Imagerie mentale Flashcards
Associer les auteurs avec leur théorie (général)
Paivio, Kosslyn, Pylyshyn, Brooks, Shepard
Représentation analogue (similaire à l’objet réel)
Représentation propositionnelle (sous forme verbale de liste de caractéristiques)
Double codage
Distinction visuel-verbal
Représentation analogue (similaire objet réel)
Auteurs: Shepard, Kosslyn
Représentation propositionnelle (sous forme de mots info en mémoire aide à créer l’image)`
Auteur: Pylyshyn
Double codage
Auteur: Paivio
Distinction visuel-verbal
Auteur: Brooks
2 modèles généraux pour l’imagerie mentale
modèle de représentation analogue et modèle de représentation propositionnelle
Qu’est-ce qui est le plus foncé, le rouge d’une pomme ou d’une fraise ?
Qu’est-ce qui se trouve directement sous la fenêtre de votre chambre à coucher ?
Combien de degrés l’aiguille des minutes d’une horloge parcourt-elle entre 18h00 et 18h30 ?
De quelle couleur est la maison à droite de la vôtre?
Qu’est-ce que ces questions suscitent?
Ces questions suscitent des images mentales pour avoir accès à l’information
Imagerie (images mentales):
définition
Habileté à recréer le monde visuel (peut se l’imaginer) dans notre esprit, en l’absence d’un stimulus physique,
Représentation interne d’un objet
Permet de voir l’objet … (4)
Sous différentes perspectives, (naviguer 3D)
Transformé, (chat devient chat noir)
Déplacé
Comme s’il était manipulé physiquement
Particularité de l’imagerie (verbal)
Difficilement transférable verbalement (mots associés aux images mais difficile décrire précisément parfois)
Historique des images mentales (3)
Wundt: introspection (1879)
Débat pensée avec/sans image
Rejet par Watson (1920)
Pour les béhavioristes, imagerie = objet d’étude non valide (non observable)
Étude de l’imagerie mentale réprimée pendant plusieurs années
Années 1960/Révolution cognitive:Imagerie comme un champ d’études (Kosslyn et al.)
Utilisation de mesures objectives
la méthode d’introspection (manière et limites)
Manière: Demander à des participants très entraînés de rapporter le contenu de leur conscience lors de l’exécution de diverses tâches dans des conditions contrôlées
Limites: subjectivité, difficile à mettre en oeuvre, perturbe le déroulement de la tâche, accès seulement à l’impression du participant (ne peut pas établir de causalité)
La majorité des gens disent….
avoir des images mentales
10 à 12% des individus ont de la difficulté à former des images mentales
Il y a également une grande variabilité interindividuelle selon
modalité sensorielle
Ordre des modalités sensorielles du meilleur au moins bon pour l’imagerie mentale
Image visuelle: 97%
Image auditive: 93%
Image motrice: 74% (imaginer sensation du mouvement, ex: danse)
Image tactile: 70%
Image gustative: 67%
Image olfactive: 66%
Rôles de l’imagerie (4)
Processus créatif (lire histoire)
Aide-mémoire (ex: méthode des lieux)
Retrouver l’information dans la représentation en mémoire que l’on a des objets (implicite) (ex: couleur maison du voisin)
Allègent l’esprit (pas besoin de se rappeler de grandes listes de caractéristiques) (Plus couteuse à créer, mais ensuite allège l’esprit)
Débats sur la forme des images mentales (….. vs…..) et donc (… vs….)
(perception vs langage)
(Représentation analogue vs propositionnelle)
Représentation analogue (en bref) (=, garde, existe… permet représentation…., 2 auteurs)
Analogue = (perception)
Représentations mentales qui gardent les propriétés des réalités physiques
Existence d’une fonction cognitive distincte permettant des représentations analogues aux objets
Kosslyn et Shepard
Représentation propositionnelle (en bref (= x2, aurait…, représentations sous forme de …, pas…)
Propositionnelle = langage (liste des caractéristiques)
On aurait une liste de propositions en tête qui décrivent l’objet (mots)
Prétend que ces représentations mentales sont conçues comme des descriptions verbales, symboliques, de la réalité
Ne sont pas un équivalent mental de la réalité physique (même si c’est l’impression perçue)
Majorité des auteurs croient que c’est une représentation…
analogue
Vrai ou faux, peu importe la modalité sensorielle, le débat entre la représentation analogue et la représentation propositionnelle se maintient
vrai (plus liste de caractéristiques vs perception sensorielle)
Les opérations sur les images mentales (relié à quelle représentation)
Représentation analogue de l’objet
Les travaux de ….. et …. représentent les démonstrations les plus convaincantes de l’existence des images mentales.
Shepard et Kosslyn
Selon eux, l’information visuelle peut être emmagasinée sous forme de…. qui s’agit de…
Code analogue
d’une représentation qui possède une ressemblance marquée avec l’objet physique.
La rotation mentale consiste à …
Faire bouger un objet dans notre tête comme dans l’espace réel
Expérience de Shepard et Metzler sur la rotation mentale (objectif, matériel, tâche, variable-clé)
Objectif
Déterminer si imagerie visuelle procède comme la perception
Matériel
Paires d’images représentant figures 3D de 10 cubes connectés
Structure ressemblant à un “bras” avec trois “coudes” à angle droit
Paires ont différence d’orientation de 0o à 180o
½ correspondent malgré rotation
½ étaient des images en miroir
Tâche
Évaluer si les 2 formes de chaque paire sont les mêmes objets
Appuyer sur l’un des deux boutons en fonction du fait que les items de la paire sont différents ou identiques
Variable-clé: Temps de réaction
2 conditions et 2 possibilités de réponse dans l’expérience de rotation mentale de Shepard et Metzler
Conditions: axe de rotation
rotation sur le plan de l’image
rotation en profondeur
Possibilités de réponse:
Même
Différent
Hypothèse de l’expérience sur la rotation mentale
Plus grande différence angulaire implique plus grand TR
(comme dans la vraie vie pour tourner l’objet)
Résultats de l’expérience sur la rotation mentale de Shepard & Metzler (3) (% bonnes réponses, corrélation, variable pas d’effet)
97% de bonnes réponses
TR ↑ de façon linéaire à mesure que le degré d’orientation différenciant les formes ↑
Pas d’impact de la variable “Axe de rotation” pour TR
Vrai ou faux, Corrélation très forte entre temps de réaction et angle de rotation (linéaire très rare)
vrai
Remarque principale de l’expérience de la rotation mentale de Shepard & Metzler
Temps utilisé pour déplacer une I.M. augmente de façon directement proportionnelle à l’ampleur de l’angle de rotation
Interprétations de l’expérience de la rotation mentale de Shepard et Metzler (suggère…, linéarité, preuves claires du processus… , cohérent avec proposition.., performent…, même sur images…)
Suggère que les sujets procéderaient à une rotation mentale d’une des formes jusqu’à ce qu’elle ait la même orientation
Robustesse dans la linéarité des résultats
Preuves claires de processus additif (augmentation des 2 linéaire)
Cohérent avec proposition selon laquelle les participants utilisent une version interne similaire à une rotation externe pour rendre les objets congrus
Participants performent opérations mentales en 3D analogues (interprétation + rotation) profondeur aussi accès à l’aspect tridimentionnel
Même si on leur montre des images 2D
Rotation mentale sur des formes familière expérience
Pouvoir dire si la lettre a été inversée ou non doit procéder à la rotation mentale (R vs R mirroir)
Résultats de l’expérience sur Rotation mentale sur des formes familière expérience (R) (TR en fonction de…, augmentation de type…, résultats…, …. pour décider…)
TR augmente à mesure que la lettre d’éloigne de sa position verticale
L’augmentation n’est pas strictement linéaire (mais s’en rapproche)
Résultats symétriques
Rotation mentale pour décider si lettre «normale» ou inversée
Vrai ou faux dans l’expérience de rotation mentale sur formes familières: proche moins long à dire, plus l’angle différent plus c’est long
240 degrés aussi loin que 120 degrés donc symétrique
vrai
Expérience de Kosslyn, Reiser et Ball sur le balayage mental (En général, But, procédure, variable-clé)
En général
Déplacement de l’attention dans l’environnement visuel ou dans une image mentale
But
Déterminer si l’information spatiale métrique est préservée dans la mémoire de stimuli visuels
Procédure
Paradigme de balayage mental
Déplacement mental sur une carte
Variable-clé: Temps de réaction
Méthodologie de la procédure en étapes expérience de balayage mental (5)
On demande aux participants de mémoriser la carte en se concentrant sur sept endroits-clés (Bien être capable de se représenter la carte et ce qui se trouve dessus):
une hutte,
un arbre,
un puits,
un lac,
une plage,
un rocher,
un champ.
Apprentissage de l’emplacement exact des objets (précisément)
Nom d’un 1er objet est donné:
Reproduire mentalement la carte et imaginer l’objet
Nom d’un 2e objet est donné:
Imaginer un point noir s’y rendant en ligne droite
Appuyer sur le bouton lorsque le chemin mental est terminé
Expérience de balayage mental de Kosslyn, Reiser et Ball (rationnel, hypothèse, résultats, interprétation)
Rationnel
Si l’image mentale de l’île est réellement une copie analogue, cette copie devrait préserver les relations en termes de distance
Hypothèses
↑ distance entre deux cibles = ↑ temps de réaction
Résultats?
Temps de balayage ↑ linéairement selon distance
Corrélation quasi-parfaite entre distance et TR (linéaire encore)
Interprétation
↑TR est dû à ↑ du temps requis pour se déplacer d’une I.M. à l’autre
Critique de l’expérience de balayage mental de Kosslyn, Reiser et Ball
en représentation mentale par balayage moins long que le réel trajet à faire dans la vie (se représenter le trajet jusqu’à l’université vs le faire pas le même temps)
Expérience de Paivio sur la comparaison mentale objectifs (2) + sujet général
«La comparaison d’angles se fait elle de façon analogue lorsque les angles sont traités visuellement et en imagination?»
«La comparaison mentale d’angles s’effectue-t-elle différemment selon la capacité d’imagerie mentale?»
Faible vs forte capacité d’imagerie
angles des aiguilles d’une horloge
Expérience de Paivio sur la comparaison mentale (procédures (2), résultats (2))
Procédures:
A créé groupes de personne ayant une faible/forte capacité d’imagerie
«Quelle est l’horloge dont les aiguilles forment l’angle le plus grand?»
Résultats:
Comparaison impliquant une grande différence entre les angles est plus facile, Plus la différence d’angle est grande plus facile et rapide de répondre (pour 2 groupes)
Sujets à forte capacité d’imagerie sont plus performants (moins long TR)
Opérations mentales: tâche de ….
pliage
Tâche de pliage (Shepard et Feng) (l’air de quoi, flèches, TR)
Tâches de pliage en imagerie (cube)
Dire si flèches se touchent
TR ↑ avec nb de pliages
Plus l’image est petite, plus TR augmente (Plus de pliage à faire plus long à répondre )
Le traitement des images mentales peut imiter celui de….
des perceptions sensorielles
Vrai ou faux «Il existerait une habileté cognitive distincte pour former et traiter des représentations analogues aux stimuli visuels qu’elles représentent» (manipulations mentales, opérations)
Appui empirique
vrai
Modèle computationnel de Kosslyn (comment l’imagerie fonctionne selon lui?)
Imagerie et perception visuelle ont les mêmes fonctions et procèdent de façon similaire
Ces 2 processus permettent de reconnaître les objets et leurs caractéristiques
Modèle computationnel de Kosslyn
(Deux structures impliquées dans la formation d’images mentales (comparaison ordinateur):
Mémoire qui se réfère à la signification des objets et des évènements (MLT)
Mémoire vive/disque dur (stockage à long terme)
Représentation sémantique et épisodique
Mémoire visuelle à très court terme (calepin VS de la MDT)
Écran d’ordinateur
Ce qui est généré provient de la représentation symbolique qui se trouve en mémoire dans l’ordinateur
Le modèle de Kosslyn est …. (mots particuliers)
computationnel:
PICTURE: Consiste à activer l’image à partir de l’information en MLT
FIND: Pour centrer sur une partie de l’image mentale
ZOMM; RESOLUTION; ROTATE
termes pas trop importants
Les objections aux images mentales (quelle représentation +auteur)
représentation propositionnelle, Pylyshyn
Zenon Pylyshyn (article, pas partie de…, erreur de concevoir …, davantage comparable à…, pas considérée … car…. cognitivement pénétrable, 1 seul système, mécanismes utilisés aussi dans, décomposée en…)
psychologue et informaticien (NB)
Il a écrit l’article le plus influent contestant l’utilité des images mentales
« L’imagerie mentale ne fait pas partie de l’architecture fonctionnelle du système humain»
Ce serait une erreur de concevoir les images mentales comme des photographies sans support concret, semblables à des images dans la tête
Il soutenait que l’image mentale est davantage comparable à la description d’une scène qu’à sa photographie
La fonction d’imagerie mentale ne constitue pas une capacité fondamentale de l’humain puisqu’elle est influencée par des croyances et des attentes, l’imagerie mentale «cognitivement pénétrable» (biais cognitifs (attentes, croyances, valeurs) peuvent moduler ces images-là pas réalité pure
Un seul système de mémoire, où les objets sont décrits verbalement, permettrait d’expliquer le fonctionnement de l’individu
Les mêmes mécanismes sont utilisés pour une image mentale que pour les questions de logique.
L’image mentale est donc décomposée en un ensemble de propositions dans notre tête.
Vrai ou faux Kosslyn n’explique pas pourquoi ni comment se font les images mentales
vrai (lacune de sa théorie)
Vrai ou faux, selon Kosslyn
Aspect sémantique suffisant pas besoin de visuel (verbal suffisant) image mentale découle d’une liste de caractéristiques pas d’image en tant que tel
faux, selon Pylyshyn
Vrai ou faux aller mentalement de Québec à Paris est plus court que d’y aller physiquement
vrai lacune de Kosslyn
Vrai ou faux Le modèle de Kosslyn est donc assez robuste pour expliquer les performances des I.M., mais il possède aussi des lacunes
vrai
Le modèle computationnel permet de … (2)
préciser les opérations mentales de l’exécution d’un processus cognitif
prédire avec assez de précision le phénomène étudié (linéaire)
Le modèle computationnel peut passer à côté de (3)
des différences individuelles dans l’I.M.
des conditions quotidiennes d’utilisation des I.M. (quand précisément utilise + images vs verbal)
de la fonction des I.M. (visuel vs verbal)
Vrai ou faux, la mémorisation d’image est meilleure que celle de mots
vrai
Expérimentation 1 mémorisation d’images (mémorisation, rappel/reconnaissance, conclusion)
Phase de mémorisation
10 000 images regardées pendant 5 jours
Phase de rappel (reconnaissance)
Reconnaître laquelle des 2 images présentées est nouvelle/déjà été vue parmi les 10 000
Conclusion
66% d’images reconnues (6 600 images)
Expérience peu concluante; Trop de matériel
Expérimentation 2 mémorisation d’image vs de mots (mémorisation, 3 catégories, rappel/reconnaissance)
Phase de mémorisation
1 000 mots
1 000 dessins simples (un objet par page)
1 000 dessins en relation (interaction)
Phase de rappel (reconnaissance)
615 mots (61%) reconnus
c’est peu; ressemble à rappel libre (sans contexte d’encodage/indice de récup.)
770 images simples (77%)
880 images plus complexes (88%)
Conclusions de l’expérience 2, mémorisation d’images vs mots (3) (facilité, erreurs, concret vs abstrait)
Plus facile de retenir des I.M. que des mots
En reconnaissance: risque d’erreurs du matériel visuel < matériel verbal
Mots concrets sont plus faciles à mémoriser que les mots abstraits
Théorie du double codage (penseur, postule …, capacité d’imaginer image ou mot liée à…, 2 types de mots + types d’encodage pour chaque)
Paivio
Cette théorie postule que la mémorisation est meilleure quand une information est encodée sous forme imagée et sous forme verbale.
La capacité d’imaginer une image ou un mot est en lien avec le niveau d’abstraction du mot
Mots abstraits: 1 seul encodage possible (forme verbale)
Mots concrets: 2 encodages possibles (forme verbale et visuelle)
Mieux rappelés
Vrai ou faux, Les images mentales ont un rôle important dans la mémorisation
vrai
Expérience de Paivio théorie du double encodage (objectif, procédure, évidence)
Objectif
Démontrer que l’apprentissage varie selon la valeur d’imagerie
Procédure
Apprentissage d’une liste de mots associés composée de 16 paires
Mot à valeur d’imagerie élevée (jongleur, robe, lettre, hôtel)
Mot à valeur d’imagerie faible (effort, devoir, qualité, nécessité)
Rappel: on présente le 1er mot de la paire
Influence des images est évidente
Pourquoi la paire de mot E-F est mieux rappelée que F-E (F= faible valeur d’imagerie (abstrait)) (E= valeur d’imagerie élevée (concret))
Au milieu plus facile quand indice est un mot concret (E) qu’un mot abstrait (F)
Expérience de Paivio théorie du double encodage (3 stratégies utilisées pour apprendre, meilleure pour E-E (meilleur rappel), F (faible capacité d’imagerie des mots) stratégie)
Imagerie, Verbale, Répétition
Pour les paires E-E, l’imagerie est la meilleure stratégie
Lorsque la capacité d’imagerie des mots est faible, cette stratégie est moins utilisée. (pas meilleure stratégie pour cela)
Vrai ou faux Chaque code peut mener au rappel
Une image mentale efficace fournit un second type de code indépendant du code verbal
vrai
Mots concrets = …….
valeur élevée d’imagerie
Quelle est la meilleure stratégie pour le rappel (2)
Fait beaucoup les 3 en même temps plus facile encore
Différentes méthodes existent et peuvent être employées dépend de la nature du contenu à retenir
Expérience d’images mentales et d’interférence de Brooks (Buts (2), Procédure (en 2 tâches), 2 types de réponses, on regarde…,
Buts:
Mise en évidence du double encodage
Montrer que systèmes visuel et verbal sont séparés
Procédure:
Tâche visuelle
Présentation du diagramme d’une lettre
La lettre est enlevée
Utiliser sa mémoire pour répondre par Oui pour chaque angle situé en haut ou en bas, et par Non, pour ceux situé au milieu
Tâche verbale
Les sujets devaient répondre par «Oui» pour chaque mot d’une phrase étant un nom commun
Ex: «La vie a une grande importance»
2 types de tâches
Verbale ou visuelle
2 types de réponse
Verbale ou visuelle
On regarde le TR (temps de réaction)
Expérience d’images mentales et d’interférence de Brooks (en général)
voyager sur le F et répondre aux questions (visuel)
Dire oui si nom commun mots dans une phrase
Quels résultats devrions-nous obtenir si traitement de l’info verbale/visuospatiale se fait séparément? (expérience d’interférence de Brooks)
visuelle (tâche) et verbale (réponse) ou contraire + rapide, car moins interférence modalité différente tâche et réponse à émettre
types de réponses comment données
Dire non non oui (verbal) au lieu de pointer notre réponse (visuel)
Conclusions générales (imagerie système…, info visuelle et verbale… )
L’imagerie mentale apparait comme un système distinct
Informations visuelles et verbales pourraient être traitées de façon spécifique aux modalités (Bien que double codage possible dans certains cas)