Sociologie du travail Flashcards

1
Q

Qu’est ce que n’est pas le taylorisme pour M. Fresseynet ?

A

La taylorisme n’est pas la parcellisation des tâches ni la division entre tâches de conception et tâches d’exécution, c’est de “faire déterminer scientifiquement et donc impartialement, par une catégorie particulière de salariés, quel était le meilleur travail, le meilleur outil, et la meilleure façon pour faire toutes les choses et que l’entreprise qui s’organise sur cette base peut réconcilier et satisfaire les intérêts apparemment antagonistes de ses dirigeants et de ses employés “

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2
Q

Quand début la carrière de FW. Taylor ?

A

1878

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3
Q

Dans quelle entreprise FW. Taylor a-t-il été ingénieur ?

A

Bethlem steel company

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4
Q

A quoi est-il confronté en tant que contremaitre ? A quoi est-ce du? Comment y remédier ?

A

Il est confronté à la flânerie systématique de ses subordonnés (travailler lentement pour s’épargner une journée de travail normale. Cette flânerie résulte de l’inefficacité des méthodes de direction et d’organisation du travail. L’organisation ordinaire ne permet pas à la direction de maitriser véritablement le processus de production, il propose d’enlever la compétence à l’atelier pour la concentrer dans le bureau d’organisation et méthode afin de soumettre dans le détail l’organisation du travail à une logique rationnelle

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5
Q

A quoi est due la flanerie des ouvriers ?

A

Pour Benjamin Coriat, cette flanerie systématique a une origine sociale. Mode de défense développé par la classe ouvrière à la fois contre le chômage et contre l’usure trop précoce de sa force.

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6
Q

Comment Taylor s’y prend-t-il pour réorganiser le travail ?

A

Il soumet un groupe de travailleurs expérimentés à l’oservation et définit les différente phases constituant une tâche de production. Il chronomètre chacune de ses phases et identifie celles qui semblent être inutiles et peuvent être éliminées. Elles sont ensuite réorganisées en une nouvelle séquence à partir des méthodes de travail les plus efficaces. Suite d’opération idéales, ensuit enseignée aux travailleurs en leur interdisant de s’écarter des prescriptions. Résultats exceptionnels, on passe de 12,5t /moy/jour/homme à 48t / moy/jour/homme. Moyennant une augmentation de salaires de 1,15 à 1,85 $ par jour

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7
Q

Les principes de l’OST

A

– conception séparée de l’exécution ; les phases du processus de production sont préparées et mises en œuvre de façon centralisée ;
– chaque opération est systématiquement analysée: on précise les tâches à accomplir, la façon de les accomplir, le temps alloué pour les accomplir ;
– les travailleurs sont soigneusement sélectionnés et formés ;
– l’exécution de leurs tâches et supervisée et leur rémunération sont liées à l’exécution d’un travail conforme à ce qui leur est enseigné.

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8
Q

Citation de Taylor ?

A

«Il est ainsi possible de donner à l’un et à l’autre être ce qu’il désire ; à l’ouvrier de gros salaires, et au patron une main-d’œuvre bon marché».

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9
Q

Mise en place de l’OST aux USA ? Facteur aggravant ?

A

Aux États-Unis le taylorisme et introduit dès la fin du XIXe siècle est rendue possible par l’entrée en masse de travailleurs non qualifiés dans la production. Cela est dû est possible par des vagues d’immigration massive en provenance de l’Europe du Sud et de l’Est qui vienne bouleverser la composition du marché du travail. La majorité de cette population et non qualifiée. Grâce au terrorisme ces travailleurs vont être intégrés sur le marché du travail. De plus ces travailleurs sont non syndicalisés.

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10
Q

Mise en place de l’OST en France ?

A

En France, le système s’est peu à peu généralisé dans les années30. En 1936 voit apparaître dans les conventions collectives la définition de l’ouvrier spécialisé.

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11
Q

Qui a utilisé pour la première fois le terme Fordisme ?

A

Antonio Gramsci

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12
Q

Qu’est ce que le fordisme ?

A

e modèle d’organisation du travail inauguré par le constructeur automobile américain Henry Ford qui, à partir de 1913 et durant l’entre-deux-guerres, associa le premier délibérément, une politique de doublement du salaire moyen («five dollars a day») et la volonté de vendre à ses propres ouvriers les voitures qu’ils produisaient. Ford a vu se stabiliser sa main-d’œuvre et réduire le coût de turn-over (frais associés au flux permanent d’entrée et de départs de salariés).
Le fordisme désigne la rationalisation du mode d’organisation du travail taylorien avec la création des chaînes de montage, qui sont notamment à l’origine de la standardisation et de la production en série. La Ford T pouvez selon les termes mêmes de son constructeur être livré dans n’importe quelle teinte, pourvu qu’elle soit noire.

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13
Q

Citation de Ford

A

«Nul homme ne doit avoir plus de deux pas à faire […] nul homme ne doit, avoir à se baisser».

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14
Q

Gain de temps pour produire la Ford T ?

A

La première chaîne de montage automobile est mise en œuvre dans les usines de Ford de Détroit en 1913. Le temps de construction d’une forme de modèles T passe alors de 12h28min à 1h33min.

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15
Q

Qu’est ce que L’enquête de Pittsburgh ?

A

En 1907 des chercheurs de l’université du Wisconsin mènent à Pittsburgh une vaste enquête portant sur les conditions de vie et de travail.

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16
Q

Qui conclue à 8 conclusions à la suite de l’enquête de Pittsburgh ? Quels sont ils ?

A

Pierre Desmarez
tous les travailleurs de Pittsburgh sont soumis à une durée de travail excessive
– la grande majorité des travailleurs ne perçoit que de très bas salaires
– le salaire des femmes est inférieur à la moitié de celui des hommes
– les propriétaires des entreprises ne se sont pas responsables de ce qui se passe dans leur usine
– de nombreux immigrants arrivent constamment sur le marché du travail: main-d’œuvre bon marché et peut protéger
– conditions de vie détruisent la vie familiale du fait des exigences de la journée de travail et des accidents du travail
– il n’existe pas d’institutions sociales adaptées à ces conditions
– contraste frappant entre l’image de la plus prospère des nations de la civilisation occidentale et la précarité des conditions de vie à Pittsburgh

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17
Q

Fondateur de Les travaux de l’École des relations humaines ?

A

Elton Mayo

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18
Q

Quelle est l’usine où l’école des relations humaines va travailler ?

A

La recherche débute en 1924 dans l’usine Hawthorne qui produit principalement des relais téléphoniques, des appareils destinés aux centraux téléphoniques et des câbles de différents modèles.

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19
Q

Comment s’effectue l’enquête de l’école des relations humaines ?

A

L’hypothèse de départ: dans les sections de l’entreprise où l’éclairage est amélioré, la productivité de chaque travailleur doit augmenter. Or à leur grande surprise, cette dernière croit aussi bien dans les ateliers dont les conditions d’éclairage ont été modifiées que dans ceux qui servent de groupe témoin et où la luminosité n’a pas été modifiée. Les chercheurs décident de poursuivre leur travail en isolant un groupe d’ouvrières travaillant dans un local et de faire varier différentes dimensions de leurs conditions de travail: le système de salaire (individuel, par équipe, salaire horaire, au rendement), le nombre et la durée des pauses, la durée quotidienne ou hebdomadaire de travail.
La productivité des ouvrières augmente presque tout le temps même quand les conditions de vie se détériorent. En juin 1929, les travailleuses produisent 30% de plus qu’au début de l’étude.

20
Q

Deux conclusions

A

– L’effet Hawthorne: l’intérêt de la direction pour le comportement des travailleurs est à l’origine des améliorations de leur productivité. Dès qu’on s’intéresse aux travailleurs, leur travail semble plus intéressant ;
– Le salaire n’est pas l’incitant principal au rendement: le groupe observé définit ce qui est un en rendement journalier honnête et ce dernier fait l’objet d’un contrôle social. La limitation du rendement a donc des origines sociales.

21
Q

Prolongement de l’école des relations humaines ?

A

Frederick Herzberg, stulat implicite de la valorisation de l’être humain par le travail. Théorie générale des motivations alimentées par la hiérarchie des besoins (reconnaissance, sécurité, auto accomplissement, etc.) de A.H. Maslow

22
Q

Apport de G. Friedmann ?

A

Il se montre pessimiste quant à l’appel de l’apport technologique sur le travail humain. L’introduction des chaînes de machine semi-automatique a pour effet de refouler des ateliers les savoir-faire traditionnels des ouvriers pour y substituer un «travail en miettes». La qualification n’étend plus qu’une simple tendance à tenir le rythme et à faire preuve de dextérité. À transformer les ouvriers en «bouche-trou» de la chaîne, déplacer en fonction des besoins sans que l’on attend de donner une vision globale du procédé.

Les responsabilités ultimes se trouvent entre les mains des employeurs, il ne plaide en faveur d’une évolution volontariste de la division du travail. Il évoque le système de rotation de poste à poste ou la constitution d’équipes de ventes composées d’ouvrier polyvalent capable d’effectuer des remplacements sur les chaînes aussi bien que des tâches de contrôle et d’entretien. Il s’oppose donc au déterminisme technologique et refuse de s’intéresser à l’entreprise sans prendre en compte l’ensemble de la société.

23
Q

Livre de G. Friedmann en 1945 ?

A

Les problèmes humains du machinisme industriel

24
Q

Que produit l’automatisation pour Touraine ?

A

le passage d’un «système professionnel» un «système technique» dont l’un des effets est de durcir encore la séparation entre la conception du travail et son exécution. Conduit au déclin des «métiers» de l’industrie. Pour Touraine, cela conduit au «passage de la qualification de l’homme à la qualification du poste de travail».

25
Q

Quelle condition centrale pour que le progrès technique soit vécu comme un progrès social ?

A

l’ouverture des carrières ouvrières. Il faut donc que l’innovation technique permette à l’ouvrier de progresser et d’entrevoir des possibilités de promotion.

26
Q

3 phases pour Touraine ?

A

– Phase A: système professionnel, caractérisée par une séparation entre l’atelier et la direction de l’entreprise, fondée sur les ouvriers de métier, la qualification, la volonté de contrôler la marche de l’industrialisation, le syndicalisme de métier.
– Phase B: décomposition du système antérieur coexistence atelier d’ouvrier professionnel et d’ouvriers spécialisés.
– Phase C: système technique dans lequel l’ouvrier n’a plus d’action directe sur la matière. Il se rapproche du technicien. Le syndicalisme ne correspond plus à une action politique unifiée, mais se manifeste à travers la lutte de groupes d’intérêts.

27
Q

L’ouvrier de l’abondance? (1968)

A

Pierre Tripier Parle de la «transaction muette» entre le salarié qui accepte les conditions de travail fait à l’usine contre de meilleures conditions de vie bref contre un certain «embourgeoisement».

28
Q

Pourquoi pour l’école de la régulation, le mode de régulation fordiste est en crise ?

A

Pour l’école de la régulation, les différentes formes institutionnelles de la régulation monopoliste apparaissent aujourd’hui en crise, notamment le rapport salarial fordisme, qui s’exprime par une montée de la contestation ouvrière à l’égard de l’organisation du travail «tayloro-fordiste».
Cela se traduit par des événements tels que: un absentéisme important, une aggravation du turnover, des phénomènes de coulage (perte de marchandises du haut vol ou à la négligence), de perruques (employés travaillant pour son propre compte durant les heures du à son employeur), de sabotage, ou encore des grèves sauvages.

29
Q

Toyotisme inventé quand ?

A

Dans les années 1950

30
Q

Toyotisme inventé par ?

A

T. Ohno ingénieur puis vice-président de la société Toyota met en place un nouveau mode d’organisation du travail,

31
Q

Sur quoi repose le toyotisme ?

A

– le «Kan-Ban»: système de régulation du débit qui organisé de l’aval (moment du montage l’automobile) vers l’amont (fabrication des pièces détachées) pour restreindre les stocks intermédiaires et les goulets d’étranglement: chaque poste reçoit une boîte avec des cartes d’instruction (le kan-ban) annonçant combien de pièces il faut exactement produire pour les besoins de l’aval (méthode du juste à temps).
– «autonomation»: Contraction des deux autonomies et automation. Consiste à doter les machines d’un mécanisme d’auto arrêt en cas de fonctionnement défectueux.

32
Q

Par quelle formule peut-on résumer la voie japonaise ?

A

Cette voie japonaise est souvent résumée par une formule célèbre énonçant les cinq résultats recherchés: zéro stock, zéro délai, zéro panne, zéro défaut et zéro papier.

33
Q

Quelles sont les 4 caractéristiques de la voie Japonaise ?

A

– polyvalence systématique sur les taches de fabrication directe
– vers l’introduction de tâches ou de fonctions de diagnostic: dépannage et maintenance, autonomation et auto activation non en effet de sens que si les opérateurs directs ont aussi la charge de la surveillance de l’entretien courant des machines
– réintroduction de tâches de contrôle qualité au sein des postes de fabrication
– réagrégation des tcâhes de programmation aux tcâhes de fabrication.

34
Q

Transférabilité du modèle japonais ?

A

B. Coriat s’est interrogé sur la question de la transférabilité du modèle japonais. Pour lui le modèle repose sur la correspondance qui s’établit entre le mode d’organisation du travail et une régulation d’ensemble de l’entreprise, fondée à la fois sur de puissants mécanismes intégrateurs (emploi à vie, promotion interne) et de puissants mécanismes d’exclusion (pas de pitié pour ceux qui ne respectent pas la règle commune) ce contrat collectif n’est pas transférable dans notre pays.

Pour J-P. Durand la «nipponisation» du rapport salarial en Europe est liée à deux conditions:

– affaiblissement des capacités revendicatrices des syndicats
– établissement d’un lien étroit entre la rémunération individuelle et la loyauté du salarié vis-à-vis de l’entreprise

Pour lui, ce nouveau système productif conduirait à la fracture de la société française.

35
Q

Typologie des formes d’organisation en europe proposée par ?

A

Edward Lorenz et Antoine Valeyre

36
Q

Typologie des formes d’organisation en europe

A

les organisations apprenantes
les organisations en Lean production
Les organisations taylorienne
Les organisations de structure simple

37
Q

le travail est aliénant, car il s’impose de l’extérieur aux individus. Dès lors, il faut en finir avec le travail est déterminé ailleurs les facteurs de l’épanouissement personnel et du lien social.

A

Jurghen Habermas et André Gorz

38
Q

même si le travail reste un vecteur d’intégration, il n’est plus que secondaire et il convient de rendre aux politiques la fonction centrale d’intégration sociale.

A

Dominique Méda

39
Q

Thèse de Schnapper concernant le travail ?

A

le travail continu a assuré la dignité des individus et a fondé l’essentiel des échanges sociaux malgré la baisse quantitative de la place du travail. « Aujourd’hui on travaille au cours de sa vie moins d’heures que ne le faisaient nos parents et nos grands-parents, c’est un fait. Mais on ne peut pas en déduire que le travail a cessé d’être une norme, d’avoir de la valeur, d’organiser la vie collective.»

40
Q

Qui parle de la fin du travail ? Citation ?

A

Jeremy Rifkin « les nouvelles technologies nous font entrer dans une ère où la production pourra presque se passer de producteurs »
De plus il y a l’idée qu’il y a de nombreuses activités non productives qui ne prendraient pas leur source dans la sphère marchande, mais qui devrait pourtant être valorisé économiquement et socialement.

Si le travail occupe un temps de plus en plus réduit, c’est justement parce que l’activité productive détient une place centrale. En ce sens, le progrès technique n’est donc pas en lui-même source de chômage et d’exclusion. Il s’agit davantage d’un problème d’inégalité de répartition des richesses et d’absence de solidarité entre les catégories de la population.

41
Q

Le nouvel esprit du capitalisme écrit par ?

A

L. Boltanski et E. Chiapello

42
Q

Thèse du nouvel esprit du capitalisme ?

A

ls en déduisent l’émergence d’un nouvel ordre de justification de légitimation: émergence d’une nouvelle cité, la cité par projet corrélativement à l’émergence de Nouveaux Mondes, un monde connexistite organisés en réseau et dont la figure dominante n’est plus ni l’entrepreneur bourgeois ni le directeur, mais le manager, le faiseur de projet, un homme léger., mobile et relié se distinguant de la figure traditionnelle du bourgeois, toujours associé à la lourdeur, au poids. L’intégration des individus à cette nouvelle cité passe par l’apprentissage de l’autonomie par l’acceptation de la mobilité et par la capacité à se connecter, à se former, développer des réseaux.

43
Q

Auteurs de Dans travailler pour être heureux (2003) ? Thèse ?

A

Christian Baudelot et M.Gollac à la fin des années1990 et début des années2000 ont réalisé un important travail d’enquête sur les rapports des Français au travail. Dans travailler pour être heureux (2003) il montre qu’un pourcentage significatif de personnes interrogées considère que le travail est une composante importante du bonheur. Les PCS employés et ouvriers associent le bonheur au verbe avoir (une bonne santé, un logement, un emploi, etc.). En revanche, les catégories plus diplômées associent le bonheur au verbe être et recherche dans le travail une activité intrinsèquement épanouissante alors que les catégories populaires entretiennent un rapport plus utilitaire à l’activité professionnelle.

44
Q

Burning out chez les cadres ?

A

Christophe Dejours

45
Q

Harcèlement moral ?

A

Marie France Hirigoyen

46
Q

Troubles musculo-squelettique

A

Phillippe Askenazy