troubles mentaux Flashcards

1
Q

Les patients hospitalisés pour troubles mentaux
peuvent faire des demandes étranges puisque…

A

Ces patients peuvent avoir un délire
Ces patients peuvent avoir des hallucinations visuelles
Ces patients peuvent avoir de la sélectivité alimentaire

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2
Q

v ou f : Le gain de poids est la 2ième cause d’abandon de la médication

A

vrai

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3
Q

v ou f : Les personnes qui présentent un trouble psychotique sont plus souvent des victimes que des agresseurs

A

vrai

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4
Q

v ou f : Fréquemment, les intervenants croient que les personnes avec un trouble mental sont incapables de changer

A

vrai

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5
Q

v ou f : Les personnes qui présentent un trouble psychotique sont reconnus pour être violents

A

faux

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6
Q

v ou f : les personnes avec un trouble mentale ont une meilleure prise en charge médicale
pour les problèmes de santé physique

A

faux

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7
Q

le trouble mental est caractérisé par des perturbations cliniques de :

A

cognition
humeur/émotion
cpt

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8
Q

le trouble mental est caractérisé par des perturbations cliniques de :

A

cognition
humeur/émotion
cpt

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9
Q

quelques troubles mentaux

A

schizophrénie
trouble schizophréniforme
trouble schizo-affectif (dépression)
trouble délirant
trouble psychotique induit par une substance
troubles anxieux : phobies spécifiques, TAG
TOC
troubles reliés à des traumatismes ou autres facteurs de stress (état de stress post-traumatique)
troubles dépressifs (inappétence + perte de poids)
troubles bipolaires (épisode maniaque ou hypomaniaque/épisode dépressif = type I; type II=alternance hypomanie/dépression sans épisode de manie)
troubles de la personnalité (limite, narcissique, paranoïaque, dépendent, etc.) = clivage d’intervenants (toujours en lien avec la relation avec autrui)
tca et troubles de l’ingestion d’aliments
troubles neurodéveloppementaux, neurocognitifs

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10
Q

définition catatonie

A

État de passivité, d’inertie motrice et psychique, alternant souvent avec des états d’excitation, caractéristique de la schizophrénie.

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11
Q

impacts nutri de la catatonie

A

Faible réponse aux stimuli alimentaires
Certains refusent toute nourriture ou breuvage (ou Rx) -> dénutrition, déshydratation

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12
Q

interventions nutri pour catatonie

A

Placer des aliments à côté de l’individu peut favoriser les apports
Alimentation entérale ou soluté peuvent s’avérer nécessaires

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13
Q

impacts de la C°

A

Réduction des apports secondaire à un inconfort abdominal

causée par : Rx, alimentation, manque de mobilité, déshydratation

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14
Q

interventions nutri pour C°

A

Évaluer les apports alimentaires et hydriques
Combler les besoins en fibres alimentaires et hydriques
Encourager le client à se procurer une gourde pour avoir de l’eau à la portée de la main
Encourager la marche et l’exercice
Psychoéducation sur les causes de la constipation

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15
Q

Dx nutri de dénutrition (2 de ces 6 critères)

A

Apport énergétique insuffisant
Perte de poids significative
Fonte musculaire
Perte de masse adipeuse
Diminution des capacités fonctionnelles
Accumulation de fluides

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16
Q

impacts de la dénutrition

A

Un risque accru de :
Hospitalisation + durée hospitalisation
Plaie de pression
Dysphagie
Chute + fracture
Décès

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17
Q

interventions nutri pour la dénutrition

A

Évaluation des apports protéino-énergétiques
Alimentation riche énergie et protéines
Ajout de suppléments alimentaires thérapeutiques prn
Plusieurs petits repas-collations
Adaptation du plan de tx nutritionnel selon aversions et préférences

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18
Q

impacts de la dysphagie

A

Réduction des apports alimentaires ou hydriques
Peur de s’étouffer
Sélectivité alimentaire (aliments et boissons)
**Risque de déshydratation, dénutrition, étouffement, pneumonie par aspiration

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19
Q

interventions nutri pour la dysphagie

A

Évaluer les capacités de déglutition
Évaluer les apports alimentaires et hydriques
Adapter la texture et consistance des liquides
Utiliser les suppléments alimentaires thérapeutiques au besoin
Encadrer lorsque comportements alimentaires non sécuritaires

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20
Q

impacts nutri des manies/hypomanies

A

Associé à une non-observance du traitement (attention pour Db, dysphagie, fonction rénale, etc)
Humeur irritable, débit verbal accéléré et l’hyperactivité
Distractibilité pouvant engendrer ↓ apports alimentaires

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21
Q

interventions nutri pour manies

A

Encourager un régime équilibré sous forme de petits repas fréquents
Aliments à haute densité énergétique/protéique ou suppléments alimentaires thérapeutiques au besoin
Traitement médical permet une stabilisation des symptômes et améliore
l’appétit et le poids

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22
Q

impacts nutri de l’évitement/isolement social

A

Isolement pouvant entraîner ↑ ou ↓ des apports
Évitement des heures de repas
Inconfort à l’idée de manger avec autrui
Achats alimentaires restreints
Accès limité aux professionnels de la santé (ex: nutritionniste)

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23
Q

interventions nutri pour isolement

A

Encourager une alimentation équilibrée avec suppléments alimentaires thérapeutiques au besoin
Aider à la planification des achats alimentaires afin d’optimiser chaque sortie
tout en favorisant l’exposition
Pour la clientèle en ambulatoire, téléconsultation permet la création du lien thérapeutique

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24
Q

impacts nutri d’un GP non intentionnel

A

Adoption de modes d’alimentation inadéquats (omission de repas, jeûne, diète amaigrissante, etc.)
Faible autocritique vs gain de poids- Stade de la précontemplation

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25
Q

interventions nutri pour GP

A

Évaluer l’apport oral (alimentaire et breuvages)
Évaluer l’altération de l’appétit/rassasiement depuis l’introduction de nouveaux médicaments et traiter le plus rapidement possible pour limiter le gain de poids
Assurer une bonne répartition des apports tout au long de la journée
Augmenter les fibres alimentaires pour améliorer l’effet de satiétogène
Discuter des signaux corporels : perception et respect
Questionner la relation avec les aliments
Explorer l’image corporelle: distorsion, insatisfaction

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26
Q

impacts nutri de la restriction/évitement de l’ingestion d’aliments

A

Sélectivité alimentaire
Rituels alimentaires

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27
Q

interventions nutri pour restriction/évitement

A

Évaluation clinique de la déglutition pour éliminer trouble de la déglutition
Modification de la texture des aliments et consistance des liquides au besoin
Corriger la dénutrition en adaptant le plan alimentaire selon aversions et préférences
Psychoéducation sur l’impact de la dénutrition, sensation GI lors de la
réalimentation et le manque d’exposition
Exposition hiérarchique des aliments
Suivre la courbe pondérale

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28
Q

impacts nutri des troubles psychotiques

A

Délire sur la nourriture (ex: nourriture empoisonnée) ou hallucinations (ex: présence d’insectes dans la nourriture) provoquant le refus de s’alimenter

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29
Q

interventions nutri pour troubles psychotiques

A

Adapter le plan de traitement nutritionnel selon le délire ou l’hallucination jusqu’à ce que la médication ↓ les symptômes positifs
Fournir une alimentation équilibrée
Éliminer les causes organiques (ex: déséquilibre électrolytique) -> ex : potomanie (boire des 10aines de L d’eau et hypoNa peut accentuer les Sx psychotiques)

30
Q

impacts nutri des troubles anxieux

A

Incapacité d’arrêter ses activités pour manger
Dépense énergétique accrue
Augmentation de l’appétit

31
Q

interventions nutri pour troubles anxieux

A

Petits repas fréquents
Limiter la caféine  peut augmenter les sx anxieux
Présentation d’un aliment à la fois avec un seul ustensile peut s’avérer
pertinent pour certaines personnes
Suppléments alimentaires thérapeutiques au besoin
Travailler les signaux corporels de la faim et rassasiement

32
Q

impacts nutri des troubles de mémoire

A

Omission de repas par oubli de manger
Augmentation des apports par oubli qu’un repas ait été consommé

33
Q

interventions nutri pour troubles de mémoire

A

Encadrement aux moments des repas
Utiliser des stratégies d’adaptation cognitives (ex: adapter l’environnement pour fournir des rappels sur la préparation des repas, heures de repas, etc.)
Adapter les interventions thérapeutiques pour faciliter le rappel (ex: répétez les concepts, recommandations écrites, donner peu d’information à la fois, etc.)

34
Q

impacts nutri des troubles dépressifs

A

↓ des apports :
Inappétence
Niveau d’énergie insuffisant
Manque de motivation pour acheter, préparer des repas ou s’alimenter
Délires somatiques de ne pas pouvoir manger ou être physiquement trop malade pour manger

↑ des apports « confort eating »
Préférences pour les breuvages ou les repas cuisinés qui exigent moins d’énergie pour la préparation et pour manger

35
Q

interventions nutri pour troubles dépressifs

A

Encourager une alimentation équilibrée avec suppléments thérapeutiques au besoin
Encourager une structure au niveau des repas
Encourager la socialisation au moment des repas
Exclure une maladie cœliaque; si elle est confirmée, le régime sans gluten peut améliorer les symptômes
Alimentation entérale au besoin (très rare)
L’appétit et poids peuvent s’améliorer avec le traitement médical

36
Q

impacts nutri des troubles de panique

A

Utilisation de la nourriture pour calmer l’anxiété
Isolement pour éviter les attaques de panique
La médication utilisée pour soulager les symptômes (sédatifs) peut réduire la motivation à manger ou entraîner la somnolence

37
Q

interventions nutri pour troubles de panique

A

Favoriser les aliments sains à faible densité énergétique
Psychoéducation sur les signaux faim/rassasiement
Limiter la caféine

38
Q

impacts nutri des TOC

A

Évitement de certains aliments ou de groupes d’aliments
Compulsion complexifiant les AVD et AVQ
Attention portée vers obsession/compulsion pouvant engendrer ↓ apports alimentaires

39
Q

interventions nutri pour TOC

A

Encourager une alimentation équilibrée sous forme de petits repas fréquents
Aliments à haute densité énergétique/protéique ou suppléments alimentaires thérapeutiques au besoin.
Proposer des repas/recettes nécessitant peu de préparation

40
Q

impressions cliniques souvent rencontrées en cours d’hospit

A

Apport oral excessif
Acceptation limitée en aliments
Apport oral insuffisant - Dénutrition
Difficulté de déglutition
Apport irrégulier en glucides

41
Q

impressions cliniques souvent rencontrée en clinique externe

A

Accès limité aux aliments
Trouble de conduite alimentaire
Attitudes et croyances non fondées relativement aux aliments et à la nutrition (ACAD)
Gain de poids non intentionnel

42
Q

v ou f : les RC en nutrition sont souvent des problèmes de santé physique avec composante nutri et co-occurence de troubles mentaux

A

vrai

43
Q

portrait de la santé des troubles mentaux graves

A

syndrome métabolique
TT élevé
hyperG à jeûn
hyperTG
HDL abaissé
HTA
tabagisme (la majorité fume)

44
Q

v ou f : les MCV sont responsables de 50+% des décès chez les personnes atteintes de schizophrénie

A

vrai

45
Q

portrait de l’alimentation (schizophrénie)

A

riche en : lipides, glucides, collations avec Na/sucre/gras, fast food
pauvre en : FL, fibres, PL, vitamines

Les personnes avec un trouble psychotique consomment 400 kcal de plus par jour que la pop. générale

46
Q

impact du tabac

A

diminue le taux plasmatique des antipsychotiques
impacts - sur le budget

47
Q

pourquoi ces pts bougent moins

A

sans emploi
Sx négatifs
repli sur soi
effets sédatifs de la médication

48
Q

impacts md de la période de labilité émotionnelle chez les troubles bipolaires

A

Période sans contact avec les professionnels de la santé
Faible adhésion aux traitements (Rx-chgs comportementaux)

49
Q

impacts md de la période de dépression chez les troubles bipolaires

A

Sédentarité: augmentation du poids

50
Q

caractéristiques de l’alimentation en période de manie

A

sucres, glucides complexes
caféine
omission de repas

Les personnes avec un trouble bipolaire consomment 200 kcal de plus par jour que la pop. générale

51
Q

caractéristiques en période de dépression

A

nb de repas
préparation des repas

52
Q

Rx des troubles mentaux

A

antipsychotiques classiques (1e génération) : efficaces pour tx les Sx + et Sx extrapyramidaux (tremblements, rigidité, spasmes musculaires, bradykinésie)
antipsychotiques atypiques (2e gen) = APA : plus efficaces pour tx les Sx -, les atteintes cognitives et les Sx affectifs MAIS impact métabolique

53
Q

2 rx qui ont un impact +++ sur le GP, l’anormalité du métabolisme du glucose, DLP

A

clozapine et olanzapine ([ ] sérique) -> ont un risque significativement plus élevé de dév un syndrome métabolique

54
Q

GP et APA

A

significatif >7% dans les 6 1eres semaines de tx
pour les autres APA : pas de lien entre la dose et le GP

55
Q

lien métabolisme glucose et APA

A

fort lien entre GP et Db (mais pas nécessairement pour dév le Db)
risque élevé d’hyperG et de RI
possibilité d’apparition soudaine et sévère d’hyperG
jeunes adultes auraient des plus hauts risques

56
Q

APA et DLP

A

profil lipidique typique
les transporteurs sont diminués

57
Q

APA et syndrome métabolique

A

prévalence élevée
schizo : tendance à dév obésité abdo (même avant le début de la Rx) et donc, un syndrome métabolique

58
Q

zeldox

A

pour scz et trouble bipolaire
biodisponibilité augmentée avec prise d’aliments
biodisponibilité non influencée par les apports lipidiques
recommandation : 500 kcal/dose

59
Q

latuda

A

pour scz et trouble bipolaire
biodisponibilité augmentée avec prise d’aliments
biodisponibilité non influencée par les apports lipidiques
recommandation : 350 kcal/dose

60
Q

stabilisateurs de l’humeur

A

Contre-indiqué dans des conditions nécessitant des
restrictions importantes en Na
Maintenir des apports hydriques et sodiques stables (donne soif +++ : attention aux types de breuvages)
Éviter des modifications importantes de l’apport en caféine
Gain pondéral possible (>4 kg)

61
Q

anti-dépresseurs

A

certains font augmenter la glycémie et le poids (ex : mirtazapine), d’autres les font diminuer

62
Q

v ou f : La modification des habitudes de vie doit faire partie intégrante du rétablissement des personnes souffrant de troubles mentaux

A

vrai -> Les personnes souffrant de troubles mentaux peuvent bénéficier des interventions même si les résultats sont moindres que ceux obtenus auprès de la population générale

63
Q

pourquoi les personnes souffrant de troubles mentaux ont moins accès aux soins de santé

A

On croit que ce sont des Sx somatiques
Ils ont plus de difficulté à rapporter les Sx
Plus de difficulté à s’engager dans Tx (ex : se présenter aux RDV); surtout si l’approche n’est pas inclusive

64
Q

comment faire pour intervenir sur les HDV avec cette clientèle

A

Développer des outils simples et facilement applicables pour le dépistage

Identifier les problématiques sur une base individuelle afin de donner aux pts les outils pour modifier leurs propres habitudes de vie et protéger leur santé physique

Favoriser une approche individualisée multidisciplinaire spécialisée en santé mentale selon profil comportemental et buts de chacun

65
Q

impact des préjugés

A

Diagnostics et traitements retardés ou non faits;
Baisse d’estime de soi;
Ne pas parler de ses préoccupations et demander
de l’aide;
Ressentir de la honte ou de la gêne;
Décider de ne plus étudier ou travailler, par peur
des réactions et des jugements des autres;
Rompre les liens avec ses proches

66
Q

Sx de la maladie (auxquels nous pouvons aider)

A

Hallucinations, délires
Troubles de la mémoire, de l’attention
Atteinte des fonctions exécutives
Diminution de la motivation
Besoin de cadre thérapeutique

67
Q

processus du rétablissement en 5 étapes

A

1-L’impact du trouble mental: choc et déni
2-La vie est limitée: renoncement et désespoir
3-Le changement est possible: espoir et remise en question
4-L’engagement à changer: volonté d’agir et courage
5-Les actions pour changer: responsabilisation et pourvoir d’agir

68
Q

dans notre intervention, prendre en compte :

A

processus de rétablissement
stades de changement
heure de l’intervention
support social
employabilité limitée par maladie même ou stigmatisation
type d’hébergement (instruments de cuisine??)
occupations (peuvent aider pour les ACAD)
niveau d’insécurité alimentaire

69
Q

à évaluer a/n des capacités fonctionnelles

A

capacités aux AVD (compétences culinaires)
niveau de scolarisation
niveau de littératie
trouble du langage
*important de valider la compréhension du client

70
Q

E2 de la Rx

A

altération des signaux de faim, rassasiement et satiété (répartition des apports, fibres, protéines…)
xérostomie (limiter la prise de breuvage caloriques, avoir une gourde à portée de main…)
effets sédatifs : encourager les clients à bouger

71
Q

techniques d’entrevue

A

éducation thérapeutique : modèles d’aliments, inclure famille, vulgariser…
entretien motivationnel : questions ouvertes, reflets, objectifs SMART (1 à la fois)…