Régulation émotionnelle Flashcards
Caractéristiques générales de la psychothérapie (3)
Intervention psychologique sur le psychisme
Variation au niveau de l’approche, de la méthode, des personnes visées, du but…
Le cadre thérapeutique structure les échanges dans un mode très différent de ce que l’on retrouve dans la vie de tous les jours
Figure adaptée de Gilliéron (2004)
Champ socioculturel : peut se faire des cadeaux mais sujet tabou, non-professionnel
Champ thérapeutique : professionnel, une personne en position de demande de soin et l’autre à les soins, peut être de la thérapie sur le corps (masothérapie)
Champ psychothérapeutique : professionnel, pas d’intervention sur le corps (ou peu fréquent et très balisé), particulier car il n’y a plus d’agir/d’intimité, les tabous ne sont plus présent car l’on peut en parler librement étant protégé par le secret professionnel. Le thérapeute adopte une position qui est neutre, pas de jugement moral.
Dispositif/Relation thérapeutique-patient: baliser, cadrer, règle à respecter.
Qu’est-ce que la régulation émotionnelle?
D’être capable de lire ce que l’on est en train de vivre, de les montrer ou non en fonction du contexte, ne pas se laisser déborder par l’état mais parvenir à en faire quelque chose, ce connecter au ressentit et l’apaiser. Ca peut susciter de l’inconfort, et il en faut pour que le travail se fasse. Connecter la personne à son inconfort, son conflit.
Conséquences possibles d’un problème
de régulation émotionnelle
Retraumatisation iatrogène le tx est nuisible à la personne, l’aidant pourrait devenir l’aggresseur (rappel le traumatisme)
Agir thérapeutique ne pas réaliser que l’on est attiré par notre patient, il y a des chances que ça dégénère
Passage à l’acte du patient (un des textes à lire) objectif de lever le refoulement, mais il ne faut pas à tout pris faire surtout si la personne n’est pas capable d’y faire face. Ça peut mener a une désorganisation dangereuse pour le-la patient-e. Parfois on va favorisé le refoulement pour protéger la personne pour éviter que la personne se désorganise.
autres
Éléments du cadre thérapeutique (2+5)
Outils qui nous permet de faire le travail de thérapie
Programme d’aide au employé très populaire maintenant.
Durée du suivi
Fréquence des rencontres
Honoraires respecté les niveaux financiers des patients et notre niveau de travail
Techniques utilisées bcp la paroles, des tests
Disposition physique des lieux (y compris le dispositif clinique : face-à-face, divan, thérapie autour d’une tâche)
Dans une certaine mesure, le cadre est au thérapeute ce que le laboratoire est à l’expérimentateur. Ainsi, le « contrôle [relatif] des variables » du cadre : (3)
Permet d’observer les phénomènes qui surviennent dans l’espace thérapeutique;
De formuler des hypothèses appropriées au cas particulier des patients rencontrés.
Présence de variable que l’on peut ben contrôler et on peut observé des phénomènes.
Ex: la patiente oublie son chèque pour payer alors qu’elle l’a toujours d’habitude, retard ou en avance, critiquer la décoration,
Ajoutons une autre caractéristique importante : le cadre permet de …
… « contenir » ce qui se passe pour le patient… de même que ce qui se passe pour le thérapeute.
(Lieu physique mais aussi l’espace dans l’horaire, un moment où une personne peut venir déposer ses préoccupations et angoisse. Répression toutes la semaines et parfois possible seulement car il va y avoir une rencontre.)
Conseil de positionnement des chaises
Biais éloigné = moins de charge
Conseil de positionnement des chaises chez les psychanalistes
Chez les personnes psychotiques, si la personne réponds pas, ca peut encourager les hallucinations.
Chez les personnes névrotiques, parler à quelqu’un que l’on voit pas peut devenir très rapidement angoissant.
On veut favoriser les associations libre, on veut que le moi se détende, gagne en souplesse, adoucir les mécanismes de défenses. Quand on est face à quelqu’un, l’autre est un écran qui le reçoit et on lit dessus. Si la personne est pas vu, l’écran projectif est presque pu là. Mais la projection peut apporter une trop grande désorganisation.
Le cadre thérapeutique en bureau privé est très semblable de celui que l’on retrouve en institution?
Faux, très différent
Qui plus est, certains thérapeutes, plutôt que de recevoir leurs patients dans un bureau de consultation, vont à leur rencontre dans le milieu de vie de ceux-ci. Quels en sont les effets?
Lorsque l’on va dans le milieu de vie, on plonge dans le milieu dans la personne. Ce n’est pas pour m. mme. tout le monde.
Pour les personnes psychotiques c’est mieux de plonger dans leur milieu que leur demander d’amener le leur dans notre bureau.
La variable « thérapeute »
Facteurs propres au thérapeute (4)
Motivation à exercer la psychothérapie
Vulnérabilité à la psychopathologie les zones de faiblesses, limites
Santé mentale et stresseurs actuels
Formation et expérience
(Le but de se réparer soi-même (le thérapeute). Souvent dans leur vie, eils ont été des aidants/figure parentale dans leur jeunesse.
On peut être stresser intensément ou déprimer mais d’être un très bon-ne thérapeute, mais eil faut qu’eil le reconnaisse.
Certain compt deviennent des automatismes, et ça ne fonctionne pas aussi bien
Il faut constamment être créatif, à partir de l’autre)
La variable « patient »
Facteurs propres au patient (4)
Motivation à participer au processus thérapeutique (certain par eux-mêmes, parfois par quelqu’un autre, ou exigé par autre.)
La nature de la demande (Certain-e arrive pour être pris-e en charge (pcqu’eils n’en peuvent plus))
Conflits psychiques versus traumatismes (Traumatisme emballe plutôt qu’exume chez les conflits psychique)
Capacités de mentalisation, d’introspection, d’autocritique
Le « bon » patient
Caractéristiques de sa psychopathologie
Trouble égodystone avec autocritique Diagnostic clair Peu ou pas de comorbidité Se prête bien à une approche brève Répond tel qu’attendu au traitement
Le « bon » patient
Caractéristiques interpersonnelles
Reconnaissant et empathique Responsable et raisonnable Relativement soumis (respecte l’autorité) Manifestement vulnérable Modérément dépendant des autres Apprécie et valorise son intervenant Honnête et transparent
Le « bon » patient
Caractéristiques émotionnelles
Tolère sa détresse et se contient
Triste, dépressif et anxieux
Accepte de vivre de la honte
Humeur prévisible et stable
Le « bon » patient
Caractéristiques psychologiques
Bonne capacité de mentalisation
Bonne capacité d’attention et de concentration
Motivation intrinsèque à vouloir changer