Thème 2 : Formation d'impression et attributions Flashcards

1
Q

Quelles sont les 4 grandes étapes d’une formation d’impression ?

A

1) Observation

2) Attribution

3) Intégration

4) Biais confirmatif

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2
Q

Pourquoi la première étape de la formation d’impression est cruciale ?

A

Car l’observation nous sert d’une base d’information qu’on mémorise.

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3
Q

Comment faire un jugement rapide ?

A

D’abord, on observe la personne (processus), et ensuite, on s’arrête au résultat du processus (apparence physique, comportement, contexte) pour nous faire une image globale d’une personne.

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4
Q

C’est quoi un jugement rapide ?

A

Quand on a des préjugé et croyance prétablis.

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5
Q

Est ce que pour se faire des impression, on passe toujours par toute les étapes ?

A

Quand on est motivé a connaitre qqn, on réfléchis plus. Aussi qd on a le temps et bcp d’info sur qqn. Tout cela augmente les chances qu’on utilise tout le processus au complet.

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6
Q

Décris moi le processus

A

Se pratiquer a décrire processus à la diapo 4

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7
Q

Pourquoi c’est si rapide de se faire une impression ?

A

La réponse est dans l’évolution. Depuis tjr, on a bsn de rapidement savoir qui représente pour nous un ami ou un ennemie. Est ce que je px te faire confiance ou je dois me méfier de toi? On a garder ça dans notre évolution, notre cerveau s’est développer en conséquence car son utilité de base concerne LA SURVIE.

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8
Q

Que nous dit l’étude de la corrélation entre les participants ayant un temps limité pour se former une impression vs ceux qui ont un temps sans limite ?

A

Les gens qui voit une personne pendant 1 fraction
de seconde et ceux avec un temps illimité vont sensiblement avoir la même impression…

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9
Q

Observation : Quel est l’influence de l’apparence physique ?

A

L’apparence physique d’une personne = premier et parfois le seul
indice pour se former une impression sur elle.

on a des idées préconçues par rapport à certaines caractéristiques physiques.

La beauté physique, particulièrement un beau
visage, amène une variété d’attentes positives
(ce qui est beau est bon).

Aussi, la beauté physique de l’autre influence
notre attitude envers cette personne.

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10
Q

Observation : Quel est l’influence des comportements non verbales ? Donne des exemple de comportement non verbales

A
  • Ils nous donnent des info pr former notre impression
  • Expression émotionnel
  • Regard ; Les yeux nous envoient des msg sur la qualité de l’interaction et de la relation
  • On a aussi des info à travers geste, mouvement et posture (qqn qui me ft une grimace, un fuck you, un salut…)
  • Info sur le comportement (voir qqn voler, fr du sport, manger de manière degueulasse…
  • Info à travers le toucher : High five vs frapper, se chamailler, affection ect si on touche des mains mouate…
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11
Q

Observation : Quels sont les 4 différent regard et que nous disent t-Il

A

Regard maintenu : perçu comme honnête, direct, amical, aimable ou intéressé.

Regard fuyant : perçu comme non amical, louche, évasif, indifférent ou timide.

Regard fixe et soutenu : peut être perçu comme colérique, hostile ou dominateur;
ou peut être perçu comme amoureux ou très intéressé.

Regard vers le bas : perçu comme triste, honteux ou soumis

Exemple culturel : Pays orientaux, enfant baissent les yeux envers figure d’autorité en guise de respect.

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11
Q

Observation : Combien de famille d’état émotionnelle les chercheur s’entendent t-il ? Quels sont t-il

A

six : Colère, peur, joie, tristesse, dégout et surprise.

Ces expressions émotionnelle que l’on peut observer nous donne des info pr se former une impression.

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12
Q

Observation : Quel est l’influence du contexte ?

A
  • Le contexte va nous aider à interpréter ce qui se passe, à comprendre qui est cette personne.
  • Parfois, le contexte nuit à la perception… Ah y’est dans le métro donc il a pas de whip donc c dead
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13
Q

Attribution : C’est quoi une attribution ?

A

Jugement (inférence) porté sur une personne, une situation, un événement. C’est l’intépretation personnelle de la réalité.

Quand on se pose des qst sur une personne/év et ces qst amène des réponses et ces réponses sont des jugement car ca se peut qu’on se trompe (inférence)

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14
Q

Attribution : Une attribution peut être faite …

A
  • Pour les autres : attribution de l’observateur (le jugement de l’observateur) ou hétéro-attribution
  • Pour soi-même : Attribution de l’acteur ou auto-attribution.
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15
Q

Attribution : Quelles sont les trois types d’attributions ?

A

Attribution causale : POURQUOI. pk tel personne a ft ça. quelles sont les causes…

But : déterminer les causes d’un comportement, d’un événement, d’un succès ou
d’un échec ou expliquer un manque de contrôle sur l’environnement.

Attributions dispositionnelles : Quel genre de personne que c’est? accident de voiture donc c un automobiliste imprudent et distrait…

But : déterminer les caractéristiques d’un individu à partir d’une action qu’il vient
d’accomplir.

Attributions de responsabilité : À quel point la personne est responsable de ce qui s’est produit ?

But : déterminer le niveau de responsabilité d’un individu par rapport à un acte
qu’il a commis ou à un événement qui s’est produit.

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16
Q

Attribution : Quelle sont les deux GRAND type de théorie

A

ONE : Théories de l’attribution (cmt ça se passe dans notre tête quand on fait une attribution, qd on réfléchi pour porter un jugement)

4 sous théorie :
- Théorie des inférences
correspondantes (Jones et Davis)

  • Théorie de la covariation (Kelley)
  • Approche pragmatique
  • Approche du traitement de l’information

TWO : Théories attributionnelles (Quelle conséquence ça peut avoir sur la personne qui a ft l’attribution )

2 sous théorie :
- Théorie de la motivation à
l’accomplissement (Weiner)

  • Théorie de la résignation acquise
    (Seligman)
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17
Q

Attribution : Les théories de l’attribution concerne quelles étapes ?

A

Antécédents(croyances, observation, motivation) et attribution (interprétation)

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18
Q

Attribution : Les théories attributionnelle concerne quelles étapes ?

A

L’attribution (interprétation) et les conséquences (Comportement, émotion et attentes)

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19
Q

Théorie de l’attribution : De manière général, quelle est cette théorie ?

A

Pour expliquer les comportements des autres ou comportements (incluant les résultats, événement..)
Deux possibilités :

1 ) La cause est la personne (ses dispositions, sa personnalité, ses intentions ect) —> Cause interne, disposionnelle, reliée à la personne

Attribution faire par un observateur « sa faute » vs faite par un acteur « ma faute »

2) La cause est la situation (contexte, circonstance, hasard). —-> cause externe, situationnelle, reliée au contexte.

Attribution faite par un observateur « pas sa faute, faute de …» vs acteur « pas ma faute, faute du buszzz

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20
Q

Théorie de l’attribution : Quelle sont les 3 conditions pour que se soit une théories des inférences correspondantes ?

A

Condition 1 : Faut se soit une attribution dispotionelle (qui est cette personne)

Condition 2 : On voit la personne une fois (donc on l’a connais pas)

Condition 3 : Attribution faite par un observateur

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21
Q

Théorie de l’attribution : Si la cause du comportement est externe, peut-on utiliser la théorie des inférences correspondantes ?

A

Non, le but de cette théorie est de comprendre qui est la personne, donc si la cause est externe, on px pas aller loin dans le schémas…

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21
Q

Théorie de l’attribution : Quelles sont les étapes à la théorie des inférences correspondantes ?

A

1) Étape d’observation : observe les effets qui provient de son action

2) Étape d’analyse : on va se poser des qst ( avait-elle le choix de fr ce compo? si obligé, on pourra pas aller plus loin car elle n’avait pas d’intention et donc on pourra jms savoir ses dispositions. on regarde si l’action commise provient d’un choix ou d’attente (norme social) (si elle suit une norme, alors elle avait pt pas d’attention)

3) Étape d’attribution : c’est le jugement qu’on fait. À partir de son intention, on infère ses dispositions…

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22
Q

Théorie de l’attribution : Quelles sont les 3 dimensions d’informations concernant la théorie de la covariation ?

A

Consensus : (est-t-il tout seul à agir comme ça (seul dans son délire), donc c un consensus faible) ou tt monde ft le mm compo (consensus élevée)
Le comportement de la personne observée est comparé au comportement des
autres personnes.

Distinction.
Le comportement que la personne observée adopte par rapport à l’entité est
comparé au comportement qu’elle adopte par rapport à d’autres entités.

Constance.
Le comportement de la personne observée à ce moment précis est comparé au
comportement qu’elle adopte à d’autres moments semblables (même entité).

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22
Q

Théorie de l’attribution : C’est quoi les effets distinctifs ?

A

Conséquence qui découle uniquement de l’action que la personne a choisi de faire en comparaison aux autres actions que la personne aurait pu faire. Nous donne des indices précis sur la personne. Plus y’a d’effet distinctif, plus c’est difficile de faire une attribution.

après le choix d’une action, kske cette action lui donne que les autres actions ne lui donnaient pas…

  • Nous aide à identifier l’intention, ça fait partie de l’analyse (2iem étape)
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23
Q

Théorie de l’attribution : Quelles sont les 3 conditions à la théorie de la covariation ?

A

Condition 1 : Condition causale, but n’est pas de connaitre mais on veut connaitre la cause

condition 2 : Ça nous prend plusieurs info

Condition 3 : S’applique aussitôt pr un observateur qu’un acteur

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24
Q

Théorie de l’attribution : Quelles sont les trois dimensions d’informations

A

1- Consensus : lorsqu’on compare le comportement de la personne observée au comportement des autres personnes. Est-ce qu’il est tt seul à agir cm ça?

2- Distinction : Le comportement que la personne observée par rapport à une entité est comparé au comportement qu’elle adopterai face à d’autre entité. On compare des entité différente. (Une partie de foot, un serveur…) Est ce que le comportement face a une partie de foot est le mm face à une partie de tennis ? est ce le client qui engueule ce serveur engueule aussi les autres serveurs (entité = serveur)

3- Constance : Le comportement de la personne observée à ce moment précis est comparé au comportement qu’elle adopte à d’autre moment semblable (même entité!!!!) Dans le temps mais tjr la même entité.

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24
Q

Théorie de l’attribution : C’est quoi un consensus faible et dans ce cas là, l’attribution est faite par rapport à quoi ?

A

C’est qd il est seul dans son délire. C’est le seul à faire ce qu’il fait vs un consensus élevée, c’est à dire que tt le monde a le mm comportement.

L’attribution est alors faite À LA PERSONNE.

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24
Q

Théorie de l’attribution : Si la distinction est élevée, l’attribution est faite par rapport à quoi.

A

À l’entité. Si la distinction est élevée, c’est à dire que la personne observée a un comportement particulier avec cette entité.

Si distinction est faible, le comportement de la personne ne change pas d’une entité à l’autre

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24
Q

Théorie de l’attribution : Si la constance est faible, l’attribution est faite par rapport à quoi ?

A

Aux circonstances. En effet, si la constance est faible, la personne a un comportement différent mtn avec cette entité.

Si la constance est élevée, la personne se comporte TJR de la mm façon face à la même entité.

Donc si c’est faible, ce n’est pas une attribution à l’entité mais aux circonstance. C’est les circonstances qui font que là mtn j’engueule le serveur… C’est pas à cause de l’entité…

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25
Q

Théorie de l’attribution : À plus d’un de ces facteurs

A

diapo 27, prendre note memch….

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25
Q

Théorie de l’attribution : Je dois avoir quoi pour faire une attribution

A

SOIT un consensus faible : direct à la personne

SOIT une distinction élevée : direct à l’entité

SOIT une constance faible : direct aux circonstances.

Donc si j’ai un consensus élevée, une distinction faible et une constance élevée, L’attribution est ambiguë.

MAIS, si j’ai consensus faible et distinction élevée et constance élevée, alors c’est une attribution à la personne ET à l’entité.

Je peux aussi avoir les 3 en même temps…

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26
Q

Théorie de l’attribution : Quelle est l’interprétation possible de l’exemple du serveur ?

A

Demandez à memch, moi jsp

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27
Q

Théorie de l’attribution : C’est quoi l’approche pragmatique ?

A

Cette approche stipule que, le plus souvent, nous raisonnons en utilisant des
raccourcis mentaux. Ceux-ci sont des stratégies cognitives qui nous permettent de
porter des jugements plus rapidement et avec moins d’efforts cognitifs.

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28
Q

Théorie de l’attribution : C’est quoi le risque en utilisant des raccourcis mentaux (approche pragmatique)

A

Celle-ci augmente le risque d’erreur

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29
Q

Théorie de l’attribution : C’est quoi l’approche du traitement de l’information ?

A

stipule que nos attributions sont affectées par notre façon de
mémoriser et de traiter les informations. Elle s’intéresse, entre autres, aux
processus de l’attention, l’acquisition, l’emmagasinage, la récupération, la
catégorisation, etc.

dmd à memch si elle a prit d’autre notes de +++

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30
Q

Théorie de l’attribution : Quel est un exemple de théorie dans l’approche pragmatique ?

A

La théorie de l’économie cognitive. Elle représente un raccourci.

Il y a un événement qui se passe, puis, on identifie la cause plausible direct après l’évènement ET C’EST JUSTE APRÈS qu’on cherche des indices confirmatif et/ou de présence d’un lien de cause à effet

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31
Q

Théorie de l’attribution : Donne moi un exemple de théorie de l’économie cognitive.

A

Je ss assise chez moi et j’entends un gros bruit. Je vois un accident et j’imagine direct une cause plausible. Cest à dire le conducteur na pas ft son arrêt. Ma cause vient de mes connaissance. ET ENSUITEm je recherche des info pour voir si j’ai raison. C plus court que la théorie de la covariation, je ne regarde pas touteeeee les information, j’émet direct une attribution AVANT TOUT.

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32
Q

Théorie attributionnelles : C’est quoi la théorie de la motivation à l’accomplissement

A
32
Q

Théorie attributionnelles :

A
32
Q

Théorie attributionnelles :

A
32
Q

Théorie attributionnelles : On s’intéresse à quoi dans ces théories ?

A

Aux conséquences… qu’est ce que ça fait sur qqn, ça affecte quoi exactement ?

32
Q

Théorie attributionnelles :

A
33
Q

Théorie attributionnelles : Comment on appelle aussi la résignation acquise ?

A

résignation apprise

impuissance
acquise ou apprise

incapacité acquise ou apprise

33
Q

Théorie attributionnelles : C’est quoi la théorie de la résignation acquise ?

A

C’est un état psychologique qui résulte de la vente fréquente d’événement désagréable perçus comme incontrôlable par la personne qui les vit. Mène à des états émotionnels, cognitifs et motivationneles déficitaires.

33
Q

Théorie attributionnelles : Quelles sont les conséquence observable de la résignation acquise ?

A
  • Auto-attributiion négative
  • Tristesse
  • Passivité
  • Apathie

-Inhibition ect

34
Q

Biais d’attribution : Est ce que ce biais mène toujours à l’erreur ?

A

!! Ne mène pas toujours à l’erreur mais augmente les risque d’erreur !

34
Q

Biais d’attribution : C’est quoi ?

A

C’est une tendance à émettre des attributions qui semblent rompre avec la logique ou avec les principes théoriques usuels.

On a un mauvais fonctionnement dans notre façon de faire une attribution.

34
Q

Biais d’attribution : Quelle sont les deux GRAND type de biais d’attribution ?

A

Lorsque l’attribution est faite par l’observateur (je juge qqn ms mon raisonnement est pas trop logique) :

  • Erreur d’attribution fondamentale.
  • Biais de responsabilité injustifiée.

Lorsque l’attribution est faite par l’acteur (je me juge moi même) :
- Biais de complaisance.
- Autohandicap.

34
Q

Biais d’attribution : Le biais de l’erreur d’attribution fondamentale peut-il tout de même se produire même si les causes externes sont évidentes ?

A

OUI !

35
Q

Biais d’attribution : Quelles sont les explications lié au biais d’attribution fondamentales ?

A
  • Effet de saillance (tendance à nous focaliser sur les éléments voyants, les aspects proéminents, les informations assez remarquables, impressionnantes, visuellement très attractives , tout en laissant un peu de côté le reste)
  • Jugement rapide
35
Q

Biais d’attribution : Donne un exemple d’erreur d’attribution fondamentale.

A

Une meuf dort au work. Les gens disent, ah quelle paresseuse… on exagère les disputions interne, on c pas si son enfant était malade tt la nuit par exemple…

35
Q

Biais d’attribution : De quoi dépend l’effet de saillance ?

A

Du contexte et du point de vue du percevant (diapo 42 à détaillé)

35
Q

Biais d’attribution : C’est quoi l’erreur d’attribution fondamentale ?

A

C’est une tendance à exagérer l’importance des facteurs dispositionnels (interne) et à sous-estimer l’influence des facteurs situationnels (externe) dans l’explication du comportement d’autrui.

35
Q

Biais d’attribution : Diapo 41

A

dmd a memch

35
Q

Biais d’attribution : Qu’est ce que l’effet de saillance ?

A

Ce qui est le plus remarquable a plus de chances d’être
utilisé pour faire l’attribution. C’est
l’effet de saillance.

Une info saillante est une info qui est marquante ! Elle attire et retient l’attention. Elle est plus facilement retenue et suscite + d’émotion.

35
Q

Biais d’attribution : C’est quoi le biais de responsabilité injustifié ?

A

On accuse la victime alors qu’elle n’est pas responsable. C’est une tendance à porter le blâme à la victime plutôt qu’à la cause réelle.

35
Q

Biais d’attribution : Étude de Taylor, dmd a memch

A

diapo 43

36
Q

Biais d’attribution : Quelles sont les 4 explications lié au biais de responsabilité injustifiée ?

A
  • Assurance quant à l’impossibilité
    que ça nous arrive
    .
  • Surcharge émotive qui nuit à la
    réflexion.
  • Croyance en un monde juste.
  • Biais rétrospectif.
  • Ça peut être une explication ou une combinaison d’explications. *
36
Q

Biais d’attribution : Quel biais d’attribution se produit davantage si les conséquences sont graves ?

A

Le biais de responsabilité injustifiée. Par exemple, qd on se fait agresser

37
Q

Biais d’attribution : explique davantage cet explication lié au biais de responsabilité injustice : Assurance quant à l’impossibilité
que ça nous arrive

A

Ça les rassure de mettre la faute sur la victime car ils se disent, ah trkl, moi j’ai juste pas à faire cm la victime et cv pas marriver. Ils penser contrôler la situation.
« jai qua pas sortir la nuit, pas à mettre de jupe courte puis cv ben aller, cv pas arriver »

« ouin bah si ta manger kkch de ps correct puis que ta mal a ventre cest que t’aurai du rester chez toi » La personne pense quelle naura pas de mal de ventre si elle ft que manger chez elle…

38
Q

Biais d’attribution : explique davantage cet explication lié au biais de responsabilité injustice : Surcharge émotive qui nuit à la
réflexion

A

Quand on vit des émotions fortes, une grande partie de nos capacités cérébrales est mise sur la gestion de nos émotions. le cerveau est très occupé donc moins d’énergie pour réfléchir.

Ex : on appris que qqn qu’on aime a eu un accident, donc on accuse la personne sous l’effet dune grosse émotion, ms on se calme après.

39
Q

Biais d’attribution : explique davantage cet explication lié au biais de responsabilité injustice : Croyance en un monde juste

A

Le monde est juste donc si tu t’es fait agressé c’est que ta commis un acte dans ta vie antérieur et la roue tourne quoi

40
Q

Biais d’attribution : explique davantage cet explication lié au biais de responsabilité injustice : Biais rétrospectif

A

On a une fausse impression qu’on connaissait déjà une information nouvelle. Ceci nous amène, entre autre, à surestimer le fait qu’un événement passé aurait pu être anticipé.

C’est comme une illusion du a fonctionnement de notre mémoire. On classe l’info nouvelle parmi les infos qu’on avait déjà en mémoire… Ça crée l’impression qu’on le savait déjà et qu’on aurai pu prédire la fin…

ex : Ah je le savais quelle allait avoir un accident, elle est imprudente.

Mais cest faux, on ne savait rien du tt, ce n’est qu’une fausse impression.

41
Q

Biais d’attribution : Quel est le biais de complaisance ?

A

Tendance à attribuer nos succès et bons
comportements à des facteurs dispositionnels
(internes) et nos échecs et mauvais comportements
à des facteurs situationnels (externes).

ex : merde mon réveil na pas sonner, mon verre m’a échapper des mains…

42
Q

Biais d’attribution : C’est quoi influence du biais égocentrique jumelé
à une perception positive de soi (liés à
la mémoire)

A

C’est la combinaison du biais égocentrique et la perception positive de soi :

biais égocentrique : on a plus de facilité à se rappeller kskon ns on a ft. on mémorise mieux les chose
quon a ft dans une activité collective pcq on px se revoir entrain de le refr

positive de soi : generalement, les échec et mauvais coup, on vx moins y penser, on a tendance à vouloir les répresser. on retient mieux les chose positive quon a ft

combinaison : qd on ft un bon compo, on se dit que c interne car on aune image posiitve de nous et on se rappelle mieux de nos action !

43
Q

Biais d’attribution : Quelle est l’explication de « Pour protéger notre estime de soi »

A

C’est super important pour notre adaptation

43
Q

Biais d’attribution : Quelles sont les explications par rapport au biais de complaisance ?

A
  • Pour protéger notre estime de soi.
  • Pour faire bonne impression aux autres.
  • Influence de nos attentes
  • Influence du biais égocentrique jumelé
    à une perception positive de soi (liés à
    la mémoire).
44
Q

Biais d’attribution : C’est quoi l’explication de l’influence du biais égocentrique ?

A

Amène un individu à exagérer dans ses souvenirs la part qu’il a prit dans des activités collectives. CE N’EST PAS UN BIAIS EN SOI !!!!!!!! C’est une explication au biais de complaisance !!!!!

44
Q

Biais d’attribution : Quelle est l’explication de « Influence de nos attentes » ?

A

Si je m’attend à réussir kkch, et que je réussis réellement, ça correspond à mes attentes donc je fais une attribution interne. Mais si j’échoue, ça correspond pas à mes attentes car he m’attendais à réussir, donc je fais une attribution externe. « c pas ma faute » mais c’est pas logique de penser comme ça c’est un mauvais jumelage cognitif.

45
Q

Biais d’attribution : C’est quoi l’étude de Bergquist ?

A

Chercheur pose des est sur des bon comportement pour l’envi dans différent pays…

Résultat : les participants se perçoivent comme étant plus
respectueux de l’envi que les autres. Ils ont des convictions exagérées
quant à leur propre contribution à l’atténuation des changements climatiques.

46
Q

Biais d’attribution : C’est quoi l’autohandicap ?

A

C’est la création toute prête en cas d’échec ou pour se valoriser davantage après un succès. L’excuse est tjr présente avant de faire notre performance, cette excuse aide à expliquer l’échec MAIS, sert aussi à se valoriser si on réussit.

47
Q

Biais d’attribution : Quelles sont les deux types d’autohandicap ?

A
  • Revendiqué : revendiquer la présence d’obstacle avant de s’engager dans une
    tâche.
  • Comportemental : mettre de l’avant des obstacles à sa propre réussite avant de
    participer à une tâche. (On se met un obstacle dans le but d’échouer)
48
Q

Biais d’attribution : Quelles sont les explications lié à l’autogandicap ?

A
  • Pour protéger notre estime de soi.
  • Pour faire bonne impression aux autres.
48
Q

Biais d’attribution : Quelle est la différence entre l’acteur et l’observateur ?

A

L’observateur a tendance à expliquer le comportement de l’autre par des raisons
dispositionnelles.

L’acteur a tendance à expliquer son propre comportement par des raisons
situationnelles.

49
Q

Intégration de l’information : C’est quoi l’approche gestaltiste ?

A

Selon cette théorie, les processus
de la perception et de la
représentation mentale traitent
spontanément les phénomènes
comme des ensembles structurés
et non comme une simple addition
ou juxtaposition d’éléments.

On analyse tout d’un coup, on décortique pas chacun des trait ou symbole, ok il a des grosse levres, cheveux brun et long.. OHHH CEST RAMY. Non on s’attarde ps sur les détails et on a un sens plus rapidement.

50
Q

Intégration de l’information : Quelle est le principal de base de l’approche gestaltique ?

A

Le tout est plus grand que
la somme de ses parties.

51
Q

Intégration de l’information : C’est quoi l’étude 1 de Asch (approche gestaltiste)

A
52
Q

Intégration de l’information : C’est quoi l’étude 2 de Asch (approche gestaltiste)

A

Deux groupes de participants doivent dire si qqn est heureux a partir dune liste de mot. L’ordre des mots influence… si on commence par qualité positive alors heureuse, si on commence par qualité négative alors pas heureuse.

53
Q

Intégration de l’information : Quelle sont les conclusion générales de l’étude de Asch ?

A

1 - Il y a une interaction entre les traits observés (Les choses qu’on connait d’une personne influence notre façon d’interpréter les autres caractéristiques)

2 - Certaines caractéristiques ont un plus grand impact que d’autre dans le processus de formation d’impression. (EFFET DE CENTRALITÉ)

3 - L’ordre de la présentation globale des caractéristiques influence notre perception globale (EFFET DE PRIMAUTÉ)

54
Q

Intégration de l’information : Quelle est la définition de l’effet de centralité ?

A

Certaine info sont + importantes que d’autre quand on se une image de qqn.

Les informations auxquelles nous
accordons plus d’importance
influencent davantage le sens donné
aux autres informations reçues

55
Q

Intégration de l’information : Quelle est l’effet de primauté ?

A

Les premières informations reçues
sont mieux retenues et elles
influencent le sens donné aux
informations obtenues par la suite

56
Q

Intégration de l’information : C’est quoi l’approche associationniste ?

A

Une caractéristique est évalué selon la présence et l’importance. Ensuite, les résultats
de ces évaluations individuelles
sont additionnés et, enfin, le
résultat de cette addition est
divisé par le nombre de
caractéristiques (calcul de la
moyenne)

56
Q

Intégration de l’information : diapo 55

A

memch pls

57
Q

Intégration de l’information : C’est quoi la présence selon l’approche Associationniste ?

A

C’est à quel point la personne soulève la caractéristique. C’est objectif, es tu bon ou pas.

58
Q

Intégration de l’information : Quelles sont les 4 facteurs qui influence le poids accordé à chacun des traits ?

A

 La source de l’information (D’oû vient l’info, si on a confiance en notre source, on va accorder + de poids l’info)

 La valence de l’information (Les gens accordent + de poids aux infos qui sont négatives car ça attire notre attention, on vx pas avoir à vivre ça)

 La normalité de l’information

 La séquence des informations recueillies (on porte + d’influence aux première info)

59
Q

Intégration de l’information : C’est quoi l’importance selon l’approche Associationniste ?

A

Pour moi, est ce que cette caractéristique est importante. C’est subjectif et propre è chacun (quel poids j’accorde à cette qualité là). Varie selon le contexte (si team work alors ivx tu sois smart ms si c pr un party jmf un peu jvx tu sois coooooool)

60
Q

Intégration de l’information : C’est quoi l’approche cognitive ?

A

C’est comment notre mémoire organise l’information. dmd à memch + de détail

61
Q

Exactitude des impressions : Dans quel cas y’a t-il de + de chance que l’on soit exact dans notre jugement d’une personne ?

A

Lorsque j’évalue qqn en lien avec un contexte précis. Tel personne là je la perçois comme ça dans ce contexte là.

62
Q

Exactitude des impressions : Qu’est-ce qui exige un effort cognitif plus grand dans l’ajout de nouvelle information ?

A

Si les nouvelles informations concordent pas avec l’impression initiale, le percevant éprouve de la difficulté à adapter son impression car, justement, ça exige un plus grand effort cognitif.

résultat ? impression initiale a tendance à rester intacte

63
Q

Vrai ou faux. L’impression initiale change de A à Z après de nouvelle informations sur la personne.

A

Faux. même si l’impression initiale change, ce
n’est généralement qu’en partie ou de manière graduelle

64
Q

Biais confirmatif : Quel est le biais de la confirmation d’hypothèse?

A

Façon de garder sa croyance intacte. Je tient compte QUE des info qui confirme ce que je pense. Je porte attention UNIQUEMENT aux info qui confirmes mes croyances.

Tendance à chercher, interpréter et créer les
informations qui supportent les croyances existantes.

64
Q

Biais confirmatif : Quel est le biais de la persistance des croyances ?

A

On s’intéresse à toute les infos, celle qu’on est d’accord ET pas d’accord.
Je tiens compte de l’info contradictoire mais on la réinterperete.

Ex : OK c vrai mm si elle porte des lunettes elle a coulé. ms c pa sa faute la y est passé kkch ds sa vie…

Tendance à discréditer les informations qui contredisent
les croyances existantes et à réinterpréter les faits de
manière à confirmer ces croyances

64
Q

Biais confirmatif : Quel est le biais de la prophétie qui s’autoréalise ?

A

Processus par lequel les croyances d’un percevant par rapport à une autre
personne l’amènent à adopter certains comportements qui, eux, amènent l’autre
personne à se comporter de façon à confirmer les croyances initiales du percevant.

Ex : elle a Lair méchante jv vrm me méfier d’elle (comportement méfiant). L’autre personne qui a rien ft et tri qqn qui se méfie d’elle de no where va être méchante. Cava vrm confirmer à la personne de base qu’elle est méchante…

65
Q

Lire les 3 dernière diapo du thème 2 dans le bus pcq chu tannée et ivx passé à autre chose

A

ok ;)

66
Q

C’est quoi la désirbailité sociale ?

A

la tendance des individus à présenter eux-mêmes, leurs opinions ou leurs comportements de manière à être perçus favorablement par les autre. Ind, tendant à donner des réponses à donner des réponses socialement désirable.