therapie manuele Flashcards

1
Q

Recommendation A

A

Preuves solides : Une prépondérance d’études de niveau 1 et/ou de niveau 2 soutient la recommandation. Il doit s’agir
d’au moins une étude de niveau 1

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2
Q

Recommendation B

A

Preuves modérées Un seul essai contrôlé randomisé
de haute qualité ou une
prépondérance d’études de niveau 2 soutiennent la recommandation

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3
Q

Recommendation B

A

Faibles preuves Une seule étude de niveau 2 ou
une prépondérance d’études de
niveau 3 et 4, y compris des
déclarations de consensus
d’experts en la matière, étayent la
recommandation

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4
Q

Recommendation C

A

Preuves contradictoires Les études de meilleure qualité
menées sur ce sujet divergent
quant à leurs conclusions. La
recommandation est basée sur ces
études contradictoires

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5
Q

Recommendation E

A

preuves théoriques/fondamentales : Une prépondérance de preuves
provenant d’études sur des
animaux ou des cadavres, de
modèles conceptuels/principes, ou
de sciences
fondamentales/recherche de base
soutient cette conclusion.

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6
Q

Recommendation F

A

Avis d’expert Meilleures pratiques basées sur
l’expérience clinique de l’équipe
chargée de l’élaboration des lignes
directrices

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7
Q

Pour patient chez qui examen physique n’a rien montré mais a des douleurs dans la fesse et
d’autres choses
a. On refait un examen physique
b. On lui fait passer les 5 tests de Laslett
c. FABBER et FADDIR
d. Un traitement lombaire

A

Dans le cas d’un patient présentant des douleurs fessières sans anomalie détectée lors de l’examen physique initial, il est recommandé de choisir une approche basée sur une évaluation clinique rigoureuse. Selon les informations disponibles dans les documents, voici une analyse des options proposées :

Refaire un examen physique : Cela peut être pertinent si l’examen initial a pu manquer des éléments cruciaux ou si la douleur évolue. La réévaluation est une pratique standard pour détecter des signes ou des symptômes qui n’étaient pas apparents initialement.

Les 5 tests de Laslett : Ces tests visent à diagnostiquer des dysfonctions de l’articulation sacro-iliaque, une cause fréquente de douleurs fessières. Cette option serait pertinente si les caractéristiques de la douleur ou l’anamnèse orientent vers une origine sacro-iliaque.

FABER et FADDIR : Ces tests sont utilisés pour identifier des pathologies de la hanche ou des troubles sacro-iliaques. Ils sont également appropriés dans l’évaluation des douleurs fessières si l’origine est articulaire ou musculaire.

Traitement lombaire : Un traitement sans diagnostic clair peut être prématuré. Il est préférable de clarifier la source de la douleur avant de commencer une intervention.

Réponse suggérée :
La réponse B (les 5 tests de Laslett) ou C (FABER et FADDIR) semble être la plus adaptée dans ce contexte, en fonction de l’orientation clinique. Ces tests permettent d’explorer des causes fréquentes de douleurs fessières, comme les dysfonctions de l’articulation sacro-iliaque ou des pathologies de la hanche, tout en guidant la suite de la prise en charge

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8
Q

Lors de la flexion cervico-crâniale
a. Faciliter le mouvement en demandant au patient de regarder le sol en caudal

A
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9
Q

Cas clinique : la douleur est diminuée au mouvement de manière générale mais augmente en extension de
genou
a. Mécanisme de douleur aigu
b. Faire un DN4
c. Mécanisme de douleur inflammatoire
d. On n’a pas assez d’infos

A

d. On n’a pas assez d’infos

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10
Q

Qu’est-ce qui est faux ?
a. Mulligan est un australien qui a mis la notion de grade I à V en évidence → MAITLAND
b. Il y a un norvégien qui fait partie des membres fondateurs de l’IFOMT (Kaltenborn)

A

a. Mulligan est un australien qui a mis la notion de grade I à V en évidence → MAITLAND

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11
Q

Métacognition
a. Hypothèse la plus probable à la moins probable
b. Réflexion sur ses actes
c. Il faut avoir toutes les infos dans l’anamnèse

A

b. Réflexion sur ses actes

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12
Q

Que fait l’IFOMT
a. Définir le niveau d’inquiétude et le plan de traitement
b. Définit les 4 red flags lombaire

A

b. Définit les 4 red flags lombaire

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13
Q

Cas clinique avec maux de tête
a. La rotation est conseillé
b. Aucune bonne réponse

A

b. Aucune bonne réponse

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14
Q

QU’est-ce qui permet de faire le diagnostic différentiel et de mettre en évidence des red flages :
a. Anamnèse et examen clinique

A
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15
Q

A quelle étape de la prise en charge lombaire utilise-t-on le start back screening tool ?

A

Le Start Back Screening Tool (SBST) est utilisé lors de la phase initiale de la prise en charge des douleurs lombaires, généralement après l’anamnèse et l’évaluation clinique de base. Son objectif est de stratifier les patients en fonction de leur risque de chronicité et de proposer une prise en charge adaptée.

Étapes clés où le SBST est utilisé :
Anamnèse et première évaluation clinique :

Dès la première consultation pour une douleur lombaire, le SBST permet d’évaluer les facteurs psychosociaux, émotionnels et comportementaux qui influencent la douleur et sa chronicité.
Évaluation du risque de chronicité :

Le SBST classe les patients en trois groupes :
Faible risque : Interventions minimalistes centrées sur l’autogestion.
Risque moyen : Approche combinée avec exercices supervisés et éducation.
Risque élevé : Approche multimodale incluant une prise en charge psychosociale.
Orientation de la prise en charge :

Les résultats influencent la stratégie thérapeutique, en adaptant le traitement aux besoins spécifiques de chaque patient.
En résumé, le SBST est intégré dès les premières étapes de l’évaluation initiale des douleurs lombaires afin de guider la prise en charge personnalisée

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16
Q

Facteurs de risque du syndrome de la queue de cheval
a. Prolapsus
b. Hernie

A
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17
Q
  1. En cas de co-contractions musculaires
    a. Ne pas faire des exercices en contrôle
A
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18
Q

Quelle différence dans le modèle de Bialosky entre 2009 et 2018 ?
a. Rajouter kiné, patient et contexte
b. Mécanismes neurophysiologiques
c. Aucune des propositions

A

a. Rajouter kiné, patient et contexte

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19
Q

Question sur les questionnaires SBST et ODI/ Questions Test SBST/BPQI/ODI, résultat positif au test, qu’est-
ce qu’on test globalement, pas chaque item en détails, score de chronicisation lombalgique

a. SBST…
b. ODI pour évaluer l’incapacité fonctionnelle chez les lombalgiques
c. BIPQ pour évaluer les émotions du patient par rapport à sa maladie

A

SBST (Start Back Screening Tool) :

Objectif principal : Identifier le risque de chronicité des douleurs lombaires en évaluant des facteurs physiques et psychosociaux.
Usage global : Stratification des patients pour adapter la prise en charge.

ODI (Oswestry Disability Index) :

Objectif principal : Évaluer le degré d’incapacité fonctionnelle chez les patients lombalgiques.
Usage global : Mesurer l’impact des douleurs lombaires sur les activités quotidiennes.

BIPQ (Brief Illness Perception Questionnaire) :

Objectif principal : Évaluer les émotions et perceptions du patient vis-à-vis de sa maladie.
Usage global : Comprendre les croyances et attitudes du patient qui influencent son comportement face à la maladie.

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20
Q

Question par rapport aux drapeaux noirs, bleus, orange
a. Drapeau orange : patient avec des problèmes au travail (psychiatriques)
b. 4 catégories d’urgence

A

b. 4 catégories d’urgence

21
Q
  1. Après la première séance, une patiente vous rappelle après des nausées et vomissement, que faire ?
    a. Urgences pour examens complémentaires
    b. Prendre un AINS
    c. Reprendre rendez-vous avec elle
A

a. Urgences pour examens complémentaires

22
Q
  1. Problème mécanique :
    a. d+ locale intermittente, prédictif et antalgique calme
A
23
Q

ULNT1 :
a. Evalue le nerf radial (nerf médian)
b. Evalue l’intégrité du nerf (conduction)
c. Evalue la conduction du nerf

A

c. Evalue la conduction du nerf

24
Q
  1. L’ULNT1 réalisé chez :
    a. les patients avec des douleurs cervicales et non SIN
    b. tous les patients avec douleurs cervicales
    c. les patients avec douleurs cervicales et perte de sensibilité et force (plutôt examen neuro ?)
    d. les patients avec douleurs cervicales avec douleurs dans le membre supérieur
A

a. Les patients avec des douleurs cervicales et non SIN (Signes Irritants Nerveux) :

Ce n’est pas correct, car l’ULNT1 est précisément réalisé pour évaluer une irritation ou une sensibilisation nerveuse.

b. Tous les patients avec douleurs cervicales :

Pas systématiquement. Ce test est réservé aux cas où une atteinte neurogène est suspectée (irritation nerveuse ou douleur radiculaire).

c. Les patients avec douleurs cervicales et perte de sensibilité et de force (plutôt examen neuro ?) :

Bien que ces symptômes nécessitent un examen neurologique approfondi, l’ULNT1 pourrait être inclus dans une évaluation neurodynamique si des douleurs radiculaires sont suspectées.

d. Les patients avec douleurs cervicales avec douleurs dans le membre supérieur :

Correct. L’ULNT1 est indiqué pour les patients ayant des douleurs cervicales irradiant dans le bras, ce qui peut être associé à une irritation nerveuse périphérique ou radiculaire.

25
Q
  1. Première chose à faire pour une lombalgie aigue ?
    a. Start Back à faire dès la première séance avec le patient
    b. Exclure les reds flags dans l’anamnèse et examen physique
A

b. Exclure les reds flags dans l’anamnèse et examen physique

26
Q
  1. Quelle affirmation est fausse concernant les trigger points ?
    a. Pas en faire si le patient présente de la fièvre
    b. 20s suffisent pour l’effet souhaité
A

b. 20s suffisent pour l’effet souhaité

27
Q

En Belgique, quel organisme correspond à l’IFOMPT ?
a. MATHERA
b. AXONN

A

a. MATHERA

28
Q
  1. Patiente instit avec douleurs à l’aine qd elle s’accroupit, douleurs importantes en fin de journée qui
    l’empêchent de faire ses activités, quel conseil lui donner :
    a. Maigrir
    b. Réduire les positions douloureuses et recharger progressivement
    c. Rester au lit quelques jours puis exercices
    d. Traitement passif
A

b. Réduire les positions douloureuses et recharger progressivement

29
Q
  1. Questions sur les guidelines en cervicalgie
A

Éléments communs dans les guidelines :
Évaluation initiale :

Identifier les drapeaux rouges (ex. fracture, infection, tumeur, myélopathie).
Déterminer si la cervicalgie est spécifique (pathologie identifiable) ou non spécifique (douleur mécanique sans cause identifiable claire).
Stratification des patients :

Utiliser des outils comme le Start Back Screening Tool (SBST) pour évaluer le risque de chronicité et orienter la prise en charge.

Prise en charge non invasive :
Encourager l’autogestion et la reprise progressive des activités.
Proposer des exercices thérapeutiques supervisés, tels que des exercices de renforcement musculaire, de mobilité et de contrôle moteur.
Intégrer des techniques manuelles, comme la mobilisation cervicale, en cas de restriction de mouvement.

Éducation et gestion psychosociale :
Informer sur la nature bénigne de la douleur dans la majorité des cas.
Identifier et gérer les facteurs psychosociaux pouvant contribuer à la chronicité (drapeaux jaunes).

Approche multimodale :
Combiner les interventions physiques, éducatives et, si nécessaire, psychologiques pour optimiser les résultats.
Indications pour l’imagerie :

Imagerie réservée aux cas présentant des drapeaux rouges ou des symptômes neurologiques progressifs.
Interventions spécifiques :

Cas de douleurs radiculaires : Mobilisations neurodynamiques, traction cervicale.
Douleur persistante ou chronique : Approches cognitivo-comportementales et programmes multidisciplinaires.
Traitements pharmacologiques :

Réservés pour les douleurs aiguës sévères ou les cas spécifiques, selon les guidelines.
Synthèse des objectifs des guidelines :
Identifier les patients nécessitant une attention urgente ou spécialisée.
Réduire la douleur et restaurer la fonction.
Prévenir la chronicité à travers une approche personnalisée et basée sur des preuves.
Pour des recommandations détaillées, il est utile de se référer aux guidelines internationales comme celles de l’IFOMPT ou des sociétés nationales de physiothérapie​

30
Q

Lequel n’est pas un FDR de cervicalgie ?
a. Histoire ancienne
b. Obésité
c. Fumeur
d. Antécédent de lombalgie

A

b. Obésité

31
Q

Blandpied
a. 4 sous-groupes : déficit mobilité, céphalées, incoordination, douleur irradiée

A
32
Q

Une nette amélioration à la 3ème séance est liée à
a. Technique + placebo
b. Technique + changement des croyances
c. Technique + placebo + évolution naturelle
d. Aucune réponse

A

Technique + placebo + évolution naturelle

33
Q

Ce qu’a fait Mulligan :
a. Snags, MWM, tape spécifique

A
34
Q

Sur quoi se base le raisonnement clinique :
a. les symptômes et signes du patient (+ examen physique)
b. Les meilleurs preuves EBM

A

les symptômes et signes du patient (+ examen physique)

35
Q

Quelle recommandation ne fait pas partie du niveau A en rééducation pour une cervicalgie
a. Etirements
b. Mobilisation et manipulations
c. Travail du contrôle moteur
d. Education du patient

A

b. Mobilisation et manipulations

36
Q

Les red flags servent à :
a. mesure de précaution
b. origine de la structure
c. plrs catégories d’hypothèse proposées

A

a. mesure de précaution

37
Q

Question sur le modèle planétaire, qu’est qui manque dans la boule du milieu :
a. contrôle sensori-moteur…

A
38
Q

un P a mal en tournant la tête dans sa voiture, doit-on faire la démonstration fonctionnel ?
a. contre indiqué
b. indispensable

A
39
Q

Un P a mal après traitement : vertige, nausées : que fait-on ?
a. Prend rdv le lendemain
b. Antalgique
c. Urgence…

A

c. Urgence…

40
Q

Un P a une cervicalgie aiguë, que fait-on ?
a. Traitement antalgique
b. Rien
c. Un examen physique approfondi,…
d. chute du lit superposés dans la nuit donc on l’envoie faire des exams complémentaires

A

d. chute du lit superposés dans la nuit donc on l’envoie faire des exams complémentaires

41
Q

Question guidelines de 2017 :
a. recommandations différentes selon la pratique

A
42
Q
  1. Question avec un graphique P1 P2 L, déterminer type de patient (eor, sin,… ?)
A

nterprétation des points P1, P2, et L :

P1 : Point où la douleur commence à être ressentie.
P2 : Point où la douleur devient insupportable ou limite fonctionnelle.
L : Fin de l’amplitude de mouvement, même si elle peut être limitée par la douleur ou une restriction mécanique.
Relation entre P1, P2, et L :

Si P2 est proche de P1, cela suggère une douleur très irritable, où le mouvement est limité principalement par la douleur.
Si P2 est loin de P1 et proche de L, cela indique une douleur moins irritable, probablement d’origine mécanique, limitée par des structures articulaires ou des tissus mous.
Classification selon le comportement mécanique :

SIN (Severity, Irritability, Nature) :
Irritable (SIN élevé) : P1 est très précoce, et la douleur augmente rapidement jusqu’à P2 avant L.
Peu irritable (SIN faible) : P1 est tardif, et L est atteint sans douleur importante.
EOR (End of Range) :
La douleur apparaît uniquement en fin d’amplitude (L), souvent liée à une restriction articulaire ou capsulaire.
P1 peut être absent ou minimal.
Facteurs cliniques à considérer :

Nature des symptômes (inflammatoires, mécaniques, neuropathiques).
Présence de drapeaux rouges ou jaunes.
Contexte général du patient (traumatisme, douleur chronique, etc.).
Exemple d’analyse selon le graphique :
Si P1 = précoce et P2 = proche de P1 : Le patient est probablement irritable ou présente un SIN élevé.
Si P1 = tardif et P2 = proche de L : Le patient est probablement non irritable, avec un problème mécanique ou d’amplitude articulaire.

43
Q
  1. A quoi servent les questions spéciales ?
    a. Précautions
A
44
Q

Le raisonnement clinique de la TMO est basé sur
a. Meilleures preuves scientifiques
b. Symptomes,

A

a. Meilleures preuves scientifiques

45
Q

Plus de mobilité en rotation cervical au niveau de …
a. C1/C2

A
45
Q

Lombalgie chronique depuis 10 ans suite à des ports de charge, quel traitement ?
a. Education
b. Pas de TM efficace en vrai
c. Explication sur la sensibilisation centrale

A

c. Explication sur la sensibilisation centrale

45
Q
A
45
Q
A