Maladies neurodégénératives Flashcards
Role du lobe pariétal
Différencier droite et gauche
Sensations
Lecture
Orientation spatio-corporelle
role lobe parietal
Traitement sensoriel
Intégration des informations sensorielles : Le lobe pariétal est responsable du traitement des informations provenant des sens, notamment le toucher, la température, la douleur et la pression. Il reçoit des signaux des récepteurs sensoriels situés dans la peau et d’autres parties du corps.
Cortex somatosensoriel : La partie antérieure du lobe pariétal contient le cortex somatosensoriel, qui est impliqué dans la perception des sensations corporelles. Il permet de localiser et d’interpréter les sensations tactiles.
2. Perception spatiale
Orientation spatio-corporelle : Le lobe pariétal joue un rôle clé dans la perception de l’espace et l’orientation du corps dans l’environnement. Il aide à comprendre la position des objets par rapport à soi-même et à naviguer dans l’espace.
Coordination des mouvements : Il est également impliqué dans la coordination des mouvements en intégrant les informations sensorielles pour planifier et exécuter des actions motrices.
3. Attention et concentration
Attention visuelle et spatiale : Le lobe pariétal est impliqué dans l’attention, en particulier l’attention visuelle et spatiale. Il aide à focaliser l’attention sur des stimuli spécifiques dans l’environnement, ce qui est essentiel pour des tâches telles que la lecture ou la conduite.
Traitement des informations multiples : Il permet de traiter simultanément plusieurs informations sensorielles, ce qui est crucial pour des activités complexes.
4. Langage et cognition
Rôle dans le langage : Bien que le lobe temporal soit principalement associé au traitement du langage, le lobe pariétal contribue également à certaines fonctions linguistiques, notamment la compréhension et l’intégration des informations verbales.
Fonctions cognitives supérieures : Le lobe pariétal est impliqué dans des fonctions cognitives telles que la mémoire, la planification et la prise de décision, en intégrant les informations sensorielles et en les reliant à des expériences passées.
Role du Lobe frontal
Résolution des problèmes
Traits émotionnels
Raisonnements
Conversation
Activité motrice volontaire
Role du lobe frontal
Role du lobe temporal
Comportement
Mémoire
Audition
Compréhension de la langue
Role du lobe temporal
Lobe occipital
Vision
Perception des couleurs
cervelet
Équilibre
Coordination
Contrôle moteur
role du cervellet
tronc cerebral
- respiration
- temperature corporelle
- digestion
- vigilance
- ingestion/deglutition
roles des zones du cerveau
Corps calleux
Rôle : Permet le transfert d’informations entre les deux hémisphères cérébraux.
Fonctions associées : Mémoire, apprentissage, et coordination interhémisphérique.
2. Épiphyse (ou glande pinéale)
Rôle : Sécrétion de deux hormones principales :
Mélatonine : Régule le cycle veille-sommeil.
Sérotonine : Impliquée dans l’humeur, la relaxation et certains processus cognitifs.
3. Gyrus parahippocampique et hippocampe
Rôle principal :
Hippocampe : Mémoire à long terme, apprentissage, et repérage dans l’espace.
Gyrus parahippocampique : Soutien des fonctions mnésiques et orientation spatiale.
4. Amygdale
Rôle : Intégration des informations nerveuses liées aux émotions et au comportement.
Fonctions : Traitement de la peur, des réactions émotionnelles, et des réponses comportementales.
5. Hypothalamus
Rôle principal : Centre de régulation des fonctions autonomes.
Fonctions : Contrôle des comportements alimentaires, régulation hormonale, homéostasie (température, soif, etc.).
6. Thalamus
Rôle : Intégration des informations nerveuses.
Fonctions : Relais sensoriel majeur, transmettant les signaux sensoriels (sauf olfactifs) vers le cortex cérébral.
7. Corps mammillaire
Rôle : Intégration de la mémoire et du comportement.
Fonctions associées : Soutien à la mémoire épisodique et connexion avec l’hippocampe.
Mémoire do raena after
. Définition de la mémoire
La mémoire est définie comme la faculté de conserver (stockage) et de récupérer (rappel) les connaissances acquises par l’apprentissage.
- Mécanismes du stockage de la mémoire
Le processus de stockage s’effectue en deux étapes principales :
a) Mémoire à court terme
Caractéristiques :
Sert de mémoire de travail, utilisée pour retenir une quantité limitée d’informations (environ 7 à 8 unités d’information).
Exemples : mémoriser un numéro de téléphone pendant quelques secondes ou minutes.
Durée : Brève (quelques secondes à minutes).
Lieux impliqués :
Hippocampe : Structure clé dans le transfert de la mémoire à court terme vers le long terme.
Corps mamillaires : Impliqués dans la mémoire épisodique et les circuits mnésiques.
Thalamus : Participe au traitement et à la transmission des informations mnésiques.
b) Mémoire à long terme
Caractéristiques :
Capacité illimitée, permettant de stocker des informations pendant plusieurs jours, voire des années.
Les souvenirs sont consolidés grâce au sommeil paradoxal (phase REM) et influencés par l’état émotionnel.
Types :
Déclarative : Inclut les faits (mémoire sémantique) et les événements (mémoire épisodique).
Procédurale : Implique les savoir-faire et les compétences (comme faire du vélo).
Lieux impliqués :
Noyaux gris centraux (NGC) : Rôle dans les souvenirs procéduraux et les mouvements automatisés.
Cervelet : Contribue à la mémoire motrice et procédurale.
Cortex cérébral : Stocke la mémoire déclarative.
3. Évolution de la mémoire avec l’âge
Déclin :
Avec le vieillissement, la capacité de la mémoire tend à diminuer, affectant principalement la mémoire à court terme et certaines fonctions de la mémoire à long terme (comme le rappel).
4. Mécanismes moléculaires liés à l’apprentissage
L’apprentissage entraîne des changements au niveau moléculaire et neuronal :
Modifications structurelles :
Croissance des synapses (connexions neuronales).
Augmentation des contacts entre neurones.
Modifications fonctionnelles :
Synthèse accrue d’ARN messagers (ARNm), facilitant la production de protéines nécessaires aux nouvelles connexions.
Augmentation de la libération de neurotransmetteurs pour renforcer les signaux entre neurones.
extra
La mémoire est un processus complexe qui permet de conserver et de récupérer les connaissances acquises par l’apprentissage. Voici une explication détaillée des différents aspects de la mémoire, y compris ses mécanismes de stockage, son évolution avec l’âge, et les mécanismes moléculaires liés à l’apprentissage.
- Définition de la mémoire
La mémoire est définie comme la faculté de conserver (stockage) et de récupérer (rappel) les connaissances acquises par l’apprentissage. Elle est essentielle pour le fonctionnement quotidien, car elle nous permet d’apprendre de nouvelles informations, de nous souvenir d’expériences passées et d’appliquer ces connaissances dans des situations futures. - Mécanismes du stockage de la mémoire
Le processus de stockage de la mémoire s’effectue en deux étapes principales : la mémoire à court terme et la mémoire à long terme.
a) Mémoire à court terme
Caractéristiques :
Sert de mémoire de travail, utilisée pour retenir une quantité limitée d’informations (environ 7 à 8 unités d’information).
Exemples : Mémoriser un numéro de téléphone pendant quelques secondes ou minutes.
Durée :
Brève, généralement de quelques secondes à quelques minutes.
Lieux impliqués :
Hippocampe : Structure clé dans le transfert de la mémoire à court terme vers le long terme. Il joue un rôle crucial dans la consolidation des souvenirs.
Corps mamillaires : Impliqués dans la mémoire épisodique et les circuits mnésiques, ils sont associés à la récupération des souvenirs.
Thalamus : Participe au traitement et à la transmission des informations mnésiques, agissant comme un relais pour les signaux sensoriels.
b) Mémoire à long terme
Caractéristiques :
Capacité illimitée, permettant de stocker des informations pendant plusieurs jours, voire des années.
Les souvenirs sont consolidés grâce au sommeil paradoxal (phase REM) et influencés par l’état émotionnel.
Types :
Mémoire déclarative : Inclut les faits (mémoire sémantique) et les événements (mémoire épisodique). Par exemple, se souvenir d’une date historique ou d’un événement personnel.
Mémoire procédurale : Implique les savoir-faire et les compétences, comme faire du vélo ou jouer d’un instrument de musique.
Lieux impliqués :
Noyaux gris centraux (NGC) : Rôle dans les souvenirs procéduraux et les mouvements automatisés, facilitant l’apprentissage de compétences motrices.
Cervelet : Contribue à la mémoire motrice et procédurale, en coordonnant les mouvements et en améliorant la précision des actions.
Cortex cérébral : Stocke la mémoire déclarative, en particulier dans les régions associées à la perception et à la cognition.
3. Évolution de la mémoire avec l’âge
Déclin : Avec le vieillissement, la capacité de la mémoire tend à diminuer, affectant principalement la mémoire à court terme et certaines fonctions de la mémoire à long terme (comme le rappel). Les personnes âgées peuvent éprouver des difficultés à se souvenir de nouveaux faits ou à récupérer des souvenirs passés, bien que certaines formes de mémoire, comme la mémoire procédurale, puissent rester relativement intactes.
4. Mécanismes moléculaires liés à l’apprentissage
L’apprentissage entraîne des changements au niveau moléculaire et neuronal, qui sont essentiels pour la formation et le stockage des souvenirs :
Modifications structurelles :
Croissance des synapses : L’apprentissage peut entraîner une augmentation du nombre et de la force des connexions synaptiques entre les neurones, ce qui améliore la communication neuronale.
Augmentation des contacts entre neurones : Les neurones peuvent former de nouvelles synapses en réponse à l’apprentissage, renforçant ainsi les réseaux neuronaux impliqués dans la mémoire.
Modifications fonctionnelles :
Synthèse accrue d’ARN messagers (ARNm) : L’apprentissage stimule la production d’ARNm, qui est nécessaire pour la synthèse de protéines impliquées dans la formation de nouvelles synapses et la consolidation des souvenirs.
Augmentation de la libération de neurotransmetteurs : L’apprentissage peut également entraîner une augmentation de la libération de neurotransmetteurs, renforçant les signaux entre neurones et facilitant la transmission de l’information.
Consequences et symptomes d’Alzheimer
Consequences :
1. Amnésie - perte partielle ou totale de la memoire
2. Aphasie - perte de faculté de s’exprimer ou de comprendre le language
3. Agnosie - trouble de reconaissance des visages, des objects des sons
4. Apraxie - difficulté à effectuer des gestes concrets
mechanism de la pathologie
- Destruction progressive de l’ensemble des neurones du cerveau.
-Aboutit à la démence: dégradation de la mémoire, du raisonnement, du
comportement, de la capacité à accomplir des tâches quotidiennes…
Les deux lésions principales qui provoquent la mort des cellules nerveuses sont :
* Plaques amyloïdes ou ” plaques séniles “. Il s’agit du dépôt, situé en dehors des
neurones, de la protéine β-amyloïde
* Neurofibrilles: filaments anormaux par agrégation de la protéine tau dans le
neurone
Les 1eres lésions apparaissent presque toujours au niveau de l’hippocampe…
Mechanisme de la pathologie
Destruction progressive de l’ensemble des neurones du cerveau.
Aboutit à la démence: dégradation de la mémoire, du raisonnement, du
comportement, de la capacité à accomplir des tâches quotidiennes…
Mechanisme pathologique :
2 lesions principales qui provoquent la mort cellulaire des cellules nerveuses
1. Plaques amyloïdes ou ” plaques séniles “. Il s’agit du dépôt, situé en dehors des neurones, de la protéine β-amyloïde
- forme un depot de proteine (cette proteine pert l’abilité d’etre soluble et forme un depot
- Neurofibrilles: filaments anormaux par agrégation de la protéine tau dans le neurone
Chez un sujet malade il y a des zones plus foncé due à presence des proteines et moins de cellules presentes car plus sont degradés
- diagnostiqué atravers d’un IRM et un questionnaire
la insolubilité de la proteine est causé par une cause genetique
Pour deplacer l’influx nerveux les neurnes ont des microtubules que permettent le passage du influx et permet d’envoyer le vesicules plus faciliment
Les proteines tau - ont comme fonction de stabiliser la structure des microtubules si , proteines tau devienne insoluble - degenerecence de neurones
Causes et facteurs de risque
Âge : Le principal facteur de risque est l’âge, la maladie étant plus fréquente chez les personnes de plus de 65 ans.
Génétique : Des facteurs génétiques peuvent jouer un rôle, notamment des mutations dans les gènes APP, PSEN1 et PSEN2, qui sont associés à des formes héréditaires de la maladie.
Facteurs environnementaux et de mode de vie : Des facteurs tels que l’hypertension, le diabète, l’obésité, le tabagisme et le manque d’activité physique peuvent augmenter le risque de développer la maladie.
2. Symptômes
Les symptômes de la maladie d’Alzheimer se développent progressivement et peuvent inclure :
Dégradation de la mémoire : Difficulté à se souvenir d’événements récents ou à apprendre de nouvelles informations.
Difficultés de raisonnement et de jugement : Problèmes pour résoudre des problèmes ou prendre des décisions.
Changements de comportement et de personnalité : Anxiété, dépression, irritabilité ou apathie.
Difficultés avec le langage : Problèmes pour trouver les mots ou suivre une conversation.
Désorientation : Confusion concernant le temps, le lieu ou les personnes.
3. Mécanismes pathologiques
La maladie d’Alzheimer est caractérisée par plusieurs changements pathologiques dans le cerveau :
a) Plaques amyloïdes
Formation : Les plaques amyloïdes sont des dépôts de protéines β-amyloïdes qui s’accumulent entre les neurones. Ces dépôts proviennent de l’agrégation de fragments de la protéine précurseur amyloïde (APP).
Impact : Les plaques perturbent la communication entre les neurones et peuvent déclencher une réponse inflammatoire, contribuant à la dégénérescence neuronale.
b) Neurofibrilles
Formation : Les neurofibrilles sont des enchevêtrements de protéines tau anormales à l’intérieur des neurones. Normalement, la protéine tau stabilise les microtubules, mais dans la maladie d’Alzheimer, elle se phosphoryle de manière excessive, entraînant la formation de ces enchevêtrements.
Impact : Les neurofibrilles perturbent le transport des nutriments et des signaux à l’intérieur des neurones, conduisant à leur mort.
c) Perte neuronale et synaptique
Dégénérescence neuronale : La combinaison des plaques amyloïdes et des neurofibrilles entraîne la mort des neurones et la perte de synapses, ce qui contribue à la dégradation des fonctions cognitives.
Atrophie cérébrale : Au fur et à mesure que les neurones meurent, le cerveau subit une atrophie, en particulier dans les régions associées à la mémoire, comme l’hippocampe.
4. Conséquences
Démence : La maladie d’Alzheimer est la cause la plus courante de démence, représentant environ 60 à 70 % des cas. Elle entraîne une dégradation progressive des capacités cognitives et fonctionnelles.
Impact sur la qualité de vie : Les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer peuvent avoir besoin d’une assistance pour les activités quotidiennes, ce qui affecte leur qualité de vie et celle de leurs proches.
5. Traitement et prise en charge
Médicaments : Bien qu’il n’existe pas de traitement curatif, certains médicaments peuvent aider à gérer les symptômes. Les inhibiteurs de la cholinestérase (comme le donepezil) peuvent améliorer temporairement la mémoire et la cognition.