Thème 6 : Processus de groupe Flashcards
C’est quoi la définition du leadership ?
Processus par lequel un membre du groupe – le leader –
influence et coordonne les comportements des autres
membres de manière à atteindre les buts poursuivis par
le groupe.
Le leader a une bonne capacité de
communication. (il est charismatique)
Les membres du groupe le suivent
de manière volontaire.
Décrit le modèle de la facilitation social de Zajonc.
Parfois on observe de la facilitation sociale, et parfois non… Pourquoi ? Ce modèle répond à la question :
D’abord, ça nous prend la présence d’autrui (auditoire ou coaction).
Dès qu’on est en présence d’autrui, on a une activation accrue du corps (activité hormonal, respiration, c’est assez léger donc on s’en rend pas compte),
Ensuite, on a une réponse dominante qui nous vient. C’est le comportement le + spontané qui nous vient. Celui qu’on a le + appris parmi tous les comportent mémoriser. Le type de renforcement va donc entrainer soit une bonne ou une mauvaise réponse selon le comportement qui nous est venue.
Si c’est une bonne réponse, alors il y a une amélioration du rendement en présence des autres et donc, il y a facilitation sociale. Car la réponse dominante était la bonne réponse et donc facilitationsociale.
Si le renforcement de la réponse dominante mène à une mauvaise réponse, alors le mauvais comportement appris va se produire en présence des autres et donc détérioration du rendement et donc inhibition sociale.
La tâche va avoir un effet sur la bonne ou mauvaise réponse. Si elle est facile, cv favoriser encore + la bonne répons. C’est une variable qui amplifie la bonne ou mauvaise réponse.
Comme tout ke monde peut avoir une activation accrue, alors c’est un modèle universel.
Qu’en est-il de la facilitation sociale chez les insectes ?
Tache simple : Coquerelle est plus rapide en présence des autres. (Facilitation sociale)
Tache complexe : Coquerelle est moins rapide en présence des autres donc il y a inhibition sociale
Conclusion : Ces deux phénomènes sont universelles (même chez les insectes)
Quelles sont les deux explications alternative sur la facilitation sociale ?
1) Appréhension de l’évaluation :
Présence d’autrui provoque une peur du jugement qui provoque une activation accrue
Limite : Cette peur n’existe pas chez les animaux donc explication non universel, applicable que pour les humains)
2) Distraction cognitive :
La présence d’autrui crée une surcharge d’info. Notre attention est attiré par la présence d’autrui ET la tache qu’on a à faire donc notre cerveau est occupé à 2 choses. Cela provoque une activation accrue.
(notre niveau de compétence affecte notre perception de l’activation accrue, donc si on se pense bon, alors c une source de motivation à performer.
Limite : explication non universelle (que chez humains et certain humain pas insecte car n’Ont pas de cortex)
Conclusion : Le modèle est universel mais que pr les humains car ya deux explication qui s’ajoute. En plus de notre activation accrue du corps, on a peur d’être Évaluer et on reçoit une surcharge cognitif.
Quelle est la conclusion à la paresse sociale ?
Dans une tâche collective additive, plus le nombre de personnes augmente, plus le
rendement individuel diminue.
Condition essentielle : impossible de savoir si une personne fournit moins d’efforts.
explications :
Simple paresse (absence de motivation) (raison évolutive)
Diffusion de la responsabilité. (raison cognitive)
Exceptions :
Quand la contribution de chacun est identifiable.
Quand la tâche pose un défi.
Quand la tâche est attrayante.
C’est quoi le paragdigme unificateur ?
Pour les taches faciles :
1) si on l’a fait seule, on va être bon
2) Si on la ft en présence d’autrui, on va être meilleure (facilitation sociale)
3) Si on la ft collectivement, on est moins bon (paresse sociale)
Pour les taches difficiles :
1) Si on la ft seule on va être un peu nul (faible performance)
2) si on la ft en présence des autres, on va être vrm nulle (inhibition sociale)
3) Si on la fait collectivement on va être moins pire (sécurité sociale)
C’est quoi un remue-méninges ?
Technique de réflexion, de création et de recherche
collective fondée sur la mise en commun des idées et
des suggestions spontanées des membres d’un groupe
pour obtenir un nombre important d’idées.
Limite : Pas très efficace/perte de temps
explication :
1) Les membres ont tendance à discuter des infos commune au lieu de vrm chercher des solution originales
2) influence normative : (évite de présenter des info à l’encontre de la tendance générale pr éviter conflit et par peur du rejet
Avantage : aide les membre Dun grp a mieux se connaitre, resserrer les liens et s’amuser.
Alternatives : technique des grp nominauax (travail individuel préalable) / plus efficace dans les petit grp
Remue meninge par voie électronique (anonyme et simultanée) / plus efficace ds les grand groupes.
C’est quoi la polarisation de groupe ?
Renforcement des tendances initiales des membres du groupe suite à la discussion
entre des membres ayant des points de vue similaires.
Quelles sont les explications lié à la polarisation de groupe ?
Explications
Influence informative.
Influence normative. (motivation a se fr accepter)
Identification sociale. (motivation a ressembler aux autres)
C’est quoi la pensée de groupe ?
Problème de fonctionnement
d’un groupe qui survient quand
le besoin du maintien de la
cohésion surpasse le besoin
d’atteindre la meilleure décision.
c’est quoi les conditions de la pensée de groupe ?
La grande cohésion du groupe.
L’aspect critique de la situation.
La présence d’un leader puissant.
L’imperméabilité aux sources d’influence externes.
cohésion correspond à l’ensemble des liens qu’il y a dans la cohésion Dun groupe
Quelles sont les symptômes de la pensée de groupe ?
L’illusion d’invulnérabilité.
La rationalisation.
La croyance incontestée en la moralité du groupe.
La perception stéréotypée de l’adversaire.
La pression à la conformité.
L’autocensure des idées dissidentes.
Les censeurs officieux.
L’illusion d’unanimité.
Quelles sont les solutions à la pensée de groupe ?
Encourager les membres à exprimer leurs doutes.
Laisser les membres se prononcer avant le leader.
Diviser le groupe en sous-groupes.
Encourager chaque membre à discuter avec des aides
extérieures.
Avoir recours à des experts de l’extérieur.
Élire un « avocat du diable ».
Discuter des réactions potentielles de l’autre partie (s’il y a lieu).
Prévoir une dernière rencontre.