Systeme nerveux Flashcards

1
Q

Role du systeme nerveux

A

système de regulation et communication - impliqué dans l’homéostasie
émotions, actions, pensées
Fonctionnement complexe
Information - influx nerveux et signal électrique
Rapide ( pas comme les système endocrinien) et spécifique
Cellules nerveuses -> neurones

1.Régulation et communication pour maintenir l’homéostasie.
2. Gestion des activités comme les émotions, les actions et les pensées.
3. Transmission d’information sous forme d’influx nerveux, un signal électrique.
4. Fonctionnement rapide et spécifique, différent du système endocrinien.
5. Utilisation des neurones, les cellules nerveuses, comme unité de base.

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Q

Flux d’informations dans le système nerveux

A
  1. Influx sensitif (flèche bleue) :
    Les organes sensoriels captent une information (par exemple, la vue d’un verre d’eau).
    Cette information est transmise au cerveau (système nerveux central) via les voies afférentes.
  2. Intégration (cerveau) :
    Le cerveau analyse et interprète l’information reçue.
    Il décide de la réponse appropriée (par exemple, saisir le verre).
  3. Influx moteur (flèche rouge) :
    La réponse est transmise par les voies efférentes vers les muscles.
    Cela déclenche une réponse motrice (par exemple, la main qui prend le verre).
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3
Q

Classification fonctionnelle du système nerveux :

A

Le système nerveux est divisé en :
1. Système nerveux central (SNC) :
Comprend l’encéphale (cerveau) et la moelle épinière.
Responsable de l’intégration de l’information.
2. Système nerveux périphérique (SNP) :
Constitué des nerfs crâniens et nerfs spinaux.
Assure la transmission des informations entre le SNC et le reste du corps.

Le SNP est subdivisé en :
1. Voies sensitives (afférentes) :
Transmettent les informations des organes des sens vers le SNC (exemple : perception d’une sensation).
2. Voies motrices (efférentes) :
Transmettent les réponses du SNC vers les muscles et organes effecteurs.

Comprennent :
1. Système nerveux autonome (involontaire) : contrôle des organes internes (cœur, glandes, viscères).
Sous-divisé en SN parasympathique (repos et digestion) et SN sympathique (réponse au stress).

  1. Système nerveux somatique (volontaire) : contrôle des muscles squelettiques.
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4
Q

SN comporte 2 types de cellules

A
  1. Neurones
    1. Cellules gliales:
      - les celulles interstitielles: microglie , astrocytes ,
      - cellules ependymaires pour SNC : Cellules de schwan et satelittes dans le SNP
  2. Les neurones
    Les neurones sont les cellules nerveuses responsables de la transmission des signaux dans le système nerveux. Ils sont spécialisés pour recevoir, traiter et transmettre des informations. Voici les principales caractéristiques des neurones :
    Structure : Un neurone typique se compose de trois parties principales :
    Corps cellulaire : Contient le noyau et la plupart des organites.
    Dendrites : Prolongements qui reçoivent les signaux d’autres neurones.
    Axone : Prolongement qui transmet les signaux à d’autres neurones ou à des muscles.
    Fonction : Les neurones communiquent entre eux par des impulsions électriques (potentiels d’action) et des neurotransmetteurs, qui sont des substances chimiques libérées au niveau des synapses (les jonctions entre neurones).
  3. Les cellules gliales
    Les cellules gliales, également appelées cellules de soutien, jouent un rôle essentiel dans le fonctionnement du système nerveux. Elles soutiennent, protègent et nourrissent les neurones. Voici les différents types de cellules gliales :

Cellules interstitielles dans le système nerveux central (SNC) :
Microglie : Ce sont des cellules immunitaires du SNC qui protègent le cerveau et la moelle épinière en éliminant les déchets et en combattant les infections.
Astrocytes : Ces cellules ont plusieurs fonctions, notamment le soutien structurel des neurones, la régulation de l’environnement ionique et la formation de la barrière hémato-encéphalique, qui protège le cerveau des substances nocives.
Oligodendrocytes : Ils sont responsables de la myélinisation des axones dans le SNC, ce qui augmente la vitesse de conduction des signaux nerveux.
Cellules dans le système nerveux périphérique (SNP) :
Cellules de Schwann : Elles myélinisent les axones dans le SNP, jouant un rôle similaire à celui des oligodendrocytes dans le SNC. Elles aident également à la régénération des nerfs après une lésion.
Cellules satellites : Ces cellules entourent les corps cellulaires des neurones dans les ganglions du SNP et fournissent un soutien et une protection.

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5
Q

role des cellules épendymaires

A

Les cellules épendymaires tapissent les ventricules du cerveau et le canal central de la moelle épinière. Elles forment une couche qui sépare le liquide céphalorachidien (LCR) du tissu nerveux environnant.

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6
Q

Structure des neurones :

A

Bouton synaptique- liberation des neurotrasmitteurs
Axon - etouré par la gaine de myeline
Espaceentre les celules de shrawn - noeud de ranvier permet d’augmenter la vitesse de trasmission de l’info
- la gaine de myeline est prod par l’enroulemment du cytoplasme des celulles de shrawn

  1. Bouton synaptique
    Le bouton synaptique est la terminaison de l’axone d’un neurone. Il joue un rôle crucial dans la communication entre neurones. Voici comment cela fonctionne :

Libération des neurotransmetteurs : Lorsque l’influx nerveux atteint le bouton synaptique, il provoque l’ouverture de canaux calciques, permettant au calcium d’entrer dans la cellule. Cela déclenche la fusion des vésicules contenant des neurotransmetteurs avec la membrane du bouton synaptique, libérant ainsi ces substances chimiques dans l’espace synaptique (la synapse).
Transmission du signal : Les neurotransmetteurs se lient aux récepteurs sur la membrane du neurone suivant, ce qui peut déclencher un nouveau potentiel d’action dans ce neurone.
2. Axone
L’axone est un prolongement long et fin qui conduit les signaux électriques (potentiels d’action) loin du corps cellulaire vers d’autres neurones, muscles ou glandes. Voici quelques points clés :

Entouré par la gaine de myéline : La plupart des axones sont entourés d’une gaine de myéline, qui est une couche isolante formée par les cellules de Schwann dans le système nerveux périphérique (SNP) ou par les oligodendrocytes dans le système nerveux central (SNC). Cette gaine augmente la vitesse de conduction des signaux nerveux.
3. Nœud de Ranvier
Les nœuds de Ranvier sont des interruptions dans la gaine de myéline le long de l’axone. Ils jouent un rôle crucial dans la conduction des signaux :

Augmentation de la vitesse de transmission : Les nœuds de Ranvier permettent une conduction saltatoire, où le potentiel d’action “saute” d’un nœud à l’autre. Cela rend la transmission des signaux beaucoup plus rapide par rapport à une conduction continue le long d’un axone non myélinisé.
4. Gaine de myéline
La gaine de myéline est formée par l’enroulement du cytoplasme des cellules de Schwann (dans le SNP) ou des oligodendrocytes (dans le SNC) autour de l’axone. Voici quelques points importants :

Fonction isolante : La myéline isole l’axone, réduisant la perte de courant électrique et augmentant l’efficacité de la transmission des signaux.
Protection : Elle protège également l’axone des dommages physiques.

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7
Q

transmission de influx nerveux par les neurones

A

Fonctions:
-neurones sont excitables - on peut changer la polarisation de la membrane
1. PDt la depolarisation de la membrane en repos il y a un gradient de de concentration electrocytes que est cree dans la membrane que cause une difference de charge
2. Arrivée du potential d’action - atravers de la pompe de NA/K+
3. Propagation de PA - les ions NA+ sont +++ à l’interieur et va se deplacer que va depolariser les reste de la cellules et va permettre la membrane de retourner au repos (polarisation)
Pour polariser la membrane il faut passer un seuil (conc des electrolytes) une fois que le seuil est depassé il y a la depolarisation sorti des K+
Repolarisation - sorti de Na+ (propagation) et faire rentrer du K+
Hyperpolarisation- due à l’ouverture prolongé des canaux - cause entrée de k+
La pemeabilité de K+ est > Na+ et donc sortira plus facilement que le Na+ que restera à l’interieur de la cellule

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8
Q

detail : transmission de influx nerveux par les neurones

A

Excitabilité des neurones
Les neurones sont des cellules excitables, ce qui signifie qu’ils peuvent générer des signaux électriques en réponse à des stimuli. Cette excitabilité est liée à la capacité de changer la polarisation de la membrane cellulaire.

  1. Polarisation de la membrane
    État de repos : Au repos, la membrane neuronale est polarisée, avec une différence de charge entre l’intérieur et l’extérieur de la cellule. Cela est dû à un gradient de concentration d’électrolytes, principalement des ions sodium (Na⁺) et potassium (K⁺).
    Gradient électrochimique : Les concentrations de Na⁺ sont plus élevées à l’extérieur de la cellule, tandis que les concentrations de K⁺ sont plus élevées à l’intérieur. Ce gradient crée une différence de potentiel électrique à travers la membrane.
  2. Dépolarisation de la membrane
    Arrivée du potentiel d’action : Lorsqu’un stimulus atteint un neurone, il peut provoquer une dépolarisation de la membrane. Cela se produit grâce à l’ouverture des canaux ioniques, permettant aux ions Na⁺ d’entrer dans la cellule.
    Pompe Na⁺/K⁺ : La pompe sodium-potassium (Na⁺/K⁺) joue un rôle crucial dans le maintien des gradients ioniques. Elle expulse les ions Na⁺ de la cellule et fait entrer des ions K⁺, mais ce processus est lent par rapport à la rapidité de la dépolarisation.
  3. Propagation du potentiel d’action
    Dépolarisation : Lorsque le potentiel d’action est déclenché, les ions Na⁺ entrent rapidement dans la cellule, provoquant une dépolarisation qui se propage le long de l’axone. Cela dépolarise les régions adjacentes de la membrane, permettant au signal de se propager.
    Retour à l’état de repos : Après la dépolarisation, la membrane doit revenir à son état de repos (polarisation). Cela se produit par la sortie des ions K⁺ de la cellule, ce qui aide à rétablir le potentiel de membrane.
  4. Repolarisation et hyperpolarisation
    Repolarisation : Après la dépolarisation, les canaux K⁺ s’ouvrent, permettant aux ions K⁺ de sortir de la cellule. Cela contribue à ramener le potentiel de membrane à un niveau négatif.
    Hyperpolarisation : Parfois, la sortie prolongée de K⁺ peut entraîner une hyperpolarisation, où le potentiel de membrane devient plus négatif que l’état de repos. Cela est dû à l’ouverture prolongée des canaux K⁺, rendant la membrane moins perméable aux ions Na⁺.
  5. Perméabilité ionique
    Perméabilité de K⁺ vs Na⁺ : La perméabilité de la membrane aux ions K⁺ est généralement plus élevée que celle aux ions Na⁺. Cela signifie que les ions K⁺ sortent plus facilement de la cellule, ce qui contribue à la repolarisation et à l’hyperpolarisation.
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9
Q

Les synapses: Conduction d’une cellule à l’autre / see ninja nerd

A

A la fin des axons on va passer par des neurotransmetteurs que permet le passge de l’information
- les mitochondries dans l’espace synapse permet de avoir l’energie pour realiser une exocytose que sont calcio dependantes
Cette exocytose cause l’ouvertures des canaux calciques que va permettre l’exocytose de la vesicule que contien les neurotransmetteurs
dans l’autre neurone dans la surface à des recepteurs que recapture les neurotransmetteurs et trasmet l’information

Synapses presentes au niveau de :
- dendrites

Au niveau d’un neuronnes on peut avoir plusieurs synapses sur le meme neurones que peuvent etre condradictoire
Il peut recevoir l’information sous forme de :
PPSE:potentiel postsynaptique excitateur (PPSE)
PPSI: potentiel postsynaptique inhibiteur (PPSI)
La somme de PPSE et PPSI determine le potentiel d’action que va permettre ou non de depasser le seuil et de depolariser la membrane

Neurotransmiteur - plus courant acetylcholine
Cause une chaine de reactions que donne une reaction au niveau cellulaire

  1. Conduction d’une cellule à l’autre
    À la fin des axones, les neurones communiquent entre eux par le biais de neurotransmetteurs. Ces substances chimiques permettent le passage de l’information d’un neurone à un autre.
  2. Rôle des mitochondries
    Les mitochondries présentes dans l’espace synaptique fournissent l’énergie nécessaire pour réaliser l’exocytose des vésicules contenant des neurotransmetteurs. Cette exocytose est dépendante du calcium, ce qui signifie qu’elle nécessite une augmentation de la concentration de calcium dans la cellule.
  3. Mécanisme d’exocytose
    Ouverture des canaux calciques : Lorsque le potentiel d’action atteint le bouton synaptique, il provoque l’ouverture des canaux calciques voltage-dépendants. Cela permet aux ions calcium (Ca²⁺) d’entrer dans le neurone.
    Libération des neurotransmetteurs : L’augmentation de la concentration de calcium déclenche l’exocytose des vésicules synaptiques, qui contiennent des neurotransmetteurs. Ces neurotransmetteurs sont libérés dans l’espace synaptique.
  4. Transmission de l’information
    Récepteurs postsynaptiques : Les neurotransmetteurs libérés se lient aux récepteurs situés sur la membrane du neurone postsynaptique. Cette liaison déclenche une réponse dans le neurone récepteur.
    Recapture des neurotransmetteurs : Après leur action, les neurotransmetteurs peuvent être recapturés par le neurone présynaptique ou dégradés par des enzymes, ce qui met fin à leur effet.
  5. Localisation des synapses
    Les synapses peuvent se former à différents endroits, notamment :

Au niveau des dendrites : Les dendrites d’un neurone peuvent recevoir des signaux de plusieurs autres neurones, ce qui permet une intégration de l’information.
6. Intégration des signaux
Un neurone peut recevoir plusieurs synapses, qui peuvent être contradictoires. Cela signifie qu’il peut recevoir des signaux excitants et inhibiteurs en même temps :

PPSE (potentiel postsynaptique excitateur) : Un signal qui dépolarise la membrane du neurone postsynaptique, augmentant la probabilité de déclencher un potentiel d’action.

PPSI (potentiel postsynaptique inhibiteur) : Un signal qui hyperpolarise la membrane, diminuant la probabilité de déclencher un potentiel d’action.

  1. Somme des signaux
    La somme des PPSE et PPSI détermine si le neurone atteindra le seuil nécessaire pour déclencher un potentiel d’action. Si la dépolarisation est suffisante, le neurone générera un potentiel d’action et transmettra l’information.
  2. Neurotransmetteur courant
    L’acétylcholine est l’un des neurotransmetteurs les plus courants. Elle joue un rôle clé dans la transmission synaptique et déclenche une chaîne de réactions qui aboutissent à une réponse cellulaire.
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10
Q

role des PPSI et PPSE

A

Potentiel postsynaptique excitateur (PPSE)
Définition : Le PPSE est une dépolarisation temporaire de la membrane du neurone postsynaptique, qui augmente la probabilité de déclencher un potentiel d’action.
Mécanisme :
Lorsqu’un neurotransmetteur excitateur (comme l’acétylcholine ou le glutamate) se lie à ses récepteurs sur la membrane du neurone postsynaptique, cela entraîne l’ouverture de canaux ioniques spécifiques, généralement des canaux sodium (Na⁺).
L’entrée des ions Na⁺ dans la cellule provoque une dépolarisation de la membrane, rendant l’intérieur de la cellule plus positif.
Effet : Si la dépolarisation est suffisante pour atteindre le seuil d’excitation, un potentiel d’action sera généré, permettant la transmission de l’information au neurone suivant.
2. Potentiel postsynaptique inhibiteur (PPSI)
Définition : Le PPSI est une hyperpolarisation temporaire de la membrane du neurone postsynaptique, qui diminue la probabilité de déclencher un potentiel d’action.
Mécanisme :
Lorsqu’un neurotransmetteur inhibiteur (comme le GABA ou la glycine) se lie à ses récepteurs, cela entraîne l’ouverture de canaux ioniques, généralement des canaux chlorure (Cl⁻) ou des canaux potassium (K⁺).
L’entrée des ions Cl⁻ ou la sortie des ions K⁺ rend l’intérieur de la cellule plus négatif, provoquant une hyperpolarisation de la membrane.
Effet : Cette hyperpolarisation rend plus difficile l’atteinte du seuil d’excitation, réduisant ainsi la probabilité de génération d’un potentiel d’action.
3. Intégration des signaux
Somme des PPSE et PPSI : Les neurones reçoivent souvent des signaux de plusieurs synapses en même temps, ce qui peut inclure à la fois des PPSE et des PPSI. La somme de ces potentiels déterminera si le neurone atteindra le seuil d’excitation pour générer un potentiel d’action.
Sommation temporelle : Si plusieurs PPSE se produisent rapidement, ils peuvent s’additionner pour atteindre le seuil.
Sommation spatiale : Si plusieurs synapses excitatrices et inhibitrices sont activées simultanément, leur effet combiné déterminera la réponse du neurone.

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11
Q

Organisation du systeme nerveux annexe!! pg 15

A

Système nerveux central (SNC)
Le SNC est la partie du système nerveux qui est protégée par des structures osseuses et qui contient le liquide céphalorachidien (LCR), qui joue un rôle de protection et de soutien.

Liquide céphalorachidien (LCR) : Ce liquide remplit les espaces autour du cerveau et de la moelle épinière, offrant une protection contre les chocs et aidant à maintenir un environnement stable pour les neurones.
Protection :
Cerveau : Protégé par le crâne, il est le centre de contrôle des fonctions cognitives, sensorielles et motrices.
Moelle épinière : Protégée par la colonne vertébrale, elle transmet les signaux entre le cerveau et le reste du corps.
a) Substance blanche et substance grise
Substance blanche : Composée principalement d’axones myélinisés, elle est responsable de la transmission des signaux nerveux entre différentes régions du SNC.
Substance grise : Composée des corps cellulaires des neurones, elle est impliquée dans le traitement de l’information.
b) Composants du SNC
Cerveau : Comprend plusieurs structures, telles que le cortex cérébral, le bulbe rachidien et le cervelet, qui sont responsables de diverses fonctions.
Bulbe rachidien : Contrôle des fonctions vitales comme la respiration et le rythme cardiaque.
Cervelet : Impliqué dans la coordination des mouvements et l’équilibre.
2. Système nerveux périphérique (SNP)
Le SNP est constitué de nerfs qui relient le SNC au reste du corps. Il se divise en deux types principaux :

a) Système nerveux somatique
Fonction : Contrôle des mouvements volontaires et des réflexes. Il est responsable de l’innervation des muscles squelettiques.
b) Système nerveux autonome
Fonction : Régule les fonctions involontaires du corps, comme la digestion, la respiration et la fréquence cardiaque. Il se divise en trois systèmes :
Système entérique : Impliqué dans le tube digestif, il contient deux plexus :
Plexus de Meissner (sous-muqueux) : Régule les sécrétions et le flux sanguin dans la muqueuse intestinale.
Plexus d’Auerbach (myentérique) : Contrôle la motilité intestinale, y compris le péristaltisme.
Système sympathique : Prépare le corps à réagir rapidement en cas de stress (réaction de “combat ou fuite”). Il augmente le rythme cardiaque et détourne le sang vers les muscles et les organes vitaux.
Système parasympathique : Favorise les fonctions de repos et de digestion, réduisant le rythme cardiaque et stimulant les activités digestives.
3. Types de regroupements neuronaux
Corps cellulaires :
SNP : Regroupés en ganglions.
SNC : Regroupés en noyaux.
Axones (neurofibres) :
SNP : Formant des nerfs.
SNC : Regroupés en faisceaux et tractus.
Conclusion

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12
Q

Regroupement neuronaux

A

Les regroupements neuronaux sont essentiels pour l’organisation et le fonctionnement du système nerveux. Voici une explication générale des types de regroupements neuronaux, en se concentrant sur les corps cellulaires et les axones (neurofibres) dans le système nerveux périphérique (SNP) et le système nerveux central (SNC).

  1. Corps cellulaires
    Les corps cellulaires des neurones contiennent le noyau et la plupart des organites. Ils sont regroupés différemment dans le SNP et le SNC :

Système nerveux périphérique (SNP) :
Ganglions : Les corps cellulaires des neurones dans le SNP sont regroupés en structures appelées ganglions. Ces ganglions sont des masses de neurones situées en dehors du SNC. Par exemple, les ganglions des nerfs spinaux contiennent les corps cellulaires des neurones sensoriels qui transmettent des informations des récepteurs sensoriels vers la moelle épinière.
Système nerveux central (SNC) :
Noyaux : Dans le SNC, les corps cellulaires des neurones sont regroupés en noyaux. Un noyau est une collection de corps cellulaires situés à l’intérieur du SNC, souvent associés à des fonctions spécifiques. Par exemple, le noyau caudé et le putamen dans le cerveau sont impliqués dans le contrôle des mouvements.
2. Axones (neurofibres)
Les axones, ou neurofibres, sont les prolongements des neurones qui transmettent les signaux nerveux. Leur organisation diffère également entre le SNP et le SNC :

Système nerveux périphérique (SNP) :
Nerfs : Dans le SNP, les axones sont regroupés pour former des nerfs. Un nerf est un faisceau d’axones qui transmet des signaux entre le SNC et les différentes parties du corps. Les nerfs peuvent être sensoriels (transmettant des informations des récepteurs vers le SNC) ou moteurs (transmettant des signaux du SNC vers les muscles).
Système nerveux central (SNC) :
Faisceaux et tractus : Dans le SNC, les axones sont regroupés en faisceaux et en tractus. Un faisceau est un ensemble d’axones qui partagent une origine et une destination communes. Par exemple, le faisceau corticospinal est un tractus qui transporte des signaux moteurs du cortex cérébral vers la moelle épinière.

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13
Q

Types de conduction d’information

A

Amas de neurones sensitifs
Ganglions : Les corps cellulaires des neurones sensitifs se regroupent dans des structures appelées ganglions. Ces ganglions sont situés en dehors du système nerveux central (SNC) et contiennent les corps cellulaires des neurones qui transmettent des informations sensorielles des récepteurs (comme ceux de la peau, des muscles, et des organes) vers le SNC.
Fonction : Les neurones sensitifs détectent des stimuli externes (comme la chaleur, la pression, ou la douleur) et envoient ces informations au SNC pour traitement.
2. Interneurones
Localisation : Les interneurones se trouvent principalement dans la moelle épinière. Ils jouent un rôle crucial dans la transmission des signaux entre les neurones sensitifs et les motoneurones.
Fonction : Les interneurones intègrent et traitent les informations reçues des neurones sensitifs et peuvent également moduler la réponse avant de transmettre l’information aux motoneurones. Ils sont essentiels pour les réflexes, permettant une réponse rapide sans nécessiter l’intervention du cerveau.
3. Motoneurones
Rôle : Les motoneurones sont responsables de la transmission des signaux du SNC vers les muscles. Ils déclenchent la contraction musculaire en libérant des neurotransmetteurs à la jonction neuromusculaire.
Types : Il existe des motoneurones somatiques, qui innervent les muscles squelettiques, et des motoneurones autonomes, qui innervent les muscles lisses et les glandes.
4. Récepteurs de neurones
Types de récepteurs : Les différents récepteurs présents sur les neurones permettent de réagir à divers neurotransmetteurs. Chaque type de récepteur est spécifique à un neurotransmetteur particulier, ce qui influence la réponse du neurone (excitateur ou inhibiteur).
Exemples : Les récepteurs de l’acétylcholine, du glutamate (excitateur) et du GABA (inhibiteur) sont des exemples de récepteurs qui modulent l’activité neuronale.
5. Plexus nerveux
Existence de plexus : Les plexus nerveux sont des réseaux de neurones regroupés qui rassemblent de nombreuses fibres nerveuses. Ils permettent une communication efficace entre les différentes parties du système nerveux.
a) Plexus de Meissner (sous-muqueux)
Localisation : Situé dans la couche sous-muqueuse du tube digestif.
Fonction : Il régule les sécrétions glandulaires et le flux sanguin dans la muqueuse intestinale, jouant un rôle clé dans la digestion.
b) Plexus d’Auerbach (myentérique)
Localisation : Situé entre les couches musculaires de la paroi intestinale.
Fonction : Il contrôle la motilité intestinale, y compris les mouvements péristaltiques qui propulsent les aliments à travers le tube digestif.

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14
Q

Neurotransmitteurs

A

Les differents recepteurs de neurones permettent de reagir à de different neurotrasmitteurs
Adreline - du combat ou de la fuite
Hormone libere par sur renale
Produit dans des situation de stress ou excitation
Aug freq cardiaque et flux sanguin conduisant un coup de pouce physique et à une conscience accrue

Noradrenaline - de la concentration 
Hormone libere par glande surrenale 
- affecte attention et actions prises 

Dopamine - neurotransmitteur du plaisir  et de satisfaction 
Implique dans le circuit positive et dependance et la motivation 

Serotonine - apliqué dans l'humeur 
Contribue au bien etre au bonheur , aide le cycle du sommeil et la régulation du systeme digestif 

GABA - apaisant 
Derivé d'un acide aminé
Calme les impulsions neurveuses , ameliore la concentration un faible niveau provoque de l'anxiete 
Contriue au controle moteur et la vision

Acélylcholine - appretissage 
Impliqué dans la pensée 

Glutamate- memoire 

Endorphine - euphorie 
Pendant l'exercise , l'excitant et les rapport sexuels , produisant du bien-etre  et de euphorie , rédusaint la douleur
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15
Q

neurotransmitteurs roles detaillé

A

Adrénaline
Rôle : Connue comme l’hormone du “combat ou de la fuite”, l’adrénaline est libérée par les glandes surrénales en réponse à des situations de stress ou d’excitation.
Effets :
-Augmente la fréquence cardiaque.
-Améliore le flux sanguin vers les muscles.
-Augmente la vigilance et la conscience, préparant le corps à réagir rapidement.

  1. Noradrénaline
    Rôle : Libérée par les glandes surrénales, la noradrénaline est impliquée dans la concentration et l’attention.

Effets :
-Affecte l’attention et les actions prises.
Joue un rôle dans la réponse au stress et la régulation de l’humeur.
- impliqué dans la reponse combat ou fuite
- contracte les vaisseaux sanguins augmentant le flux sanguin

  1. Dopamine
    Rôle : Neurotransmetteur associé au plaisir, à la satisfaction et à la récompense.

Effets :
-Impliqué dans le circuit de la récompense, favorisant la motivation et le comportement de recherche de plaisir.
-Joue un rôle dans la dépendance et les comportements addictifs.

  1. Sérotonine
    Rôle : Neurotransmetteur qui influence l’humeur et le bien-être.
    Effets :
    -Contribue à la régulation de l’humeur, du bonheur et du bien-être général.
    -Aide à réguler le cycle du sommeil et le système digestif.
    -affecté par exercise et exposition à la lumiere
  2. GABA (acide gamma-aminobutyrique)
    Rôle : Principal neurotransmetteur inhibiteur du système nerveux central.
    Effets :
    -Calme les impulsions nerveuses, réduisant l’anxiété et favorisant la concentration.
    -Contribue au contrôle moteur et à la vision.
    -Un faible niveau de GABA peut entraîner de l’anxiété et des troubles de l’humeur.
  3. Acétylcholine
    Rôle : Neurotransmetteur impliqué dans l’apprentissage et la mémoire.
    Effets :
    -Joue un rôle clé dans la pensée, l’apprentissage et la mémoire.
    -Impliqué dans la transmission des signaux entre les neurones et les muscles à la jonction neuromusculaire.
  4. Glutamate
    Rôle : Principal neurotransmetteur excitateur du système nerveux central.
    - neurotransmitteur de la memoire

Effets :
-Impliqué dans les processus de mémoire et d’apprentissage.
-regule le developpement du cerveau et creation des contacts nerveux
-Joue un rôle dans la plasticité synaptique, qui est essentielle pour l’apprentissage.

  1. Endorphines
    Rôle : Neurotransmetteurs associés à la sensation de bien-être et d’euphorie.
    Effets :
    Libérées pendant l’exercice physique, les rapports sexuels et d’autres activités plaisantes.
    Produisent une sensation d’euphorie et réduisent la perception de la douleur.
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16
Q

Faim

A

Rôle de l’hypothalamus
Faim, appétit et satiété
Intervention du système nerveux
Signaux externes: vue odorat: arc réflexe

hypothalamus : Centre de régulation
L’hypothalamus est une région clé du cerveau qui joue un rôle central dans le contrôle de la faim et de la satiété. Plusieurs zones importantes de l’hypothalamus sont impliquées :

Noyau arqué (ARC) :
Ce noyau détecte les signaux hormonaux liés à la faim et à la satiété.
Ghréline : Hormone sécrétée par le tractus gastro-intestinal qui stimule la faim. Elle est libérée lorsque l’estomac est vide.
Leptine : Hormone produite par le tissu adipeux qui indique la satiété. Elle signale au cerveau que le corps a suffisamment d’énergie stockée.
Autres zones hypothalamiques :
Noyau paraventriculaire (PVN), noyau latéral (LH) et noyau dorsomédian (DMH) : Ces zones participent à la modulation des comportements alimentaires et énergétiques, influençant la prise alimentaire et le métabolisme.
2. Signaux externes : Vue, odeur et goût
Les signaux sensoriels externes jouent un rôle important dans la régulation de la faim :

Intégration sensorielle : Les signaux tels que l’odeur, la vue et le goût des aliments sont traités par des structures corticales, notamment le cortex préfrontal (PFC) et le cortex sensoriel.
Réponse réflexe : Ces signaux peuvent déclencher un arc réflexe qui stimule l’envie de manger, même avant que les signaux internes de faim ne soient activés. Par exemple, l’odeur d’un plat appétissant peut provoquer une salivation et une envie de manger.
3. Système nerveux central et tronc cérébral
Le tronc cérébral, en particulier le noyau du tractus solitaire (NTS), joue un rôle dans la réception des signaux nerveux :

Réception des signaux : Le NTS reçoit des signaux provenant de la sphère oro-pharyngée (mâcher, avaler) et des organes digestifs.
Transmission à l’hypothalamus : Ces signaux sont ensuite transmis à l’hypothalamus pour ajuster les comportements alimentaires en fonction de l’état énergétique du corps.
4. Signaux hormonaux et énergétiques
Plusieurs hormones et nutriments influencent la régulation de la faim :

Ghréline : Stimule les centres de la faim dans l’hypothalamus, signalant que le corps a besoin de nourriture.
Leptine : Réduite l’appétit en signalant que le corps a suffisamment d’énergie stockée.
Insuline : Hormone régulant les niveaux de glucose dans le sang, elle envoie des informations à l’hypothalamus pour signaler la satiété après un repas.
Nutriments : Les lipides, le glucose et les acides aminés agissent comme signaux métaboliques, informant l’hypothalamus du statut énergétique du corps.
5. Système de récompense
Le système de récompense du cerveau joue un rôle crucial dans la motivation alimentaire :

Structures impliquées : Le noyau accumbens, l’amygdale et la voie tegmentale ventrale (VTA) sont des régions qui influencent l’appréciation des aliments et la motivation à manger.
Influence émotionnelle : Ce système influence le comportement alimentaire basé sur les émotions, le stress et les interactions sociales. Par exemple, manger peut être utilisé comme un moyen de faire face au stress ou de célébrer des événements sociaux.

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arc reflexe

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Composants de l’arc réflexe
Un arc réflexe typique comprend plusieurs éléments clés :

Récepteur : C’est la structure qui détecte le stimulus (par exemple, une douleur, une chaleur ou une pression). Les récepteurs sensoriels sont situés dans la peau, les muscles ou d’autres tissus.
Neurone sensitif : Ce neurone transmet l’information du récepteur vers le système nerveux central (SNC). Il a son corps cellulaire situé dans un ganglion spinal.
Interneurone : Dans certains arcs réflexes, un ou plusieurs interneurones se trouvent dans la moelle épinière. Ils relient le neurone sensitif au neurone moteur et permettent le traitement de l’information.
Neurone moteur : Ce neurone transmet le signal du SNC vers l’effecteur (muscle ou glande). Il a son corps cellulaire situé dans la moelle épinière.
Effecteur : C’est le muscle ou la glande qui répond au stimulus. Par exemple, un muscle peut se contracter pour retirer une main d’une source de chaleur.
2. Mécanisme de l’arc réflexe
Voici comment fonctionne un arc réflexe :

Détection du stimulus : Un stimulus (comme une piqûre ou une chaleur) est détecté par un récepteur sensoriel.
Transmission de l’information : Le neurone sensitif envoie un signal électrique vers la moelle épinière.
Traitement de l’information : Dans la moelle épinière, le signal peut être transmis directement à un neurone moteur via un interneurone, permettant une réponse rapide.
Réponse de l’effecteur : Le neurone moteur envoie un signal à l’effecteur (muscle), provoquant une contraction musculaire ou une autre réponse.
3. Exemples d’arc réflexe
Réflexe patellaire (réflexe du genou) : Lorsque le tendon sous la rotule est frappé, cela étire le muscle quadriceps, provoquant une contraction réflexe qui fait lever la jambe.
Réflexe de retrait : Si vous touchez quelque chose de chaud, un récepteur de la peau détecte la chaleur, et un arc réflexe provoque le retrait immédiat de la main, souvent avant que vous ne soyez conscient de la douleur.
4. Importance de l’arc réflexe
L’arc réflexe permet des réponses rapides et automatiques qui protègent le corps des blessures. Il est également essentiel pour le maintien de l’équilibre et la coordination des mouvements

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Mechanisme de la soif

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Rôle de l’hypothalamus
L’hypothalamus est une région clé du cerveau qui joue un rôle central dans la régulation de la soif. Il intègre les signaux provenant de différentes parties du corps pour déterminer si une personne a besoin de boire de l’eau.

  1. Types de soif
    Il existe deux types principaux de soif : la soif anticipatrice et la soif régulatrice.

a) Soif anticipatrice
Définition : La soif anticipatrice est déclenchée par des habitudes ou des signaux environnementaux, tels que l’odeur ou la vue de l’eau ou des aliments.
Mécanisme : Cette forme de soif est souvent liée à des comportements appris. Par exemple, si une personne a l’habitude de boire de l’eau après un repas, la simple anticipation de ce repas peut déclencher une sensation de soif.
b) Soif régulatrice
La soif régulatrice est plus directement liée à l’état d’hydratation du corps et peut être subdivisée en deux types :

Soif intracellulaire :
Définition : Elle se produit lorsque les cellules du corps perdent de l’eau, entraînant une hypotonie plasmatique (une concentration plus élevée de solutés dans le plasma par rapport à l’intérieur des cellules).
Détection : Cette condition est détectée par des osmorécepteurs situés dans l’hypothalamus. Lorsque la concentration de solutés augmente, ces récepteurs envoient des signaux au cerveau pour stimuler la sensation de soif.
Réponse : La personne ressent alors le besoin de boire pour rétablir l’équilibre hydrique.
Soif extracellulaire :
Définition : Elle est déclenchée par une diminution du volume sanguin ou une déshydratation extracellulaire, souvent en réponse à des pertes de liquide (comme la transpiration ou des saignements).
Détection : Les volorécepteurs situés dans l’oreillette droite du cœur détectent les changements de pression osmotique et de volume sanguin. Lorsque le volume sanguin diminue, ces récepteurs envoient des signaux à l’hypothalamus pour stimuler la soif.
Réponse : Cela incite également la personne à boire pour augmenter le volume sanguin et rétablir l’hydratation.
3. Mécanisme de stimulation de la soif
Intégration des signaux : L’hypothalamus reçoit des signaux de différents récepteurs (osmorécepteurs et volorécepteurs) et intègre ces informations pour déterminer le besoin en eau.
Activation des comportements : Lorsque la soif est déclenchée, l’hypothalamus active des comportements de recherche d’eau, incitant la personne à boire.

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