Signes Neuro Flashcards
Syndrome !
Atteinte du TC : diplopie, ophtalmoplegie internucléaire ant, PFC ou PFP + névralgie faciale, dysarthrie, trouble de la déglutition.
Quel signe, pourquoi, quel item?
Lhermitte : décharge électrique le long de la colonne a la flexion de la tete (SEP, signe sensitif qui témoigne d’une demyelinisation des cordons post.
Phénomène d’uthoff : sep (BAV transitoire à l’effort ou l’augmentation de température.
Pyramidal : Hoffman
Lasegue
Leri
Mingazini
Barré
Tinel
Phalen
Kernig/brudzinski (sd méningé)
Manœuvre de froment : poignet figé pour faire la roue dentée
Apraxie(= trouble de la réalisation de certain geste : apraxie idéomotrice de la maladie dalz: cas Montpellier: geste sans signification, geste symbolique (adieu, salut militaire) et geste non symbolique (mettre le linge, jouer du violon..) n’est pas ataxie(= manque de coordination : ataxie cérébelleuse, ataxie vestibulaire et ataxie proprioceptive) !!
Claude Bernard horner?
- ce qui touche à C8-D1
pancoast Tobias
-algie vasculaire de la face
-dissection carotidienne
-atteinte de la chaîne sympathique homolaterale
-Anévrysmes de la carotide interne intra crânienne
Ictus amnésique : memoire antérograde et rétrograde ?
on peut comparer l’amnésie antérograde à celle constatée dans le syndrome de Korsakoff : le patient oublie à mesure ce qu’on lui dit, ayant perdu la capacité d’enregistrer les souvenirs.
Souvent, l’encodage est relativement normal et l’identité personnelle est toujours préservée. En général, elle ne garde aucun souvenir des événements qui sont arrivés durant cet épisode. Les symptômes disparaissent spontanément de 30 minutes à plusieurs heures après l’événement. Les récidives sont rares.
Étiologies des Sd parkinsonien = étiologie des sd extra pyramidaux.
_typique : maladie de Parkinson
Iatrogène : neuroleptiques /cachés
-Atypique = dd AM= atrophie multisystematisee PSP= paralysie supra nucléaire prog DCB= dégénérescence cortico basale DCL= démence à corps de lewy
Avc
Wilson
Intoxication au CO
Cause de marche à petits pas ?
-Syndrome extra pyramidaux
–État lacunaire
–Hydrocéphalies à pressions normales.
Quatre étiologie à rechercher devant une thrombo-phlébite cérébrale ?
- Thrombophilie : acquise ou congénital
- Cause immunologiques : SAPL +/- lupus
- cancer/néoplasies profonde : sein++ chez femme
- infection de voisinage : O.R.L., dentaire, empyème
CT VITE DIT
En neurologie est en réanimation, toujours lutter contre les ACSOS!!!
-Lutte contre l’hypertension intracrânienne : position demie assise, mannitol en intraveineux, corticoïdes.
Luttre contre l’hypoperfusion cérébrale : maintien d’une pression artérielle systolique entre 120 et 140 mmhg
Lutte contre l’hyperglycémie : insulinothérapie IV
Lutte contre hypoglycémie
Lutte contre l’hyperthermie :
Lutte contre l’hypoxémie ventilation et maintien de la Sade super à 95 %
Causes de multinevrites?
Multinévrites (principales causes): Sarco aime limer les divas sérieuses SARCOïdose HEMopathies (cryo/gamapathies) LYME LEpre DIabète VAscularite (PAN, LES, GS) SEROPOSITIVITE (VIH)
Causes de multinevrites?
Multinévrites (principales causes): Sarco aime limer les divas sérieuses SARCOïdose HEMopathies (cryo/gamapathies) LYME LEpre DIabète VAscularite (PAN, LES, GS) SEROPOSITIVITE (VIH)
Quelles sont les signes qui sont retrouvés à la fois dans la compression médullaire est dans le syndrome de la queue du cheval ?
Syndrome lésionnel, syndrome radiculaire, syndrome rachidien.
Pas de syndrome sous lésionnel dans le syndrome de la queue de cheval, car il n’y a plus de moelle, donc plus de fibres longues. Pas de syndrome sus lesionel, ce qui élimine une lésion supra médullaire.
Il n’y a jamais de syndrome pyramidal dans les syndrome de la queue de cheval, car il n’y a pas d’atteinte centrale, seulement une atteinte périphérique.
Concernant les manifestations dys autonomique des neuropathie périphérique?
L’hypotension artérielle orthostatique ne s’accompagne pas d’une augmentation compensatricre du pouls
On peut retrouver des anomalies de la sudation à type d’hypersudation
AVC
AVC
HLH gauche= pas de clignement à la ménace vers la gauche ! Seul moyen de tester une hémianopsies latérales homonymes lors de la phase aiguë quand les patients sont désorientés ou aphasique sévère.
Irm AVC = diffusion, Flair , T2* et 3Dtof
Si protocole thrombolyse faire TP/TCA et nfs/pl dans le meme temps
Ataxie
Voir jusqu’à où va le nerf vestibulaire : tronc cérébral considéré comme central ou periph?
2. Les principaux types d’ataxies
A. Les ataxies cérébelleuses :
elles s’observent dans les atteintes du cervelet et des voies cérébelleuses. Pour les autres signes cérébelleux, voir le chapitre « Syndrome cérébelleux »)
Ataxie statique
Augmentation du polygone de sustentation : le patient est incapable de tenir les pieds joints (et à plus forte raison sur une jambe) et il doit écarter les pieds
Oscillations autour de la position d’équilibre se traduisant à l’inspection des pieds par le phénomène de danse des tendons des muscles tibiaux (jambiers) antérieurs.
Pas d’aggravation sensible lors de la fermeture des yeux (pas de signe de Romberg)
Ataxie locomotrice :
démarche ébrieuse, c’est-à-dire ressemblant à celle d’un individu ivre ; la démarche est irrégulière, saccadée, s’écartant de part et d’autre de la ligne droite, avec augmentation du polygone de sustentation.
voir la vidéo
Ataxie cinétique
hypermétrie (le geste dépasse son but), ou dysmétrie (le geste manque son but)
asynergie, dysgraphie et dysarthrie (voir le chapitre « Syndrome cérébelleux)
B. Les ataxies labyrinthiques ou vestibulaires :
elles s’observent dans les atteintes des noyaux vestibulaires ou du nerf vestibulaire. Pour les autres signes vestibulaires, voir le chapitre « Syndrome vestibulaire »)
Ataxie statique
On observe une tendance à la chute le plus souvent latéralisée (vers la droite ou vers la gauche, ou en avant, ou en arrière). Cette tendance à la chute est très aggravée lors de la fermeture des yeux, ce qui constitue le signe de Romberg labyrinthique. Indépendamment de cette ataxie statique, lorsque l’on demande au patient de tendre les bras en avant les yeux fermés, on peut observer une déviation des index, lente et retardée le plus souvent, soit vers la droite, soit vers la gauche.
Ataxie locomotrice
Tendance à la déviation lors de la marche soit vers la droite, soit vers la gauche, que le patient peut corriger dans une certaine mesure, la démarche devenant alors festonnante. L’ataxie locomotrice est là encore très aggravée par la fermeture des yeux.
Il n’y a pas d’ataxie cinétique vestibulaire
C. Les ataxies sensitives :
par atteinte des voies proprioceptives conscientes. Pour les autres signes senstifs profonds (proprioceptifs) voir le chapitre « Troubles de la sensibilité ».
Ataxie statique
Mauvaise perception du sol
Peu d’oscillations autour de la position d’équilibre. Pas de danse des tendons
Chute brutale immédiate non latéralisée lors de la fermeture des yeux (signe de Romberg proprioceptif)
Ataxie locomotrice
Démarche talonnante : le malade lance brusquement la jambe et pose le pied par le talon (il « ne sait plus » où se situe son pied dans l’espace par rapport au sol)
voir la vidéo
Aggravation des troubles de la marche lors de l’occlusion des yeux et dans l’obscurité
Ataxie cinétique
Oscillations avec rattrapage lors du maintien des attitudes
Brusquerie du geste volontaire lors des épreuves doigt-nez, talon-genou ; mauvaise direction du geste compensée par des manoeuvres de rattrapage (sous contrôle de la vue)
Aggravation de la dysmétrie lors de la fermeture des yeux.
La « main instable ataxique » est pseudo athétosique : les doigts sont animés de mouvements reptatoires, aggravés par l’occlusion des yeux, mais disparaissant ou très atténués lorsque la main repose sur un plan (qui supprime la pesanteur)
D. Les ataxies frontales :
par atteinte des régions préfrontales, bilatérales, corticales ou sous-corticales. Pour les autres signes frontaux, voir le chapitre « Sémiologie des fonctions cognitives » et « Syndromes hémisphériques »).
Ataxie statique
Tendance à la chute en arrière (rétropulsion), habituellement aggravée par la fermeture des yeux, spontanée ou provoquée (pulsions antéro postérieures)
Cette rétropulsion peut se manifester dès la position assise.
Ataxie locomotrice :
La marche est hésitante, incoordonnée, se faisant les pieds collés au sol ou comme si le patient marchait dans un marécage ; ces troubles sont parfois appelés apraxie de la marche. La démarche est habituellement très améliorée par le simple accompagnement sans soutien du malade.
Au maximum, on peut observer une véritable astasie abasie, c’est-à-dire qu’en l’absence de tout déficit moteur, le patient est incapable de se tenir debout et de marcher.
Il n’y a pas d’ataxie cinétique frontale
II. Troubles de la marche
Apraxie
L’apraxie idéatoire est considérée comme une désorganisation de la représentation mentale des gestes à exécuter. Il est impossible pour le patient de réaliser un mouvement composé d’un ensemble de sous-mouvements élémentaires organisés.
L’apraxie idéomotrice se caractérise par l’incapacité à exécuter un geste sur demande, geste symbolique ou action mimée (se peigner) tandis que l’exécution spontanée est possible (dissociation automatico-volontaire).