Soins palliatifs Flashcards
Douleur nociceptive somatique
Exemples
- Métastases osseuses
- Dommages tissus mous
- Douleur articulaire
Douleur nociceptive viscérale
exemples
- Métastases hépatique
- Inflammation
viscérale
Douleur nociceptive obstructive
exemple
Occlusion intestinale maligne
Douleur neuropathique sur des petites fibres
exemples
- Neuropathie
diabétique - Zona
Perte sensorielle possible
Lésion d’un gros nerf
exemples
Coincement tumoral
Cuisante, dysesthésie, lancinante, électrique
Douleur centrale
exemples
- Tumeur SNC
- AVC
- SP
Altération sensorielle possible, irradiante, peut être intermittente
Que donner en douleur légère : 1-3/10
Non-opioïdes +/- adjuvant
Que donner en douleur modérée : 4-6/10
Opioïdes faibles (codéine, tramadol) +/- adjuvant
Que donner en douleur itense : 7-10/10
Opioïdes puissants
- 1ère ligne : Morphine, Hydromorphone, Oxycodone
- 2e ligne : Fentanyl
- 3e ligne : Méthadone
+/- Adjuvant
EI principal des AINS
Néprhotoxiques
1er choix parmis les opioïdes forts
MORPHINE
Dose maximale de codéine = ___(1) mg/jour, et tramadol = ___(2) mg/jour
- 300-360
- 400
Quel opioïde agit en synergie avec l’acétaminophène?
Tramadol
Équivalence avec la morphine de :
1. Codéine
2. Oxycodone
3. Hydromorphone
4. Fentanyl
- Codéine : 10x moins puissant
- Oxycodone : 1.5x plus puissant
- Hydromorphone : 5x plus puissant
- Fentanyl : le plus puissant, faire x2 pour conversion
Qu’est-ce qu’il ne faut pas oublier après conversion d’opioïdes?
RÉDUIRE LA DOSE OBTENUE DE 20-30%
Opioïdes forts
Hydromorphone, oxycodone, fentanyl, morphine
Opioïdes faibles
Tramadol, codéine
Symptômes et traitement de neurotoxicité aux opioïdes
- Myoclonie
- Hallucinations
- Agitation
- Somnolence
- Dysfonctionnement cognitif
- Hyperalgésie, allodynie
Traitement : réduire la dose/changer d’opioïdes, hydrater
Symptômes et traitement de surdosage aux opioïdes
- Myosis
- Dépression respiratoire
- Perte de conscience
Traitement :
* Si légère/modérée : ne pas administrer la dose suivante et réduire la dose
* Si grave : naloxone
Quoi administrer en douleur neuropathique?
1ère ligne :
* Gabapentine (100-300mg PO die), Prégabaline
* ATC
* Duloxétine
2e ligne : corticostéroïdes
ATC (antidépresseur tricyclique) utilisé dans quelles conditions médicales?
Douleur neuropathique !
Exemples : névralgie post-herpétique, neuropathie diabétique, fibromyalgie, céphalée de tension, migraine, arthrite rhumatoïde, lombalgie chronique, cancer, douleur centrale post-AVC
% de la dose PRN
10% de la dose QUOTIDIENNE de base
Adjuvants pour la douleur osseuse
- AINS (risques EI)
- Stéroïdes (si crises douloureuses)
- Biphosphonates : seulement IV!
Adjuvants pour la douleur viscérale : métastases hépatiques
2-8 mg dexaméthasone PO die
Adjuvants pour la douleur viscérale : occlusion intestinale
- Butylbromure de scopolamine sous-cut ou octréotide sous-cut
- 2-8 mg dexaméthasone sous-cut od
Adjuvants pour la douleur viscérale : spasme de la vessie
Butylbromure de scopolamine
Quand mettre en place l’hydratation artificielle?
TÔT DANS LA MALADIE
Stimulants de l’appétit
- Cannabinoïdes (nabilone) : effets psycho peu tolérés par personnes âgées
- Acétate de mégestérol = 160-800 mg PO/jour, cher, risque de thrombus
- Mirtazapine : utile en dépression
- Corticostéroïdes
Médicament de 1ère intention en dyspnée
OPIOÏDES
Médicament en dyspnée si cause anxieuse/trouble panique
Benzodiazépines
Médicaments de sédation palliative
1ère ligne :
* Méthotriméprazine=12,5-25 mg sous-cut + prn
* Midazolam (Versed ) = 0,5-1 mg sous-cut
2e ligne : Phénobarbital
1ère ligne : anti-émétique
- Métoclopramide PO/sous-cut 10 mg qid avant les repas
- Dompéridone PO/sous-cut 10 mg tid avant les repas (dose max/j = 30mg)
Traitement
conservateur de 1ère ligne pour l’occlusion intestinale maligne
Octréotide