Mémoire sémantique Flashcards

1
Q

La mémoire sémantique fait partie de quel catégorie de mémoires (2 dedans)

A

Explicite (déclarative) qui comprend sémantique et épisodique

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2
Q

Vrai ou faux, la mémoire sémantique est une mémoire inconsciente

A

faux, c’est une mémoire consciente

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3
Q

Définition de la mémoire sémantique

A

Mémoire des faits et des connaissances

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4
Q

Citation à lire

A

«On fait lascienceavec des faits, comme on fait unemaisonavec despierres;mais uneaccumulationde faits n’est pas plus unesciencequ’un tas depierres n’est unemaison.»
- Henri Poincarré

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5
Q

Nommer les 3 modèles d’organisation en mémoire sémantique abordés dans le cours

A

Modèle de réseau hiérarchisé en mémoire sémantique

Modèle de comparaison des caractéristiques

Modèle de réseau non hiérarchisé (diffusion d’activation)

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6
Q

Importance de la structure/organisation de l’information sémantique (permet 2) (reflète (2)

A

Permet de comprendre la performance de la mémoire

Permet d’élaborer des systèmes informatisés (p. ex.: intelligence artificielle)
reflète le fait que la Mémoire humaine est très puissante…
Mémoire = immense réservoir auquel on se réfère avec facilité

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7
Q

Organisation des mots selon Quillian questionnement

A

«Quel type d’organisation des mots en mémoire sémantique permet à l’humain de connaître et d’utiliser ces mots comme il le fait?»

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8
Q

Utilisation des mots de l’humain (2)

A

facilement et tôt dans le développement

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9
Q

Organisation des mots de Quillian (développe un programme de…) (Comparaison des mots selon….)

A

Développe un programme de compréhension du langage

Comparaison des mots (selon leur signification)

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10
Q

Développe un programme de compréhension du langage (de Quillian) (permet… (3))

A

Permet d’identifier l’organisation de base des mots en mémoire sémantique, la connaissance et l’utilisation des mots

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11
Q

Comparaison des mots (selon leur signification) (de Quillian), ce qui implique de: (3)

A

Trouver/localiser l’information sémantique pertinente dans sa mémoire;

Établir des relations entre ces informations pour chacun des deux mots; (extraire similitudes et différences)

Tirer des conclusions (production de texte)
P.ex: comparaison plante vs humain

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12
Q

Organisation des mots de Collins et Quillian organisé en réseau hiérarchisé (4)

A

Les concepts sont les nœuds du réseau

Les nœuds sont reliés ensemble par liens

Chacun des concepts possèdent des pointeurs, permettant de donner des caractéristiques

Étapes de traitement pour déterminer si une information est vraie ou fausse/comparer des concepts

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13
Q

Héritage et annulation dans l’organisation des mots de Collins et Quillian

A

caractéristiques d’un niveau plus élevé sont héritées par les ensembles inférieurs pas besoin de les remettre à chaque fois, dire seulement si c’est une exception (annule)(ex: autruche ne peut pas voler mais catégorie oiseau peut voler)

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14
Q

Vérification d’énoncés en mémoire sémantique (Collins et Quillian) Procédure (ce qui est présenté au sujet, 2 types (+ exemple requin, expliquer essais), variable)

A

Énoncés de vérification présentés au sujet (réponse oui/non)

Vérification porte sur les propriétés
Ex: ««Un oiseau peut voler» ou «Un lapin peut voler»

Vérification porte sur l’appartenance à une catégorie
Ex: «Un moineau est un oiseau» ou «Un moineau est un animal»

Niveau de catégorie diffère (inclusion d’ensemble)
Variable: temps de réaction

Essais: 2 types de phrases

Phrases Super-ensemble (S)
Déterminer que X est un Y
S0: «Un requin est un requin»
S1: «Un requin est un poisson»
S2: «Un requin est un animal»

Phrases Propriété (P)
Déterminer si X montre propriété P
P0: «Un requin peut mordre»
P1: «Un requin peut nager»
P2: «Un requin mange»

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15
Q

Vérification d’énoncées en mémoire sémantique (Collins et Quillian) Prédictions (2)

A
  1. Prédiction (catégorisation de niveaux) : Temps de réaction sont additifs
    Devrais être de + en + long en montant de niveau (directement proportionnel au nombre de niveaux
    S0: «Un requin est un requin» = Niveau base S
    S1: «Un requin est un poisson» = Niveau base S + «Un requin est un poisson»
    Monter d’un niveau
    S2: «Un requin est un animal» = Niveau base S + «Un requin est un poisson» + «Un poisson est un animal»
    Niveau base + Monter deux niveaux

Prédiction (propriétés): Temps de réaction sont additifs
Devrais être la même chose que l’autre
P0: «Un requin peut mordre» = Niveau base S + «Un requin peut mordre»
Vérification propriété
P1: «Un requin peut nager» = Niveau base S + «Requin est poisson» + «Poisson peut nager»
Monter d’un niveau + Vérification propriété
P2: «Un requin mange» = Niveau base S + «Un requin est un poisson» + «Un poisson est un animal» + «Animal mange»
Monter deux niveaux + Vérification propriété

  1. De manière générale + long propriété est toujours plus long que de déterminer l’appartenance à une catégorie
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16
Q

Vérification d’énoncés en mémoire sémantique (Collins et Quillian) Résulats et interprétations (3)

A

Nombre de niveaux entre X et Y/P: facteur dans TR
Vérifier une propriété est toujours plus long que de déterminer l’appartenance à une catégorie
Vérifier une propriété est plus long (nœuds) [250 ms]
Vérification s’appartenance à un ensemble (liens) [75 ms]

Processus additif (Relation entre temps de réponse et structure hiérarchique (pas parfaitement directement proportionnel mais relation conservée avec hypothèse)
Soutien pour approche hiérarchique en réseau

Économie cognitive (héritage)
Propriétés du concept général n’ont pas à être associées spécifiquement par pointeurs au concept (héritage)

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17
Q

Réseau hiérarchisé en mémoire sémantique (Collins et Quillian) Problèmes/limites, Modèle logique, mais ne peut rendre compte de certaines observations… (3)

A

Effet d’inversion de niveau (avantage du niveau de base)
«Un chien est un animal» < «Un cheval est un mammifère»

Effet de représentativité
«Un moineau est un oiseau» < «Un poulet est un oiseau»

Mots atténuants
«Une chauve-souris est presque un oiseau»  Jugé vrai (ont des ailes)
Examen des caractéristiques des éléments comparés?

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18
Q

Concept comme ensemble de caractéristiques (comment vérifier si un moineau est un oiseau)

A

Concept «oiseau» représenté en mémoire comme un ensemble de caractéristiques:
A des ailes, couvert de plumes, vole, a un bec…

Concept «moineau» est aussi classé comme un ensemble de caractéristiques:
A des ailes, vole…

Vérification des énoncés sémantiques:
« Un moineau est un oiseau »
Comparaison des caractéristiques «moineau» et «oiseau»

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19
Q

Modèle de comparaison de caractéristiques (Smith, Shoben et Rips) 2 étapes de comparaison

A

Comparer les caractéristiques des deux concepts pour déterminer la similarité; réponse très rapide
Très semblable (on répond par vrai)
Très dissemblable (on répond par faux)

Examen des caractéristiques de définition plus approfondies est nécessaire (lorsqu’on n’est pas en mesure de répondre à l’étape 1)

20
Q

Examen des caractéristiques de définition plus approfondies est nécessaire (lorsqu’on n’est pas en mesure de répondre à l’étape 1) (explique….. peut aussi rendre compte de….)

A

Explique pourquoi les gens expriment plus facilement les exemples typiques et atypiques

Peut aussi rendre compte de l’effet de la taille de catégorie (chimpanzé vs animal/primate)

21
Q

Modèle de comparaison de caractéristiques (Smith, Shoben et Rips) Schéma décrire

A

Présentation de l’item test

Stade 1 : Comparaison des caractéristiques des 2 termes pour déterminer leur similarité globale

Soit très dissemblables (x inférieur à C0) donc réponse NÉGATIVE

Soit très similaires (x supérieur à C1)réponse POSITIVE

Soit au centre (entre C0 et C1) valeur de similarité intermédiaire, PASSAGE AU STADE 2

Stade 2: Comparaison des caractéristiques essentielles seulement et classement par la suite par appariement (réponse POSITIVE) ou non appariement (réponse NÉGATIVE)

22
Q

Réponse positive/négative modèle de comparaison des caractéristiques

A

Les items appartiennent ou non à la même catégorie

23
Q

Modèle de comparaison de caractéristiques
(Modèle fondé sur la notion de…., qu’ils ont associé à ……)

A

Modèle fondé sur la notion de similarité sémantique

Qu’ils ont associé à la fréquence de production
La fréquence de production d’une catégorie: fréquence à laquelle les individus vont nommer une catégorie pour un concept donné (mots plus familiers (qu’on utilise plus souvent) plus associées souvent (souris respire vs souris mange du fromage))

24
Q

Modèle de comparaison de caractéristiques: utilisation du modèle pour expliquer les effets (3)

A

De représentativité (certains items représentent mieux catégorie que d’autres)

D’inversion de niveaux (image berger australien répond plus vite chien que berger australien, ou primauté du niveau de base)

De différences intracatégories

25
Q

Pourquoi la réponse melon au mot Cantaloup est moins rapide que celle de fruit

A

Melon utilisé moins souvent que fruit (pourrait aussi expliquer cette différence) (fréquence d’usage)

26
Q

Comparaison de caractéristiques (Ensemble 1: catégorie plus grande temps de réaction plus grand que catégorie plus petite) (Ensemble 2: catégorie plus petite temps de réaction plus grand que catégorie plus grande) quel phénomène dans ensemble 2

A

Inversion de niveaux

27
Q

Vrai ou faux, Posséder les connaissances nécessaires pour comparer, beaucoup de différences interindividuelles

A

vrai

28
Q

Modèle de comparaison des caractéristiques (Smith, Shoben et Rips) Limites (3)

A

Le modèle dépend des évaluations:
Très difficile à mesurer, à objectiver (subjectif propre à chacun)

Toutes nos classifications nécessitent des calculs:
Nous utilisons les caractéristiques des concepts pour calculer leur degré de similarité.

Prétendue nécessité des caractéristiques de définition:
Il y a peu d’évidences que les gens ont les mêmes caractéristiques de définition. (variation)

Pas économe cognitivement non plus (toujours comparer les caractéristiques dans la vie de tous les jours)

29
Q

Vrai ou faux le modèle de comparaison de caractéristiques est pertinent mais imparfait

A

vrai

30
Q

Conclusion jusqu’à date

A

Distance sémantique
sur toutes les expériences sur la mémoire sémantique: «les concepts sont plus ou moins proches les uns des autres».
ex.: Serin et oiseau sont plus proches que serin et animal.
Donc, la distance sémantique entre deux concepts est variable.

31
Q

Modèle de réseau non hiérarchisé utilise quel concept

A

diffusion d’activation

32
Q

Diffusion d’activation

A

Dans les modèles de réseaux, le processus responsable du phénomène est appelé distribution d’activation

La structure de la MLT permet qu’une fois qu’un nœud est activé, les nœuds associés sont aussi activés

Suppose que l’activation se diffuse, se transfert… Mots associés sont donc aussi activés (mots proches)

Le processus s’exécute très rapidement et se produit sans intention délibérée (involontairement)

33
Q

Modèle de réseau non hiérarchisé de Collins et Loftus (modification de ….)(la mémoire sémantique est…… concepts représentés par…, et …..) (pas de…..) (concept peut….. rejette….) (récupération…….., distribution……., activation de…)

A

Modification du modèle de Collins et Quillian

La mémoire sémantique: réseau de concepts interreliés

Concepts représentés par des nœuds

Nœuds reliés aux autres (liens)

Pas d’organisation hiérarchique

Concept peut être présent plusieurs fois (rejette économie cognitive)

Récupération de l’information = distribution de l’activation à travers le réseau
Activation des concepts proximaux (proches)

34
Q

Modèle de distribution d’activation de Collins et Loftus (variation de réseaux dépend de…. + métaphore goutte d’eau tombe)

A

Réseaux différents dépend de chaque personne et de son expérience avec les divers concepts (certaines associations comme feu et maison)

Se répand autour plus fort au éléments plus proches et moins fort aux éléments plus loins

35
Q

Modèle de distribution d’activation (Collins et Loftus) 2 types de liens

A

Lien qui modifie le concept (qualificatif)
Unit le concept et sa propriété (ex: pomme ET verte)

Lien d’inclusion (spécifie)
Unit un concept à sa catégorie (ex: pomme macintosh)

36
Q

Modèle de distribution d’activation (structure en …… permet d’activer….. à la suite de….) (5 caractéristiques de l’activation)

A

Structure en réseau permet d’activer des noeuds associés à la suite de l’activation d’un noeud

Automatique
Très rapide (ms)
Sans effort
Sans intention
Difficile à empêcher…

37
Q

Effet Stroop (développé par…. reprise par…)(c’est quoi) (lecture processus…., ne peut pas ……, traitement de l’information se fait……, information sémantique…., processus….. nécessaires pour contourner la difficulté, quel en particulier, réalisation de la tâche….)

A

Développé par Cattel
Reprise par Stroop

Il est plus long, pour un adulte sachant lire, de nommer une couleur perçue que d’en lire le nom d’une couleur
«Stroop interference»

La lecture est un processus automatique

On ne peut pas supprimer la lecture…
Traitement de l’information sémantique (mots) se fait automatiquement

Info. sémantique incompatible interfère avec la tâche de dénomination de couleurs

Processus contrôlés nécessaires pour contourner l’interférence causée par l’automaticité

Inhibition de réponse automatique fonctions exécutives (lobes frontaux)

Réalisation de la tâche est plus longue

38
Q

Inhibition

A

se retenir, contraire de l’impulsivité

39
Q

Effet Stroop dans une autre langue (2)

A

Dans une autre langue pas autant automatique (anglais)

Et langue qu’on ne connait pas ne fonctionne pas vraiment (pas vraiment d’effet remarqué)

40
Q

Préparation sémantique vs Distribution d’activation

A

Préparation sémantique conséquence de la distribution d’activation

41
Q

Préparation sémantique

A

un contexte particulier va nous inciter à compléter un énoncé d’une certaine manière (activation des concepts reliés, proches) ex: So_p (avec images de douche, serviette et bouteille shampoing) tendance à répondre soap au lieu de soup même si 2 mots possibles)

42
Q

Préparation sémantique (2 syn. (1 français, 1 anglais)

A

amorçage ou priming

43
Q

Meyer et Schvaneveldt et préparation sémantique (tâche…, déterminer…, procédure…, variable étudiée)

A

Tâche de décision lexicale

Déterminer si les lettres forment un mot ou non
POMME
ORGD
PADTO

Procédure: Présentation de paires de mots ou non-mots
Dire rapidement si la paire contient 2 mots («oui» ou «non»)

Variable d’intérêt: temps de réaction

44
Q

Résultats expérience de Meyer et Schvaneveldt sur la préparation sémantique (Résultats et interprétation)

A

Résultats:
Jugement lexical (mot vs non-mot) plus rapide lorsque les mots de la paire sont sémantiquement reliés

Interprétation:
Lecture du mot active mots associés dans le réseau sémantique
Propagation/distribution de l’activation

45
Q

Associer les penseurs/chercheurs à leurs théories/expérimentations

Cattel et Stroop, Smith, Shoben et Rips, Quillian, Meyer et Schvaneveldt, Collins et Loftus, Collins et Quillian,

  1. Organisation des mots (selon signification, compréhension du langage)
  2. Modèle de mémoire organisée en réseau hiérarchique (noeuds, liens, propriétés pour chaque noeud)
  3. Vérification d’énoncés en mémoire sémantique (appartenance à une catégorie + propriétés)
  4. Modèle de comparaison des caractéristiques (plus général puis plus essentielles)
  5. Modèle de réseau non hiérarchisé (Modèle de distribution d’activation) modification du modèle hiérarchique
  6. Effet Stroop (+ difficile de nommer perception des couleur quand interférence de mots de couleurs, lecture automatique)
  7. Préparation sémantique (2 groupes de lettres doit dire si 2 mots ou pas, + vite quand lien sémantique entre)
A
  1. Organisation des mots (selon signification, compréhension du langage) Quillian
  2. Modèle de mémoire organisée en réseau hiérarchique (noeuds, liens, propriétés pour chaque noeud) Collins et Quillian
  3. Vérification d’énoncés en mémoire sémantique (appartenance à une catégorie + propriétés) Collins et Quillian
  4. Modèle de comparaison des caractéristiques (plus général puis plus essentielles) Smith, Shoben et Rips
  5. Modèle de réseau non hiérarchisé (Modèle de distribution d’activation) modification du modèle hiérarchique. Collins et Loftus
  6. Effet Stroop (+ difficile de nommer perception des couleur quand interférence de mots de couleurs, lecture automatique) Cattel et Stroop
  7. Préparation sémantique (2 groupes de lettres doit dire si 2 mots ou pas, + vite quand lien sémantique entre) Meyer et Schvaneveldt