Stratégies cognitives et mémoire Flashcards
Quand la mémoire est-elle sollicitée
sans cesse dans notre vie quotidienne
La mémoire est elle fiable? Explique (2)
Multiples occasions où elle peut nous faire défaut…
Éprouver des problèmes de mémoire, c’est fréquent et normal (dans une certaine mesure)!
Éprouver des problèmes de mémoire est-ce que cela veut dire qu’on n’y peut rien?
non, il existe des stratégies
Type principal de stratégies d’aide à la mémoire pour permettre un meilleur fonctionnement cognitif dans la vie quotidienne
l’aide-mémoire
Aide-mémoire est utile pour… (2)
pour pallier les difficultés ou pour améliorer l’efficacité de mémoire
Aide-mémoire interne (Quoi/Pourquoi, Quand)
Quoi/Pourquoi?
Vise à amener un sujet à utiliser efficacement les processus d’encodage et de récupération
Quand?
Utilisés lorsqu’il n’existe pas de moyens externes disponibles (ex: pendant conduit, à un examen)
Aide-mémoire externe (Quoi/Pourquoi, Quand)
Quoi/Pourquoi?
Aide physique pour rappeler un contenu ou une action à un moment donné
Quand?
Utilisés dans des situations qui exigent de la précision, un long délai de rétention ou pour éviter de surcharger la mémoire (ex: très important et/ou beaucoup d’information (surcharge), dans longtemps, doit s’en rappeler précisément)
Exemples d’aide-mémoire internes et externes
Exemple d’aide-mémoire interne: moyens mnémotechniques
Exemple d’aide-mémoire externe: agenda, listes, post-it, …
Comment choisir l’aide mémoire (peut dépendre de 4 options)
accès (à agenda, aux notes pendant un examen)
routine (habitude)
processus à faire (encodage vs récupération)
nature de l’information (contexte, info complexe/importante à retenir ou pas, fait/évènements, intention)
Les aide-mémoire suivants sont-ils internes ou externes
1.Relier les chose à des évènement (ex: vie courante, avant le cours, après le dîner, …)
- Minuterie
- Essai-erreur (écrire ou imaginer une partie de l’information dans l’espoir de raviver d’autres souvenirs )
- Écrire sur la main
Relier des choses à d’autres évènement: (interne)
Minuterie: alarme (externe)
Essai-erreur: (interne et/ou externe)
Écrire sur la main (externe)
Vrai ou faux les aide-mémoire peuvent être internes et externes
vrai (ex: essai erreur: écrire ou imaginer une partie de l’information dans l’espoir de raviver d’autres souvenirs )
Vrai ou faux Les humains ont la capacité de s’auto-évaluer à propos de leur mémoire et de sa capacité
Vrai
Métamémoire (3)
connaissance de son propre fonctionnement en mémoire
Comprendre ou appréhender une défectuosité de la mémoire
Permet de mettre en place une stratégie pour pallier le problème
anosognosie
incapacité à réaliser ses difficultés (ex: ne se rend pas compte de son handicap)
Une bonne stratégie pour pallier un problème de mémoire doit tenir compte de (3)
Des caractéristiques de la situation
Des connaissances de l’individu
De l’habileté à utiliser des aide-mémoire (+ familiers + faciles d’utilisation)
Choix d’une stratégie d’aide-mémoire niveau 1 (2 choix)
intention (mémoire prospective) vs fait (mémoire épisodique ou sémantique)
Choix d’une stratégie d’aide-mémoire après avoir choisi fait (mémoire épisodique ou sémantique) (2)
Stade de récupération vs
d’encodage
Choix d’une stratégie d’aide-mémoire après avoir choisi récupération (2)
évènement personnel (épisodique) vs connaissance générale (sémantique)
Chemin fait, récupération, évènement personnel mène à quelle stratégie
Aide à la récupération d’évènements
Chemin fait, récupération, connaissance générale mène à quelle stratégie
aide à la récupération de connaissances
Choix d’une stratégie d’aide-mémoire après avoir choisi encodage (2)
existe-t-il un lien significatif (épisodique) ou non (sémantique) entre les items à encoder
Chemin fait, encodage, lien significatif mène à quelle stratégie
Technique d’étude
Chemin fait, encodage, lien non significatif mène à quelle stratégie
Méthode mnémotechnique
Vrai ou faux, on doit procéder à un processus diagnostic afin de décider de la stratégie d’aide-mémoire
vrai
Méthodes mnémotechniques (utilisé pour, interne vs externe, permet…)
Systèmes utilisés lors de la mémorisation d’un matériel donné (lien non significatif entre les items à rappeler).
Aide-mémoire interne
Permettent d’organiser/rendre distincts certains contenus qui n’ont pas d’organisation propre (Ex.: liste de mots (de noms) sans liens entre eux.)
Vrai ou faux les méthodes mnémotechniques tirent aussi profit de certaines caractéristiques verbales des mots comme la rime et la première lettre.
vrai
Toutes les méthodes mnémotechniques ont comme effet de générer des …… efficaces.
indices de récupération
Vrai ou faux, c’est dans le rôle que joue, lors de l’encodage, l’élaboration d’indices imagés ou verbaux, que les méthodes se distinguent.
vrai
Les moyens (méthodes) mnémotechniques font appel à: (3 types d’indices de récupération)
— l’imagerie mentale (imagerie, lieux, crochet, bizarrerie)
— à la rime
— à la première lettre (verbal)
Procédure des méthodes mnémotechniques (2)
Mots à apprendre sont associés à l’organisation en mémoire lors de l’encodage (ce qui est déjà en MLT)
Contenu de cette organisation utilisé comme indice pour faciliter récupération (Élaboration d’indices verbaux ou imagés (imagerie mentale))
Méthodes basées sur l’imagerie mentale (3)
crochet (rime), lieux, bizzarerie,
Principe de crochet (3) (pendant l’encodage: association, crochet=…, relation entre les mots)
Lors de l’encodage:
Association visuelle entre des mots-crochets (déjà en MLT) et les mots à retenir
Indice de récupération = crochet (image ou mot)
Pas de relation sémantique ou structurale avec mots à retenir
But du principe de crochet (4)
Mémoriser des listes de mots indépendants qui
n’ont pas à être disponibles longtemps
Contenus à mémoriser de façon précise et
souvent selon un ordre
Vrai ou faux, la méthode des crochets peut se faire par rimes imagées
vrai
Procédure de la méthode des crochets avec rimes imagées (3 étapes)
- Mémorisation d’une série de rimes servant de «crochets» (encodage préalable des rimes)
Ex: Un-pain; deux-pneu; trois-croix; quatre-patte… - Former une image intégrant le mot crochet avec le mot à apprendre
Ex: Un-pain-SOLDAT
Image mentale = soldat avec une baguette au lieu de son fusil - Effectuer le rappel dans l’ordre requis grâce à la numérotation inhérente
Méthode (crochet et rimes) efficace pour mémoriser une série…….
……. sont nécessaires pour encoder le matériel (temps)
dans l’ordre
5 à 10 secondes
Méthode la plus connue et la 1re répertoriée (antiquité)
méthode des lieux
Procédure de la méthode des lieux (3 étapes)
- Mémorisation d’une série de lieux (ex: Peut être notre maison, un trajet en voiture fait souvent)
- Mots à retenir sont placés dans chaque lieu selon un parcours mental
- Lors du rappel, les mots sont récupérés, un à un, dans l’ordre, en refaisant le parcours initial.
la méthode des lieux permet d’apprendre ….. mots
40 à 50 mots
Covitz et la méthode des lieux expérience décrire
Apprentissage d’une liste de 32 mots à placer dans un nombre de lieux variable
Sujets ayant imaginé le plus de mots dans plus de différents lieux ont mieux performé
Efficace surtout si 1 ou 2 mots par lieu (pas plus)
Meilleure performance à 2 mots par lieu et 16 lieux
Rôle de l’imagerie mentale dans les méthodes mnémotechniques (importance, potentiel d’imagerie, efficacité)
Image mentale est primordiale dans les méthodes mnémotechniques
Potentiel d’imagerie des mots est variable
Efficacité ↓ si le mot à retenir est difficile à imager
Quelles propriétés des images mentales ↑ performances mnémoniques?
On a identifié 2 variables qui feraient qu’une image mentale est meilleure:
interactivité et bizarrerie
Wollen et coll expérience décrire (comparaison de …, procédure, possibilités, questionnement)
Comparaison entre l’effet de l’interactivité et de la bizarrerie
Procédure:
Apprentissage de paires de mots, représentées par des images (proposées par l’expérimentateur, pas imaginées par sujet)
4 possibilités d’images
-interactif et bizarre (piano fume cigare)
- interactif non bizarre (cigare sur piano)
- non interactif et bizarre (piano à l’envers et cigare allumé des 2 bouts à côté)
-non interactif et non bizarre (piano et cigare côte à côte)
Quelle est la variable déterminante pour le rappel?
Résultats de l’expérience de Wollen et coll (variable + importante, comment l’autre aurait pu être + efficace, l’autre influence quoi)
L’interaction est la variable la plus importante pour faciliter le rappel
L’imagerie bizarre pourrait être + efficace si elle est produite par le sujet (pas imposée par l’expérimentateur)
Ne doit pas alourdir le processus (processus spontané)
Bizarrerie n’influence pas tant la mémoire elle-même…
Influe sur la métamémoire (i.e., la perception de sa propre performance mnémonique) (pense plus facile de souvenir quand bizarre)
Pour une même performance, rappel d’images bizarres apparait + facile
Méthodes mnémotechniques verbales (non basées sur l’imagerie mentale) Objectif, manière, fait appel à…, exemples (2))
faciliter le rappel de connaissances déjà mémorisées
Utiliser la (ou les) première lettre des mots comme indice de récupération
Fait appel à un recodage verbal structuré des premières lettres ou syllabes en un mot/phrase plus facile à retenir
HOMES: permet de se souvenir des 5 Grands Lacs canadiens
Napoléon Mangea Allègrement Six Poulets Sans Claquer D’argent: pour le tableau périodique…
Méthodes mnémotechniques verbales pas utiles dans toutes les situations, seulement …. (2)
Pour des mots déjà en mémoire qui doivent être rapportés dans un ordre précis
S’il n’y a pas de moyens propres faciles à développer.
Vrai ou faux, Les méthodes mnémotechniques verbales sont utilisées pour des connaissances spécifiques
vrai
Expérience de Morris et Cook (brève description)
Comparent 2 tâche (jours de la semaine (dans un ordre différent): déjà bien encodé dans notre mémoire vs liste de mots aléatoires
connaitre les mots et ensuite doit faire truc mnémotechnique
Expérience de Morris et Cook résultats (2 tâches)
Dans le cas de la liste de mots aléatoires, (Liste : « Manteau, Nacelle, Tuyau, Roue »
Indice: MoNTRe)
L’indice mnémotechnique n’est d’aucune valeur pour faciliter le rappel!
Dans le cas des jours de la semaine dans un ordre particulier,
Sujets qui ne reçoivent pas d’aide particulière: 55% réussite au rappel
Sujets qui reçoivent l’aide d’une phrase: 90% réussite au rappel (Ex: «Je ME Suis Lavé Dans MA Voiture)
Variante des méthodes mnémotechniques verbales
faire des histoires avec les mots-cibles
Variante : faire une histoire avec les mots-cibles (comment cela fonctionne, incorpore verbal et aussi…)
Système d’enchainement où les mots à retenir sont incorporés les uns à la suite des autres dans une histoire.
Bien que d’abord verbale, cette technique peut incorporer des composantes visuelles
Méthodes mnémotechniques et techniques d’étude (récupération vs encodage et significatif vs non significatif)
méthodes mnémotechniques encodage et non significatif
techniques d’étude, encodage et significatif
Techniques d’étude servent à ….
faciliter l’apprentissage et la mémorisation de textes structurés et ayant un sens
techniques d’étude (utilise aide mémoire pour … du matériel…., complexité, nécessite (2)…)
Aide-mémoire pour encoder du matériel organisé dans un sujet d’étude ou un évènement
Plus complexe et global que les autres méthodes mnémotechniques
Nécessite de la mémorisation ET de la compréhension de texte
Méthode du livre pour technique d’étude
méthode PQ4R
Explication de la méthode PQ4R
P (Preview) = Survol du chapitre Identifier les points et sections importants
Q (Question) = Questionnement Élaborer des questions sur le texte via sous-titres
R (Read) = Lire Lecture en essayant de répondre aux questions
R (Reflect) = Réflexion Sur le sens du texte, liens avec autres infos en MLT, élaboration
R (Recite) = Rappel Rappel du contenu après chaque section en essayant de répondre aux questions
R (Review) = Révision Points importants et questions
Vrai ou faux, la méthode PQ4R pourrait se résumer à très tôt dans le processus entamer un processus actif (questionnement)
vrai
3 moments importants de la méthode PQ4R
Étape 1: élaborer un plan d’étude (planification) (schéma d’organisation du chapitre)
Étapes 2 à 5:
Période d’étude active;
faire de l’autoquestionnement
faire du préquestionnement. (i.e.: Questions préalables à l’étude de la section du chapitre)
Étape 6: consolidation (lors de révision) des encodages faits pendant l’étude (2 à 5)
Préquestionnement VS postqustionnement
C’est équivalent! (peu importe, mais important d’en poser)
Représente l’un des aide-mémoire les plus courants dans un contexte d’étude
prise de notes
Aspect important dans la prise de notes pour que cela soit efficace
demeurer actif (pas juste mot à mot)
2 fonctions de la prise de notes (1re 2 éléments, 2e 1élément)
Interne: Favorise l’organisation des idées importantes d’un texte (encodage)
Agit un peu comme le questionnement de la méthode PQ4R
Favorise l’organisation des idées importantes d’un texte
Facilite l’encodage lorsqu’elle induit une activité d’intégration de l’information
Externe: Résumé structuré ou révision par élaboration
Vrai ou faux, la prise de notes n’est pas nécessairement mieux pour le rappel mot à mot (explique + 2 autres éléments)
Vrai, expérience de (Peper et Mayer), cela n’aide pas non plus au niveau de la rétention de faits mais cela aide pour la résolution de problème
Aide à la récupération de connaissances (épisodique ou sémantique)
sémantique
Citation à lire sur l’état TOT (sur le bout de la langue
«Supposons qu’on veuille se rappeler d’un nom oublié, l’état de notre conscience est alors particulier. Il y a à cet égard un manque et rien de plus. Ce manque est très actif. Il y contient une sorte de double du nom qui nous pousse dans une direction donnée, déclenchant par instants des fourmillements du fait de notre besoin d’exactitude, puis nous laissant s’enliser, privés du mot convoité.»
William James
TOT veut dire
tip of the tongue (sur le bout de la langue)
Brown et McNeill expérience sur le TOT (procédure (technique pour…, présentation de… participant doivent répondre… ), 3 options qui peuvent arriver aux sujets)
Mise au point d’une technique pour induire l’état TOT
Présentation de définitions de mots rares
Participants doivent donner les mots correspondant aux définitions.
Qu’arrive-t-il aux sujets? (3 options)
Trouvent spontanément le mot recherché
Sont certains de ne pas connaître le mot recherché
Sentiment de savoir mais incapable de donner la réponse TOT
Suite à l’expérience, les chercheurs Brown et McNeil ont demandé aux sujet… (3) (TOT)
De donner tous les mots qui leur venaient à l’esprit(mots intermédiaires)
Une fois les ressources épuisées:
d’estimer le nombre de syllabes du mot recherché
d’en deviner la première lettre
Résultats (2) et conclusion de l’expérience sur le TOT de Brown et McNeil
Résultats
Participants trouvaient la première lettre dans 50% des cas (pas si bon)
Similarité syntaxique/sémantique entre les mots intermédiaires et le mot recherché (définition ressemble, proche ex: serpentard et serpent sonne semblable, comment ça sonne aussi)
Conclusion
Information disponible mais sujet n’arrive pas à générer des indices de récupération assez précises pour activer mot en mémoire sémantique
Reason et Lucas expérience sur TOT (Procédure et 2 états résultants)
Ont demandé à 32 volontaires de tenir un journal de leurs états TOT pendant un mois (2 sortes de TOT)
États bloqués
États non-bloqués
États bloqués (quoi + stratégies internes vs externes)
(53%): caractérisés par l’apparition récurrente à la mémoire d’un autre mot que celui recherché (arrête pas de revenir
55% des solutions sont obtenues à l’aide de stratégies interne;
45% par stratégies externes
États non-bloqués (quoi + stratégies internes vs externes)
(47%): recherche en mémoire sans mot récurrent
85% des solutions sont obtenues à l’aide de stratégies internes
Ex: générer des indices sémantiques semblables; recherche par ordre alphabétique
Quoi faire lors d’un état bloqué
laisser faire et y revenir plus tard, le mot de remplacement est trop envahissant
Expérience de Gronlund et Shiffrin de l’ordre alphabétique comme stratégie de récupération (procédure, type de rappel, 2 stratégies, quelle stratégie est la meilleure, pourquoi autre moins bonne)
Tâche de rappel sémantique:
Donner le plus grand nombre possible de noms d’animaux à 4 pattes, de sports, de fruits, de légumes, etc.
Stratégie libre
Ordre alphabétique
Rappel libre meilleur qu’en ordre alphabétique
Alphabétique: 2 contraintes = + lent, Coût cognitif associé à l’appariement de lettres de l’alphabet et des membres des catégories)
Sentiment de savoir (quoi, entre en jeu quand, influence sur (2)
Croyance que l’on a de connaître la réponse à une question sans pouvoir la donner
Entre en jeu à la suite d’une difficulté de récupération
A une influence déterminante sur la décision d’utiliser une stratégie de récupération et sur la persévérance qu’un sujet démontrera
Quand on est certain de savoir, on va persévérer à essayer de trouver la réponse
Le sentiment de savoir est-il un bon prédicteur de la reconnaissance ultérieure d’un item oublié
non
Nelson et Narens expérience sur le sentiment de savoir (créé…, questions/erreurs, tâche du sujet, test)
Ont créé une banque de questions portant sur divers sujets…
Questions posées jusqu’à ce qu’un nombre de réponses incorrectes soient produit
Les sujets pouvaient faire des erreurs sous deux formes:
Omission: La personne n’a pas répondu
Commission: La personne a produit une mauvaise réponse
Sujet doit ordonner les questions d’après le sentiment qu’il a de connaître la bonne réponse (plus sûr vers moins sûr de la réponse)
Test-critère où l’item recherché se trouve parmi un ensemble de distracteurs (sert à évaluer le SS)
Nelson et Narrens résultats et conclusion sur l’expérience du sentiment de savoir
Résultat?
Relation positive, mais faible entre le sentiment de savoir et la performance (il n’y a donc pas une corrélation très forte entre ces 2 critères)
Sentiment de savoir n’est pas le meilleur prédicteur performance au test
Conclusions?
Différences importantes entre les erreurs de commissions et d’omission:
Le fait de proposer une réponse que l’on croit acceptable ↑ le SS (sentiment de savoir)
Dans le doute, abstiens-toi!
Vrai ou faux, L’évaluation de l’efficacité de la mémoire est imparfaite et même biaisée…
vrai
Pourquoi, la confiance d’un témoin oculaire dans l’identification d’un présumé coupable est très peu corrélé à la culpabilité de l’individu
Un témoin très certain n’est pas plus exact qu’un témoin au jugement mitigé
Degré de certitude ≠ utile pour la précision de cette info
Les jugements que nous portons sur l’efficacité de notre propre mémoire peuvent souvent être erroné
Chercheurs vs expériences (encodage significatif et non-significatif) associations
Wollen et Coll, Peper et Mayer, Morris et Cook, Crovitz
- Méthode des lieux (nombre de lieux variable pour nombre d’éléments à mémoriser)
- Interactivité vs bizarrerie lequel est plus déterminant pour le rappel
- Moyens mnémotechniques verbaux (leur utilisation pour le rappel d’information déjà connue mais dans un autre ordre (jours de la semaine) vs liste de mots aléatoires)
- Prise de notes vs pas (résolution de problèmes, rétention de faits, rétention mot à mot)
- Méthode des lieux (Crovitz)
- Interactivité VS bizarrerie (Wollen et Coll)
- Moyens mnémotechniques verbaux (Morris et Cook)
- Prise de notes (Peper et Mayer)
Récupération d’évènements passés par un processus de ….
reconstruction
Récupérer des évènements passés par la reconstruction exemple et on doit aussi revisiter …
Qui était dans ma classe de sixième année?
Je dois revoir les élèves, mais aussi l’école, la cour, la classe…
Revisite le contexte et les utiliser en enchaînement
le contexte (réactivation des éléments contextuels)
William et Holland sur le cycle de récupération en 3 étapes
Phase de mise en contexte mental: rappel de caractéristiques physiques, géographiques et temporelles de cette période
Phase de prospection en mémoire: Les noms activés servent à leur tour d’indices de récupération
Phase de vérification: Les noms sont liés à des évènements vérifiables.
Vrai ou faux Toutes méthodes d’aide au souvenir devraient donc faciliter la remise en contexte et permettre une vérification des souvenirs qui sont alors générés
Vrai
Nom du cycle de Williams et Holland
cycle de récupération
Hypnose (suggestibilité, peut altérer (3), variabilité réactions, 2 façons d’y réagir, difficultés)
Caractérisée par une augmentation de la propension à réagir en conformité à une suggestion (suggestibilité accentuée)
Peut occasionner une altération de la perception, de la mémoire ou des émotions
Grande variabilité interindividuelle à la capacité de répondre à la suggestion hypnotique
Abandon du jugement critique (conformisme)
Confabulation
Maintes difficultés associées à son utilisation et à son évaluation
Témoignages induits par l’hypnose (utilisé dans … pour…, danger…)
enquêtes policières pour raviver les souvenirs des témoins, mais le danger de cette utilisation est la confabulation
Confabulation
créer un nouveau souvenir
Hypnose dans les enquêtes policières (interrogatoire…, environnement…, attitude…)
L’hypnose est associée à des interrogatoires mieux construits, à un environnement plus relaxant et à une attitude plus ouverte
Hypnose en laboratoire (complexité de…, charge…, notion de connaissance…)
Niveau de complexité du matériel utilisé est à charge émotive (on sait qu’on participe à une expérience) est faible.
Est-ce que l’hypnose produit réellement une amélioration du rappel?
non (par rapport à un interrogatoire cognitif)
Les témoins hypnotisés sont-ils plus susceptibles de confabuler et de se rappeler de faits erronés?
oui
L’hypnose n’est plus utilisée de nos jours dans les interrogatoires puisqu’elle est… (2)
dangereuse pour la suggestibilité et l’altération du jugement
Expérience de Geisellman et Coll sur l’hypnose (témoignages) (défi = …, procédure en labo (tâche, 3 types d’interrogatoires)
Défi = validité écologique (à quel point transférable dans notre vie quotidienne car usage de vidéo)
Procédure en laboratoire:
Visionnement de films montrant des crimes
Interrogatoire: peuvent être :
Régulier: Relater les faits et les chercheurs posent quelques questions
Sous hypnose
Cognitif: Remise en contexte par imagerie mentale (un meilleur interrogatoire que régulier
Résultats et conclusion de l’expérience de Geisellman et coll
Résultats: le nombre d’éléments confabulés est plus grand sous hypnose et moins d’éléments corrects rappelés
Conclusion: L’interrogatoire cognitif est meilleur que l’interrogatoire sous hypnose
Mémoire prospective (mémoire de … (2), sert à se souvenir de…, on dit qu’on n’a pas….
C’est une mémoire d’intention, d’action, qui sert à se souvenir de faire quelque chose.
Quand on dit qu’on n’a pas une bonne mémoire, on parle souvent de la mémoire prospective. (dans vie courante)
Caractéristiques de la mémoire prospective (3)
Activités en dehors de la structure habituelle de nos journées
Indices de rappel par ricochet
Provoque des incidents souvent embarrassants
Relatif à se souvenir de se souvenir et difficile à recréer en laboratoire
mémoire prospective
Contenu prospectif vs rétrospectif (moral et importance informative)
Rétrospectif: quand remémoré moment, contenu informatif faible, lien moral
Rétrospectif (Quoi contenu, information retenue primordiale, neutre par rapport à la morale)(ex: ce que j’ai mangé au souper hier soir)
Wilkins et Baddeley expérience sur la mémoire prospective (tâche, 2 groupes selon…, qui était moins précis)
Tâche prospective: simulation de la prise de pilules (les sujets devaient appuyer sur un bouton à des moments précis de la journée)
Groupes formés sur la base de la performance à une épreuve de rappel sériel immédiat de mots (2 groupes selon leur empan mnémonique)
Les sujets avec une bonne mémoire verbale étaient moins précis
Vrai ou faux, la routine fait partie du prospectif
Faux c’est ce qui est hors de la routine
Vrai ou faux, l’expérience de Wilkins et Baddeley a une valeur écologique importante
vrai (se rappeler de prendre ses pilules, vie courante)
Mémoire prospective (patients aux déficits mnésiques généraux…, vieillissement, implique quelqu’un ou pas (rendez-vous vs objet inanimé)
Patients avec des déficits mnésiques généraux ont de mauvaises performances aux tests de mémoire prospective
L’une des composantes des tests de mémoire les plus sensibles au vieillissement: les personnes âgées ont une moins bonne mémoire prospective (déclin, perceptible premier)
Rendez-vous/réunion moins souvent oubliés que projets impliquant des objets inanimés (implique quelqu’un vs pas)
Faire poser des pneus est plus facile à oublier qu’un rendez-vous chez la coiffeuse
Expérience d’Ellis, mémoire prospective (2 tâches, quelle mieux rappelée, + besoin aide-mémoire externe, remémoré souvent, jugé + important)
2 tâches moment précis vs délai + long
Faire quelque chose à un moment précis (rendez-vous chez le dentiste)
Mieux rappelés;
Jugé plus important par le sujet
Fait plus souvent l’objet d’un aide mémoire externe
Remémoré moins souvent (dans une journée)
Faire quelque chose au cours d’un délai ± long (pose de pneu, acheter un billet d’avion en Janvier)
Chercheurs vs expériences aide à la récupération et mémoire prospective (connaissances et évènements) associations
Chercheurs : Ellis, Geisellman et coll, Reason et Lucas, Williams et Holland, Brown et McNeil, Wilkins et Baddeley, Nelson et Narens, Gronlund et Shiffrin
Expériences:
1. induction d’un état de TOT avec définitions de mots rares (info disponible mais indices difficiles à générer)
- journal de l’état de TOT états bloqués et non-bloqués, stratégies internes vs externes
- Ordre alphabétique stratégie de récupération (rappel libre vs alphabétique avec catégories sémantiques)
- Sentiment de savoir (banque de questions sur divers sujets, nombre de réponses incorrectes, omission vs commission) SS par rapport à la réelle performance
- Cycle de récupération (épisodique), (mise en contexte, prospection en mémoire, vérification)
- témoignages induits par l’hypnose (visionnement de vidéos de crimes, 3 interrogatoires: régulier, sous hypnose ou cognitif)
- mémoire prospective simulation prise de pillules à un moment précis de la journée
- mémoire prospective faire quelque chose à un moment précis versus avec un + ou - long délai
- induction de l’état de TOT (Brown et McNeil)
- TOT journal et états bloqués/non bloqués (Reason et Lucas)
- Ordre alphabétique (Gronlund et Shiffrin)
- Sentiment de savoir (question pense mieux savoir que d’autres) (Nelson et Narens)
- Cycle de récupération (Williams et Holland)
- témoignages induits par l’hypnose (vidéos, 3 interrogatoires) (Geisellman et coll)
- mémoire prospective (prise de pillules) (Wilkins et Baddeley)
- mémoire prospective (faire quelque chose moment précis vs délai) (Ellis)
Interrogatoire régulier vs cognitif
Régulier: Relater les faits et les chercheurs posent quelques questions
Cognitif: Remise en contexte par imagerie mentale (un meilleur interrogatoire que régulier)
Mémoire du futur
prospective