Transfere horizontale du matériel génétique Flashcards
Quelles sont les différences entre procaryotes et eucaryotes en termes de type de reproduction, et quel est l’impact sur le transfert de matériel génétique ?
Procaryotes : Reproduction asexuée (fission binaire), rapide, pas de recombinaison sexuée → favorise le transfert horizontal de matériel génétique
Eucaryotes : Reproduction sexuée (méiose), plus lente, recombinaison génétique → favorise le transfert vertical du matériel génétique
Quels sont les deux mécanismes principaux de variation génétique chez les procaryotes ?
a. Q : Qu’est-ce que le transfert horizontal de matériel génétique ?
b. Q : En quoi ce transfert est-il différent du transfert vertical ?
c. Q : Quels sont les trois principaux types de transfert horizontal ?
Mutations
Transfert génétique horizontal
a- C’est le transfert d’un fragment d’ADN d’une cellule donneuse vers une cellule receveuse, sans relation de descendance directe.
b- Le transfert horizontal se fait entre individus non apparentés, tandis que le transfert vertical se fait d’un parent à sa descendance.
c- Conjugaison, transformation ,Transduction.
Que signifient les termes exogénote, endogénote, et mérozygote ?
Exogénote : ADN donneur introduit dans une cellule
Endogénote : Génome original de la cellule receveuse
Mérozygote : Cellule receveuse contenant temporairement deux copies de certains gènes (partiellement diploïde)
une illustration schématique annotée du devenir d’un mérozygote . (attention image)
Étapes schématisées :
Donneur (F⁺) avec plasmide F + gène d’intérêt.
Contact avec une bactérie receveuse (F⁻) par pilus sexuel.
Transfert partiel de l’ADN chromosomique (Hfr) ou plasmidique.
Formation du mérozygote : la cellule receveuse contient un fragment exogène (pas intégré au début).
Deux devenirs possibles :
Recombinaison homologue → intégration à l’ADN receveur.
Dégradation de l’ADN → retour au génotype initial.
Quels sont les deux types de plasmides selon leur capacité de transfert, et peuvent-ils faire une conjugaison ?
Plasmides non conjugatifs : Plus petits, pas capables de transfert (manquent les gènes nécessaires)
Plasmides conjugatifs : Plus grands, capables de conjugaison (portent les gènes pour pilus et transfert)
Qu’est-ce qu’un épisome ? Et un curage ?
Épisome : Plasmide pouvant s’intégrer dans le chromosome bactérien
Curage : Élimination spontanée ou induite de plasmides dans une cellule
Quels sont les types de plasmides selon leur fonction ?
Plasmide F : Fertilité
Plasmides R : Résistance aux antibiotiques
Plasmides Col : Production de bactériocines
Plasmides de virulence : Gènes pathogènes
Plasmides métaboliques : Enzymes pour le métabolisme de substances spécifiques
Pourquoi évite-on particulièrement les plasmides R conjugatifs ?
Parce qu’ils peuvent transférer la résistance aux antibiotiques à d’autres bactéries rapidement, même entre espèces, favorisant l’apparition de souches multirésistantes
Qu’est-ce qu’un plasmide Col ?
Un plasmide portant des gènes pour la production de bactériocines, protéines toxiques pour d’autres bactéries proches
Qu’est-ce qu’un plasmide métabolique ?
C’est un plasmide contenant des gènes pour des enzymes métaboliques spécifiques, ex. dégradation de pesticides, fixation de l’azote
(Illustration demandée) – Intégration du facteur F dans un chromosome bactérien check image !!!!!!
Qu’est-ce qu’une souche bactérienne F+ ?
Une bactérie donneuse qui possède un plasmide F (facteur de fertilité)
Qu’est-ce qu’une souche bactérienne F- ?
Une bactérie receveuse qui ne possède pas le facteur F
Qu’est-ce qu’une souche bactérienne Hfr ?
Une bactérie avec le facteur F intégré dans son chromosome, permettant le transfert de gènes bactériens en plus du facteur F
(Illustration demandée) – Transduction généralisée check image !!!
(Illustration demandée) – Transduction généralisée check image !!!
(Illustration demandée) – Transformation bactérienne avec les deux devenirs possibles check image !!!
Qu’est-ce qu’une cellule compétente ?
Une cellule capable de capter l’ADN libre présent dans son environnement et de l’intégrer dans son propre génome.