Socio 3 Flashcards

1
Q

Adhérer a un stéréotype

A

À partir du moment où nous développons une croyance sur le fait que les membres d’un groupe partagent les mêmes caractéristiques, nous adhérons à un stéréotype. (Ex des Français : béret, fromage, baguette / Italiens : pizzas)

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2
Q

Stéréotype permet

A

Elles permettent de traiter notre environnement plus rapidement. C’est un processus naturel que tout le monde fait.

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3
Q

Préjugé quand on en fait ?

A

Lorsque nous faisons des inférences (= supposer que) sur le comportement d’un individu suivant le stéréotype qu’on lui attache, on fait des préjugés. C’est souvent une valence émotionnelle négative.
Valence émotionnelle attachée au préjugé (j’aime/j’aime pas). Ex : « les Américains sont bêtes »

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4
Q

Ce stéréotype s’active plus facilement dans une pièce sombre (menaçant)

A

car dans le noir, on se sent plus en danger selon nos croyances, ce qui explique le comportement de certaines personnes dans l’obscurité (peur, appréhension, surtout cher les américain)

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5
Q

Reposcognitif

A

montre que moins un individu ne dispose de ressources cognitives (moins il a d’attention à dépenser, moins il a envie de se prendre la tête sur des problèmes complexes), plus il aura tendance à baser ses jugements interpersonnels sur des stéréotypes.

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6
Q

préjugés peuvent servir

A

d’amorce à la discussion
Et de prendre rapidement des décisions

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7
Q

Prejugé def

A

Il est caractérisé par sa valence émotionnelle. Il ne s’agit plus de croyances mais là d’affects (souvent négatifs). Il y a donc une dimension émotionnelle très forte.

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8
Q

Théorie du contact social (Alport, 1954) :

A

mélanger les individus de deux catégories opposées pour faire tomber les préjugés, collaborer.

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9
Q

Théorie du contact fonctionne SSI

A

2 groupes = statue social égal
Coopère
Objectif Commun
Situation de contact sont soutenues par les autorité légitimes

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10
Q

Créer une catégorie supra-ordonnée :

A

rassembler dans une même catégorie deux plus petites catégories
(=fusion). Permet d’avoir un objectif commun, une identité commune

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11
Q

Jouer sur les catégories croisées :

A

souligner d’autres catégories sociales partagées par les membres de deux catégories opposées, chercher les points communs

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12
Q

Inter culturel PRETCEILLE

A

l’interculturel comme un grand champ de recherche des sciences humaines et « une interaction entre deux identités qui se donnent mutuellement un sens, dans un contexte à définir à chaque fois

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13
Q

Rencontre de deux cultures via deux individus porteurs de leur idiosyncrasie

A

(tout ce qui correspond à une personne, ce qui fait qu’une personne est comme ça et pas autrement

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14
Q

Des jeux de pouvoir peuvent structurer les interactions.

A

Par exemple, selon la démarche d’une personne, on peut connaitre sa catégorisation sociale. (Exemple: rappeler le passé nazi de l’Allemagne à un allemand peut permettre de prendre le pouvoir

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15
Q

Mondialisation vont de pairs

A

Mondialisation et interculturel vont de pairs
Mondialisation du concept économique, juridique et de la santé et exportation.

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16
Q

Émergence d’un ordre mondial

A

articulé autour de concepts occidentaux : notre façon de nous représenter les choses sera très occidental et calqué sur des représentations originaires des États-Unis. (Exemple : ONU qui est 100% occidentale, on parle uniquement avec les langues occidentales
comme l’anglais)

17
Q

OMS, DSM (Manuel statistique et diagnostic des désordres mentaux : ils référencient toutes les
pathologies mentales),

A

apportent une vision homogène de la santé, de la psyché mais dangereux car on impose un cadre de vue très occidental.

18
Q

Les missions humanitaires véhiculent un

A

univers médical occidental et une vision peu élogieuse de l’Afrique et de ses populations, et ainsi transmettre une image d’une Afrique souvent stéréotypée et pas très représentative. Les occidentaux vont être ambassadeurs de la médecine occidentale.

19
Q

ANTHROPOCENTRIQUE

A

→ centrée sur l’Homme dont la mission est d’explorer, comprendre, maitriser un univers imparfait, prédire, chaotique dans lequel on va essayer de mettre de l’ordre (ex : explorateurs qui ont fait de grandes découvertes, espace, fonds marins…). Univers très individualiste.

20
Q

Santé anthropologique

A

Bon fonctionnement des organes et du corps
Fav autonme individu
Reco impact envt => impact vie et bien etre
Peu reco envit social.
Indice de santé= autonomie et performance
Corps= engrenage =tt fonctionne ensemble = si 1 défaillant. Alors pathologique

21
Q

Maladie. Anthropologique

A

Perturbation fonction d’un grand
Origine: ørespect règle d’hygiène / patrimoine génétique / Stress / facteur interpersonnel patho: trauma et carence affectives
=> facteurs externe qui conditionne la maladie

22
Q

Intervention soignant anthropologique

A

Diagnostic après examen
Surutilisation des techno médicale
Univers de la spiritiutalé suspect: indice patho = psychiatrique
Perception des mesure médicament= rétablir équilibre
Mesure sur individu passif = individu prend pas part au ttt
Att que le med face effet
Rapport science : démarche passive

23
Q

COSMOCENTRIQUE

A

→ l’Homme n’est qu’une forme particulière de condensation de l’énergie d’un grand tout cosmique. Ce n’est pas l’Homme au centre de tout. L’Homme est juste une partie d’un tout, en aucun cas c’est un « je » sur terre qui a une mission particulière. L’homme n’est qu’un rouage d’une grande machine.

24
Q

Comocentriqeu santé

A

Connexion environnent
Humain et non humain = plante
Invisible= ancêtre esprit
Indice. De santé = intégration harmonieuse à l’environnement à travers un tout

25
Q

Cosmocentrque maladie

A

Perte d’harmonie H ou envit
Ørègle entre H = mensonge discrimination
Ø respect règle H et éthique: tromper etmentir.
Intervention maléfique.d’autrui : vaudou
Ørespect attentes des ancêtres et esprit
Facteurs interne conditionne la maladie

26
Q

Intervention soignant cosmocentrique

A

Trouver la. Cause mystique du malaise: divination. Ou utilisation. De. Psychotrope
Médiation avec univers et esprit
Rituels
Realignement des energie et. Deschakras
Participation active duP. Danses et pèlerinages
Mob du réseau et famille. Et ami
P va etre actif pour guérir

27
Q

La décentration :

A

prendre de la distance vis-à-vis de soin, faire son introspection, se percevoir en tant qu’objet, comprendre quelle est notre culture, sous-cultures, nos appartenances groupales (famille, religion), nos goûts, nos attentes : notre identité = idiosyncrasie.

28
Q

: série de questions pour avoir une meilleure connaissance de soi

A

Test de Proust

29
Q

Se méfier de ses premières impressions :

A

La première impression est souvent très déterminante dans la relation mais il faut réussir à la dépasser et se dire qu’elle n’est que passagère. Il faut environ 3 secondes pour avoir une impression sur quelqu’un. Cette première impression a un poids démesuré (elle peut se faire à la première poignée de main par exemple. Si l’interlocuteur a la main molle, et une poignée de main qui n’est pas franche on pourrait avoir une mauvaise impression de lui).

30
Q

Faire émerger des images «guide»: f

A

aire attention aux valeurs implicites à travers lesquelles sont décodées et évaluées de nombreuses situations professionnelles:
-Rôle masculin/féminin
-Vie familiale
-Éducation enfant
-Place de la religion et du sacré -Valeurs personnelles

31
Q

Temporalité et appréhension

A

A paris les gens on pas le temps et presser
Dans d’autre region : normal de venir en retard pcq tas parler avec une connaissance

32
Q

Les coutumes peuvent etre mal vue

A

Les us et coutumes d’un pays pourront paraitre étranges dans un autre pays, comme par exemple se faire la bise, ou terminer son assiette (peut être mal vu dans les pays asiatiques car cela signifie que l’on a encore faim et que l’hôte n’a pas préparé assez de nourriture).

33
Q

Réfléchir aussi sur notre rapport à la diversité, notre système de croyance concernant l’intégration de la diversité

A

(plutôt assimilations? Intégration en gardant ses spécificités? multiculturalisme?)

34
Q

La communication non verbale :

A

apprendre à faire attention à des éléments autres que le discours, la posture, l’occupation de l’espace, les vêtements et objets : tous les éléments de contexte (famille, milieu de vie, histoire personnelle). Il faut essayer d’être observateur.

occupe une place primordiale dans la relation à autrui, plus importante que la communication verbale. Exemple : dans un pays étranger si on ne comprend pas, ou que l’on ne parle pas la langue on utilisera les gestes pour interagir.