services techniques Flashcards

1
Q

de quoi les STEC sont chargés de faire la maintenance ?

A
  • des véhicules, engins et autres matériels destinés au service d’incendie et de secours (à l’exception des matériels des transmissions, d’entretien des casernements et de l’habillement) ;
  • des véhicules de servitude ;
  • des matériels de l’armée de Terre (véhicules, armement, matériels NRBC, optique, transmission et munition).
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2
Q

de quoi les STEC sont chargés de faire l’approvisionnement ?

A
  • Carburants ;
  • émulseurs ;
  • gaz ;
  • ingrédients.
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3
Q

que veut dire VOP ?

A

Visites Obligatoires Périodiques (VOP)

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4
Q

que veut dire DCT ?

A

Détachement de Contrôle Technique (DCT).

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5
Q

quel véhicule assure la défense du camp de Voluceau ? de combien d’hommes et-il constitué ?

A

Le Véhicule de Sécurité Incendie (VSI), engin pompe à 3 hommes.

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6
Q

quels sont les deux ENGINS DE TRANSPORT ET D’EVACUATION des STEC ?

A
  • Plate-forme porte engin (PFPE) ;

- Dépanneuse (DEP).

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7
Q

quels sont les 3 ENGINS SPECIAUX NECESSITANT DU PERSONNEL QUALIFIE POUR LEUR MISE EN OEUVRE ?

A
  • Berce pompage épuisement (BPE + VPB), omnibus avec BEM ;
  • Berce émulseur (BEM + VPB), omnibus avec BPE ;
  • CEL
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8
Q

Les officiers des services techniques participent au service des ……………………….. (ex officier de garde technique) et sont engagés selon les règles fixées par le BSP 118.

A

officiers contrôle de zone

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9
Q

Les personnels des services techniques peuvent entrer dans la composition des détachements spéciaux, quels sont ces deux détachements ?

A
  • détachement d’intervention pour cataclysme ; - détachement de renfort urbain pour feux de forêts ;
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10
Q

quels sont les 5 véhicules armés par les personnels du site de Voluceau qui peuvent être amenés à renforcer ponctuellement les GIS dans le cadre de plans particuliers ?

A

5 Véhicules d’Intervention Grandes Intempéries (VIGI)

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11
Q

quels sont les trois volets de maintenance ?

A

 la maintenance préventive ;
 la maintenance corrective ;
 la maintenance prédictive.

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12
Q

en fonction de quoi les opérations de maintenance préventives sont-elles réalisées selon un échéancier préétabli ?

A

en fonction du :

  • kilométrage parcouru,
  • des heures de fonctionnement
  • du temps écoulé.
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13
Q

après quoi survient LA MAINTENANCE CORRECTIVE ?

A

Elle survient après:

  • la défaillance d’un matériel
  • un accident.
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14
Q

LA MAINTENANCE PREDICTIVE - C’est une forme de maintenance préventive, basée sur la mise en évidence, puis la surveillance, des points faibles des matériels, au moyen de ……….. . Lorsqu’un seuil critique est atteint, l’opération de maintenance est déclenchée. Cette forme de maintenance est appelée à se développer.

A

bancs-tests

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15
Q

Les opérations techniques de maintenance sont réalisées à deux niveaux techniques, quels sont ces 2 niveaux d’intervention ?

A

 d’intervention n° 1 : détachement de maintenance réparation (DMR) ; ex ateliers de groupements ;
 d’intervention n° 2 : ateliers des services techniques.

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16
Q

que veut dire DMR ?

A

détachement de maintenance réparation (DMR)

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17
Q

que veut dire NTE ?

A

NIVEAU TECHNIQUE ELEMENTAIRE (NTE)

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18
Q

par qui peut-être effectuer les opération au niveau technique élémentaire ?

A

 par le personnel utilisateur des matériels (conducteurs, pilotes de bateaux, opérateurs, etc.) ;
 par le personnel des remises des compagnies détentrices, instruit à cet effet
 éventuellement, par les spécialistes également chargés des niveaux supérieurs (par exemple : les compresseurs d’air, les matériels NRBC autres que militaires, dont la maintenance préventive est assurée par le personnel chargé du NTI 2).

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19
Q

quelles sont les OPERATIONS EFFECTUEES PAR LE PERSONNEL UTILISATEUR ? quand sont-elles généralement effectuées ?

A

 nettoyages ;
 graissages ;
 compléments de pleins (huile, carburant, eau) ;
 vérifications, resserrages et éventuellement de réglages simples.
En général, ces vérifications sont faites à la prise de garde.

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20
Q

quelles sont les opérations effectuées par le personnel AME (aide mécanicien) ?

A

 le contrôle des opérations réalisées par les utilisateurs ;
 les opérations systématiques préventives (visites périodiques, vérifications relatives au bon fonctionnement) ;
 la mise en réparation à l’échelon supérieur pour les matériels qui en seraient justifiables mais après avoir exécuté toutes les opérations relevant du NTE.

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21
Q

par qui sont réalisés les OPERATIONS DU NIVEAU TECHNIQUE D’INTERVENTION N° 1 (NTI 1) ?

A

Elles sont réalisées par le personnel qualifié des détachements maintenance réparation (DMR).

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22
Q

Délais d’indisponibilité : la durée d’exécution des opérations ne doit pas entraîner une indisponibilité supérieure à … heures pour les engins opérationnels armés pour lesquels il existe une réserve et …. heures pour les autres matériels.

A

24H / 48H

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23
Q

par qui sont réalisées les OPERATIONS DU NIVEAU TECHNIQUE D’INTERVENTION N° 2 (NTI 2) ?

A

Le niveau technique d’intervention n° 2 regroupe les opérations effectuées par les ateliers de la compagnie de maintenance du GSS, site de Voluceau.

24
Q

quels sont les deux types d’immatriculation des véhicules et engins brigade ?

A

Les véhicules et engins de la Brigade sont identifiés par une immatriculation :
- soit civile ;
- soit particulière à la Brigade.
A l’immatriculation s’ajoutent :
- Les prescriptions spécifiques décrites dans la FIT 154.
NOTA : ces marques supplémentaires n’excluent pas celles imposées par le code de la route, les normes françaises et européennes et les règlements en vigueur concernant, en particulier, le transport des matières dangereuses.

25
Q

MARQUAGE DE PROPRIETE OU DE RECEPTION - Autres matériels Les petits engins à moteurs thermiques non mobiles, tels que les motopompes d’épuisement, les groupes électrogènes, les compresseurs, les scies, portent un numéro attribué dans l’ordre de ………………… . Afin de faciliter le regroupement des bouteilles de gaz comprimés lors d’opérations avec participation d’organismes étrangers à la Brigade, celles-ci portent au milieu de leurs corps le …………… .

A

leur mise en service / sigle BSPP.

26
Q

MARQUAGE D’AFFECTATION
Chaque engin porte sur son pare-brise un étui patronymique adhésif fixé sur la face interne du pare-brise, dans le coin supérieur droit. Cet étui recèle un feuillet où sont mentionnés quatre chiffres configuré de la manière suivante : Numéro du ……………. - Numéro de ……………… - Numéro du ……………. (1 pour PC Cie puis par ordre alphabétique).

A

groupement / la compagnie / centre de secours

27
Q

Récipients de gaz comprimés ou dissous Les teintes conventionnelles destinées à l’identification des récipients contenant des gaz sont fixées par des normes.
Les teintes suivantes sont le plus souvent rencontrées :
 ……. pour l’oxygène ;
 ……. pour l’hydrogène ;
 ………………… pour l’acétylène ;
 …… pour l’azote ;
 ……………………………………. pour l’héliox  ………………………………….. pour le protoxyde d’azote.
En cas de mélange (cas de l’air : azote + oxygène), les deux teintes doivent figurer ; la couleur prédominante étant celle du gaz qui constitue la base du mélange.

A
  • blanc
  • rouge
  • marron clair
  • noir
  • marron avec une bande blanche
  • bleu avec une bande blanche
28
Q

REPERAGES OU MARQUAGES PARTICULIERS - Une exception est tolérée pour les bouteilles d’air comprimé des scaphandres autonomes qui sont peintes en ……… pour améliorer la visibilité dans l’eau. Toutefois, l’ogive de chaque bouteille est peinte en ……. et ………………………………. .

A

jaune / noir et marquée de deux bandes blanches croisées

29
Q

Les bouteilles d’air comprimé des appareils respiratoires isolants sont peintes aux couleurs conventionnelles comme suit :
 la bande circulaire ……… destinée à désigner l’oxygène contenu dans la bouteille est égale à ….% de la hauteur de la bouteille, ogive exclue ;
 le reste du corps est peint en …. (gaz principal : azote) ;
 l’ogive est peinte en ….. et …………………. .

A

blanche / 45% / noir / noir et marquée de deux bandes blanches croisées

30
Q

quel est le logiciel spécifique qui permet le suivis des extincteurs ? par quel marquage apposé par les ST sur le corps des extincteurs peut-on les repèrer ?

A

Extincteurs Suivis à l’aide d’un logiciel spécifique (TRACEMAT), chaque extincteur est repéré par une étiquette code barre apposée par les ST sur le corps de l’appareil.

31
Q

PASSAGE EN COMPTE ET RECUPERATION ENTRE PERSONNEL DE LA BRIGADE
- AU COURS DE L’INTERVENTION - que fait le conducteur ?

A
  • tient l’inventaire du matériel distribué ;
  • vérifie la réintégration du matériel employé et distribué et, avant de quitter les lieux d’intervention, en rend compte au chef d’agrès.
32
Q

PASSAGE EN COMPTE ET RECUPERATION ENTRE PERSONNEL DE LA BRIGADE
- AU COURS DE L’INTERVENTION - que fait le chef d’agrés Si la totalité du matériel n’est pas réintégrée ?

A
  • dresse l’inventaire (en double exemplaire) du matériel laissé sur les lieux de l’intervention. Pour cela il utilise un bon vert normalisé (IMP/B 30 bis) sur lequel il inscrit en 1re ligne : « Laissé en prêt pour l’intervention de telle adresse, etc. » ;
  • signe ce bon de prêt contradictoirement avec le COS ou un adjoint désigné par ce dernier ;
  • garde un exemplaire du bon de prêt, remet l’autre au COS
33
Q

RECUPERATION ENTRE PERSONNEL DE LA BRIGADE - que fait Le commandant des opérations de secours ou l’adjoint désigné après l’intervention ?

A
  • récapitule (en double exemplaire) les différents bons de prêt ;
  • signe ce bon de prêt contradictoirement avec le commandant de l’unité du secteur concerné ou son représentant désigné (officier adjoint, chef de remise) ;
  • garde un exemplaire du bon récapitulatif, remet l’autre ainsi que les différents bons constitutifs au commandant de l’unité du secteur concerné.
34
Q

RECUPERATION ENTRE PERSONNEL DE LA BRIGADE - que fait le sous-officier de remise de la compagnie du secteur LORSQUE L’INTERVENTION A PRIS FIN ?

A
  • récupère les matériels (en cas de récupération partielle, établit un nouveau bon qu’il remet au chef du service de surveillance) ; - assure la restitution des matériels aux autres unités après collationnement avec les bons de passage en compte et les messages.
35
Q

que veut dire CRAMAT ?

A

compte-rendu d’accident matériel (CRAMAT)

36
Q

RECUPERATION ENTRE PERSONNEL DE LA BRIGADE - Les litiges font l’objet d’un ………………………………………….. de la ……………… qui ne récupère pas la totalité de son matériel. Le matériel, rendu ainsi indisponible, peut sur demande du détenteur dépositaire être remplacé temporairement ou définitivement par les ………………………….. dans l’attente du résultat d’une enquête, d’une récupération, etc. La sortie des comptes des matériels incriminés est assujettie à une décision du commandement.

A

compte-rendu d’accident matériel (CRAMAT) / compagnie / services techniques

37
Q

PASSAGE EN COMPTE ET RECUPERATION ENTRE PERSONNEL DE LA BRIGADE ET SINISTRES Lorsque du matériel est laissé sur les lieux d’intervention après la suppression du service de surveillance, ou pour des opérations particulières telles que le bâchage ou l’étaiement, la procédure est la suivante :
LE CHEF D’AGRES OU LE SOUS-OFFICIER CHEF DE REMISE DE LA COMPAGNIE
- dresse la ………………….. laissé sur place - fait renseigner …… exemplaires du bon de ………………………………. et les fait signer par le responsable de l’immeuble ou de l’établissement (en principe le propriétaire ou le sinistré) dès la mise en place du matériel ou lors du retrait du service de surveillance ;
- avise ce responsable que le bâchage ou l’étaiement est réalisé à titre de dépannage et qu’il lui appartient de prendre des dispositions pour rendre rapidement le matériel laissé sur place, la durée n’excédant pas …….. .

A

liste du matériel / trois / prise en charge provisoire (IMP/ST 25) / un mois

38
Q

PASSAGE EN COMPTE ET RECUPERATION ENTRE PERSONNEL DE LA BRIGADE ET SINISTRES - LE CHEF D’AGRES OU LE SOUS-OFFICIER CHEF DE REMISE DE LA COMPAGNIE - Un exemplaire du bon de prise en charge provisoire (triplicata) est laissé au ………… qui devra le restituer en même temps que le matériel. Le duplicata est transmis au chef des services techniques …… jours après l’opération si la réintégration n’a pas été possible entre-temps. Le primata est gardé en instance par le ………………………………. concerné afin qu’il puisse rendre le matériel, lors de la récupération, à la compagnie ayant procédé à la pose ou ayant laissé le matériel sur place après une intervention.

A

sinistré / quinze jours / chef de remise de la compagnie du secteur

39
Q

PASSAGE EN COMPTE ET RECUPERATION ENTRE PERSONNEL DE LA BRIGADE ET SINISTRES - LE COMMANDANT DE L’UNITE DU SECTEUR Il fait visiter par un ………. le matériel laissé sur place, fréquemment et au minimum dans ………………. qui suit l’intervention et …… jours avant la date limite prévue pour la récupération. A ces occasions, le sinistré est invité à se renseigner, auprès de sa compagnie d’assurance, pour les modalités de mise en place de matériel de location.
Si nécessaire :
- fait récupérer le matériel à l’expiration du délai d’un mois ;
- rend compte au chef des services techniques du résultat de la récupération, au cas où il a transmis le « bon de prise en charge provisoire » (IMP/ST 25).
Si la récupération est impossible ou n’est que partielle dans un délai d’un mois et si le commandant de l’unité du secteur n’est pas lui-même détenteur du matériel, il avise le commandant de l’unité détenteur dépositaire. Ce dernier adresse alors aux services techniques un ………… motivé de sortie des comptes et de remplacement.
Le matériel récupéré après un mois est restitué aux …………………… par l’intermédiaire du commandant de l’unité détenteur dépositaire.

A

gradé / la semaine / huit jours / CRAMAT / services techniques

40
Q

La brigade de sapeurs-pompiers de Paris possède du matériel en réserve opérationnelle, appelé à servir dans certains cas, quelles sont ces 6 opérations ? ou sont-ils stockés ?

A
  • opérations liées à la pollution d’un plan d’eau - opérations liées aux inondations ;
  • opérations liées aux troubles urbains ;
  • opérations liées aux interventions grandes intempéries ;
  • opérations autres ;
  • opérations véhicules et engins.
    Ces matériels sont stockés au sein du magasin (matériels complets) de la section logistique, sur le site de Voluceau.
41
Q

LOT POLLUTION

  • …. épuisettes ;
  • ….. bacs plastiques pour récupération de poissons morts.
A

150 / 100

42
Q

LOT INONDATION

  • ………. sacs à terre (vides, à remplir par les intervenants avec moyens de fortune) ;
  • …. vides caves avec UC comprenant chacune 1 tuyau de 110 X 20 avec 2 demi- raccords, 1 tuyau de 110 X 20 m avec 1 demi raccord, 1 tricoises de 100 mm ;
  • …. ESI avec UC comprenant chacune 4 avirons, 1 gaffe de marinier, 6 gilets de sauvetage, 1 bouée de sauvetage ;
  • … berces de transport pour ESI, chaque berce pouvant emporter 4 ESI avec UC.
A

3 000 / 10 / 24 / 2

43
Q

LOT TROUBLES URBAINS

  • … raccords de réduction de 50 X 40 mm ;
  • … raccords de réduction de 65 X 50 mm. Ces raccords sont destinés aux ………………………… envoyés en renfort des unités de la Brigade.
A

30 / 30 / sapeurs-pompiers civils

44
Q

AUTRES
- … tuyaux PIL de 110MM X 40M ;
- Émulseur :
…… litres d’émulseur en bidons de 20 litres à 3/6 % ;
……. litres d’émulseur en bâche de 1000 litres à 3/6 %.

A

40 / 2000 / 4000

45
Q

MISE EN SERVICE DU MATERIELS EN RESERVE OPERATIONNELLE -
Ces matériels sont mis en service à la demande expresse du …… . Ils sont acheminés sur zone par ……………………….. .

A

COS / les services techniques.

46
Q

PERCEPTION ET RÉINTÉGRATION DES MATÉRIELS EN RESERVE OPERATIONNELLE -
Les perceptions et réintégrations sur zone s’effectuent sous la responsabilité de l’unité en charge de l’intervention (établissement d’un ………. par le comptable des ST ou le garde matériel).

A

ST 30

47
Q

ENTRETIEN DU MATÉRIEL EN RESERVE OPERATIONNELLE -

L’entretien et le renouvellement de ces matériels sont à la charge des services techniques.

A

services techniques.

48
Q

Lors des échanges mensuels, il faut :
 éviter le chargement brutal et en vrac d’articles coûteux et fragiles, tels que les appareils respiratoires isolants, les détendeurs, les manomètres, les chargeurs pour batteries d’accumulateurs ;
 veiller à ne pas aggraver les détériorations qui, en règle générale, ne doivent résulter que d’une utilisation intensive mais réglementaire ;  fixer solidement sur l’objet à réparer une étiquette sur laquelle sont précisés ………, le ……………………….. et la ………………….. (aussi précise et détaillée que possible).

A

l’unité / numéro de nomenclature / défectuosité constatée

49
Q

que veut dire UC ?

A

Unité Collective (UC)

50
Q

ARMEMENT DES ENGINS Seuls les matériels prévus par les notices techniques ou les fiches d’unité collective doivent se trouver dans les engins. Cas particuliers des matériels en expérimentation : les engins peuvent exceptionnellement être dotés de matériels ne figurant pas dans l’UC. Dans ce cas, leur présence et leur utilisation sont couvertes par une note d’………………………. éditée sous timbre …… . Ils doivent être placés aux endroits prévus et leur arrimage doit être soigneusement réalisé. Il n’est pas admissible qu’un accessoire puisse tomber sur le sol lors de l’ouverture d’une porte de coffre. Il importe de faire preuve de bon sens, d’initiative et de faire la chasse aux négligences ou aux solutions de facilité.

A

ESMAT (essai de matériel) / BEP

51
Q

TUYAUX ROULES EN ECHEVEAUX Dans le cas des tuyaux roulés en écheveaux, outre les précautions mentionnées supra, faire effectuer un ………… fréquent avec les tuyaux roulés sur eux-mêmes.

A

turn-over

52
Q

LANCES - Préserver des heurts les orifices de lances pour éviter leur détérioration et la modification du débit. Les vis des poignées de manœuvre doivent être vérifiées régulièrement. Quelles sont les trois point à respecter pour le stockage des lances ?

A

 vanne ouverte ;
 jet bâton ;
 position purge.

53
Q

CRICS HYDRAULIQUES PORTABLES
 Les maintenir en position ………. au repos
 les utiliser selon leur ………….. (peint sur le corps et frappé à froid sur la semelle) ;
 vérifier (aides-mécaniciens d’entretien) les niveaux ………………………….. ;
 vis de descente pour purge jamais …………….. à fond.

A

basse / tonnage / d’huile hydraulique / desserrée

54
Q

LES ECHELLES A COULISSES Ne doivent pas être ………… ni ………….., mais doivent subir un nettoyage régulier. Les talons antidérapants doivent être présents et en excellent état. Vérifiez également le bon fonctionnement des ………………. .

A

huilées ni graissées / parachutes

55
Q

DISPOSITIONS PROPRES AUX VEHICULES POUR TRANSPORT DE GAZ Quelque soit le type de véhicule utilisé et la quantité des gaz transportés, il faut impérativement à bord au moins 2 extincteurs homologués dans la catégorie transport :

A

 l’un à poudre polyvalente destiné à combattre les feux de moteurs ;
 l’autre qui peut être :
-soit CO2 de 5 kg ;
-soit à poudre polyvalente de 6 kg.

56
Q

DISPOSITIONS PROPRES AUX VEHICULES POUR TRANSPORT DE GAZ - Chaque extincteur doit pouvoir être retiré instantanément de son support.
Les bouteilles doivent être solidement arrimées.
Il est interdit de ………. en chargeant ou en déchargeant les gaz inflammables (que les bouteilles soient vides ou pleines).
Pendant les opérations de chargement et de déchargement, le moteur du véhicule doit …………………. .
Durant le transport dans les véhicules fermés, il est recommandé d’assurer la …………………… de la caisse afin d’éviter l’accumulation des gaz.

A

fumer / être arrêté / ventilation

57
Q

DISPOSITIONS PROPRES AUX BOUTEILLES TRANSPORTEES
Les bouteilles doivent obligatoirement comporter l’étiquette de danger portant le numéro de code du gaz, mis en place par le distributeur titulaire du marché Brigade. Ces étiquettes doivent être conservées en place pendant toute la durée du transport :
 un chapeau et un bouchon de sécurité pour le butane et le propane doivent protéger les robinets des bouteilles ;
 lors du déchargement, éviter les chocs ;
 les têtes des bouteilles d’oxygène ne doivent être en aucun cas en contact avec des corps gras ;
 le transport de personnel avec l’oxygène peut s’effectuer sous réserve que :
-les bouteilles soient …….. ;
-le poids total gaz et bouteilles n’excède pas …… kg ;
-il est interdit de transporter des …………………. dans la caisse du véhicule transportant des gaz.
Il est par ailleurs rappelé que seuls les véhicules ………………. sont autorisés à effectuer ce type de transport qui ne doit concerner que des quantités extrêmement limitées.

A

calées / 300kg / liquides inflammables / de servitude