Troubles de la personnalité Flashcards
Qu’est-ce qui distingue un trouble de la personnalité d’un
autre trouble de la santé mentale?
Un trouble de la personnalité se caractérise par des symptômes qui ne dérangent pas le sujet. On dit alors qu’ils sont egosyntones. Plus précisément, ce qui apparaît comme pathologique de l’extérieur (donc du point de vue de l’observateur) est vécu comme étant cohérent avec l’ego, et même comme étant au service des besoins de celui-ci.
Ce qui dérangent le sujet, ce sont les conséquences de ses symptômes sur son fonctionnement psychosocial. Toutefois, il ne les perçoit pas toujours.
Pour la personne ca n’apparait pas comme des conduites ?, tdp ont un prob particulier au niveau de l’?, son ? est a quelque part défectueux: déficite au niveau de la ? qui est associer à soi. On veut regagner de la ? (une certaine forme de conduite qui a pour but de compenser). Ce ne se pas les ? qui dérange, mais les ?. Les ? vont être le levier de notre intervention. Ex: ?
Pour la personne ca n’apparait pas comme des conduites problématique, tdp ont un prob particulier au niveau de l’égo, son ego est a quelque part défectueux: déficite au niveau de la valeur qui est associer à soi. On veut regagner de la valeur (une certaine forme de conduite qui a pour but de compenser). Ce ne se pas les symptômes qui dérange, mais les conséquence. Les conséquences vont être le levier de notre intervention. Ex: c’est pas l’évitement qui fait souffrir, mais ce qui découle de l’évitement.
De son côté, le trouble de santé mentale se caractérise par des symptômes qui ? le sujet. Ceux-là sont donc e?. Dit autrement le sujet atteint d’un trouble (anxieux, dépressif, etc.) souffre de quelque chose.
De son côté, le trouble de santé mentale se caractérise par des symptômes qui dérangent le sujet. Ceux-là sont donc egodystones. Dit autrement le sujet atteint d’un trouble (anxieux, dépressif, etc.) souffre de quelque chose.
egodystones?
Egodystones : État de coupure avec soi-même
Critères diagnostiques généraux des troubles de la
personnalité selon le DSM-5
Critère A
Un mode durable de l’expérience vécue ou du comportement qui dévie de façon marquée par rapport aux attentes dans la culture de l’individu. Cette déviation se manifeste dans au moins deux des domaines suivants :
La cognition (c’est-à-dire les manières dont l’individu voit ou interprète sa personne ou autrui ou les événements); L’affectivité (c’est-à-dire l’étendue, l’intensité, la labilité et l’adéquation de la réponse émotionnelle); Le fonctionnement interpersonnel; Le contrôle des impulsions.
Expressivité théâtrale est contextuel.
(Expressivité théâtrale)
Ce n’est pas contextuel mais un état durable.
Critère A : Cette modalité durable est rigide et répandue sur une gamme étendue de situations personnelles et sociales?
Vrai
C : Cette modalité durable entraîne à un niveau cliniquement significatif une souffrance ou une perturbation du … (3)
Cette modalité est s? et p? et on peut retracer ses premières manifestations au plus tard à …
Ce tableau ne s’explique pas mieux par les m? ou les c? d’un autre trouble mental.
Cette modalité durable n’est pas due aux effets p? directs d’une s? ou d’une affection m? générale.
Cette modalité durable entraîne à un niveau cliniquement significatif une souffrance ou une perturbation du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
Cette modalité est stable et prolongée et on peut retracer ses premières manifestations au plus tard à l’adolescence ou au début de l’âge adulte.
Ce tableau ne s’explique pas mieux par les manifestations ou les conséquences d’un autre trouble mental.
Cette modalité durable n’est pas due aux effets physiologiques directs d’une substance (par exemple une drogue donnant lieu à un abus ou un médicament) ou d’une affection médicale générale (par exemple un traumatisme crânien).
Un pose un diagnostique lorsque le développement du tdp est terminé?
Vrai
Groupe A : Se caractérise par … (2)
l’originalité et la bizarrerie
Personnalité paranoïaque (8)
Méfiance envers les autres injustifiée, perçoit des intensions malveillante chez l’autrui
Hypervigilance
Évitement (pas chronique, évitement de situation perçu comme dangereuse)
Expérience subjective d’humiliation
Qui rappel la psychose
Manifeste peu d’émotion
Souvent une attitude désagréable avec autrui
Tendance à vouloir séduire et manipuler pour garder un certain contrôle
Personnalité schizoïde (4)
Tendance à la solitude (et la personne ça lui va)
Faible intérêt pour autrui et les relations sociales
Réactivité émotionnelle peu marquée
Possibilité d’épisodes psychotiques brefs
Personnalité schizoïde comme schizotypique?
Faux! Le contact avec les autres n’est pas une menace, c’est un manque d’intérêt.
Personnalité schizotypique (10)
Paraît comme une version « amoindrie » de la schizophrénie
Excentricité, bizarrerie (pensée magique, idées très singulières, distorsions cognitives, idées de référence, illusions, déréalisations)
Superstitions, croyance de détenir des pouvoirs spéciaux (p. ex., clairvoyance)
Monde intérieur rempli de relations imaginaires très vives
Peurs et fantaisies semblables à celles des enfants
Communication atypique
Relations interpersonnelles pauvres
Discours d’enfant
Discours souvent flou et vague (son point d’appuis c’est pas ce qui se passe, c’est souvent des impression qui passe dans sa tête, c’est la que le voit la coupure avec la réalité)
Peu ou pas d’ami : faible intérêt pour les relations sociales et sexuelles (peut avoir des fantaisies sexuelles mais ne veut pas les concrétiser)
Groupe B : Se caractérise par le (2)
le drame et le désordre (émotionnelle)