Moins d’accidents au réveil
- Apprentissage initial plus facile que IOT
Le masque laryngé :
Quelles sont les contre-indications du masque laryngé :
- Estomac plein
- Sujet porteur de hernie hiatale, RGO
- Position : DV, DL, ou changement de position extrême per-opératoire
- Anomalie anatomique : tumeur, malformation
- Chirurgie intra-abdominale haute
- Pression d’insufflation > 20 cmH2O
Le masque laryngé :
Quelles sont les complications du masque laryngé :
Sévères :
- Risque d’inhalation
- Risque d’insufflation gastrique
- Paralysie du nerf lingual, récurent
- Œdème de langue, traumatisme de la glotte, épiglotte, dents
Moins sévères :
- Maux de gorge
- Dysarthrie
- Dysphagie
- Sécheresse buccale
- Saignements
Le masque laryngé :
Quelles sont les limites du masque laryngé :
- Pas de protection des régurgitations, vomissements
- Peu stable
- Problème lié à la ventilation en pression positive
Les positions du patient sur la table d’opération :
Vous devez installer un patient sous AG en décubitus dorsal simple, quels éléments vérifiez-vous après l’installation ?
-
Risque d’escare de l’occiput, de l’omoplates, du sacrum et des talons :
Mise en place de mousse ou gélatine sous les appuis et absence de plis d’alèse -
Risque de cervicalgie post opératoire:
Pas de manipulation forcée, position neutre de la tête -
Risque d’étirement du plexus brachial:
Abduction du membre supérieur < 90° -
Risque d’abduction de la face interne du bras par cisaillement du à l’arête de la table :
Mettre l’appui bras à la hauteur de table -
Risque de compression du nerf ulnaire :
Bras en supination, coude sur gélatine -
Risque d’atteinte du fibulaire commun si compression supéro-externe de la jambe sur un plan dur :
Sangle ou fixe cuisse non compressif -
Risque de thrombose veineuse par compression prolongée du mollet
Champs ou coussin sous le creux poplité -
Risque de syndrome de compression cave si utérus gravide (7ème mois)
coussin sous la fesse droite
Les positions du patient sur la table d’opération :
Vous devez installer un patient sous AG en décubitus latéral, quels éléments vérifiez-vous après l’installation ?
-
Risque d’élongation du plexus cervical par non respect de l’axe tête cou tronc :
Manipulation douces, épaisseur adaptée du coussin de tête -
Risque d’étirement du plexus brachial du bras supérieur :
Hauteur adaptée de l’appui bras supérieur avec bandage non compressif -
Risque de compression nerveuse et vasculaire du plexus brachial du bras inférieur :
Dégagement de l’épaule inférieure avec vérification du pouls radial et de la couleur du membre -
Risque d’atteinte cutanée des points d’appuis au niveau de l’oeil, des oreilles, de l’épaule inférieur, de la crête iliaques, du trochanter, des genoux et des malléoles
Oreille déclive non pliée, matelas de bonne qualité, mousse ou gélatine entre les jambes
Maintiens : pubien, sacré, sternal, dorsal correctement capitonnés - Risque d’atteinte ophtalmique par compression du globe occulaire inférieur et/ou sécheresse cornéenne
Les positions du patient sur la table d’opération :
Quels sont les conséquences hémodynamiques du décubitus latéral :
- Peu marqué si DL strict horizontal
-
Hypotension
Baisse du retour veineux par compression de la veine cave inférieure (billot en fosse lombaire, table pliée)
Les positions du patient sur la table d’opération :
Quels sont les conséquences respiratoires du décubitus latéral :
Surveillance des bonnes fixations de la sonde d’intubation et adaptation des reglages ventilatoires :
-
Modification des rapports ventilation/perfusion
Risque d’hypoxie et d’atélectasie -
Poumon inférieur mal ventilé et bien perfusé
Effet shunt -
Poumon supérieur bien ventilé et mal ventilé
Effet espace mort -
Augmentation des pressions d’insufflation
Difficulté de ventilation
Les positions du patient sur la table d’opération :
Vous devez installer un patient sous AG en position gynécologique, quels éléments vérifiez-vous après l’installation ?
-
Risque d’escare de l’occiput, de l’omoplates, du sacrum et des talons :
Mise en place de mousse ou gélatine sous les appuis et absence de plis d’alèse -
Risque de cervicalgie post opératoire:
Pas de manipulation forcée, position neutre de la tête -
Risque d’étirement du plexus brachial:
Abduction du membre supérieur < 90° -
Risque d’abduction de la face interne du bras par cisaillement du à l’arête de la table :
Mettre l’appui bras à la hauteur de table -
Risque de compression du nerf ulnaire :
Bras en supination, coude sur gélatine -
Risque d’atteinte du fibulaire commun dans la gouttière du repose jambe :
Pas de rotation externe trop importante
Capitonnage soigneux avec un bandage non sérré - Risque de thrombose veineuse par compression prolongée du mollet
Les positions du patient sur la table d’opération :
Quels sont les conséquences hémodynamiques de la position gynécologique :
- Amélioration du retour veineux et du DC
- Risque d’hypotension lors de l’abaissement des membres inférieurs
Descente progressive des jambes l’une après l’autre avec contrôle continue de la TA et remplissage préventif
Les positions du patient sur la table d’opération :
Vous devez installer un patient sous AG en décubitus ventral, quels éléments vérifiez-vous après l’installation ?
-
Risque d’atteinte cutanée des points d’appui du visage, des épaules, des seins, des crêtes iliaques, des genoux, des pieds, des oreilles, des organes genitaux chez l’homme
Protection des points d’appui, gélatine ou coussin -
Risque d’atteinte nerveuse due à la compression des plexus céphalique, brachial et fémoral
Vérifications des points d’appui -
Risque d’atteintes oculaires par compression du globe oculaire ou par ulcération cornéenne
Pommade ophtalmique, fixation solide de la tête sur la têtière trouée
Vérification fréquente et régulière per-opératoire de l’absence de compression
Les positions du patient sur la table d’opération :
Quels sont les complications hémodynamique et respiratoire du décubitus ventral :
-
Hypotension lors du retournement
Remplissage +/- catécholamines -
Risque de compression abdominale
- Hypotension par gène au retour veineux
- Turgescence des veines épidurales (important pour opération du rachis)
- Hypoventilation par limitation de la course diaphragmatique
-
Hypoxie par hypoventilation
Poids du patient sur le thorax obligeant une augmentation des pressions d’insufflation -
Risque de déplacement ou de coudure de la sonde d’intubation
Sonde armée, bonne fixation, auscultation régulière
Les positions du patient sur la table d’opération :
Vous devez installer un patient sous AG en position assise, quels éléments vérifiez-vous après l’installation ?
-
Risque d’atteinte cutanée des points d’appui des omoplates, des coudes, des fesses, du sacrum et des talons
Protection des points d’appui, gélatine ou coussi -
Risque d’étirement ou compression du nerf sciatique
Coussin sous les fesses, billoit dans les creux poplités -
Risque d’atteintes oculaires par compression du globe oculaire ou par ulcération cornéenne
Pommade ophtalmique, fixation solide de la tête
Les positions du patient sur la table d’opération :
Quels sont les conséquences hémodynamique de la position assise :
-
Risque d’hypotension
Par séquestration de la volémie dans les zones déclives -
Risque d’embolie gazeuse
Du fait du gradient de pression entre le site chirurgical et le coeur
Les positions du patient sur la table d’opération :
Quels sont les conséquences hémodynamique de la position proclive :
-
Hypotension
Par séquestration de la masse sanguine dans les partis déclives
Diminution du retour veineux
Proclive progressive, monitorrage rapproché de la PA, remplissage +/- catécholamines - Diminution de la PIC et de la PPC
Les positions du patient sur la table d’opération :
Quels sont les conséquences hémodynamique et respiratoire de la position déclive :
-
Augmentation du DC
Augmentation du retour veineux - Augmentation de la PIC et de la PPC
-
Augmentation des pression d’insufflation par gène de la course diaphragmatique
Poids des viscères -
Ascension diaphragmatique
IOT sélective
Le Fastrach :
Quelles sont les indications du fastrach :
- Echec de ventilation manuelle
- Echec d’intubation
- Traumatisme cervical
Le Fastrach :
Quelles sont les contre-indications du fastrach :
- Ouverture de bouche < 20 mm
- Obstacle supra glottique
- Radiothérapie cervicale
- Enfant < 30 kg
Le Fastrach :
Quelles sont les limites du fastrach :
- Inhalation possible
- Anesthésie profonde
- Apprentissage
Accueil du patient :
Quels sont les prérequis de la phase d’accueil :
- Reconnaître le patient comme partenaire dans la relation ( relations sociales symétriques)
- Mise à distance relationnelle = empathie et professionnalisme