Concepts et catégories Flashcards
2 exemples de catégoriser dans notre vie de tous les jours
les matières résiduelles
les troubles mentaux (DSM-5)
Concept (c’est quoi et permet…)
représentation mentale abstraite qui nous permet de catégoriser des objets
2 particularités des concepts (permet…, ne fait pas référence à…)
Formulation de concepts simplifie notre perception de l’environnement (Permet d’identifier rapidement les objets qui s’y trouvent)
Représentation mentale qui ne fait pas référence à un objet concret en particulier
Catégorie (c’est quoi, fait référence à..)
Regroupement d’objets concrets illustrant le concept
Fait référence à une collection ou classe d’objets qui sont des exemplaires du concept
Catégorisation (c’est quoi, selon….)
Processus par lequel des objets sont regroupés (action)
Selon leur statut de membre plutôt que de leur singularité
Vrai ou faux, la catégorisation de fruit et légumes est plus difficile qu’on peut le penser
vrai
Principale différence entre concept et catégorie mais……
concept (abstrait)
catégorie (concret)
mais on les voit comme interchangeables dans le cadre du cours
5 propriétés de la catégorisation
Catégoriser des objets réduit la complexité de l’environnement (millions de teintes de verts)
Catégoriser est le moyen par lequel nous identifions les objets du monde (caractéristiques communes d’un restaurant)
L’établissement de catégories réduit le besoin d’un apprentissage continue (connaissances antérieures nous aident)
Catégoriser nous permet de décider rapidement ce qui constitue une action appropriée (selon le contexte, catégorie d’action)
Catégoriser permet d’ordonner et de relier des classes d’objets et d’évènements (de façon hiérarchique) (tous les types rouges sont catégorisés sous le type rouge)
2 types de catégories
Catégories naturelles
Catégories d’actions
L’identification des concepts (Les premières recherches
(Approche classique)
englobent (3)
règles logiques
apprendre une règle
limites de l’approche classique (catégorisation par les règles)
Identification du concept(Tâche qui nécessite ….
la prise de décision qu’un item est un exemple de concept
Concepts sont habituellement définis par …
des règles logiques
Règles logiques (basées sur…., exemple, dimensions, valeur, attribut/caractéristique)
Basées sur des relations logiques qui nécessitent généralement 2 dimensions
Ex: concepts d’oiseau et de poisson peuvent être définis d’après dimensions «reproduction» (œufs) et « locomotion » (nager/voler)
Valeur attribuée à une dimension (flèche vers) attribut/caractéristique du stimulus
dimension ex: forme et couleur
valeurs ex: rouge, blanc et noir (pour dimension couleur)
4 règles logiques
Conjonctive, Disjonctive, Conditionnelle, Biconditionnelle (voir images ppt pour comprendre ce que chacun inclut avec les formes géométriques)
Règle conjonctive
Utilise la relation logique ET pour relier les attributs du stimulus (union)
Règle disjonctive
Utilise la relation logique OU pour relier des attributs du stimulus
Règle conditionnelle
Utilise la relation logique Si… alors pour relier des attributs du stimulus (ex: si le chat est beau alors il est noir (pas tous les chats noirs sont nécessairement beaux)
Règle biconditionnelle
Utilise la relation logique Si… alors et Si… alors pour lier les attributs de stimulus dans les deux sens. (ex: si le chat est beau alors il est noir ET si le chate est noir alors il est beau)
Expérience de Bourne sur l’apprentissage d’une règle (questionnement et procédure)
Questionnement:
Le problème de classement présente-t-il un niveau de difficulté différent en fonction de la règle définissant la catégorie?
Procédure:
Sujets devaient résoudre 9 problèmes de classification en utilisant l’une des 4 règles logiques
Les stimuli variaient selon 4 dimensions
Couleur, nombre, forme, taille
Catégories formées de 2 attributs pertinents (valeurs ex: rouge, carré reliés selon différentes règles)
Règle qui définit le concept n’est pas révélée au sujet (mais demeure constante au long des 9 problèmes)
Pour chaque élément, doit indiquer si appartenait ou non à la catégorie (doit classifier éléments selon la règle qu’il ne connait pas)
Résultats et conclusions de l’expérience de Bourne sur l’apprentissage de règle
Résultats
Nombre d’essais moindre pour conjonctive et disjonctive, conditionnelle et biconditionnelle (plus d’essais avant de bien apprendre la règle) moins intuitif, + abstrait (+ difficile à apprendre/déduire la règle) (élimine moins de possibilités dans conditionnelles et biconditionnelles)
Conclusions:
Coefficient de difficulté varie entre les 4 règles.
Conditions conjonctives et disjonctives plus faciles
Une fois apprises, les maintenir il n’y a pu de différence
Test neuropsychologique (c’est quoi, conçu pour…, permet de tester…, en quoi consiste)
Wisconsin Card Sorting Test
Originalement conçu pour tester la formation de concepts
Permettrait plus de tester les fonctionnements frontaux
Ex: Associer carte du bas (3 triangles jaunes avec 1 des 4 cartes en haut) fit avec 3 car nombre, forme et couleur, pas 4e)
Limites de l’approche classique (catégorisation par règles logiques) (3)
Concepts artificiels et dimensions arbitraires
Attributs de définition?
L’appartenance à une catégorie sur la base d’une règle est dichotomique: soit on fait partie de la catégorie ou non.
Concepts artificiels et dimensions arbitraires (artificiel contraire de, validité, plupart catégories comprennent…, transmission et partage…)
Artificiel (contraire de naturel, cela vient de la création de l’homme)
Validité écologique (applicable dans la vie de tous les jours)
Exceptions pour la plupart des catégories
Transmission et partage des catégories d’un objet à l’autre? (Un chien et un humain peuvent être loyale, donc quoi les 2 chiens?)
Attributs de définition?
Quel est l’attribut commun à tous les membres d’une catégorie?
Plusieurs catégories simples n’ont pas d’attribut de définition
Ex: Sports, ami…
L’appartenance à une catégorie sur la base d’une règle est dichotomique: soit on fait partie de la catégorie ou non. (question soulevée)
Comment expliquer que certains items sont de meilleurs exemples d’une catégorie?
Problème principal de l’approche classique
manque de propriétés nécessaires et suffisantes
Tous les items d’une catégorie doivent partager propriétés
Toutefois… (grande variété des objets que cela peut inclure ex: catégorie cuillère et cela inclut par les propriétés une pelle et oeuvre d’art)
Expérience de Labov sur la délimitation des catégories naturelles (hypothèse, tâche, 2 conditions)
Hypothèse: Les catégories ne sont pas nécessairement délimitées de façon très précise
Tâche : Indiquer si bol ou une tasse
Condition 1: participant doit imaginer de la nourriture (purée de pommes de terre) dans l’objet
Condition 2: on demande seulement de nommer l’objet (neutre)
Résultats et conclusions de l’expérience de Labov (3 de chaque)
Résultats
Neutre: + diamètre augmente + tendance nommer bol contraire plus diamètre diminue tasse
Amérique du Nord (s’il y a une anse + tendance à dire tasse peu importe diamètre)
Avec nourriture: croisement entre bol et tasse (se fait plus tôt) contexte nous aide à catégoriser) + bol que tasse quand nourriture dedans
Conclusions
Les caractéristiques d’un concept ne sont pas fixes
La classification des objets est influencée par le contexte de présentation
Les limites sont imprécises
La limite entre un bol et une tasse n’est pas clairement établie
Catégories naturelles (définies par…, un attribut peut prendre….., organisé….., catégories divisées…., plus ou moins… degré de…, item en tant que…., ne sont pas…., caractéristiques …. par rapport à l’organisation…)
Définies par des dimensions continues (ex: spectre des couleurs, changement est flou)
Un attribut qui peut prendre n’importe quelle valeur dans une dimension
Hiérarchiquement organisées
Stratégie d’organisation dans laquelle de grandes catégories sont divisées en catégories plus petites
Plus ou moins typiques/degré de représentativité
Mesure de l’aspect typique de l’item en tant que membre d’une catégorie
Ne sont pas indépendants
Les caractéristiques sont dépendantes l’une de l’autre par rapport à l’organisation hiérarchique
Vrai ou faux, chaque object peut être catégorisé à différents niveaux
vrai
Vrai ou faux, on se tient souvent au concept supérieur lorsqu’on nomme un objet
faux, on se tient au concept de base (chien au lieu de animal) suffisamment clair
Taxonomies de l’organisation hiérarchique (entités regroupés selon…. puis en…., chaque objet peut être….. à …., les catégories sont…. les unes aux autres, inclusivité des catégories lien avec
Entités sont regroupées selon leurs caractéristiques puis en sous-caractéristiques
Chaque objet peut être catégorisé à différents niveaux
Catégories sont reliées les unes aux autres
Plus une catégorie est inclusive, plus elle possède un haut niveau d’abstraction (imaginer un animal (+ abstrait, vs chien + concret)