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RDP110 > Travail en groupe, collaboration professionnelle et interdisciplinarité (problème 2) > Flashcards

Travail en groupe, collaboration professionnelle et interdisciplinarité (problème 2) Flashcards

1
Q

Nommes des procédés pour faciliter la production

A

Définir termes, reformuler, résumé-synthèse et expliciter

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2
Q

Donne des exemple des modalités suivantes :
1. Planifiée et directe
2. Planifiée et indirecte
3. Non planifiée et directe
4. Non planifiée et indirecte

A
  1. Évaluation et intervention conjointe
    Rencontre d’équipe statutaire
    Téléconférence
    Visioconférence
    Plan d’action
    Plan d’intervention
    Plan de services individualisés
  2. Compte rendu de la réunion
    Formulaire de demande de consultation
    Formulaire de demande de référence
    Notes dans le dossier de santé
  3. Appel téléphonique spontané
    Rencontre spontanée
  4. Courriel
    Note et mémo
    Par l’intermédiaire d’une 3e personne
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3
Q

Explique l’importance des interactions et du partage d’un intérêt pour un groupe.

A
  • Pour qu’un groupe existe, il faut qu’il y ait des interactions entre ces personnes formant ainsi des relations interpersonnelles plus ou moins profondes (personnelle ou impersonnelle). (Équipe de travail/comité vs. Groupe d’amis/famille)
  • La profondeur de ses relations dépendra de l’intérêt porté à autrui et l’ouverture de soi.
  • Le sens donné aux relations interpersonnelles, à l’objectif plus ou moins conscient poursuivi par les personnes, objectif qui constitue pour elle un intérêt commun (implicite ou explicite).
  • En définitive, un groupe peut naître seulement lorsque des échanges s’établissent entre des personnes en fonction d’un intérêt commun.
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4
Q

Vrai ou faux : les normes sont seulement explicites

A

Faux, elle peuvent être implicites aussi

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5
Q

Explique comment la situation influence l’intention à l’origine de la collaboration professionnelle, les interactions et l’utilisation des savoirs.

A

La logique générale entre les quatre axes (la situation, l’intention, les interactions et le savoir disciplinaire), qui évoluent sur un continuum, peut être expliqué ainsi : la situation de la personne, de ses proches ou de la communauté nécessite une collaboration +/- étroite entre les professionnels selon le degré de complexité de la situation. Ceux-ci identifient leur intention de collaboration, ce qui détermine les interactions requises entre les individus créant une interdépendance +/- intense. Cette interaction et cette interdépendance impliquent une mise en commun des savoirs disciplinaires, qui permettent de répondre de façon optimale aux besoins de la personne, de ses proches ou de la communauté.

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6
Q

Nommes les 4 axes de la collab prof.

A

intenstion, situation, interaction et utilisation de savoir

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7
Q

Quel est l’objectif de la collaboration professionnel?

A

Offrir un service complet et le meilleur.

Aide aussi à connaître les rôles, résoudre conflits ou négociations

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8
Q

Explique ce qu’est un organisation (entreprise).

A

Regroupement plus ou moins large de personnes qui interagissent en tenant compte de leur intérêt particulier. Les moyennes et grandes entreprises forment des organisations. Les petites entreprises se rapprochent plus souvent de l’idée de groupe. Au moment où tu ne connais pas tout le monde et que tu ne peux pas former une relation interpersonnelle avec tout le monde, tu passes d’un groupe à une organisation.

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9
Q

Identifie des avantages à inclure le patient dans la collaboration.

A

-Augmentation des connaissances du patient
-Plus grande adhésion aux soins
-Augmentation de la confiance du lien thérapeutique
-Diminution de l’anxiété

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10
Q

Explique ce qu’est une catégorie sociale ou une cohorte.

A

Regroupement abstrait de plusieurs personnes en fonction d’une caractéristique commune (adolescents, étudiants de première année d’un programme, les hommes chauves)

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11
Q

Nommes des déterminants organisationnels pour une collaboration fructueuse.

A
  • Structure de l’organisation
  • Philosophie de l’organisation (supporter collab, participation, égalité, liberté d’expression)
  • Support administratif (leader pour véhiculer la vision de la collaboration)
  • Ressources de l’équipe (temps et espace pour les rencontres)
  • Mécanismes de coordination et communication (règle, définition des rôles)
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12
Q

Quels sont les 3 types de déterminants d’une collaboration fructueuse?

A
  1. Interactionnels (relation interpersonnelle entre les membres)
  2. Organisationnels (attributs de l’organisation qui définit l’environnement de travail)
  3. Systémiques (conditions hors organisation)
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13
Q

Nommes des procédés pour gérer les échanges

A

Donner la parole, susciter participation, refréner la participation, sensibiliser au temps

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14
Q

Identifie des facteurs facilitants pour la collaboration professionnelle organisationnelle.

A
  • Avoir une formation adaptée sur le travail d’équipe accélère l’acquisition du savoir-faire et savoir-être nécessaires à un travail efficace.
  • Utiliser un animateur compétent pour l’encadrement des rencontres
  • Avoir une offre de services à la clientèle claire et bien articulée, l’équipe doit connaitre ses marges de manœuvres
  • Se donner un vocabulaire commun
  • Se donner des valeurs d’intervention communes
  • S’entendre sur la contribution que chacun peut avoir dans l’intervention
  • Avoir des rôles clairs
  • Avoir un professionnel dans l’équipe qui assume des fonctions de coordination
  • Avoir des règles de fonctionnement pour encadrer les travaux l’équipe
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15
Q

Quels sont les critères d’un groupe? Donnes un exemple.

A
  • Existence d’interaction entre les membres (relations interpersonnelles)
  • Partage d’un intérêt commun
  • Existence de normes et rôles gouvernant les interactions
  • Existence d’une certaine cohésion entre les membres, conférant un sentiment d’appartenance
  • Nombre limité de personnes
  • Exemple de groupe : la famille, un groupe d’amis, groupe d’étudiant qui travaille sur un projet de session
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16
Q

Explique-moi le déroulement d’une rencontre

A
  1. L’ouverture : met l’accent sur les rapports sociaux; les membres se présentent les uns aux autres, établissent la communication et font connaissance.
  2. Les messages préparatoires : on détermine ce qu’il y a à faire, qui le fera. L’ordre du jour (groupes formels), répartition des tâches / on amène un sujet de conversation, propose une activité (groupes informels)
  3. Le vif du sujet : permet d’échanger les informations, régler le problème ou toutes autre tâche ou activité.
  4. Les messages rétroactifs : membres commentent ce qui a été fait ou discutent de ce qu’il reste à faire. Parfois même, évaluation du rendement.
  5. La clôture : constitue des salutations et chacun revient à des échanges plus personnels.
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17
Q

Vrai ou faux : la collab prof se fait seule

A

faux

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18
Q

Quels sont les 5 domaines de compétence de la collaboration professionnelle retenues par le FMSS? Explique les brièvement.

A
  1. Travailler en collaboration : dynamique d’équipe, valeurs de chaque, participe à la prise de décision,
  2. Clarifier les rôles : décrire rôle, utiliser autres, s’adapter
  3. Communiquer avec d’autres : application principes de comm, langage approprié, relation confiance et respect, technologie
  4. Participer à la résolution de conflits : prévention et réglage avec stratégies
  5. Exercer un leadership collaboratif
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19
Q

Nommes des conditions portant une personne à mieux accepter les normes.

A

-Vouloir continuer à faire partie du groupe
-Estimer qu’il est important d’appartenir au groupe
-Si le groupe est cohésif ou si nous comptons sur eux pour répondre à certains besoins
-Si nous risquons d’être punis ou rejeter en cas d’infractions

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20
Q

Explique la pratique indépendante.

A

oN’implique pas plusieurs professionnels dans l’approche du client
oSavoir unidisciplinaire, complexité de situation= faible

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21
Q

Explique la disciplinarité.

A
  • La discipline est une branche du savoir. Constitué d’une somme de connaissances qui sont organisées à l’intérieur de cadres de référence qui permettent de comprendre les besoins bio-psycho-sociaux d’une personne, de ses proches ou d’une communauté.
  • Champ de connaissance et de pratique concernant un objet d’étude qui lui est propre. Le professionnel seul avec son patient.
  • Fait appel à un ensemble particulier de concepts, principes et méthodes.
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22
Q

Décris le fonctionnement d’une équipe multi

A
  • Chaque professionnel couvre un champ de pratique défini
  • L’équipe se rencontre de façon périodique pour mettre en commun son plan de traitement
  • Chaque professionnel reste autonome et peut prendre des décisions indépendantes
  • Communication entre les membres régulières et systématique
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23
Q

La collaboration en disciplinarité est _______.

A

faible

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24
Q

Explique ce qu’est une foule(assistance).

A

Plusieurs personnes, jusqu’à des milliers, qui ont un objectif commun, mais qui n’interagissent pas pour l’atteindre (vacanciers sur une plage, clients dans un centre commercial, spectateurs d’un évènement sportif). La foule peut aussi être réunie par des contraintes externes (réfugiés) ou être plus ou moins manipulée (spectateurs d’un divertissement artistique, participants à une manifestation)

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25
Q

Nommes des déterminants interactionnels pour une collaboration fructueuse.

A
  • Désir de collaborer (volonté)
  • Confiance (soi-même et mutuelle)
  • Communication : comprendre les propose des autres, les objectifs et savoir expliquer ses idées
  • Respect de chacun
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26
Q

Identifie des facteurs facilitants pour la collaboration professionnelle individuel.

A
  • Un haut degré de sociabilité
  • L’ouverture aux autres
  • L’acceptation de différent point de vue
  • La capacité de faire confiance
  • L’aptitude à partager des responsabilités
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27
Q

Explique la pratique de concertation.

A

o Intention planifier et d’organiser l’offre de soins et de service pour répondre aux besoins b-p-s de manière à assurer la cohérence et la complémentarité des différentes interventions
o Interaction modérée et bidirectionnelle
o Renvoie plus à la multidisciplinarité
o Savoirs sont complémentaires et cohérents selon besoins

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28
Q

Explique l’autorité ainsi que ses avantages et inconvénients.

A

D : Les membres du groupe donnent leur avis/ impression, mais c’est le « leader » qui tranche

Avantages :
*Rapide
*Les membres les plus expérimenté influencent la décision

Inconvénients :
*Les gens donnent moins leur opinion
*Mène au conformisme/ à la pensée du groupe (dit au chef ce qu’il veut entendre)

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29
Q

Vrai ou faux : la situation ne peut pas faire augmenter le niveau d’interdépendance

A

faux

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30
Q

Nommes et décris les principes de base de l’animation

A
  1. Communication : pour bien se comprendre (participants, animateur et entre eux)
  2. Contrôle : pour rester maître de la situation (du groupe et de soi) sans dominer
  3. Convivialité : faciliter les échanges - responsable de l’ambiance de groupe
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31
Q

Explique les bénéfices le la collaboration pour le patient.

A

↑ Sécurité
↑ Expérience de soins
↑Connaissances de l’état de santé
↑ Autogestion
↑ Maintien des comportements modifiés
↑ Résultats de santé
↑ Qualité de vie
↑ Accès soins de 1ere ligne
↓ Nb/durée d’hospitalisation
Soins plus appropriés
Augmentation satisfaction

32
Q

Décris le concensus, ses avantages et inconvénients.

A

D : Tous les membres du groupe se mettent d’accord (jury au criminel)

Avantages :
*Permet l’adhésion et la satisfaction de tous les membres

Inconvénients :
*Implique que certaines personnes doivent lâcher prise sur leurs idées

33
Q

Quelles sont les caractéristiques d’un petit groupe.

A
  1. Interactions et le partage d’un intérêt
  2. Existence de normes et de rôles gouvernant les interactions
  3. Cohésion
34
Q

Nomme les avantages de chaque modalité de collaboration

A
  • Directe : cela facilite la compréhension du cas,
  • Indirecte : c’est rapide et il n’est pas nécessaire de se rencontrer
  • Planifié : il y a un meilleur échange de l’information
  • Non planifié : c’est spontané et rapide
35
Q

Explique ce qu’est un groupement (association).

A

Plusieurs personnes (de quelques dizaines à quelques centaines) qui se réunissent régulièrement autour d’un objectif commun. Les actions entreprises pour parvenir à ce but et la responsabilité sont laissées à un groupe de personne (associations professionnelles, partis politiques, cercles littéraires ou scientifiques)

36
Q

Nommes quelques différences entre le groupe et l’organisation.

A

Groupe Organisation
Échanges personnels chaleureux et intimes possibles : tout le monde connait tout le monde et peut établir une relation interpersonnelle Relations impersonnelles ou purement fonctionnelles entre des postes, rôles, statuts
Relations directes (communication : personne à personne) Relations souvent indirectes (utilisation d’intermédiaires)
Structure informelle, rôle de chacun est défini de façon implicite Structure formelle, définie par un organigramme où chaque rôle remplie des tâches précises
Remplacement d’un membre modifie la dynamique de groupe (difficile de trouver des remplaçants) Remplacement d’un personne plus facile (les rôles sont explicite)
2 à 20 personnes Quelques dizaines à quelques milliers
Durée du groupe ne dépasse jamais la durée de vie des personnes le composant (durée moyenne de 3 à 10 ans) Pas de limites de durée (ex. mouvements religieux)
Réseau de communication dépend de l’autorité et rapport entre les différents membres (ex. groupes démocratiques, le réseau est un cercle, donc chaque membre peut communiquer avec chacun des autres) Le nombre de personnes engagées et la spécialisation entraine la formation d’un réseau de communication qui suit la structure hiérarchique de l’organisation
+++ communication orale +++ communication écrite (notes de services/rapports)

37
Q

Vrai ou faux : la cohésion est une caractéristique d’un groupe qui fonctionne bien ensemble

A

vrai

38
Q

Quelles sont les 2 unités sociales implicant des interactions?

A

Groupe et organisations.

39
Q

Explique le lien entre les rôles et les normes.

A

On partage les tâches en fonction des compétences de chacun pour être plus efficace, ce qui amène l’émergence de rôles particuliers. Chaque rôle présente ces normes et contient des attentes que les autres membres ont face à celui-ci, les rôles forment la structure du groupe. Les rôles sont déterminés par des comportements particuliers, lesquels sont régis par des normes propres à ce rôle.

40
Q

Explique la majorité, ses avantages et ses inconvénients.

A

D : Vote, groupe se plie à la volonté de la majorité

Avantages :
*Efficace pour la majorité
*Régler des questions peu importantes ou quand la décision ne nécessite pas l’adhésion ni la satisfaction du groupe

Inconvénients :
*Peut semer la discorde quand la minorité se ligue contre la majorité

41
Q

Nommes les 4 modalités de la collaboration professionnelle.

A

Planifiée (accord préalable), non planifiée (spontané), directe (synchrone) et indirecte (asynchrone)

42
Q

La collaboration en interdisciplinarité est __________.

A

grande

43
Q

Explique la multidisciplinarité.

A

Utilisation parallèle de plusieurs disciplines sans établir de rapport entre elles (pas de mise en commun) – Juxtaposition des disciplines (poser côte à côte, sans liaison). C’est un regroupement de divers professionnels qui collaborent entre eux pour répondre à des besoins d’une clientèle défini.
- Chaque professionnel est autonome et prend des décisions indépendantes (travail parallèle)
- Situations complexes confrontent les professionnels aux limites de leurs connaissances disciplinaires au moment d’évaluer les besoins de la personne.
- Requièrent le partage de leurs connaissances respectives pour la construction d’une compréhension commune des besoins.

44
Q

La profondeur des relations dépendent de…

A

l’intérêt porté à l’autrui et l’ouverture de soi

45
Q

Est-ce qu’il y a une corrélation directe entre la performance et la cohésion?

A

Non

46
Q

Nommes des stratégies de communication et de collaboration dans un contexte de santé mondiale.

A
  • Démontrer une ouverture à la diversité, une humilité et une empathie culturelle.
  • Utiliser une communication interculturelle efficace qui tient compte de la langue, des croyances, des valeurs, des comportements, de la culture…des autres participants
  • Considérer les étapes d’adaptation aux différences culturelles et reconnaître les situations à risque de choc culturel.
  • Travailler en collaboration avec divers acteurs du milieu. En reconnaissant leur rôle et leur expertise pour optimiser la prise en charge de problématiques complexes dans les systèmes de santé et la communauté tant au niveau local, régional, national ou international
47
Q

Identifie des facteurs cotraignants pour la collaboration professionnelle individuel.

A
  • Une personne qui manque de flexibilité
  • Vocabulaire différencié
  • Une personne qui perçoit le travail d’équipe comme une perte de temps
  • Une personne qui n’a pas « l’image de soi » ou l’identité professionnelle très développée
  • La personne qui fuit les divergences, l’opposition ou le conflit
48
Q

Explique comment l’intention influence les interactions et l’interdépendance.

A

Objectif commun de l’intervention, basé sur le degré de complexité, guide les interactions à privilégier ; + la situation est complexe, + les professionnels doivent collaborer.
Si l’intention c’est d’informer, la collaboration sera faible (pratique indépendante). Si l’intention est d’échanger de l’information ou se concerter sur les objectifs disciplinaires, la collaboration sera un peu plus grande. Si l’intention est de partager les décisions et les actions en lien avec un objectif commun, la collaboration sera très grande. (Situation complexe = interdépendance)

49
Q

Identifie des facteurs contraignants pour la collaboration professionnelle organisationnel.

A
  • Un des freins à la collaboration interprofessionnelle provient de la structure même du milieu ou de la société dans lequel les intervenants agissent.
  • Les ordres professionnels imposent parfois des conditions de pratique incompatibles avec la collaboration interprofessionnelle. Ex : confidentialité des dossiers
  • Les conseils professionnels qui encadrent la pratique dans les établissements et la structure de l’organisation elle-même vient souvent limiter les contacts entre les disciplines.
  • Les conventions collectives qui délimitent les tâches et les responsabilités de chacun
50
Q

Explique la pratique par consulation/référence.

A

oIntention d’échange de l’information avec au moins un professionnel
oReconnaissance de l’étendue et des limites de son expertise et le recours à un autre professionnel
oInteractions peu nombreuses
oDécide si considère ou pas l’avis obtenu pour orienter l’intervention

51
Q

Définis ce qu’est un groupe.

A

regroupement de personnes (2 à 20, 30 max) qui entretiennent entre elles des relations interpersonnelles en vue d’atteindre un objectif commun. Les membres d’un groupe sont interdépendants et se sentent unis. Ils se perçoivent comme une entité sociale distincte.

52
Q

Vrai ou faux : les normes ont peu d’impact sur les groupes

A

Faux

53
Q

Est-ce que les stades d’une rencontre sont complètement distincts ou peuvent se chevaucher?

A

Ils peuvent se chevaucher

54
Q

Nomme des déterminants systémiques pour une collaboration fructueuse.

A
  • Social : Égalité entre les professionnels, éviter les stéréotypes.
  • Culturel : Avoir la même perspective de ce qu’est une collaboration (différence de valeurs)
  • Professionnel : Valoriser la contribution de chacun au sein du groupe
  • Éducationnel : Comprendre le champ de pratique des autres professionnels
55
Q

Décris le fonctionnement d’une équipe inter

A
  • Professionnels peuvent intervenir dans différents milieux
  • Les bienfaits amenés par cette équipe sont plus grands que ceux de l’équipe multidisciplinaires, car les contributions individuelles s’additionnent et se potentialisent
  • Chaque professionnel collabore avec les autres pour atteindre les objectifs de l’équipe
  • Communication entre les membres régulière et systématique
56
Q

Plus la situation est complexe , plus ___________ augmente.

A

interdépendance

57
Q

Explique les bénéfices de la collaboration pour le professionnel.

A

↑ Satisfaction
↑ Rétention du personnel (équipe + stable)
↑ Performance et productivité
↑ Cohésion des membres
↑ Compliance avec les guides de pratique
↑ Utilisation des ressources
↑ Efficacité perçue des soins
↑ Soins centrés sur le patient
↑ Qualité technique des soins
- Réduction stress professionel
- Moins de répétition
- Élargir niveau de connaissance

58
Q

Vrai ou faux : les normes s’appliquent à tous

A

faux, certaines normes sont applicables seulement à certains rôles selon les tâches à accomplir

59
Q

Explique la pratique de soins et de services partagés.

A

oPrise de décision partage entre les professionnels et la personne, ses proche et la communauté, concernant un objectif commun et les actions à privilégier
oDegré de complexité exige une harmonisation des points de vue
oEngagement formel dans l’établissement d’un plan d’action commun
oPartage solidaire des responsabilité liées aux décisions d’équipe
oForte cohésion entre professionnel et une bonne intégration des savoirs

60
Q

Définis ce qu’est la situation dans la collab prof.

A

volonté de répondre adéquatement aux besoins (à leur complexité et non au nombre) bio-psycho-sociaux et aux attentes de la personne, de ses proches ou de la communauté. Conséquemment, il s’amorce un partenariat. La situation fait appelle à une collaboration +/- intense entre les professionnels.

61
Q

Nomme les inconvénients de chaque modalité de la collaboration.

A

-Directe : cela nécessite plus de temps
-Indirecte : il peut y avoir des erreurs d’interprétation
-Planifié : il est rare que tous sont disponibles au même moment
-Non planifié : pas tous sont présent

62
Q

Explique ce qu’est un aggrégat.

A

Des personnes qui vivent les unes à côté des autres, mais qui n’interagissent pas et ne poursuivent pas le même objectif (Ex : un quartier)

63
Q

Nommes des facteurs renforçant la cohésion d’un groupe.

A
  • Degré d’attraction interpersonnelle : si les membres se détestent, la cohésion sera mauvaise.
  • Prendre conscience d’un objectif commun
  • Progrès accomplis
  • Adhésion à des normes et valeurs communes : + les membres s’entendent sur les règles à respecter, renforcement de la cohésion (inverse aussi vrai)
  • Interdépendance des rôles joués par les membres du groupe : les gens se réunissent pour profiter de l’expérience et de la compétence des autres.
  • Difficulté à être admis dans un groupe augmente la valeur associée au fait d’être membre de ce groupe (l’affiliation). (Contingentement de l’admission du groupe)
  • Les pressions externes (la concurrence) augmentent la cohésion, car on met de côté les conflits internes pour se concentrer sur la « menace » extérieure.
  • Un groupe qui jouit d’une réputation « glorieuse », d’une histoire positive, est + attirants : une bonne réputation est attirante et suscite le désir d’adhérer au groupe.
64
Q

Que signifie lorsque les interactions et l’interdépendance augmente pour la collab prof?

A

Elle prend forme de l’interdisciplinarité

65
Q

Nommes les 3 modes de décision.

A

Autorité, majorité et concensus

66
Q

La collaboration permet de partager…

A

connaissance, expertise et expérience

67
Q

La collaboration en multidisciplinarité est _________.

A

moyenne

68
Q

Explique le lien entre le groupe et la cohésion.

A

+ la cohésion est grande, + les membres éprouvent des sentiments d’appartenance, + ils sont dépendants du groupe.

69
Q

Définis la collaboration professionnelle

A

Réfère à l’ensemble du processus dynamique, évolutif et complexe d’établissement et de maintien de relations de partenariat (équipe de professionnels) centrées sur la personne en besoin, ses proches et la collectivité dans le but d’atteindre des résultats optimaux en matière de bien-être physique, mental et social.

70
Q

Nomme des procédés pour faciliter la solidarité

A

Extérioriser, focaliser, faire diversion ou objectiver

71
Q

Explique l’interdisciplinarité

A

utilisation combinée de plusieurs disciplines, le regroupement de plusieurs intervenants ayant une formation, une compétence et une expérience spécifique qui travaillent ensemble à la compréhension globale, commune et unifiée d’une personne en vue d’une intervention concertée à l’intérieur d’un partage complémentaire des tâches. Les compétences de ces derniers se chevauchent et s’harmonisent

72
Q

Explique la pratique parallèle.

A

oLe professionnel en relation avec au moins un autre professionnel d’une discipline différente
oBut : informer sur ce que celui-ci met en œuvre pour intervenir
oInteraction minimes, info transmis par rapport ou note

73
Q

Explique les bienfaits de l’interdisciplinarité.

A

Les BIENFAITS sont PLUS GRANDS que ceux de l’équipe interdisciplinaire, car les contributions individuelles s’additionnent. Chaque professionnel collabore avec les autres pour atteindre les objectifs de l’équipe.

74
Q

Explique comment une bonne animation peut soutenir la collaboration professionnelle.

A

Permet de rendre la rencontre efficace, peut faciliter les échanges et la solidarité.

La collaboration interprofessionnelle nécessite un cadre organisationnel favorable et c’est ce qu’offre une bonne animation. En effet, une bonne animation offre un climat d’ouverture et une gestion positive des conflits ainsi qu’un bon support en communication et en administration. Cela favorise l’efficacité et un bon déroulement d’une rencontre. Cela permet de rester sur le vif du sujet, de respecter la limite de temps, que tous aient son droit de parole.

75
Q

Quelles sont les limites d’un groupe et le début d’une organisation?

A

Les limites du groupe sont atteintes dès qu’il devient impossible pour un membre d’avoir une perception individualisée de chacun des autres membres, et vs. (Groupe : tout le monde connait tout le monde et établit une relation interpersonnelle avec). L’organisation entre en jeu lorsque le groupe prend de l’ampleur et de l’importance et que chacun des membres ne peut plus reconnaitre tous les autres membres et établir des relations interpersonnelles. L’organisation représente la forme d’évolution + complexe du groupe

76
Q

Quels sont les 2 concepts se basant sur les principes du leadership?

A
  1. Écoute et existance : 2 leviers de l’animateur - moi je prends bcp de place = existence et groupe prends bcp de place = écoute. Doit alterner et équilibre
77
Q

Quels sont trois dérivés classiques du leadership?

A
  1. Trois dérivés classiques : animateur seul, groupe seul ou les 2 ensemble

RDP110 (6 decks)

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