trouble d'abus de substance Flashcards

1
Q

quel sont les Sx de sevrages de benzodiazépine

A

de la sudation, de l’anxiété, de la tachycardie ainsi qu’une impression de mort imminente.

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2
Q

quels est la médication pour le délirium de tremens

A

le valium (benzo)

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3
Q

quels est la médication pour le délirium de tremens

A

le valium (benzo) (il joue sur le récepteurs gaba comme lalcool!

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4
Q

vrai ou faux
Vous suspectez grandement une schizophrénie chez votre patient. S’il présente des hallucination auditives, mais pas d’autre symptôme psychotique, vous ne pouvez pas faire ce dx.

A

faux

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5
Q

quel sont les Sx du délirium de tremens

A

→ Confusion
→ Danger pour lui-même et les autres.
→ Difficulté à fixer, à maintenir et à rediriger son attention.
→ Désorienté dans le temps, l’espace et par rapport aux personnes.
→ Agitation extrême.
→ Tachycarde, hypertendu et subfébrile.
→ Hallucinations possibles, surtout visuelles, parfois accompagnés de délire, le plus souvent de persécution

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6
Q

Quelle est ‘‘LA’’ caractéristique essentielle d’une trouble de l’usage d’une substance?

A

que la personne n’est pas capable de cesser sa consommation sachant que c’est problématique

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7
Q

vrai ou faux
Vous suspectez grandement une schizophrénie chez votre patient. S’il présente des hallucination auditives, mais pas d’autre symptôme psychotique, vous ne pouvez pas faire ce dx…….

A

Vrai

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8
Q

Vrai ou faux?
Pour pouvoir diagnostiquer une schizophrénie, il faut que le patient présente des sx depuis au moins 3 mois afin de s’assurer que le contenu de la pensée ne change pas et pour exclure un autre trouble psychotique……

A

faux

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9
Q

Les points suivants doivent être pris en considération pour faire ce diagnostic. Ces critères s’appliquent à toutes les substances abusives:

A

A. Modalité inadaptée d’utilisation d’une substance entraînant une déficience ou une détresse cliniquement significative, manifestée par 2 (ou plus) des symptômes suivants survenant dans une période de 12 mois :

  1. Consommation récurrente de substances entraînant un manquement aux obligations majeures au travail, à l’école ou à la maison (p. ex., absences répétées ou mauvaises performances professionnelles liées à la consommation de substances, absences, suspensions ou expulsions de l’école, négligence des enfants ou ménage).
  2. Utilisation récurrente de substances dans des situations où il est physiquement dangereux (par exemple, conduire une automobile ou utiliser une machine lorsqu’elle est altérée par la consommation de substances)
  3. Poursuite de la consommation de substances en dépit de problèmes sociaux ou interpersonnels persistants ou récurrents causés ou exacerbés par les effets de la substance (p. ex., Les arguments avec le conjoint concernant les conséquences de l’intoxication, les combats physiques)
  4. Tolérance, telle que définie par l’un des éléments suivants :
    a. Un besoin de quantités nettement accrues de la substance pour atteindre l’intoxication ou l’effet souhaité
    b. Nettement diminué avec l’utilisation continue de la même quantité de la substance.
  5. Sevrage, caractérisé par l’un ou l’autre des éléments suivants :
    a. Le syndrome de sevrage caractéristique de la substance
    b. La même substance (ou une substance étroitement apparentée) est prise pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
  6. La substance est souvent prise en grandes quantités ou sur une période plus longue que celle prévue.
  7. Il y a un désir persistant ou des efforts infructueux pour réduire ou contrôler la consommation de substances.
  8. Beaucoup de temps est passé aux activités nécessaires à l’obtention de la substance, à son utilisation ou à la récupération de ses effets.
  9. Les activités sociales, professionnelles ou récréatives importantes sont abandonnées ou réduites en raison de la consommation de substances.
  10. La consommation de substances est poursuivie malgré la connaissance d’un problème physique ou psychologique persistant ou récurrent susceptible d’être causé ou exacerbé par la substance.
  11. Envie impérieuse, une envie forte, ou besoin pressant d’employer une substance spécifique.
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10
Q

critère dx caféine dépendant

A

A. Consommation récente de caféine (typiquement une dose élevée bien supérieure à 250 mg)
B. Au moins cinq des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou un peu après la consommation de caféine :
1. Fébrilité
2. Nervosité
3. Excitation
4. Insomnie
5. Facies vultueux (visage congestionné, bouffi)
6. Augmentation de la diurèse
7. Troubles gastro-intestinaux
8. Soubresauts musculaires
9. Pensées et discours décousus
10. Tachycardie ou arythmie cardiaque
11. Périodes d’infatigabilité
12. Agitation psychomotrice
C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants dans tous les trouble**
D**. Les symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance ** dans tous les troubles **

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11
Q

Vrai ou faux?

Un expresso contient 2 fois plus de caféine qu’un café allongé.

A

faux il en a moins

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12
Q

le canabis critères Dx

A

A. Utilisation récente de cannabis
B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques et cliniquement significatifs (altération de la coordination motrice, euphorie, anxiété, sensation de ralentissement du temps, altération du jugement, retrait social) qui se sont développés pendant ou peu après la prise de cannabis.
C. Au moins deux des signes suivants, se développant dans les deux heures suivant l’utilisation de cannabis :
1. Conjonctives injectées (rouge)
2. ↑ appétit
3. Sècheresse de la bouche
4. Tachycardie

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13
Q

Vrai ou faux: le sevrage du cannabis se fait en quelques heures

A

faux ad une semaine

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14
Q

quels sont les signe de seuvrage de la caféine

A

céphalée / diminution de la concentration / dépressive / somnolence

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15
Q

quels sont les signe et sx du sevrages du cannabis

A

perte de poids / anorexi /

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16
Q

quels drogue peut donner les meme Sx que l’alcool

A

les solvant volatil

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17
Q

critère Dx des solvant

A
A. Usage intentionnel ou récent ou exposition accidentelle de courte durée aux substances inhalées à forte dose, incluant les hydrocarbures volatils comme le toluène ou l’essence
B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs, par exemple: bagarre, agressivité, apathie, altération du jugement
Ces changements se sont développés pendant, ou peu après, l’exposition aux substances inhalées
C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants se développant pendant ou peu après l’usage ou l’exposition aux substances inhalées :
1. Étourdissements
2. Nystagmus
3. Incoordination motrice
4. Discours bredouillant
5. Démarche ébrieuse
6. Léthargie
7. Diminution des réflexes
8. Ralentissement moteur
9. Tremblements
10. Faiblesse musculaire généralisée
11. Vision trouble ou diplopie
12. Stupeur ou coma
13. Euphorie
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18
Q

critère Dx sédatif hypnotiques

A

A. Utilisation récente d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique
B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques et cliniquement significatifs (comportement sexuel ou agressivité inappropriés, labilité de l’humeur, altération du jugement, altération du fonctionnement social ou professionnel) qui se sont développés pendant ou peu après la prise d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique
C. Au moins un des signes suivants, se développant pendant ou peu après l’utilisation d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique :
1. Discours bredouillant
2. Incoordination motrice
3. Démarche ébrieuse
4. Nystagmus
5. Altération attention/mémoire
6. Stupeur ou coma

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19
Q

Sx de seuvrage des benzo

A
hyperactivit. neurovegetative 
tremblement 
insomni 
anciet 
agitatin
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20
Q

Vrai ou faux: un sevrage aux anxiolytiques aggrave l’effet sédatif et peut causer un arrêt respiratoire

A

faux

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21
Q

cocaine critere Dx

A

A. Utilisation récente d’amphétamine ou d’une substance apparentée, cocaïne ou autres stimulants
B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques cliniquement significatifs (e.g. euphorie ou émoussement affectif, changement de la sociabilité, hypervigilance, sensitivité interpersonnelle, anxiété/tension/colère, comportements stéréotypés, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après la prise d’un stimulant.
C. Au moins deux des signes suivants, se développant pendant ou peu après la prise d’amphétamine ou d’une substance apparentée :
1. Tachycardie ou bradycardie
2. Dilatation pupillaire
3. Augmentation ou baisse de TA
4. Transpiration ou frissons
5. Nausées ou vomissements
6. Évidence de perte de poids
7. Agitation ou ralentissement psychomoteur
8. Faiblesse musculaire, dépression respiratoire, douleur thoracique ou arythmies cardiaques
9. Confusion, crises convulsives, dyskinésies, dystonie ou coma

22
Q

seuvrage Sx cocaïne

A

somnolence / cauchemare / fatigue / humeur dépressive / appetit /

23
Q

cocaine critere Dx (midrase)

A

A. Utilisation récente d’amphétamine ou d’une substance apparentée, cocaïne ou autres stimulants
B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques cliniquement significatifs (e.g. euphorie ou émoussement affectif, changement de la sociabilité, hypervigilance, sensitivité interpersonnelle, anxiété/tension/colère, comportements stéréotypés, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après la prise d’un stimulant.
C. Au moins deux des signes suivants, se développant pendant ou peu après la prise d’amphétamine ou d’une substance apparentée :
1. Tachycardie ou bradycardie
2. Dilatation pupillaire
3. Augmentation ou baisse de TA
4. Transpiration ou frissons
5. Nausées ou vomissements
6. Évidence de perte de poids
7. Agitation ou ralentissement psychomoteur
8. Faiblesse musculaire, dépression respiratoire, douleur thoracique ou arythmies cardiaques
9. Confusion, crises convulsives, dyskinésies, dystonie ou coma

24
Q

opiodes critères Dx (myosis)

A

A. Utilisation récente d’un opiacé
B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques et cliniquement significatifs (euphorie initiale suivie par de l’apathie, dysphorie, agitation ou ralentissement moteur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’utilisation d’un opiacé
C. Constriction pupillaire (ou dilatation pupillaire due à l’anoxie en cas de surdose grave) et au moins un des signes suivants, se développant pendant ou peu après l’utilisation d’opiacés :
1. Somnolence ou coma
2. Altération de l’attention/mémoire
3. Discours bredouillant

25
Q

Vrai ou faux? Si je donne du Narcan (ou un antagoniste) à un patient sous opioïdes, je peux précipiter un sevrage.

A

vrai

26
Q

sevrages opioïdes Sx

A

agitation / douleur / irritabilité/ diarrhée /

27
Q

sevrages opioïdes Sx

A

agitation / douleur / irritabilité/ diarrhée / larmoiement / rhinorrhées/ fièvre

28
Q

Quelles sont les 4 étapes de la symptomatologie d’une intoxication à l’alcool?

A

1 logoree sensation de bienetre
2 demarche hybrieuse coordination diminuer
3 anasthésie avec endorisement
4 coma ethylique relachement des shincteres depression respi ronflement

29
Q

intox a l’alcool citèere Dx

A
A. Ingestion récente d’alcool
B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (ex : comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool
C. Au moins un des signes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool :
1. Discours bredouillant
2. Incoordination motrice
3. Démarche ébrieuse
4. Nystagmus
5. Altération attention/mémoire
6. Stupeur ou coma
30
Q

apres combien de temps les Sx de seuvrage de l’alcool son a leur somets (acmé)

A

en général à leur acmé au cours du 2e jour d’abstinence à cause du métabolisme relativement rapide de l’alcool, et sont susceptibles de s’améliorer de manière notable vers le 4e ou le 5e jour

31
Q

Selon vous, quels seraient les signes et sx d’un sevrage à l’alcool

A

hyperactivité du SNA

32
Q

combien de temps peu durer les Sx de sevrage de l’alcool

A

14 jours

33
Q

quel est l’effet rebond de l’alcool

A

stress anxiété insomnie

34
Q

Quels sont les principaux troubles induits par l’alcool

A

démence persistante / trouble amnésique persistant / trouble psychotique / trouble de l’humeur

35
Q

Quels sont les principaux troubles induits par l’alcool

A

démence persistante / trouble amnésique persistant / trouble psychotique / trouble de l’humeur /trouble anxieux / trouble du sommeil / dysfonction sexuel

36
Q

Qu’est-ce que l’intoxication idiosyncrasique à l’alcool?

A

trouble de comportement sévère après une petite quantité d’alcool (plus commun chez les personne avec haut niveau d’anxiété)

37
Q

le jeu pathologique critere Dx

A

A. Pratique inadaptée, persistante et répétée du jeu d’argent conduisant à une altération du fonctionnement ou une souffrance, cliniquement significative, comme en témoigne, chez le sujet, la présence d’au moins quatre des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
1. Besoin de jouer avec des sommes d’argent croissantes pour atteindre l’état d’excitation désiré
2. Agitation ou irritabilité lors des tentatives de réduction ou d’arrêt de la pratique du jeu
3. Efforts répétés, mais infructueux, pour contrôler, réduire ou arrêter la pratique du jeu
4. Préoccupation par le jeu (ex : préoccupation par la remémoration d’expériences de jeu passées ou par la prévision des tentatives prochaines, ou par les moyens de se procurer de l’argent pour jouer)
5. Joue souvent lors de sentiments de souffrance/mal être (ex : sentiment d’impuissance, de culpabilité, d’anxiété ou de dépression)
6. Après avoir perdu de l’argent au jeu, retourne souvent jouer un autre jour pour recouvrer ses pertes (pour «se refaire»)
7. Ment pour dissimuler l’ampleur réelle de ses habitudes de jeu
8. Met en danger ou a perdu une relation affective importante, un emploi ou des possibilités d’étude ou de carrière à cause du jeu
9. Compte sur les autres pour obtenir de l’argent et se sortir de situations financières désespérées dues au jeu
B. La pratique du jeu d’argent n’est pas mieux expliquée par un épisode maniaque
On peut qualifier le jeu pathologique comme étant
− Occasionnel ou continu
− En rémission précoce ou prolongée
− Léger (4-6 critères), moyen (6-7 critères) ou grave (8-9 critères)

38
Q

On estime la prévalence des troubles du jeu pathologique à environ 5%: vrai ou faux?

A

vrai

39
Q

La population la plus touchée est celle des hommes âgés de 50 ans et plus: vrai ou faux?

A

faux

40
Q

On rencontre une augmentation de la prévalence des troubles du jeu pathologique chez les femmes, en particulier à cause de leur entrée au travail (indépendance financière): vrai ou faux?

A

vrai

41
Q

Les types de jeux les plus populaires sont les chiffres/loto: vrai ou faux?

A

vrai

42
Q

quel traitement devrai-ton suggérer au patient joueur pathologique

A

Les groupes d’entraide tels les Joueurs Anonymes

43
Q

quel psycho thérapie utiliser avec les joueur compulsif

A

modification des habitudes / thérapie motivationel /approche systémique et familial

44
Q

citères Dx de la schyzophrénie

A

A. Présente au moins 2 des Sx suivants pendant la majeure partie d’une période d’un mois. Au moins 1 des Sx (1) (2) ou (3) doit être présent:
1. Idées délirantes
2. Hallucinations
3. Discours désorganisé (incohérence ou déraillement fréquents)
4. Comportement grossièrement désorganisé ou catatonique
5. Sx négatifs (p. ex. expression émotionnelle diminuée ou supprimée (aboulie = aucun expression))
B. Pour une portion significative de temps depuis le début du trouble, le niveau de fonctionnement dans un domaine majeur, tel que le travail, les relations interpersonnelles ou l’hygiène personnelle, est significativement en-dessous du niveau avant le début (ou, quand le trouble apparaît à l’enfance ou à l’adolescence, le niveau prévisible de fontionnement interpersonnel, scolaire ou professionnel n’a pas été atteint).
C. Perturbation pour au moins 6 mois. Cette période inclut au moins 1 mois de Sx qui remplissent les critères A (ou moins si Tx efficace) et peut inclure des périodes prodromales ou résiduelles.
Ces périodes prodromales ou résiduelles peuvent seulement présenter des Sx négatifs ou un ou plusieurs Sx listés en A mais sous forme atténuée (ex: croyances étranges ou expériences de perceptions inhabituelles

45
Q

la schizophrénie signes et Sx pré morbide

A

Personnalités schizoïde ou schizotypique
Adolescents pré-schizophréniques : peu d’amis, ∅ fréquentations, évitent sports d’équipe, aiment regarder la élé, écouter de la musique, les jeux vidéo… Certains adolescents auront également un début de comportement obsessif-compulsif.
Sx somatiques tel que céphalées, maux de dos et musculaires, faiblesse, problèmes digestifs… ce qui fait en sorte que le dx initial peut être : syndrome de fatigue chronique, trouble de somatisation
Intérêt nouveau pour les idées abstraites, la philosophie, les questions occultes ou religieuses
Attitude plus étrange, affect anormal, discours inhabituel, idées étranges, expériences perceptuelles étranges

46
Q

la schizophrénie apparence général

A

L’attitude peut devenir agitée et violente, en réponse à des hallucinations
Il peut aussi y avoir de la catatonie (paraissent sans vie, mutisme, négativisme, obéissance automatique)
Autres caractéristiques fréquentes: négligés et malpropres, habillés trop chaudement, tics, maniérisme, échopraxie, etc.

47
Q

la schizophrénie perception

A

Hallucinations:
Auditives (les + communes) : voix menaçantes, insultantes, accusatoires, obscènes, commentant sur comportements, 2 voix ou plus discutant ensemble
Visuelles
Olfactives, tactiles, gustatives: peu communes, revoir le dx différentiel
− Illusions (aussi présentes dans la phase prodromique de la maladie, par la distorsion d’images réelles)

48
Q

trouble schizophrénifrme

A

DÉSORDRE SCHIZOPHRÉNIFORME:
A. Présence d’au moins 2 des Sx suivants pendant la majeure partie d’une période d’un mois. Au moins un des symptômes (1), (2) ou (3) doit être présent :
1. Délire
2. Hallucinations
3. Discours désorganisé (déraillements fréquents ou incohérence)
4. Comportement désorganisé ou catatonique
5. Sx négatifs (diminution de l’expression émotionnelle ou aboulie)
B. L’épisode dure entre 1 et 6 mois. Quand le Dx doit être fait sans attendre une récupération, on peut qualifier le tout de « provisoire »
C. Trouble schizoaffectif ou troubles de l’humeur ont été éliminés D. Le trouble n’est pas attribuable à l’effet physiologique d’une substance ou une condition médicale

Si les sx durent plus de 6 mois, il faudrait considérer le dx de schizophrénie.

49
Q

TROUBLES SCHIZOAFFECTIFS critère Dx

A

TROUBLES SCHIZOAFFECTIFS
A. Période ininterrompue de maladie durant laquelle il y a un épisode thymique caractérisé (dépressif ou maniaque) avec présence du critère A de la schizophrénie
B. Idées délirantes ou hallucinations pendant au moins 2 semaines sur toute la durée de la maladie, en dehors d’un épisode thymique caractérisé.
C. Les Sx qui remplissent les critères pour un épisode thymique caractérisé sont présents pour la majorité de la durée totale de la maladie active et résiduelle
D. La perturbation n’est pas attribuable aux effets d’une substance ou d’une condition médicale.
Spécifier si :
Type bipolaire : épisode de manie (avec ou sans épisodes dépressifs)
Type dépressif : seulement épisodes dépressifs

50
Q

trouble délirant critères Dx

A

TROUBLES DÉLIRANTS
A. La présence d’une (ou plusieurs) idées délirantes d’une durée de 1 mois ou plus
B. Critère A de la schizophrénie n’a pas été rempli
Note : S’il y a des hallucinations, celles-ci ne sont pas proéminentes et sont reliés aux idées délirantes.
C. À part l’impact des idées délirantes et de ses ramifications, il n’y a pas d’altération marquée du fonctionnement ni de singularités ou de bizarreries manifestes du comportement.
D. Si des épisodes de manie ou de dépression caractérisée sont survenus concomitamment, ceux-ci ont été brefs en comparaisons avec les périodes délirantes.
E. La perturbation n’est pas attribuable à une substance ou maladie comme l’obsession d’une dysmorphie corporelle ou le trouble obsessionnel-compulsif.

51
Q

trouble psychotiques bref critèere Dx

A

TROUBLES PSYCHOTIQUES BREFS
A. Présence d’au moins 1 des Sx suivants. Au moins 1 des Sx (1), (2) ou (3) doit être présent:
1. Idées délirantes
2. Hallucinations
3. Discours désorganisé
4. Comportement grossièrement désorganisé ou catatonique
B. La durée de l’épisode de la perturbation est d’au moins 1 jour et moins d’un mois avec retour éventuel au niveau prémorbide de fonctionnement.
C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un trouble dépressif caractérisé ou un trouble bipolaire avec caractéristiques psychotiques ou un autre trouble psychotique (catatonie ou schizophrénie) et n’est pas attribuable aux effets d’une substance ou d’une autre condition médicale.