tca Flashcards
qu’est-ce qu’un poids significativement bas
poids < au minimum de la normale
ou
poids < au minimum attendu pour les enfants/ados (courbe de croissance)
critères/manifestations de l’anorexie nerveuse
restriction apports
poids significativement bas
peur de prendre de poids/devenir gros
distorsion cognitive (poids, formes)
influences +++ du poids
déni de la gravité de l’amaigrissement
2 types d’anorexie nerveuse
type restrictif
type boulimique purgatif
critères/manifestations de la boulimie nerveuse
consommation d’une qté de nourriture»_space;> en une petite période de temps
sentiment de perte de contrôle
présence d’un cpt compensatoire (inapproprié)
épisodes boulimiques/cpt compensatoire
estime de soi influencée ++ par aspect corporel
exemples de cpts compensatoires
auto-v°
usage ++ de laxatifs
diurétique
exercice excessif
jeûne
autres Rx (ex : omettre des doses d’insuline ou la prise d’ez pancréatiques)
v ou f : il est normal d’avoir des cpts hyperphagiques après l’anorexie
vrai -> le corps veut se rattraper
dans quel contexte on parle d’un dx mixte
continuum d’AN et de BN
dans quel contexte les fringales se passent généralement (BN)
en secret
ad. inconfort/dlrs
surviennent après un affect négatif/stresseurs/restriction alimentaire/ennui
v ou f : le poids est normal ou au-dessus dans la BN
vrai
manifestations de l’hyperphagie boulimique
épisodes récurrents de binge eating (grosses qtés + sentiment de perte de contrôle)
caractéristiques des épisodes de boulimie
manger plus rapidement que la N
manger ad. se sentir inconfortable
manger +++ sans ressentir physiquement la faim
manger seul (gêne)
dégoût/coupable envers soi-même
v ou f : dans l’HB, le cpt boulimique n’est pas nécessairement associé à l’utilisation récurrente de cpts compensatoires inappropriés comme dans la BN
vrai
manifestations/critères du trouble du cpt alimentaire restrictif/évitant (ARFID)
échec persistant à rencontrer ses besoins nutri/É
perte de poids importante ou ralentissement croissance
carences importantes
dépendance envers la NE ou les SNO
interférence ++ avec le fonctionnement psychosocial
caractéristiques retrouvées chez les plus jeunes atteints d’un tca
perte de poids souvent + rapide
insatisfaction corporelle non articulée
atteinte à la courbe de croissance
moins de 13 ans : plus de chances d’avoir une psychopathologie (TOC, dépression, trouble anxieux)
touche autant les F que les G
qu’est-ce que l’AN atypique
poids normal malgré perte significative (mais avec autres caractéristiques de l’AN)
quel tca est plus prévalent chez les hommes
ARFID
v ou f : il y a eu au moins 2x + de cas d’AN depuis la pandémie
vrai
dans 75% des cas, le tca débute à quel âge
adolescence
malgré que l’âge d’apparition diminue de + en + (12 ans et moins)
en quoi les tca sont multifactoriels
facteurs génétiques
facteurs biologiques (jeûne, leptine, dopamine, etc.)
facteurs psychologiques et personnels
facteurs familiaux
facteurs sociaux
qu’est-ce que le modèle de Neumark-Sztainer et Irving
facteurs personnels (image corporelle, internalisation des standards de minceur, estime, génétique, etc.), facteurs socio-environnementaux (normes sociales, disponibilité de la nourriture, préjugés face au poids, etc.), facteurs cpts (binge, restrictions, habitudes de consommation, NAP, etc.) –> influencent les comportements alimentaires inadéquats et donc, les tca
*tout est inter relié
fdr au développement de tca
hx familiale de tca ou obésité
maladie affective ou alcoolisme dans la famille
sports où le corps est mis de l’avant
traits de personnalité (perfectionnisme)
abus sexuel ou physique
faible estime de soi / insatisfaction
hx de régimes / exercice compulsif
facteurs précipitants aux tca
défis de l’adolescence
événements perturbateurs (déménagement, nouvelle école, blessure, dispute, etc.)
facteurs perpétuants aux tca (qui font que le tca dure)
biologiques
renforcement + de l’entourage
réponse de la famille (attention, accepter les demandes)
facteurs précipitants de la covid
isolement
anxiété relative aux notes
fermeture des activités parascolaires
+ de temps sur les RS
enjeux familiaux
etc.
quels sont les effets du jeûne sur l’aspect biologique (étude 1950)
dépression
anxiété
obsessions
insomnie
rituels bizarres autour de l’alimentation
complications md de l’AN
résultats directs de la restriction/perte de poids
attention : cardiaque, croissance, syndrome de réalimentation, santé osseuse (risque +++ de fractures à vie)
complications md de la BN
directement corrélées avec la méthode et la fréquence du cpt de purgation
importance de connaître les complications
pour prévenir, identifier, traiter
éduquer les pts/familles
gagner leur confiance
pour garder les pts motivés et mobilisés dans leur tx/rétablissement
v ou f : les complications md d’un tca peuvent survenir à n’importe quel poids
vrai
quelles sont les complications CV
perte de MM = plus petite masse cardiaque
rythme cardiaque abaissé (MB abaissé)
hypotension artérielle (qui chute lorsque debout)
arythmies
QT allongé (anomalies électrolytiques)
épanchement péricardique (indique dénut ++)
pourquoi les besoins caloriques et protéiniques sont maximaux à l’adolescence
on augmente +++ :
taille
poids
masse osseuse
état nutri de l’anorexique
apports diminués +++
déficiences vitaminiques
déficiences subcliniques en fer, Ca, zinc
pourquoi la malnutrition chez l’enfant peut se manifester par un arrêt de croissance
résistance à l’hormone de croissance
diminution IGF-1 (médiateur de la GH)
quelles peuvent-être les complications endocriniennes
hypoG (mort subite, souvent aSx)
hormones thyroïdiennes abaissées (mais TSH N)
cortisol élevé (risque : variation humeur, ulcère gastrique, ostéoporose) -> maintien le sentiment d’adrénaline malgré apports absents (gluconéogénèse augmentée pour procurer les nutriments vitaux)
causes de l’aménorrhée
-dysfonction hypothalamique (FSH et LH abaissées, oestrogènes ovariens diminués, petit utérus et ovaires)
-perte de poids sous seuil critique avec réduction du TA
-malnutrition
-hypercortisolémie
-exercice intense
-leptine abaissée due à restriction kcal et faible TA -> réduction de la sécrétion de GnRH et LH
-facteurs psychologiques?
quoi faire pour résoudre l’aménorrhée
GP ad. 90% du poids idéal
rétablissement de l’axe hypothalamo-hypophyso-gonadique nécessaire
masse adipeuse et leptine
causes de la diminution de la densité osseuse
-génétique
-début précoce ou durée de la maladie
-malnutrition, faible IMC
-hypogonadisme (faibles taux d’oestrogène et testo)
aménorrhée de plus de 6 mois ou primaire (ou ménarche tardive)
-déficit IGF-1 = résistance GH
-changements hormonaux : diminution leptine et augmentation cortisol
-faibles apports (vit D et Ca)
-Rx (ISRS à LT)
-activité physique intense
-diminution de la formation/augmentation et résorption osseuse
quoi faire pour traiter la diminution de la densité osseuse
-rétablissement a/n nutri
-Ca 1000-1200 mg/j
-vit D 800 UI+/j
-hormonothérapie si sévère pour ados
-activité physique (attention GP et retour menstruations)
-contrôle de la densité osseuse par la suite
complications dermatologiques
duvet
peau sèche
perte de chvx
extrémités bleues
teint caroténémique
ongles fragiles
auto-mutilation
plaies de pression
etc.
complications digestives
-C°
-retard vidange gastrique (= sensation de plénitude = contre intuitif de manger)
-syndrome de l’artère mésentérique supérieure
-anomalies hépatiques (ALT>) à cause de la dénut ou réalimentation
-pancréatite (réalimentation)
-D° ou C° de rebond si abus de laxatifs
-à cause des V° : érosions dentaires, gonflement des glandes salivaires, oesophagite, rupture oesophage, dilatation aiguë de l’estomac, rupture gastrique
complications rénales
-déshydratation = IR
-difficulté à [ ] les urines : polyurie, nycturie
-lithiases urinaires (calcémie élevée à cause de la déminéralisation osseuse)
-dysfonction vésicale = muscles : incontinence
complications métaboliques
-hypoG
-hypoCa (V° excessifs -> risque arythmie)
-hypoP (attention réalimentation)
-hypoNa (intoxication à l’eau)
-hypoK
-alcalose MB hypochlorémique (V°)
-acidose MB hyperchlorémique (abus de laxatifs)
complications hématologiques
-hypoplasie moelle osseuse : anémie (Hb), leucopénie (diminution GB), thrombocytopénie (plaquettes)
-déficience rare en fer, B12, folate
-infections graves peu fréquentes (attention t° corporelle anormalement basse)
tout est réversible avec GP
complications neurologiques
-changements neuro-psycho
-atrophie cérébrale avec élargissement des ventricules
-convulsions (hypoNa)
-neuropathie périphérique : pied tombant
-faiblesse musculaire
qu’est-ce que le questionnaire psychosocial HEADS
Home : relation avec parents, fratrie
Education : intérêts, scolarité
Activités, affects, amis : idées noires? anxiété? isolement?
Drogues
Sexualité
v ou f : en cas d’AN, la ferritine est souvent élevée/N
vrai : le corps veut garder ses réserves
va baisser à mesure qu’on traite le tca
intervention md d’un tca
-encourager à se questionner sur le sens de sa conduite alimentaire
-demander de freiner la chute de poids
-retirer le contrôle de la cuisine
-donner aux parents le contrôle de l’alimentation (en laissant certains choix à l’ado)
-mettre l’accent sur retrouver une santé physique acceptable (perte de poids associée au déclin de la santé mentale)
4 principes de tx de Comerci
reconnaître le désordre alimentaire et rétablir une stabilité physiologique rapidement
établir une relation de confiance avec le md
impliquer la famille dans le tx
approche interdisciplinaire
comment établir une relation de confiance
-reconnaître le conflit de façon explicite
-emphase sur la volonté
-approche dév
-éviter le blâme/culpabilité/faute
-expliquer le tca et le voir comme un moyen de gérer des enjeux propres à l’ado (contrôle, identité)
-accepter que la pte puisse être fâchée face à certaines demandes
les non-négociables en cas de tca
sécurité médicale
pesée
suivi, devoirs
GP attendu
attentes lors des repas
qu’est-ce que l’approche familiale
les parents contrôlent l’alimentation/sont les experts : le dév physio/psycho/social est freiné par le tca, donc l’ado ne fait pas les meilleurs choix -> a besoin de ses parents pour avoir les moyens de retrouver son processus d’individuation sans l’interférence du tca
but : libérer les pts de la responsabilité de s’alimenter
fondements de l’approche familiale
-vision agnostique de la cause de la maladie (on ne cherche pas la cause du tca)
-approche thérapeutique non autoritaire
-les parents sont responsables du retour à un poids santé
-externalisation (on ne négocie pas avec la maladie)
-focus sur le sx : on met l’accent sur le changement de cpt, qui va éventuellement aider à modifier les pensées
3 phases de l’approche familiale
0-si hospit : les intervenants sont en charge du GP
1-parents en charge du GP
2-parents redonnent le contrôle de l’alimentation à leur enfant
3-discussion autour des enjeux développementaux de l’ado
y a-t-il une médication officielle pour traiter l’AN
non
mais ISRS pour traiter sx anxieux et dépressifs
neuroleptiques atypiques pour augmenter le GP et diminuer les sx obsessionnels (si tca très fort)
médication pour traiter boulimie
ISRS efficaces
topiramate
indications pour hospitalisation
-SV inquiétants (rythme cardiaque, TA)
-épuisement physique ou psychique (pas fonctionnel au plan social/scolaire)
-désordres électrolytiques, déshydratation
-perte de poids rapide ou constante (ou absence de GP prolongé/impact sur la croissance)
-refus alimentaire aigü
-cpt purgatifs hors de contrôle
-situation familiale détériorée
quand utiliser l’approche comportementale
quand le GP est insuffisant avec des approches moins intensives
v ou f : bien qu’un traitement volontaire soit grandement favorisé, le patient n’a pas besoin d’être en accord complet avec tous les aspects du traitement pour qu’il y soit référé
vrai
ce n’est PAS pour punir, mais bien parce que les interventions médicales sont nécessaires
selon l’approche cpt, que faire si GP insuffisant
ajuster apports caloriques
ajuster activité physique
si objectifs atteints -> possibilité de revoir
effets adverses de l’approche cpt
syndrome de réalimentation
interruption des activités (école, emploi, amis)
ces risques < risques de la maladie
v ou f : la moitié des pts rechute après un tx avec approche cpt à l’interne
vrai
prévention : Rx, CBT, thérapie familiale
étapes de réalimentation en hospit
1-menu imposé ~2200 kcal (augmentation par palliers de 200-300 kcal), puis choisi
2-menu surprise
3-déjeuner maison
4-repas à la cafétéria
très rare qu’on utilise des SNO ou NE
quels facteurs contribuent à un bon pronostic
durée plus courte des sx
jeune âge
meilleure relation parent-enfant
quels facteurs contribuent à un moins bon pronostic
purging
hyperactivité physique
perte de poids + significative
chronicité de la maladie
importance de la prise en charge des tca
-chronicité de la maladie
-grande proportion des personnes avec obésité souffrent d’HB
-peut affecter tout le monde
-conséquences au plan physique, psycho, social
-la rémission complète est possible
quelles fonctions le tca peut avoir
gestion de l’anxiété
combler un vide
fait partie de son identité
pour se rebeller/indépendance
éviter des émotions
besoin de contrôle
gérer une agression
se punir
y a-t-il des cpts compensatoires dans l’HB
non
pica
ingestion répétée de substances non nutritives et non comestibles
mérycisme
régurgitation répétée de la nourriture; peut être remâchée, ravalée ou recrachée
tca faisant partie du trouble de l’alimentation non spécifié (OSFED)
anorexie mentale atypique
boulimie (de faible durée/fréquence)
accès hyperphagiques (de faible durée/fréquence)
trouble purgatif (sans accès hyperphagiques)
syndrome d’alimentation nocturne
orthorexie
diaboulimie (omettre/diminuer dose d’insuline)
qu’est-ce que le test de Bratman
questions à poser lorsqu’on soupçonne l’orthorexie (passer plus de 3hrs à penser à notre alimentaire, planification excessive des repas, sentiment de culpabilité, etc.)
objectifs du tx nutritionnel
rétablir état nutritionnel
restaurer poids
normaliser cpts alimentaires et éliminer cpts compensatoires
améliorer la relation avec les aliments et l’image corporelle
syndrome de renutrition inapproprié (SRI)
faire attention quand on re-nourris une personne qui est dénutrie : le corps veut refaire ses réserves de glycogène surtout = état anabolique -> + d’insuline, mais aussi plus d’entrée d’électrolytes dans les cellules -> vont diminuer dans le volume sanguin -> défaillance des organes -> décès
critères majeurs pour risque de SRI (1)
IMC<16
perte de poids >15% x3-6 mois
réduction ++ ou absence d’apports >10 jrs
faible [ ] sérique de Mg, P, K
critères mineurs pour risque de SRI (2)
IMC<18,5
perte de poids >10% x3-6 mois
réduction ++ ou absence d’apports >5jrs
alcoolisme chronique ou utilisation de Rx (insuline, agents chimio, antiacides ou diurétiques)
approche agressive de réalimentation (en milieu hospit)
apports élevés (1500-2400 kcal/j) dès le début (bénéfices > risques)
reconnaissance d’un underfeeding syndrome (moins bon pronostic si on prend du temps pour réalimenter)
surveillance étroite et correction des électrolytes et signes vitaux
approche conservatrice
start low and go slow
apports à 1200 kcal/j et ajouts de 100 kcal/j (ou moins)
si malnutrition sévère (IMC<15)
en externe ou clinique privée quand la surveillance étroite n’est pas possible
collabo du md nécessaire pour prises de sang régulières
surveillance du SRI
à l’admission : ECG, FSC, FR, électrolytes, glucose, fonction hépatique, protéines, bilan lipidique, etc
supplémenter en thiamine et mvi avant la réalimentation (pour réduire le risque de SRI)
suivis q 24-48h
limiter apports hydriques (20-30 ml/kg de poids) et en Na les 1ers jrs
signes d’instabilité :
TA <90/60
pouls <40 bpm ou 80-100 bpm si pt ayant présenté bradycardie initiale
T° <35
effets de la réalimentation
troubles digestifs (ballonnements, gaz, dlrs abdo) = sx temporaires qui vont disparaitre si on continue de manger régulièrement
p-ê bcp d’émotions (colère, anxiété, confusion, etc.) : dénutrition et tca ont un effet anesthésiant
relation entre anxiété et évitement
plus on évite, plus on ressent de l’anxiété avec le temps
relation entre anxiété et exposition
plus on s’expose, moins on ressent de l’anxiété avec le temps
-visualisations
-observatins
-consommer un aliment de manière encadrée
-consommer un aliment seul à la maison
approche RAVES
1-régularité : 6 prises alimentaires/jr
2-adequacy (qté) : augmenter la qté des aliments sécuritaires
3-variété : réintroduire des aliments qui font peur
4-eating socially : regarder un menu ensemble avant d’aller au resto
5-spontanéité
finalement : alimentation intuitive
v ou f : le tx nutri est le même pour l’anorexie de type accès hyperphagiques/purgatifs, la boulimie et l’hyperphagie boulimique
vrai
cycle restriction-compulsion
insatisfaction corporelle -> contrôle alimentaire -> sentiment de manque -> perte de contrôle -> sentiment d’échec -> désinhibition
types de convulsion
crise objective (briser cercle vicieux)
crise subjective (déculpabiliser)
crise planifiée (ex : cheat day)
crise subite (impulsivité)
grignotage compulsif
manger de plus petites qté sur une longue période par automatisme
débordement alimentaire/surconsommation
dépasser sa satiété lors de repas ou collations
que faire pour éliminer la restriction alimentaire physique
RAVES
-augmenter apports si nécessaire
-mieux répartir les prises alimentaires
-viser équilibre alimentaire (assiette équilibrée)
-viser alimentation intuitive (éventuellement…)
restriction cognitive
je ne peux pas manger de fastfood
je me sens coupable après avoir mangé des chips
je dois boire 7 verres d’eau par jr
etc.
= toutes les règles alimentaires
que faire pour éliminer la restriction cognitive
assouplir les règles alimentaires
défaire les interdits alimentaires
retrouver le plaisir de manger
pourquoi les v° provoqués ne sont pas efficaces pour la perte de poids
Contenu calorique résiduel dans l’estomac (1200 kcal)
Rétention d’eau, fluctuations pondérales
Entretient les compulsions
stratégies contre les v° provoqués
Surveillance requise des électrolytes et supplémentation au besoin
Cesser ou repousser les V: se distraire (jeux, TV, marche, entourage)
Contrôle de l’accès aux salles de bain après les prises alimentaires
pourquoi l’usage de laxatifs n’est pas efficace pour perdre du poids
Agit sur le gros intestin alors que l’abs. des kcal se fait a/n du petit intestin
Perte d’eau et d’électrolytes
Rétention d’eau, fluctuations pondérales
stratégies contre exercice excessif
Réduction de l’intensité ou fréquence
Travailler la relation avec le sport: bouger pour les bonnes raisons, ne plus associer dépenses et apports énergétiques
prioriser musculaire à CV (risque si dénut)
stratégies contre vérifications corporelles excessives
Absence de miroir sur l’unité d’hospitalisation
À la maison: diminuer la fréquence de pesée, se débarrasser de la balance
Suivi du poids dans le cadre du Tx:
-Uniquement si objectif de gain pondéral
-Pesée à l’aveugle vs prendre connaissance du chiffre
Travailler l’image corporelle