Stress biotiques Flashcards
Contrairement au système immunitaire humains, que diffère su système immunitaire végétal?
Ne contient pas de cellules immunitaires spécialisées, chaque cellule végétal possède la capacité de reconnaître et répondre à la présence d’un pathogène.
Comment les cellules végétales perçoivent les agents microbiens? Donner un exemple.
Des récepteurs à la surface des cellules végétales peuvent reconnaître des agents microbiens et y répondre.
Exemple avec flagelle bactérienne: Le récepteur FLS2 sur la cellule végétale peut reconnaître le flg22 du pathogène pour ne pas la laisser entrer.
Différencier MAMPs, PAMPs et DAMPs.
MAMPs: Engendrent des stress biotiques.
PAMPs: Associées plus spécifiquement aux pathogènes.
DAMPs: Dommages causés par les pathogènes.
Comment les plantes arrivent à différencier les agents pathogènes des agents non-pathogènes?
Par la reconnaissance engendré chez la plante.
C’est quoi la réponse immunitaire enclenchée par les MAMPs?
- Fermeture des stomates.
- Dépôt de callose à la paroi cellulaire en diminuant le flux apoplastique d’eau et de nutriments et de créer une barrière.
- Production d’espèces réactives de l’oxygène avec le ROS et le H2O2 qui vont dégrader la membrane d’un microbe pathogène.
- Changement dans la production de différentes hormones.
- Déprivation nutritionnelle en privant l’environnement extracellulaire en nutriments.
- Déprogrammation transcriptionnelle.
C’est quoi le rôle des stomates dans la prévention de l’entrée des bactéries dans la plante (immunité stomatale)?
Les stomates ont comme rôle de se fermer pour ne pas laisser entre les pathogènes avec l’acide abscissique.
Expliquer le compromis croissance-défense et l’auto-immunité végétale.
Compromis croissance-défense: Déterminés par les coûts de la défense. Équilibre = plante normale. Se concentre sur la défense = plante plus petite. Se concentre plus sur la croissance = plante pas grande. Cause de compromis croissance-défense = production de l’acide salicylique.
Les réponses auto-immunes font en sorte qu’on fait plus de défense et plante plus petite.
C’est quoi le système de sécrétion de type III et les effecteurs microbiens?
Le système de sécrétion de types III est une structure en forme de seringue nécessaire à la virulence qui est produit après la perception de la cellule hôte. Les pathogènes sécrètent des protéines effectrices dans la cellule hôte Ave le système de sécrétion de type III. Ces protéines sont des effecteurs.
Expliquer les différents effets des effecteurs dans la virulence microbienne.
D’interférer avec la signalisation immunitaire de l’hôte, reprogrammation transcriptionnelle, création d’un environnement aqueux et export des nutriments.
Expliquer l’immunité intracellulaire.
C’est une stratégie évolutive développée par les végétaux pour détecter les pathogènes en détectant des effecteurs dans le cytoplasme par des récepteurs intracellulaires (RIC).
Expliquer la réponse d’hypersensibilité et le mécanisme.
L’effecteur YscF est reconnu par son récepteur spécifique dans la cellule, cela enclenche une réponse d’hypersensibilité (mort cellulaire). Cela se fait par les RIC qui forment des structures complexes appelés résistosomes et causent des perforations à la membrane des cellules.
Savoir deux résultats possibles de l’immunité végétale.
Soit l’activation de l’immunité basale ou la mort cellulaire causée par la réponse d’hypersensibilité.
C’est quoi le principe de l’immunité systémique?
L’activation de l’immunité localement entraîne un renforcement de l’immunité systémique. Donc, c’est difficile pour une plante d’être infecté deux fois avec le même pathogène au cours de la même saison.
C’est quoi la course aux armements?
Immunité activée par les MAMPs
Susceptibilité apportée par les effecteurs
Immunité activée par les effecteurs (intracellulaires)
Susceptibilité apporté par les effecteurs
RIC détecte effecteurs
Immunité activée par les effecteurs
RIC détecte effecteurs
Comprendre le triangle de la maladie.
Pour voir l’apparition de la maladie, un pathogène doit injecter un hôte susceptible dans des conditions optimales pour la croissance de l’agent pathogène. Environnement + pathogène + hôte susceptible = triangle de la maladie.