Syndromes parkinsoniens dégénératifs Flashcards

1
Q

CARACTÉRISTIQUES

  1. .. (ou ..) de réactivité au traitement ..
A

CARACTÉRISTIQUES

  1. Faible (ou absence) de réactivité au traitement dopaminergique
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Q

CARACTÉRISTIQUES

  1. Faible (ou absence) de réactivité au traitement dopaminergique
  2. Existence de signes .. associés au syndrome parkinsonien
A

CARACTÉRISTIQUES

  • Faible (ou absence) de réactivité au traitement dopaminergique
  • Existence de signes neurologiques associés au syndrome parkinsonien
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Q
  1. ..
  2. ..
  3. Dégénérescence ..
  4. ..
A
  1. Atrophies multisystématisées
  2. Paralysie supranucléaire progressive
  3. Dégénérescence cortico-basale
  4. Démence à corps de Lewy
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4
Q

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Elles représentent .. à ..% des syndromes parkinsoniens

A

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Elles représentent 15 à 20% des syndromes parkinsoniens

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5
Q

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Elles représentent 15 à 20% des syndromes parkinsoniens et débutent généralement vers ..-.. ans.

A

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Elles représentent 15 à 20% des syndromes parkinsoniens et débutent généralement vers 45-55 ans.

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6
Q

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Elles représentent 15 à 20% des syndromes parkinsoniens et débutent généralement vers 45-55 ans.

Association, à des degrés variables:

  1. d’un syndrome parkinsonien
  2. d’un syndrome ..
  3. d’un syndrome ..
  4. d’un syndrome ..
A

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Elles représentent 15 à 20% des syndromes parkinsoniens et débutent généralement vers 45-55 ans.

Association, à des degrés variables:

  1. d’un syndrome parkinsonien
  2. d’un syndrome cérébelleux
  3. d’un syndrome dysautonomique
  4. d’un syndrome pyramidal
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7
Q

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Elles représentent 15 à 20% des syndromes parkinsoniens et débutent généralement vers 45-55 ans.

Association, à des degrés variables:

1. d’un syndrome parkinsonien qui répond généralement mal à la ..

  1. d’un syndrome cérébelleux
  2. d’un syndrome dysautonomique
  3. d’un syndrome pyramidal
A

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Elles représentent 15 à 20% des syndromes parkinsoniens et débutent généralement vers 45-55 ans.

Association, à des degrés variables:

1. d’un syndrome parkinsonien qui répond généralement mal à la L-dopa

  1. d’un syndrome cérébelleux
  2. d’un syndrome dysautonomique
  3. d’un syndrome pyramidal
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8
Q

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Elles représentent 15 à 20% des syndromes parkinsoniens et débutent généralement vers 45-55 ans.

Association, à des degrés variables:

1. d’un syndrome parkinsonien qui répond généralement mal à la L-dopa et s’accompagne de signes .., .. et troubles .. précoces

  1. d’un syndrome cérébelleux
  2. d’un syndrome dysautonomique
  3. d’un syndrome pyramidal
A

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Elles représentent 15 à 20% des syndromes parkinsoniens et débutent généralement vers 45-55 ans.

Association, à des degrés variables:

1. d’un syndrome parkinsonien qui répond généralement mal à la L-dopa et s’accompagne de signes axiaux, dysarthrie et troubles posturaux précoces

  1. d’un syndrome cérébelleux
  2. d’un syndrome dysautonomique
  3. d’un syndrome pyramidal
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9
Q

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Elles représentent 15 à 20% des syndromes parkinsoniens et débutent généralement vers 45-55 ans.

Association, à des degrés variables:

  1. d’un syndrome parkinsonien qui répond généralement mal à la L-dopa et s’accompagne de signes axiaux, dysarthrie et troubles posturaux précoces

2. d’un syndrome cérébelleux (essentiellement ..)

  1. d’un syndrome dysautonomique
  2. d’un syndrome pyramidal
A

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Elles représentent 15 à 20% des syndromes parkinsoniens et débutent généralement vers 45-55 ans.

Association, à des degrés variables:

  1. d’un syndrome parkinsonien qui répond généralement mal à la L-dopa et s’accompagne de signes axiaux, dysarthrie et troubles posturaux précoces

2. d’un syndrome cérébelleux (essentiellement statique)

  1. d’un syndrome dysautonomique
  2. d’un syndrome pyramidal
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10
Q

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Elles représentent 15 à 20% des syndromes parkinsoniens et débutent généralement vers 45-55 ans.

Association, à des degrés variables:

  1. d’un syndrome parkinsonien qui répond généralement mal à la L-dopa et s’accompagne de signes axiaux, dysarthrie et troubles posturaux précoces
  2. d’un syndrome cérébelleux (essentiellement statique)

3. d’un syndrome dysautonomique avec .., troubles ..

  1. d’un syndrome pyramidal
A

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Elles représentent 15 à 20% des syndromes parkinsoniens et débutent généralement vers 45-55 ans.

Association, à des degrés variables:

  1. d’un syndrome parkinsonien qui répond généralement mal à la L-dopa et s’accompagne de signes axiaux, dysarthrie et troubles posturaux précoces
  2. d’un syndrome cérébelleux (essentiellement statique)

3. d’un syndrome dysautonomique avec hypotension orthostatique, troubles sphinctériens

  1. d’un syndrome pyramidal
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11
Q

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Parmi les AMS, on peut différencier:

  1. La maladie de ..
  2. La dégénérescence ..
  3. Les atrophies ..
A

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Parmi les AMS, on peut différencier:

  1. La maladie de Shy-Drager
  2. La dégénérescence striato-nigrique
  3. Les atrophies olivo-ponto-cérébelleuses sporadiques
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12
Q

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Parmi les AMS, on peut différencier:

  • *1. La maladie de Shy-Drager (prédominence des troubles ..)**
    2. La dégénérescence striato-nigrique
    3. Les atrophies olivo-ponto-cérébelleuses sporadiques
A

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Parmi les AMS, on peut différencier:

  • *1. La maladie de Shy-Drager (prédominence des troubles végétatifs)**
    2. La dégénérescence striato-nigrique
    3. Les atrophies olivo-ponto-cérébelleuses sporadiques
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13
Q

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Parmi les AMS, on peut différencier:

  1. La maladie de Shy-Drager (prédominence des troubles végétatifs)

2. La dégénérescence striato-nigrique (prédominence des syndromes .. et ..)

  1. Les atrophies olivo-ponto-cérébelleuses sporadiques
A

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Parmi les AMS, on peut différencier:

  1. La maladie de Shy-Drager (prédominence des troubles végétatifs)

2. La dégénérescence striato-nigrique (prédominence des syndromes parkinsonien et pyramidal)

  1. Les atrophies olivo-ponto-cérébelleuses sporadiques
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14
Q

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Parmi les AMS, on peut différencier:

  1. La maladie de Shy-Drager (prédominence des troubles végétatifs)
  2. La dégénérescence striato-nigrique (prédominence des syndromes parkinsonien et pyramidal)

3. Les atrophies olivo-ponto-cérébelleuses sporadiques (prédominence des syndromes .. et ..)

A

(1/4) Atrophies multisystématisées (AMS):

Parmi les AMS, on peut différencier:

  1. La maladie de Shy-Drager (prédominence des troubles végétatifs)
  2. La dégénérescence striato-nigrique (prédominence des syndromes parkinsonien et pyramidal)

3. Les atrophies olivo-ponto-cérébelleuses sporadiques (prédominence des syndromes cérébelleux et pyramidal)

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15
Q

(2/4) Paralysie supranucléaire progressive ou maladie de ..

A

(2/4) Paralysie supranucléaire progressive ou maladie de Steele-Richardson-Oslewski

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16
Q

(2/4) Paralysie supranucléaire progressive ou maladie de Steele-Richardson-Oslewski

Elle est à l’origine de .. à ..% des syndromes parkinsoniens

A

(2/4) Paralysie supranucléaire progressive ou maladie de Steele-Richardson-Oslewski

Elle est à l’origine de 10 à 15% des syndromes parkinsoniens

17
Q

(2/4) Paralysie supranucléaire progressive ou maladie de Steele-Richardson-Oslewski

Elle est à l’origine de 10 à 15% des syndromes parkinsoniens et débute toujours après .. ans.

A

(2/4) Paralysie supranucléaire progressive ou maladie de Steele-Richardson-Oslewski

Elle est à l’origine de 10 à 15% des syndromes parkinsoniens et débute toujours après 40 ans.

18
Q

(2/4) Paralysie supranucléaire progressive ou maladie de Steele-Richardson-Oslewski

Elle est à l’origine de 10 à 15% des syndromes parkinsoniens et débute toujours après 40 ans.

Le syndrome parkinsonien est relativement ..

A

(2/4) Paralysie supranucléaire progressive ou maladie de Steele-Richardson-Oslewski

Elle est à l’origine de 10 à 15% des syndromes parkinsoniens et débute toujours après 40 ans.

Le syndrome parkinsonien est relativement symétrique.

19
Q

(2/4) Paralysie supranucléaire progressive ou maladie de Steele-Richardson-Oslewski

Elle est à l’origine de 10 à 15% des syndromes parkinsoniens et débute toujours après 40 ans.

Le syndrome parkinsonien est relativement symétrique et prédomine sur la musculature ..

A

(2/4) Paralysie supranucléaire progressive ou maladie de Steele-Richardson-Oslewski

Elle est à l’origine de 10 à 15% des syndromes parkinsoniens et débute toujours après 40 ans.

Le syndrome parkinsonien est relativement symétrique et prédomine sur la musculature axiale.

20
Q

(2/4) Paralysie supranucléaire progressive ou maladie de Steele-Richardson-Oslewski

Elle est à l’origine de 10 à 15% des syndromes parkinsoniens et débute toujours après 40 ans.

Le syndrome parkinsonien est relativement symétrique et prédomine sur la musculature axiale.

Le traitement à la .. est peu efficace et, dans tous les cas, l’effet bénéfique est ..

A

(2/4) Paralysie supranucléaire progressive ou maladie de Steele-Richardson-Oslewski

Elle est à l’origine de 10 à 15% des syndromes parkinsoniens et débute toujours après 40 ans.

Le syndrome parkinsonien est relativement symétrique et prédomine sur la musculature axiale.

Le traitement à la L-dopa est peu efficace et, dans tous les cas, l’effet bénéfique est transitoire.

21
Q

(2/4) Paralysie supranucléaire progressive ou maladie de Steele-Richardson-Oslewski

Elle est à l’origine de 10 à 15% des syndromes parkinsoniens et débute toujours après 40 ans.

Le syndrome parkinsonien est relativement symétrique et prédomine sur la musculature axiale.

Le traitement à la L-dopa est peu efficace et, dans tous les cas, l’effet bénéfique est transitoire.

En plus d’un syndrome parkinsonien, on retrouve l’association

  1. de troubles de l’.. (avec des .. dès les premières années d’évolution)
  2. d’une paralysie supranucléaire de l’..
  3. d’un syndrome ..
A

(2/4) Paralysie supranucléaire progressive ou maladie de Steele-Richardson-Oslewski

Elle est à l’origine de 10 à 15% des syndromes parkinsoniens et débute toujours après 40 ans.

Le syndrome parkinsonien est relativement symétrique et prédomine sur la musculature axiale.

Le traitement à la L-dopa est peu efficace et, dans tous les cas, l’effet bénéfique est transitoire.

En plus d’un syndrome parkinsonien, on retrouve l’association

  1. de troubles de l’équilibre postural (avec des chutes dès les premières années d’évolution)
  2. d’une paralysie supranucléaire de l’oculomotricité verticale
  3. d’un syndrome frontal
22
Q

(3/4) ..

Très rare

A

(3/4) Dégénérescence cortico-basale

Très rare

23
Q

(3/4) Dégénérescence cortico-basale

Très rare

Association

  1. de syndromes parkinsonien, .., .. très ..,
  2. un syndrome ..,
  3. des troubles ..
A

(3/4) Dégénérescence cortico-basale

Très rare

Association

  1. de syndromes parkinsonien, pyramidal, dystonique très asymétrique,
  2. un syndrome frontal,
  3. des troubles apraxiques
24
Q

(4/4) Démence à corps de Lewy

Elle peut se manifester initialement par une symptomatologie .. dominante.

A

(4/4) Démence à corps de Lewy

Elle peut se manifester initialement par une symptomatologie parkinsonienne dominante.

25
Q

(4/4) Démence à corps de Lewy

Elle peut se manifester initialement par une symptomatologie parkinsonienne dominante.

Survenue précoce d’..

A

(4/4) Démence à corps de Lewy

Elle peut se manifester initialement par une symptomatologie parkinsonienne dominante.

Survenue précoce d’hallucinations

26
Q

(4/4) Démence à corps de Lewy

Elle peut se manifester initialement par une symptomatologie parkinsonienne dominante.

Survenue précoce d’hallucinations, puis développement d’un syndrome ..

A

(4/4) Démence à corps de Lewy

Elle peut se manifester initialement par une symptomatologie parkinsonienne dominante.

Survenue précoce d’hallucinations, puis développement d’un syndrome confusionnel chronique

27
Q

(4/4) Démence à corps de Lewy

Elle peut se manifester initialement par une symptomatologie parkinsonienne dominante.

Survenue précoce d’hallucinations, puis développement d’un syndrome confusionnel chronique qui évolue vers une ..

A

(4/4) Démence à corps de Lewy

Elle peut se manifester initialement par une symptomatologie parkinsonienne dominante.

Survenue précoce d’hallucinations, puis développement d’un syndrome confusionnel chronique qui évolue vers une détérioration cognitive globale.

28
Q

(4/4) Démence à corps de Lewy

Elle peut se manifester initialement par une symptomatologie parkinsonienne dominante.

Toutefois, la forme la plus fréquente est une présentation initiale par une ..

A

(4/4) Démence à corps de Lewy

Elle peut se manifester initialement par une symptomatologie parkinsonienne dominante.

Toutefois, la forme la plus fréquente est une présentation initiale par une démence.

Survenue précoce d’hallucinations, puis développement d’un syndrome confusionnel chronique qui évolue vers une détérioration cognitive globale.

29
Q

Maladie de Wilson

A