Sociale Louvet Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que la dissonance cognitive selon Festinger ?

A

C’est la conséquence de l’inconsistance entre mon attitude et mon comportement.

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2
Q

Quels sont les moyens de réduire la dissonance cognitive chez Festinger.

A

La rationalisation.
La trivialisation.
L’étayage.

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3
Q

Qu’est-ce que la rationalisation chez Festinger ?

A

L’individu modifie son attitude dans le sens du comportement émis pour réduire la dissonance.

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4
Q

Qu’est-ce que la trivialisation ?

A

L’individu minimise le comportement problématique ou l’attitude qu’il a.

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5
Q

Qu’est-ce que l’étayage ?

A

C’est l’ajout d’un élément externe consonant qui vient justifier mon comportement.

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6
Q

Qu’est-ce que l’on manipule dans un paradigme de soumission forcée ?

A

On manipule l’importance des pressions (menace, récompense, punition)

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7
Q

Qu’est-ce que l’on manipule dans un paradigme de soumission induite ?

A

On manipule le sentiment de liberté.

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8
Q

Par quel terme le concept de soumission forcée a-t-il été remplacé ?

A

Il a été remplacé par le terme de soumission induite.

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9
Q

Qu’est-ce qu’une cognition dissonante ?

A

Cognitions qui ne vont pas ensemble. Par exemple, je fume et je sais que je fumer tue.

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10
Q

Quels sont les paradigme que l’on retrouve dans les paradigme de la dissonance ?

A

Le paradigme de soumission forcée.
Le paradigme de la décision.
Le paradigme de l’hypocrisie.
Le paradigme de la justification de l’effort.

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11
Q

Explication du paradigme de la décision.

A

Choisir entre deux alternatives tout aussi attractive l’une que l’autre génère de la dissonance. La dissonance est réduit en accordant plus d’intérêt à l’option choisie et en dénigrant l’autre. On cherche tout ce qui va dans le sens de notre choix et on néglige ce qui va dans le sens inverse.

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12
Q

Explication du paradigme de l’hypocrisie.

A

Quand l’individu défend une position et se souvient de ne pas toujours être allé dans le sens des valeurs qu’il prône, il ressent de la dissonance. La dissonance est réduite en adoptant un nouveau comportement qui va dans le sens de l’attitude que l’on défend. Exemple faire campagne pour le gaspillage et soi-même, beaucoup gaspiller.

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13
Q

Explication du paradigme de la justification de l’effort.

A

Le faite de réaliser une activité déplaisant pour atteindre un objectif désirable génère de la dissonance car on investit de l’effort. Dissonance, réduit en accordant plus d’intérêt à l’objet visé.

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14
Q

Qu’est-ce qui différencie le paradigme de soumission, du paradigme de l’hypocrisie ?

A

Dans le paradigme de soumission forcée l’acte demandé est problématique.
Dans le paradigme de l’hypocrisie, les comportements demandé ne sont pas problématique.

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15
Q

À propos du paradigme de l’hypocrisie…

A

Les comportements demandé ne sont pas problématique. Ce sont des comportements souhaitable mais qu’on ne fait pas. Donc la dissonance est générée par l’écart qu’il y a entre ce que l’individu c’est qu’il devrait faire et ce qu’il a fait dans le passé. Seul moyen de réduire la dissonance et d’ajuster son comportement dans le sens de la norme.

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16
Q

Dans quel paradigme l’expérience de la tâche pénible et du plat répugnant s’inscrivent-ils ?

A

Il s’agit de paradigme de soumission induite.

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17
Q

Explication de l’expérience de la tâche pénible et résultats

A

Les individus devait faire une tâche pénible. Soit ils étaient payés un dollar, soit 20 $.
Ceux qui ont été payé un dollar ont trouvé la tâche plus agréable que ce qui était payer 20 $.
Logique car le fait d’avoir été payé est un élément consistant qui réduit la dissonance.
Le groupe qui n’a perçu qu’un dollar ne peux pas justifier ce comportement par le faite d’avoir été payé donc ajuste son attitude dans le sens du comportement est émis pour réduire la dissonance

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18
Q

Explication de l’expérience du plat répugnant et résultat

A

Individus sont amenés à manger des sauterelles, ce qui est un acte contre motivationnel parce qu’il n’aurait pas fait ça spontanément.
Moi le expérimentateur était sympa, soit il n’était pas sympa.

Ceux qui ont eu un expérimentateur plus positive envers les sauterelles. L’expérimentateur sympa est un élément consistant donc réduction de la dissonance cognitive.
ce qui avait un expérimentateur pas sympa, n’ont pas pu justifier leur comportement par ça, donc ils avaient besoin de rationaliser et de se dire que c’était pas si mauvais que ça.

19
Q

Dans le paradigme de la justification de l’effort, qu’est-ce qui éveille la dissonance.

A

Individu s’investit dans une activité déplaisante et il met des efforts. La dissonance est éveillé par le fait de faire une activité désagréable mais de la réaliser.

20
Q

Explication de l’expérience de Aronsson sur la justification de l’effort.

A

Des femmes voulez rejoindre un groupe de parole sur la sexualité.
Elles ont dû passer soit une initiation légère, soit une initiation obscène.
Le groupe de parole était ensuite nul et elles ont du évaluer l’attrait de ce groupe.

Celle qui avait subi une initiation légère ont dit que c’était nul.
celle qui avait subi une initiation obscène. On dit que c’était très bien.

Cela s’explique par le faite qu’elles ont ressenti de la dissonance car elles ont fourni un gros effort pour quelque chose de nul. Donc là sur valorisation permet de réduire la dissonance cognitive.

21
Q

Dans la dissonance cognitive, à quoi sert le changement d’attitude ?

A

Il sert à résoudre un conflit intrapsychique et à maintenir un soi consistant.

22
Q

Les recherches dans le domaine de la communication persuasive partent du principe que

A

Nos comportements sont déterminés par nos attitudes.

23
Q

Des étudiants qui ont accepté de plaider publiquement en faveur d’un système qui les désavantages finissent par accorder une certaine validité à ce système si :

A

Ils n’ont subi aucune pression sociale particulière

24
Q

Qu’est-ce qu’un contexte engageant ?

A

C’est un contexte de liberté. La personne n’est pas forcément libre, mais doit avoir l’impression de l’être. Illusion de liberté.

25
Q

Selon la version radicale de la théorie de la dissonance, à quoi est due la dissonance ?

A

La dissonance est la conséquence de l’acte problématique appelé cognition génératrice de dissonance.

26
Q

Quelles sont les différences entre la version classique et la version radical de la théorie de la dissonance.

A

Dans la version classique, la dissonance est lié à l’inconsistance entre deux cognitions : on a des trucs contradictoires en tête.
Dans la version radicale, la dissonance est lié à l’acte problématique et à l’engagement. C’est la cognition associé au comportement problématique qui génère de la dissonance : j’ai mal agi.

27
Q

Qu’est-ce qu’un paradigme de double soumission induite?

A

C’est un paradigme dans lequel deux comportements sont demandés. Un premier comportement suivie d’un deuxième comportement.

28
Q

Selon la théorie radical de la dissonance, que faut-il pour que personne ressente DC?

A

Il faut que l’acte soit engageant, c’est-à-dire que la personne s’attribue son acte. Qu’elle sache qu’elle est en est à l’origine et qu’elle aurait pu ne pas le faire.

29
Q

Dans la version radical de la théorie de la dissonance, comment est-ce que la dissonance est réduit ?

A

Elle est réduit grâce a la rationalisation qui sert à donner de la valeur au comportement, problématique réalisé.

30
Q

Selon la version radical de la théorie de la dissonance, quels sont les moyens de rationaliser ?

A

Rationalisation cognitive et la rationalisation en acte.

31
Q

Qu’est-ce qu’un paradigme de double soumission forcée ?

A

On amène la personne à réaliser un premier acte problématique premier acte problématique suivie d’un deuxième acte tout aussi problématique dans un contexte de liberté.

32
Q

En quoi consiste la rationalisation cognitive ?

A

La personne réalise un acte problématique qui génère de la dissonance.
La personne réalise un deuxième acte qui va dans le sens contraire du premier donc dans le sens de son attitude.
Le deuxième acte ne donne pas de valeur au premier, donc la dissonance est résolue.

33
Q

En quoi consiste la rationalisation en acte ?

A

La personne réalise un acte problématique, ce qui génère de la dissonance.
Elle réalise un deuxième acte toutes aussi problématique que le premier.

Le deuxième comportement donne de la valeur au premier, donc la dissonance est résolue.

34
Q

Qu’est-ce que l’engagement selon Kiessler ?

A

C’est le lien qui unit l’individu a son acte.

35
Q

Qu’est-ce que l’engagement chez Joules est beauvois ?

A

Ce sont les caractéristiques de la situation qui engage l’individu. L’engagement correspond dans une situation aux caractéristiques donnée aux conditions dans lesquelles l’acte ne peut être imputé qu’à celui qu’il a réalisé. On ne s’engage pas dans un acte. On est engagé c’est l’acte qui engage.

36
Q

Quels sont les facteurs qui augmentent l’engagement dans un acte ?

A

Quand l’acte est publique.
Quand l’acte est explicite.
Quand l’acte est irrévocable.
Quand l’acte et répété.
Quand les conséquences sont lourde.
Quand on est libre.

37
Q

Quels sont les paradigme que l’on retrouve dans le paradigme de soumission librement, consentie et c’est quoi la soumission librement consentie ?

A

On retrouve le paradigme de soumission forcée et de soumission induite. C’est quand les gens se soumettre et réalise un comportement contrattitudinal dans un contexte de liberté.

38
Q

Expérience du jouet interdit explications et résultats.

A

Les enfants ont tendance à déprécier le jouer quand il n’y ont pas touché.
La dissonance est provoquée par l’inconsistance entre «j’ai envie de jouer avec ce jouet» et «je n’y ai pas touché».

Pas de dissonance et pas de changement d’attitude, le jouet reste intéressant aux yeux de l’enfant.

39
Q

Quelles sont les trois techniques de manipulation ?

A

L’amorçage.
La technique du leurre.
La technique du pied dans la porte.

40
Q

Technique de l’amorçage, explication.

A

On adresse requête en mettant en avant des avantages fictif et en cachant les inconvénients.
Quand la personne a accepté, on lui dit les inconvénients, et elle aurait toutes les raisons de refuser
Les gens continuent de réaliser l’acte. Ils sont engagés, ça vient d’eux.

Exemple : des étudiants qui participent à une expérience à 7h du matin. Beaucoup plus d’étudiants accepte qu’on l’inconvénient est caché dans un premier temps.
Une boutique où les articles sont affichés à -30 %, mais ça vaut que pour quelques articles et on ressort avec un truc pas soldé.

41
Q

Technique du leurre explication.

A

Demander à quelqu’un de mettre un comportement avantageux pour lui mais qui ne pourra pas se faire.
Quand la personne a accepté, on lui dit que c’est pas possible, et on lui propose un deuxième comportement moins avantageux (comportement de substitution).
les gens acceptent même si c’est moins avantageux.
Le deuxième comportement demandé est différent du premier.

42
Q

Technique du pied dans la porte explication.

A

Demander un premier comportement, peu coûteux, suivie d’un deuxième comportement plus coûteux.
Le premier comportement est un acte préparatoire, le deuxième comportement et l’acte cible.
La plupart des gens acceptent le comportement plus coûteux après un acte préparatoire.

Exemple : faire tester un parfum. Rendre le billet.

43
Q

On demande à des fumeurs de se priver de tabac, puis d’écrire un texte qui dénonce les dangers du tabac. On leur demande ensuite si c’est dur d’arrêter de fumer. À quoi peut-on s’attendre ?

A

Écrire un texte qui dit que le tabac est dangereux et inconsistant avec leur attitude, mais va dans le sens du premier comportement qui est de se priver.

Ils diront que c’est dur car ils se sont privés, mais on donner de la valeur au comportement avec la rationalisation en actes. Donc il continue de penser que c’est dur. Il n’y a pas de changement d’attitude.

44
Q

On demande à des fumeurs de se priver de tabac. Puis on leur demande d’écrire un texte qui minimise les dangers du tabac. À quel résultat peut-on s’attendre et vont-ils dire que c’est dur d’arrêter de fumer ?

A

Écrire un texte qui minimise les dangers du tabac ne va pas dans le sens du premier comportement, mais va dans le sens de leur attitude. Ils vont dire que ce n’était pas si difficile que ça car le deuxième comportement ne donne pas de valeur au premier. On est donc dans la rationalisation cognitive et il y a un changement d’attitude.