Maxilo Flashcards

1
Q

Qu’est ce préconisent les critères ADDR greenes 2010
a. Diagnostic différentiel basé sur l’histoire du patient et l’examen clinique

A

Les critères recommandés par Greenes en 2010 pour un diagnostic différentiel incluent les éléments suivants​
:

Histoire du patient (anamnèse) :

Collecte d’informations détaillées sur les antécédents médicaux et les symptômes spécifiques.
Utilisation de questionnaires spécifiques comme ceux du DC-TMD pour formuler des hypothèses.
Examen clinique :

Mesure des mouvements mandibulaires (actifs et passifs).
Recherche de claquements ou reproduction de la douleur.
Palpation des articulations temporomandibulaires et des muscles masticateurs.
Imagerie médicale (si nécessaire) :

Orthopantomogramme.
Imagerie par faisceau conique (CBCT).
Résonance magnétique (IRM).
Tests psychométriques validés :

Évaluation des dimensions psychosociales pour chaque patient présentant des troubles temporomandibulaires.
Diagnostic différentiel : Exclusion d’autres pathologies possibles telles que :

Pathologies dentaires (caries, fractures dentaires).
Neuropathies (névralgie du trijumeau).
Céphalées (tension, migraines, céphalées cervicogéniques).
Pathologies des glandes salivaires ou sinusites.
Ces étapes visent à confirmer les hypothèses diagnostiques et à différencier les troubles temporomandibulaires d’autres causes possibles de douleur ou dysfonctionnement.

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2
Q
  1. Patient a mal ATM droit, on fait le test avec le bâton (pas vu) => augmentation d+ lorsqu’il est à gauche et
    diminution quand il est à D → donc ici inflammation intracapsulaire G
    a. Ca confirme notre hypothèse qu’il a une arthralgie à D
    b. On lui conseille de manger à D mou
    c. On lui conseille de manger à D
    d. Ca pose un diagnostic de capsule articulaire
A

Ca pose un diagnostic de capsule articulaire
 Test du bâton : différence entre articulaire/musculaire → Le test de morsure se fait à l’aide
d’un bâton, d’un enfonce couronne, d’une pompe à salive ou de coton salivaire que l’on
place d’un côté, au niveau molaire, et sur lequel le patient mord. La morsure augmente la
pression au niveau de l’articulation controlatérale et la diminue au niveau de l’articulation
homolatérale. La compression axiale ne modifie pas la douleur ligamentaire.
o S’il y a une douleur homolatérale, cela nous oriente vers une douleur d’origine
musculaire.
o Si une douleur homolatérale est soulagée, cela évoque une inflammation
intracapsulaire homolatérale.
o Si nous avons une douleur controlatérale, cela évoque une inflammation
intracapsulaire de l’ATM non travaillante.

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3
Q

Douleurs péri-auriculaires en diduction statique et dynamique gauche
a. Myalgie ptérygoïdien latéral
b. Myalgie ptérygoïdien médial
c. Arthralgie
d. Aucune

A

Myalgie ptérygoïdien latéral

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4
Q

Muscles permettant l’ouverture buccale
a. Ptérygoïdien latéral, digastrique et trois muscle hyoïdiens
b. Ptérygoïdien médial

A

a. Ptérygoïdien latéral, digastrique et trois muscle hyoïdiens

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5
Q

Les causes de consultation les plus fréquentes sont :
a. Douleur dentaire, le bruit et limitation de l’ouverture buccale

A
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6
Q

Questions sur bruxisme nocturne:
a. +chez enfants que adulte (enfant : 3,5 à 40% VS adulte 7%)
b. lié au stress (facteurs externes)

A

a. +chez enfants que adulte (enfant : 3,5 à 40% VS adulte 7%)

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7
Q

Parmi les muscles suivants, lequel participe à la rétropulsion mandibulaire ?

a) Muscle masséter
b) Muscle ptérygoïdien médial
c) Muscle temporal
d) Muscle digastrique

A

c) le muscle temporal, qui est responsable de l’élévation de la mandibule, de la rétropulsion mandibulaire et de la diduction homolatérale.

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8
Q

Quel ligament joue un rôle important en limitant la translation mandibulaire lors de l’ouverture buccale ?

a) Ligament ptérygo-épineux
b) Ligament latéral externe
c) Ligament stylo-mandibulaire
d) Ligament sphéno-mandibulaire

A

Ligament latéral externe

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9
Q

Parmi les mouvements suivants, lequel est assuré par le muscle ptérygoïdien latéral, en contraction bilatérale ?

a) Élévation de la mandibule
b) Abaissement de la mandibule
c) Propulsion de la mandibule
d) Diduction homolatérale

A

c) Propulsion de la mandibule

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10
Q

Lors de l’ouverture buccale normale, quel type de mouvement se produit en premier ?

a) Rotation mandibulaire
b) Translation mandibulaire
c) Rotation puis translation simultanée
d) Translation puis rotation simultanée

A

a) Rotation mandibulaire

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11
Q

Parmi les symptômes suivants, lequel n’est pas directement associé à un désordre temporomandibulaire (DTM) ?

a) Douleur dans la région pré-tragienne
b) Bruits articulaires tels que craquements
c) Vertiges et bourdonnements
d) Sensation d’engourdissement des membres supérieurs

A

d) Sensation d’engourdissement des membres supérieurs

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12
Q

Quel est le principal muscle impliqué dans le mouvement de diduction droite ?

a) Ptérygoïdien latéral droit
b) Temporal droit
c) Ptérygoïdien latéral gauche
d) Masséter gauche

A

c) Ptérygoïdien latéral gauche
mais aussi le masséter et le
temporal (droite).

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13
Q

facteur de risque pour les DTM douloureux ?

A

Femme > Homme : facteurs hormonaux impliqués dans la modulation de la douleur

  • Stress, anxiété et autres facteurs psychosociaux (catastrophisme et somatization) : évidences fortes
  • Parafonctions orales : évidences
    o Les parafonctions orales sont le fait de ronger les ongles, mordiller les cuticules, jouer d’un instrument à vent de manière excessive, serrer les dents… (oral behavior questionnaire)
  • Bruxisme diurne : évidences
  • Détérioration du sommeil
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14
Q

Lors d’un déplacement discal réductible, quel bruit caractéristique peut être entendu à l’ouverture et à la fermeture buccale ?

1. Un crépitement continu.
2. Un claquement réciproque.
3. Un bruit de grincement fin.
4. Un silence complet, sans bruit audible.
A
  1. Un claquement réciproque. Ce bruit est typique d’un déplacement discal réductible et peut également être entendu lors des mouvements de diduction​
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15
Q

Dans le contexte des déplacements discaux non réductibles avec limitation de l’ouverture buccale, quel signe clinique est typique ?

1. Bruit de craquement persistant.
2. Déviation de la mandibule à l'ouverture.
3. Hyperlaxité ligamentaire.
4. Douleur uniquement au repos.
A

Un déplacement discal non réductible avec limitation de l’ouverture buccale est typiquement associé à une déviation de la mandibule à l’ouverture, car un côté de l’articulation est bloqué, empêchant une translation symétrique

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16
Q

Quel muscle élévateur de la mandibule est souvent décrit comme le “jumeau” du muscle masséter en raison de ses insertions et directions similaires ?

Muscle temporal.
Muscle ptérygoïdien médial.
Muscle ptérygoïdien latéral.
Muscle digastrique.
Muscle ptérygoïdien latéral.
Muscle digastrique.
A

Quel muscle élévateur de la mandibule est souvent décrit comme le “jumeau” du muscle masséter en raison de ses insertions et directions similaires ?

Muscle temporal.
Muscle ptérygoïdien médial.
Muscle ptérygoïdien latéral.
Muscle digastrique.
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17
Q

Selon les critères diagnostiques des désordres temporo-mandibulaires (DC/TMD), qu’est-ce qui distingue une arthralgie d’une myalgie dans le cadre des troubles de l’articulation temporo-mandibulaire (ATM) ?

A. L’arthralgie est toujours associée à des bruits articulaires tandis que la myalgie est liée à des douleurs musculaires sans bruit.

B. L’arthralgie est définie par une douleur reproduite à la palpation de l’ATM ou lors de mouvements spécifiques, tandis que la myalgie se caractérise par une douleur musculaire familière ressentie à la palpation ou à la fonction.

C. L’arthralgie est toujours associée à une perte de mobilité mandibulaire, contrairement à la myalgie.

D. La myalgie est diagnostiquée uniquement par imagerie médicale, tandis que l’arthralgie est diagnostiquée cliniquement.

A

A est incorrect : les bruits articulaires, comme les craquements ou crépitements, ne sont pas nécessaires pour diagnostiquer une arthralgie.

B est correct : l’arthralgie est caractérisée par une douleur familière reproduite par la palpation de l’ATM ou par des mouvements spécifiques (ex. diduction, propulsion). La myalgie, quant à elle, est une douleur musculaire familière, souvent reproduite à la palpation ou à la fonction.

C est incorrect : une perte de mobilité mandibulaire peut être présente dans divers troubles, mais elle n’est pas systématique pour l’arthralgie.

D est incorrect : les deux diagnostics peuvent être posés sur la base d’un examen clinique sans nécessiter d’imagerie médicale

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18
Q

Lorsqu’un patient présente un déplacement discal réductible de l’ATM, quelle caractéristique clinique est la plus spécifique de ce diagnostic ?

A. Une limitation constante de l’ouverture buccale (<40 mm).

B. Des claquements articulaires présents lors de l’ouverture et/ou de la fermeture de la bouche.

C. Une douleur aiguë localisée à l’ATM sans bruit associé.

D. Une déviation mandibulaire marquée vers un côté lors de l’ouverture de la bouche.

A

A est incorrect : une limitation constante de l’ouverture buccale est plutôt associée à un déplacement discal non réductible avec limitation de l’ouverture.

B est correct : des claquements articulaires présents lors de l’ouverture et/ou de la fermeture sont caractéristiques d’un déplacement discal réductible. Ces bruits, appelés claquements réciproques, surviennent lorsque le disque passe de sa position déplacée à une position normale et vice versa.

C est incorrect : bien que la douleur puisse être présente, le déplacement discal réductible est défini par les bruits articulaires et non uniquement par la douleur.

D est incorrect : une déviation mandibulaire peut être observée, mais elle est plus caractéristique d’un déplacement discal non réductible ou d’autres troubles limitant la mobilité.

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19
Q

Quels sont les principaux facteurs étiologiques associés à un premier épisode de désordres temporo-mandibulaires (DTM) douloureux ?

A. Facteurs hormonaux et variations occlusales.

B. Stress, co-morbidités multiples, et altérations des mécanismes de modulation de la douleur.

C. Bruxisme nocturne et consommation excessive de caféine.

D. Mauvais alignement squelettique et micro-traumatismes répétés.

A

B

20
Q

Parmi les diagnostics ci-dessous, lequel est le plus fiable pour une céphalée attribuée à un trouble temporo-mandibulaire (DTM) ?

A. Douleur dans la région temporale uniquement au repos.

B. Céphalée reproduite par la palpation du muscle temporal ou les mouvements mandibulaires.

C. Céphalée avec une augmentation de l’intensité lors de la mastication
.
D. Douleur diffuse dans la région occipitale associée à des vertiges.

A

A est incorrect : la douleur au repos dans la région temporale n’est pas un critère fiable pour une céphalée liée à un DTM, car elle peut être associée à d’autres causes (ex. céphalée de tension).

B est correct : une céphalée attribuée à un DTM doit être reproduite par des tests de provocation, comme la palpation du muscle temporal ou les mouvements mandibulaires. C’est ce qui distingue une céphalée liée au DTM d’autres types de céphalées​

C est incorrect : bien que l’intensité de la céphalée puisse augmenter avec la mastication, ce critère seul n’est pas suffisant pour établir un diagnostic de céphalée liée au DTM.

D est incorrect : la douleur diffuse dans la région occipitale et les vertiges ne sont pas des signes caractéristiques d’une céphalée attribuée à un DTM.

21
Q

Lors de l’évaluation clinique d’un DTM, que permet de conclure une limitation de l’ouverture buccale associée à une déviation vers la droite, sans bruit articulaire ?

A. Un déplacement discal réductible à gauche.

B. Une subluxation de l’ATM à droite.

C. Un déplacement discal non réductible à droite.

D. Une arthralgie bilatérale sans atteinte du disque.

A

C est correct : une limitation de l’ouverture buccale avec une déviation vers la droite, sans bruit articulaire, est typique d’un déplacement discal non réductible à droite. La déviation indique que le condyle droit ne peut pas effectuer sa translation normale, ce qui limite les mouvements mandibulaires​​

A est incorrect : un déplacement discal réductible à gauche ne causerait pas une limitation ou une déviation à droite, et il serait associé à des bruits articulaires (claquements réciproques).

B est incorrect : une subluxation se caractérise par une instabilité de l’articulation en fin d’ouverture, souvent avec des bruits, mais pas une limitation notable ni une déviation fixe.

D est incorrect : une arthralgie bilatérale pourrait causer de la douleur, mais elle n’expliquerait pas une déviation unilatérale marquée.

22
Q

Parmi les facteurs suivants, lequel est le plus fréquemment impliqué dans les épisodes aigus de douleurs DTM ?

A. Les parafonctions orales comme le serrage des dents.

B. Une malocclusion sévère non corrigée.

C. La consommation excessive d’aliments durs ou mastication unilatérale.

D. Une exposition prolongée à des vibrations mandibulaires (ex. travaux dentaires).

A

A est correct : les parafonctions orales, telles que le serrage des dents (bruxisme diurne ou nocturne), sont des facteurs mécaniques importants qui peuvent provoquer ou aggraver des épisodes aigus de douleurs temporo-mandibulaires en surchargeant les muscles masticateurs et les articulations​​
.
B est incorrect : bien que les malocclusions soient souvent suspectées, leur rôle dans les DTM est faible et non significatif selon les preuves actuelles.

C est incorrect : bien que la mastication d’aliments durs puisse provoquer une douleur temporaire, elle n’est pas une cause fréquente ou primaire des épisodes aigus de DTM.

D est incorrect : les vibrations mandibulaires, comme celles causées par des travaux dentaires, peuvent être des facteurs déclenchants dans des cas rares, mais ce n’est pas le facteur le plus fréquent.

23
Q

Quelle stratégie thérapeutique est recommandée en première intention pour un patient souffrant d’une myalgie aiguë liée aux DTM ?

A. La prescription d’un relaxant musculaire et d’un anti-inflammatoire.

B. L’utilisation d’une gouttière occlusale 24h/24.

C. L’éducation du patient et la gestion des parafonctions.

D. L’injection de toxine botulique dans les muscles masticateurs.

A

C est correct : l’éducation du patient et la gestion des parafonctions sont les approches de première intention pour traiter une myalgie aiguë liée aux DTM. Ces interventions permettent de réduire les comportements exacerbant la douleur et d’améliorer les habitudes quotidiennes, souvent avec d’excellents résultats​​

A est incorrect : bien que les médicaments puissent être utiles en complément dans certains cas, ils ne constituent pas la première ligne de traitement.

B est incorrect : une gouttière peut être indiquée dans certains cas, mais son usage n’est généralement pas recommandé 24h/24, et elle n’est pas systématiquement prescrite en première intention.

D est incorrect : les injections de toxine botulique sont réservées aux cas sévères ou réfractaires et ne sont pas une stratégie initiale.

24
Q

Lorsqu’un patient présente un déplacement discal non réductible (DDNR) sans limitation de l’ouverture buccale, quelle évolution naturelle est la plus fréquente ?

A. Une aggravation progressive de la douleur avec raideur mandibulaire.

B. Une récupération spontanée avec formation d’un pseudo-disque.

C. Une dégénérescence articulaire avec perte de fonction.

D. Une persistance des symptômes sans amélioration.

A
25
Q

Dans le cadre de l’examen clinique pour différencier les désordres temporo-mandibulaires (DTM), quels sont les critères permettant de reconnaître une douleur familière ?

A. La douleur induite par les tests de provocation correspond à une douleur ressentie dans les 7 derniers jours.

B. La douleur provoquée par le test correspond à celle rapportée par le patient comme ressentie dans la région au cours des 30 derniers jours.

C. La douleur familière est toujours associée à un bruit articulaire.

D. La douleur familière est définie uniquement sur la base de l’examen d’imagerie.

A

B

26
Q

Quelle est la prévalence des déplacements discaux réductibles chez les adultes en pratique clinique ?

A. 10 %
B. 30 %
C. 40 %
D. 50 %

A

c

27
Q

Lors de l’évaluation clinique des DTM, quelle caractéristique permet de différencier une douleur modifiée d’une douleur trigéminale secondaire ?

A. Une douleur constante et non influencée par le mouvement.

B. Une douleur améliorée ou aggravée par la fonction, le mouvement ou les parafonctions.

C. Une douleur ressentie uniquement lors de la palpation des muscles masticateurs.

D. Une douleur associée à une limitation sévère de l’ouverture buccale.

A

b

28
Q

Concernant le déplacement discal non réductible avec limitation de l’ouverture buccale, quelle observation clinique est typiquement présente ?

A. Présence d’un claquement réciproque.

B. Mobilité en diduction symétrique entre les deux côtés.

C. Limitation de l’ouverture buccale et déviation lors de l’ouverture.

D. Absence totale de douleur à la palpation de l’ATM.

A

C. Limitation de l’ouverture buccale et déviation lors de l’ouverture.

29
Q

OPPERA

A

Incidence annuelle de 4% (premier diagnostic de DTM)
§ 18-25 ans : 2,5%
§ 25-34 ans : 3.7%
§ 35-44 ans: 4,5%

Chez les adultes : pas de différence entre les hommes et les femmes
o Mais beaucoup plus de femmes consultent
- Chez les adolescents : incidence est plus importante chez les filles

30
Q

Douleurs péri-auriculaires en diduction statique et dynamique gauche
a. Myalgie ptérygoïdien latéral
b. Myalgie ptérygoïdien médial
c. Arthralgie
d. Aucune

A

b. Myalgie ptérygoïdien médial

31
Q

Bruxisme

A

o Plate (gouttière)
o Pep talk (éducation)
o Psychology (spécialiste pour prise en charge des troubles psychologiques et de personnalité
potentiellement associée au bruxisme
o Pills (médicaments si échec des autres P)

32
Q

Les causes de consultation les plus fréquentes sont :
a. Douleur dentaire, le bruit et limitation de l’ouverture buccale

A
33
Q

BRUXAPP

A

« Comment sont positionnées
mes dents ? », « Comment sont mes muscles ? » et « Ressentez-vous la douleur au niveau du visage ? »

34
Q
  1. Questions sur bruxisme nocturne:
    a. +chez enfants que adulte (enfant : 3,5 à 40% VS adulte 7%)
    b. lié au stress (facteurs externes)
A

a. +chez enfants que adulte (enfant : 3,5 à 40% VS adulte 7%)

35
Q

La relation neuroanatomique entre la colonne cervicale et les douleurs orofaciales est possible grâce aux interconnection entre le nerf V et les racines cervicales de C1-C3.

A
36
Q

DTM PREVALENCE SUR UNE VIE

A

PREVALENCE SUR UNE VIE
60 À 70 %
SEULS 5% CONSULTERONT

37
Q

Comorbidités
83% des patients souffrant de DTM rapportent une autre douleur et 59%
en rapportent au moins deux

A
38
Q

Avoir un DTM douloureux à l’adolescence triple le risque d’avoir un DTM douloureux 10 ans plus tard
(début âge adulte)

A
39
Q

Les évidences actuelles surggèrent que l’influence de l’occlusion
dans le genèse des DTM est faible

A
40
Q

Variables associées à un nouvel épisode de TMD
* Histoire d’un trauma
* Para fonctions
* Fréquence élevée d’autres douleurs (comorbidités)
* Facteurs de risques psychologiques (problèmes affectifs, stress et catastrophisme,
somatisation)
* Facteurs génétiques
* Perturbation du sommeil

A
41
Q

Facteurs prédisposants

Nombre important de co-morbidités
¨ Nombre important de symptômes oro-faciaux non spécifiques
(raideur, inconfort, crampe, fatigue)
¨ Facteurs contextuels
¨ Interférence avec le travail
¨ Nombre important de para-fonctions
¨ Perception d’une limitation de l’OB par le patient le dernier mois
¨ Nombre important de sites douloureux à la palpation des
muscles masticateurs
¨ Somatisation importante

A
42
Q

facteurs perpetuant

La sévérité de la douleur ainsi que la présence de co-morbidités
sont associés à une douleur persistance 8 mois après le début du
DTM

¡ Grand nombre de co-morbidités
¡ Importantes intensité, fréquence et durée de douleurs
¡ Grand nombre de muscles masticateurs douloureux à la palpation
¡ Douleur modifiée par la mastication d’aliments dures

A
43
Q

Facteurs de risques

Femme > Homme
¨ Stress, anxiety et other psychosocial factors
¨ Oral Parafunction
¨ Awake Bruxism
¨ Deterioring Sleep quality

A
44
Q
A
45
Q
A