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MED1217 - Psychisme / Examen 2 > Thème 8 : Les troubles liés à l'usage de l'alcool et de diverses substances > Flashcards

Thème 8 : Les troubles liés à l'usage de l'alcool et de diverses substances Flashcards

1
Q

CLP : Une substance psychoactive modifie certains processus tel la ___________________ ou l’affect.

A

Cognition

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2
Q

QSJ : Besoin impérieux du produit, ressenti par le sujet, en période de sevrage ou en période d’abstinence

A

Appétence (craving)

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3
Q

Quelle est la substance la plus consommée et qui provoque le plus de troubles liés à son usage dans la population générale ?

A

Alcool

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4
Q

L’alcool est surtout consommée par :

a. Les femmes
b. Les hommes

A

b. Les hommes

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5
Q

CLP : L’alcool est mise en cause dans _________________ des décès de la route.

A

40%

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6
Q

De quelle façon l’alcool entraîne-t-elle des trous de mémoire et des erreurs de jugement ?

A

Via son blocage des récepteurs NMDA

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7
Q

Vrai ou Faux. L’alcool entraîne une augmentation de la libération des peptites opioïdes.

A

Vrai

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8
Q

De quelle façon l’alcool entraîne-t-elle une augmentation de la sensibilité au stress et la création d’un état émotif négatif ?

A

Via l’augmentation de la CRF et de ses récepteurs sur l’amygdale

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9
Q

De quelle façon l’alcool possède-t-elle un pouvoir toxicomanogène ?

A

Via l’augmentation de la dopamine dans le système limbique

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10
Q

Quelle est la place de la génétique dans le développement d’une dépendance à l’alcool ?

A

Responsable d’environ 50-60% de la prédisposition d’un individu à développer une dépendance à l’alcool

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11
Q

Identifie 4 caractéristiques phénotypiques qui favorisent la survenue d’un trouble de dépendance à l’alcool.

A
  1. Métabolisme de l’alcool
  2. Niveau de réponse
  3. Traits de personnalité (impulsivité/TP antisociale)
  4. Présence de comorbidités psychiatriques (TDAH/ troubles anxieux/ MAB)
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12
Q

Quel TP est davantage à risque de développer un trouble de dépendance à l’alcool ?

A

TP antisociale

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13
Q

Vrai ou Faux. La consommation d’alcool à elle seule n’est pas suffisante pour provoquer l’apparition d’un trouble lié à l’alcool.

A

Vrai

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14
Q

À quel rythme est métabolisé l’alcool ?

A

1 consommation/heure

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15
Q

Vrai ou Faux. L’exposition prénatale à l’alcool n’augmente pas le risque de trouble relié à l’alcool.

A

Faux. Cela augmente le risque (prédispose à un mode de comportement déviant ou antisocial et développe une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool)

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16
Q

Quels sont les 3 modèles cognitivo-comportementaux avancés pour expliquer la vulnérabilité individuelle face à l’alcool ?

A
  1. Théorie de la réduction de la tension
  2. Théorie de l’amortissement de la réponse au stress
  3. Hypothèse de l’automédication
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17
Q

Dites à quel profil de Cloninger s’associent les éléments suivants :

a. Début tardif (après 25 ans)
b. Plus de problèmes judiciaires
c. Plus mauvais pronostic
d. Comorbidité avec personnalité antisociale
e. Facteurs psychosociaux à l’avant-plan
f. Forts antécédents familiaux d’alcoolisme
g. Anxiété comorbide
h. Dépression comorbide

A

a. Type 1
b. Type 2
c. Type 2
d. Type 2
e. Type 1
f. Type 2
g. Type 1
h. Type 1

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18
Q

Vrai ou Faux. Pour qu’il y ait développement d’un trouble de dépendance à l’alcool, il doit obligatoirement y avoir une influence environnementale.

A

Vrai

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19
Q

Vrai ou Faux. Les groupes ethniques comme les Français, les Italiens et les Portugais, qui font boire à leurs enfants de petites quantités d’alcool lors de réunions familiales et qui dévalorisent l’ivresse, tendent à avoir de plus faibles taux d’alcoolisme.

A

Vrai

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20
Q

Identifie 4 facteurs protecteurs au développement d’un trouble de dépendance à l’alcool.

A
  1. Encadrement parental supportant
  2. Accès limité à l’alcool
  3. Association à des pairs dont la consommation est faible
  4. Femmes (sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool et perception de sanctions sociales plus sévères)
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21
Q

Vrai ou Faux. Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme.

A

Vrai

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22
Q

Identifie 8 manifestations pouvant être associées au sevrage de l’alcool.

A
  1. Hyperactivité neurovégétative (ex : transpiration, tachycardie)
  2. Tremblements des mains
  3. Insomnie
  4. Nausées et vomissements
  5. Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives
  6. Agitation psychomotrice
  7. Anxiété
  8. Crises convulsives généralisées tonico-cloniques
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23
Q

Parmi les éléments suivants, lequel n’est pas une manifestation du sevrage alcoolique ?

a. Vomissements
b. Somnolence
c. Hallucinations visuelles
d. Crises tonico-cloniques

A

b. Somnolence (plutôt insomnie)

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24
Q

Parmi les éléments suivants, lequel n’est pas une manifestation du sevrage alcoolique ?

a. Bradycardie
b. Agitation psychomotrice
c. Anxiété
d. Tremblements des mains

A

a. Badycardie (plutôt tachycardie)

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25
Q

Parmi les éléments suivants, lequel n’est pas une manifestation du sevrage alcoolique ?

a. Nystagmus
b. Insomnie
c. Hallucinations visuelles
d. Anxiété

A

a. Nystagmus (signe d’intoxication à l’alcool)

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26
Q

Identifie 6 manifestations pouvant être associées à l’intoxication à l’alcool.

A
  1. Discours bredouillant
  2. Incoordination motrice
  3. Démarche ébrieuse
  4. Nystagmus
  5. Altération de l’attention ou de la mémoire
  6. Stupeur ou coma
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27
Q

L’incoordination motrice est une manifestation de :

a. Intoxication à l’alcool
b. Sevrage alcoolique

A

a. Intoxication à l’alcool

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28
Q

L’anxiété est une manifestation de :

a. Intoxication à l’alcool
b. Sevrage alcoolique

A

b. Sevrage alcoolique

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29
Q

L’altération de la mémoire est une manifestation de :

a. Intoxication à l’alcool
b. Sevrage alcoolique

A

a. Intoxication à l’alcool

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30
Q

Le tremblements des mains est une manifestation de :

a. Intoxication à l’alcool
b. Sevrage alcoolique

A

b. Sevrage alcoolique

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31
Q

Le nystagmus est une manifestation de :

a. Intoxication à l’alcool
b. Sevrage alcoolique

A

a. Intoxication à l’alcool

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32
Q

Quelle est la durée de traitement recommandée avec les benzodiazépines dans le traitement du sevrage alcoolique ?

A

Maximum 7 jours

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33
Q

Vrai ou Faux. L’halopéridol en monothérapie peut être une alternative aux benzodiazépines dans la prise en charge du délirium tremens.

A

Faux. L’halopéridol peut être utilisé, mais toujours en combinaison avec une benzodiazépione

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34
Q

Vrai ou Faux. La naltrexone est un agent utilisé dans la prise en charge du sevrage alcoolique.

A

Vrai

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35
Q

Quels sont les 2 principaux effets secondaires de l’acamprosate ?

A
  1. Diarrhée
  2. Prurit
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36
Q

QSJ : Traitement psychologique le plus connu et le plus recommandé dans la prise en charge des dépendance à l’alcool, même s’il n’est pas donné par des professionnels

A

Traitement en 12 étapes des Alcooliques Anonymes

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37
Q

Quel est le trouble neurocognitif particulièrement lié à une consommation prolongée d’alcool ?

a. Syndrome de Wernicke-Korsakoff
b. Aphasie de Wernicke
c. Délirium tremens
d. Maladie de Wilson

A

a. Syndrome de Wernicke-Korsakoff

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38
Q

Quels sont les 3 symptômes classiques de la phase aiguë du syndrome de Wernicke-Korsakoff ?

A
  1. Confusion
  2. Ophtalmoplégie
  3. Ataxie
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39
Q

Vrai ou Faux. Dans la phase tardive du syndrome de Wernicke-Korsakoff, qui survient chez 25% des patients non-traités, des lésions cérébrales mènent à des troubles mnésiques antérograde persistants avec éléments de confabulation.

A

Faux. 85%

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40
Q

Vrai ou Faux. Dans la phase tardive du syndrome de Wernicke-Korsakoff, qui survient chez 85% des patients non-traités, des lésions cérébrales mènent à des troubles mnésiques rétrograde persistants avec éléments de confabulation.

A

Faux. Troubles mnésiques antérogrades

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41
Q

Le syndrome de Wernicke-Korsakoff peut s’accompagner :

a. De faiblesse musculaire
b. De paresthésies
c. De faiblesse musculaire et de paresthésies
d. Ni de faiblesse musculaire, ni de paresthésie

A

c. De faiblesse musculaire et de paresthésies

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42
Q

Le syndrome de Wernicke-Korsakoff peut s’accompagner :

a. De tremblements
b. D’un nystagmus
c. De tremblements et d’un nystagmus
d. Ni de tremblement, ni de nystagmus

A

b. D’un nystagmus

43
Q

Quelle vitamine est déficiente dans le syndrome de Wernicke-Korsakoff ?

A

Vitamine B1 (thiamine)

44
Q

Le syndrome de Wernicke-Korsakoff peut s’accompagner :

a. De trouble de la mémoire antérograde
b. De douleurs proximales des membres inférieurs
c. De trouble de la mémoire antérograde et de douleurs proximales des membres inférieurs
d. Ni de trouble de la mémoire antérograde, ni de douleur proximale des membres inférieurs

A

a. De trouble de la mémoire antérograde

(plutôt des douleurs distales des membres inférieurs)

45
Q

Identifie 5 facteurs de mauvais pronostic dans les troubles d’usage de l’alcool.

A
  1. TP antisociale
  2. Présence d’une dépendance grave à d’autres substances
  3. Début précoce de la dépendance (avant 20 ans)
  4. Moindres ressources psychosociales, telles l’absence de logement stable, la désinsertion sociale ou l’isolement
  5. Présence d’un épisode dépressif majeur actif ou passé
46
Q

CLP : Le diagnostic de démence alcoolique ne peut être posé qu’après une période de ___________________________ (1) d’abstinence. De plus, l’usage d’alcool doit avoir été d’au minimum _______________________ (2) et pendant au moins _________________ (3) avant l’apparition des déficits cognitifs.

A
  1. 60 jours
  2. 5 ans
  3. 3 ans
47
Q

Vrai ou faux. Une démence alcoolique peut survenir même en présence d’une consommation légère d’alcool.

A

Faux. La consommation doit être importante (plus de 35 pour les hommes et plus de 21 pour les femmes)

48
Q

Quelle est la prévalence du syndrome d’alcoolisation foetale ?

A

1% des naissances

49
Q

Associe les substances suivants à la bonne classe :

a. Nicotine
b. Opioïdes
c. PCP
d. LSD
e. Cannabis
f. Amphétamine
g. Solvants volatiles

  1. Stimulants du SNC
  2. Dépresseurs du SNC
  3. Perturbateurs du SNC
A

a. Stimulants
b. Dépresseurs
c. Perturbateurs
d. Perturbateurs
e. Perturbateurs
f. Stimulants
g. Dépresseurs

50
Q

Quelle composante du cannabis est associée à son effet psychotrope ?

51
Q

Identifie 6 changements comportementaux ou psychologiques associés à une intoxication au cannabis.

A
  1. Altération de la coordination motrice
  2. Euphorie
  3. Anxiété
  4. Sensation de ralentissement du temps
  5. Altération du jugement
  6. Retrait social
52
Q

Identifie 4 signes et symptômes physiques associés à une intoxication au cannabis.

A
  1. Conjonctives injectées
  2. Augmentation de l’appétit
  3. Sécheresse de la bouche
  4. Tachycardie
53
Q

Quelle drogue est associée à de l’hyperacousie ?

A

Phencyclidine

54
Q

Identifie 8 signes et symptômes physiques associés à une intoxication au phencyclidine

A
  1. Nystagmus horizontal ou vertical
  2. Hypertension ou tachycardie
  3. Engourdissement ou diminution de la réponse à la douleur
  4. Ataxie
  5. Dysarthrie
  6. Rigidité musculaire
  7. Crises convulsives ou coma
  8. Hyperacousie
55
Q

Identifie 7 signes et symptômes physiques associés à une intoxication à un hallucinogène.

A
  1. Mydriase
  2. Tachycardie
  3. Transpiration
  4. Palpitations
  5. Vision trouble
  6. Tremblements
  7. Incoordination motrice
56
Q

Quel est le mécanisme d’action du GHB?

A

Structure similaire au GABA endogène

57
Q

Quel est le mécanisme d’action des hallucinogènes ?

A

Agoniste partiel des récepteurs sérotoninergiques post-synaptiques

58
Q

Quelle est la durée de détection urinaire du cannabis ?

A

Plus de 3 semaines si usage chronique, environ 10 jours si usage court terme

59
Q

Quelle est la durée de détection urinaire de la cocaïne ?

A

3 à 7 jours

60
Q

Quelle est la durée de détection urinaire des hallucinogènes ?

A

Non-mesurés dans l’urine

61
Q

Quelle est la durée de détection urinaire du GHB ?

A

Moins de 10 à 12 heures

62
Q

Quelle est la durée de détection urinaire des métamphétamines ?

A

1 à 3 jours

63
Q

Quelle est la durée de l’effet du GHB ?

A

2 à 4 heures

64
Q

Quelle est la durée de l’effet de la métamphétamine ?

65
Q

Quelle est la durée de l’effet du cannabis ?

A

2 à 4 heures (pic en 30 minutes)

66
Q

La cocaïne entraîne une :

a. Diminution de la libido
b. Augmentation de la libido

A

b. Augmentation de la libido

67
Q

Vrai ou Faux. Le MDMA possède des propriétés hallucinogènes.

68
Q

Quel est le mécanisme d’action du MDMA ?

A

Libération de sérotonine

69
Q

Parmi les drogues suivantes, laquelle peut se donner IV ?

a. PCP
b. GHB
c. Hallucinogènes
d. Métamphétamine

70
Q

Vrai ou Faux. Le GHB s’administre seulement par voie orale, tout comme les hallucinogènes.

71
Q

Vrai ou Faux. Le PCP peut provoquer des hallucinations, tout comme le crystal-meth et la kétamine.

A

Faux. Pas le crystal-meth

72
Q

Quelle est la durée d’action du crystal-meth ?

A

Jusqu’à 16 heures

73
Q

Vrai ou faux. Dans le trouble de l’usage de l’alcool, la prise d’alcool est généralement poursuivie, bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent spécifique d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.

74
Q

À partir de quel niveau d’alcoolémie voyons-nous apparaître les symptômes d’intoxication à l’alcool ?

A

À partir de 11 mol/L

75
Q

Quels sont les 2 symptômes les plus susceptibles de survenir en premier en présence d’une intoxication à l’alcool ?

a. Démarche ébrieuse et discours bredouillant
b. Nystagmus et démarche ébrieuse
c. Discours bredouillant et incoordination motrice
d. Nystagmus et altération de l’attention
e. Altération de l’attention et incoordination motrice

A

c. Discours bredouillant et incoordination motrice

76
Q

L’excrétion rénale s’associe à :

a. La Naltrexone
b. L’Acamprosate

A

b. L’Acamprosate

77
Q

Quelle est la principale utilité de la TCC dans la prise en charge des troubles d’usage de l’alcool ?

A

Permet de prévenir les rechutes (apprend au patient à identifier les situations à haut risque de rechute)

78
Q

La démence alcoolique est de nature :

a. Frontale et/ou sous-corticale
b. Pariétale et/ou sous-corticale
c. Occipitale et/ou sous-corticale
d. Temporale et/ou sous-corticale

A

a. Frontale et/ou sous-corticale

79
Q

La démence alcoolique s’accompagne d’une altération de la mémoire :

a. À court terme
b. À long terme

A

a. À court terme

80
Q

QSJ : Diagnostic qui ne peut être posé qu’après une période de 60 jours d’abstinence à l’alcool, suivant une prise minimale de 5 ans.

A

Démence alcoolique

81
Q

Vrai ou Faux. L’euphorie et l’anxiété sont des signes d’intoxication par le cannabis.

82
Q

Vrai ou Faux. Le retrait social est un signe d’intoxication au cannabis.

83
Q

Les patients en intoxication par le cannabis peuvent présenter l’ensemble des symptômes suivants, sauf un. Lequel ?

a. Altération du jugement
b. Hypervigilance
c. Euphorie
d. Altération de la coordination motrice
e. Sensation de ralentissement du temps

A

b. Hypervigilance

84
Q

Les patients en sevrage cannabis peuvent présenter l’ensemble des symptômes suivants, sauf un. Lequel ?

a. Insomnie
b. Anxiété
c. Irritabilité et agressivité
d. Hypothermie
e. Tremblements

A

d. Hypothermie (plutôt de la fièvre)

85
Q

Vrai ou Faux. Un patient en sevrage de cannabis peut présenter l’ensemble des symptômes suivants :

  • Tremblements
  • Fébrilité
  • Douleurs abdominales
  • Sueurs
  • Thymie dépressive
86
Q

Vrai ou Faux. Un patient en sevrage de cannabis peut présenter l’ensemble des symptômes suivants :

  • Somnolence
  • Céphalées
  • Nervosité
  • Agressivité
  • Diminution de l’appétit
A

Faux (pas somnolence, mais insomnie)

87
Q

Vrai ou Faux. L’anxiété peut accompagner tant l’intoxication que le sevrage du cannabis.

88
Q

Vrai ou Faux. Une intoxication à un stimulant n’entraîne généralement pas de confusion.

A

Faux. Peut engendrer une confusion.

89
Q

Un patient en sevrage de stimulant aura :

a. Une diminution de l’appétit
b. Une augmentation de l’appétit

A

b. Une augmentation de l’appétit

90
Q

Type K. Parmi les conditions suivantes, laquelle ou lesquelles peuvent se présenter par une augmentation de l’appétit ?

a. Intoxication par le cannabis
b. Intoxication par un stimulant
c. Sevrage de la nicotine
d. Sevrage d’un solvant volatil

  1. a et c sont vrais
  2. a, b et c sont vrais
  3. b et d sont vrais
  4. d est vrai
  5. Toutes les réponses sont vraies
A
  1. a et c sont vrais

SEVRAGE de stimulant : augmentation de l’appétit
SEVRAGE d’un solvant volatil : diminution de l’appétit

91
Q

Type K. Parmi les conditions suivantes, laquelle ou lesquelles peuvent se présenter par des hallucinations ?

a. Intoxication à l’alcool
b. Sevrage de cannabis
c. Intoxication à un stimulant
d. Sevrage d’un sédatif

  1. a et c sont vrais
  2. a, b et c sont vrais
  3. b et d sont vrais
  4. d est vrai
  5. Toutes les réponses sont vraies
A
  1. d est vrai

SEVRAGE d’alcool : hallucinations

92
Q

Type K. Parmi les conditions suivantes, laquelle ou lesquelles peuvent se présenter par une crise convulsive ?

a. Intoxication à le phencyclidine
b. Intoxication à un sédatif
c. Sevrage de l’alcool
d. Sevrage du cannabis

  1. a et c sont vrais
  2. a, b et c sont vrais
  3. b et d sont vrais
  4. d est vrai
  5. Toutes les réponses sont vraies
A
  1. a et c sont vrais

SEVRAGE de sédatif : crise convulsive

93
Q

Parmi les substances suivantes, laquelle n’est pas à risque d’hallucinations (tant en intoxication qu’en sevrage) ?

a. Alcool
b. LSD
c. MDMA
d. Cocaïne
e. Benzodiazépine

A

d. Cocaïne

94
Q

Vrai ou Faux. L’agressivité et l’agitation psychomotrice sont typiques de l’intoxication à la phencyclidine.

95
Q

L’intoxication à un solvant volatil se manifeste par :

a. Une hyporéflexie
b. Une hyperréflexie

A

a. Une hyporéflexie

96
Q

À quelle substance les signes d’intoxications suivants font-ils référence ?

Excitation, augmentation de la diurèse, tachycardie, troubles GI et agitation psychomotrice

97
Q

Quel neurotransmetteur/substance endogène est impliqué dans le craving ?

98
Q

Quels sont les 2 neurotransmetteurs/substances endogènes impliqués dans le binge ?

A
  1. Dopamine
  2. Peptides opioïdes
99
Q

Quels sont les 3 neurotransmetteurs/substances endogènes impliqués dans le sevrage ?

A
  1. Noradrénaline
  2. Corticotropine
  3. Dynéine
100
Q

Quelle est la durée normale d’un sevrage aux opioïdes ?

A

7 à 10 jours

101
Q

Le sevrage aux opioïdes se manifeste par :

a. Un myosis
b. Une mydriase

A

b. Une mydriase

102
Q

Vrai ou Faux. La présence de fièvre et de douleurs musculaires accompagnent souvent le sevrage aux opioïdes.

103
Q

Le sevrage aux opioïdes entraîne :

a. De la constipation
b. De la diarrhée

A

b. De la diarrhée

104
Q

Type K. Parmi les éléments suivants, lequel ou lesquels caractérisent la prise en charge du TUO ?

a. Intégrée
b. Interdisciplinaire
c. Centrée sur l’usager
d. Basée sur la réduction des méfaits

  1. a et c sont vrais
  2. a, b et c sont vrais
  3. b et d sont vrais
  4. d est vrai
  5. Toutes les réponses sont vraies
A
  1. Toutes les réponses sont vraies

MED1217 - Psychisme / Examen 2 (4 decks)

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