Semaine_3_Chapitre 2: Interactions laser-surfaces Flashcards

1
Q

vidéo partie 1

A

vidéo partie 1

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Q

Réflectance: La quantité d’énergie qui est retournée vers le lidar.

Télédetection vs lidar

A

en Télédetection la géométrie d’observation (angle par rapport au objet) ainsi que des facteurs comme le soleil et le capteur peuvent influencer la réflectance.

Lidar: l’illumination et la réception suivent le
même trajet, autrement dit le point on on émet l’énergie va être la même point ou on va recevoir cette énergie.

cela signifie qu’on est toujours au “hot-spot” la réflectance de la cible est plus élevé puisque la source de l’illumination et l’observateur est au même endroit. la réflectance est plus haute que par exemple les observation avec le soleil et un observateur à un autre endroit (si on se place dans la même direction que le soleil avec un spectromètre on va créer de l’ombrage ce qui va influencer nos données en télédétection ).

récepteur au même endroit que l’émetteur = bonne réflectance

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3
Q

Avoir une meilleure réflectance est bénéfique pour le lidar pcq

A

Ce qu’on veut c’est recevoir le plus d’énergie en retour pour détecter tous les retours possible qu’on retrouve à la surface

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4
Q

Réflexion spéculaire: Situation problématique

A

les situation ou l’énergie réfléchie est dans une direction autre que celle de l’impulsion transmise (pas de retours)

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5
Q

Autre facteurs diminuant la réflectance

A

Notez que l’état des objets à la surface peut
influencer leur réflectance, p.ex., l’humidité
du sol après une pluie peut grandement
diminuer sa réflectance à 1064 nm. Ceci peut
résulter en moins de retours provenant du sol

si sol humide, à 1064 nanomètre, l’eau absorbe beaucoup ces rayons la

c’est souvent l’énergie du rayon

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6
Q

Portée des RETOURS:

portée en fonction du temps

qques définitions

la portée maximale dépend grandement de la réflectance de la surface

A

-La distance entre le capteur et la surface ayant
provoqué un retour (ou correspondant à un échantillon
d’amplitude) est appelée « portée ».

  • Elle est calculée d’après le temps de parcours (aller-retour), lui-même mesuré à l’aide d’un oscilloscope àhaute fréquence (Time Interval Meter : TIM).
  • Portée = temps de parcours / 2 * vitesse de la lumière
  • Une portée est mesurée pour chacun des retours.
  • L’erreur de mesure de portée se situe à moins de 15
    cm (souvent beaucoup moins) pour une distance de
    1000 m, avec une résolution de 1 mm.

Rappel: Résolution = distance le long du cercle verticale à laquelle un point va être mesuré

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7
Q

Portée d’un lidar

A

elle se définie comme la distance maximale à laquelle une cible peut être perçue par le lidar.

-Au-delà de la portée, l’intensité du faisceau laser réfléchie par la cible est trop faible pour être perçue par le capteur lidar.

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8
Q

Portée d’un lidar (suite)

les facteurs qui influencent

A
  • La distance maximale pour percevoir une cible variera selon le niveau de réflectance de la cible.

-La puissance à laquelle le faisceau laser est émis fera
également varier la portée du lidar. (on peut faire varier cela)

  • La portée est généralement définie par les fabricants de lidar comme la distance maximale à laquelle une cible avec une réflectance de 10% peut être captée.

** certain fabriquant vont parler de mètres au lieu de parler de pourcentage de réflectance**

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9
Q

tableau de la portée maximale en fonction de la réflectance de différents matériaux

A

la réflectance de l’objet est clé pour la porté, plus la réflectance est grande plus la distance de portée peut être grande.

** la portée est aussi dépendante de la puissance du laser, pas que de sa portée**

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10
Q

DNRO

et

DNRO étendue:

A

1- (distance nominale de risque oculaire):

Distance à laquelle l’exposition devient moindre
que l’exposition maximale permise.

2- Distance à laquelle l’exposition devient moindre
que l’exposition maximale permise, incluant l’utilisation de binoculaire, télescope, etc puisque l’utilisation de ces objets peuvent focusser les rayons vers notre œil causant des dommage beaucoup plus important.

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11
Q

Puissance émise et durée de l’émission (puissance d’un laser)

A
  • Peut être exprimé en watt ou en joules 1W=1J/s
  • Pour les laser à émissions continues souvent en CW, Watt
  • Pour les lasers à pulses souvent en Joules (J)

-Joule= travail nécessaire pour passer un courant de
1ampère (A) avec une résistance de 1 ohm (Ω) pour une
seconde (1s)

  • 1 ampère (A): intensité d’un courant constant qui a une force linéaire égale à 2×10E-7 newton par mètre
  • Newton: force qui faut donner à une masse de 1 kilogramme pour lui donner une accélération de 1 m/s2
  • Faro: 20-40 mW (10^-3)
  • ALS: 1-2kW (10^3):Si la durée de l’impulsion (t) est de 10 ns (10^-9), l’énergie générée (E) est 20 µJ (10^-6)

{2x(10^3) x 10x(10^-9)= 0,00002= 20 (10^-6)}

-La puissance moyenne pour une fréquence d’émission (F)de 50 kHz sera E*F, soit 1W.

{20x(10^-6) x 50x(10^3)= 1W comme puissance moyenne pour chaque impulsion}

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12
Q

Relation puissance - fréquence
d’émission

Puissance (P)= laser opérant à ?W

PRF (fréquence d’émission), le nombre d’impulsion émis par secondes= ?Hz par secondes

tp = temps d’impulsion

Énergie d’impulsion (Ep)= J (unités)= P/PRF (puisque PRF c’est des hz et cela c’est des cycles par secondes alors on divise par s^-1)

Puissance maximale (Pmax)(joules/secondes)= P/ tp x PRF

• Plus la fréquence d’émission est élevée et que
la durée est longue, plus l’énergie et la
puissance maximale sont faibles

A

Par exemple: un laser de 5W operant a 100 kHz avec une impulsion de 10 ns:

Energie d’impulsion (Ep qui est en joules par secondes)= 50 uJ (10^-6)

et la puissance maximale (P_max)(joules/ secondes) = 5 Kw .

Equation:

1- (E_p) = 5W / 100(10^3)Hz = 50 (10^-6)W/s = 50uJ/s pcq 1W= 1J

2- Pmax = 5W/ 10x(10^-9) x 100 000Hz= 5kW/s

Conclusion:
plus fréquence d’émissions et durée d’impulsion est longue (PRF et tp) plus énergie d’impulsion est puissance maximale sont faible (Ep et Pmax)

Comme pour le surf on veut un pique qui est haut, donc il faut réduire le temps d’impulsions, on veut pas un pique bas et long

** Donc pour une même puissance on peut réduire la durée pour avoir un peak plus haut**

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13
Q

PRF et puissance

A

-Le PRF (fréquence d’émission) est limité par la capacité de recharger le
laser (temps de pompage), on fait donc un compromis entre un PRF élevé et une puissance élevée, si diminue la puissance de chaque impulsion ON AFFECTE LA PORTÉE MAXIMALE.

  • normalement si on augmente la fréquence d’impulsion la puissance de celle-ci va etre affectée (moins grande) c’est un compromis.
  • Pour le couvert végétal il y a qques options, il faut une grande puissance pour que ça passe à travers le couvert végétal et que ça touche le sol.

d’une autre coté une plus grande fréquence d’impulsion augmente la résolution (distance entre chaque point mesuré sur le cercle vertical), ce qui donne une plus gros nuage de points et qui peut etre bien pour la quantité de données, donc quantité vs qualité?

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14
Q

Normalisation de l’intensité

on utilise l’intensité du retour en lidar, c’est une information importante

A

-L’intensité du retour lidar est fonction de la
distance, de la réflectance de la cible, et de la
fraction d’énergie de l’impulsion qui frappe la
cible

  • Distance
  • réflectance de la surface
  • fraction d’énergie d’impulsion qui frappe la cible (ex: 50% de l’impulsion frappe la cible qui a une réflectance de 50% il reçoit donc 50% de 50% de l’impulsion)
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15
Q

Normalisation de l’intensité (suite)

A
  • Pour interpréter la réflectance, on doit donc
    tenir compte des retours multiples et
    normaliser pour éliminer l’effet de la distance
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16
Q

Figure de page 21

A

on dirait une image mais c’est des retours d’INTENSITÉ lesquels sont affiché selon une valeur de ton de gris selon leur intensité

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17
Q

FIN PARTIE 1

A

FIN PARTIE 1

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18
Q

PARTIE 2

A

PARTIE 2

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19
Q

Par quoi peuvent être causées les différences

d’intensité entre les arbres et le gazon?

A

Photo de gauche: premier retour d’intensité, on affiche son niveau d’intensité

Photo À droite (full wave form): addition des tous les retours à droite

sur la photo on apperçoit un champ gazonée dans la partie de droite et une forêt dans la partie de gache, mais pk y-a-t’il une si grosse différence? sur les deux photos?

sur la partie gazonnée il y a un seul retour, toute l’énergie est concentré sur ce retour la.

En foret puisque le temps s’élargie entre le cime de l’arbre et le sol l’énergie devient distribué entre les différents retours et souvent le retour du top de l’arbre et son énergie va être basse en raison du phénomène de la “RÉFLECTANCE APPARENTE” c’est ce qui arrive sur la photo de GAUCHE dans la partie de la foret.

Mais sur la partie de droite avec l’addition de tous les retour, dans la partie de foret si on addition toute l’énergie des impulsions elle va être comme le gazon puisque c’est de la végétation

à 1064, l’intensité du retour de réflectance du gazon ou d’une branche est sensiblement pareil

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20
Q

Intensité et réflectance des objets

A

à proche de 1500 nm l’eau a une grosse absorbance et descend la réflectance des feuilles (l’eau contenu dans les feuilles).

c’est entre autre la raison pour laquelle les feuilles ont une réflectance différentes du bois, une partie se fait absorber par l’eau dans les feuilles.

différents objets ont différentes propriété spectrales différentes provenant de l’énergie laser réfléchie.

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21
Q

Le full-waveform (FWF) ou lidar à
forme d’onde complète, et le lidar à
retours discrets

A

ce qu’on envoie en laser c’est une onde en forme de vague, on enregistre l’énergie reçue a un temps donné.

ce que ça fait (à chaque nano seconde) ça décrit la forme de l’onde qui a été réfléchi vers le détecteur.

22
Q

retour discret

A

On va enregistrer la position du tronc

23
Q

Terminologie

A

-Retours discrets ou retour multiple:
Quand on enregistre que des points aux endroit données (position)

-Full wave form:
onde sous forme de vague décrivant les intensité d’énergie réfléchie des objets.

24
Q

Les impulsion lidar sont reflétées par la surface du feuillage
mais peuvent pénétrer jusqu’au sol

A

une grande majorité des lidar aéroporté peuvent recevoir jusqu’à 5 retour pour une une seule et même impulsion.

des fois le dernier retour n’est pas le sol pourquoi?
ça peut être pcq il n’a plus d’énergie pour arriver jusqu’au sol (passé à travers trop d’obstacle et ne parvient pas au sol), ça peut être pcq ça tombe sur un objet au niveau juste au dessus du sol trop gros (branche). Le détecteur n’est peut- être pas assez sensible pour capter ces quelques photon qui sont parvenu jusqu’au sol et qui sont revenu avec une intensité très basse.

25
Q

Décomposition du retour

A

que l’on soit en full wave form ou en retour multiple/discret l’information est la même, la façon dont on interprète ou que l’on enregistre l’information c’est une toute autre histoire.

  • En retour discret, on aura un pic (1.5) d’amplitude
  • En full wave form on va décomposer l’onde en plusieurs retours
26
Q

Type de retour p.32

A

lorsque deux objets sont trop proches et figurent dans la trajectoire d’une impulsion laser on peut interpreter l’onde comme deux vagues (chaque vague pour chacun des objets). Mais le recepteur va les fusionner pour en faire une seule et même vague avec ces deux la comprise ensemble.

des fois les objets sont tellement proche qu’il ne va pas pouvoir différencier deux sommets à proximités et va en créer un seul (résolution verticale: la capacité du lidar à séparer deux objets le long de l’impulsion)

les Temps correspondent en moment ou l’impulsion frappe l’objet et celui correspond au peak de la courbe

27
Q

Image riegl

A

L’impulsion frappe 3 petites branches, dans le graphique on voit donc trois petits peak d’intensité (amplitude) semblable qui sont étroitement liés, donc qui sont proches

  • l’impulsion va frapper un toit en PENTE, le retour va donc être une vague qui va s’élargir
28
Q

type de retour

A

-surface plate genre route:
une seul retour mince à UN ENDROIT

  • Exemple d’un coté de mur:
    le mur est frappé et le sol dans la même impulsion
    on voit donc dans le retour deux vague espacé (en raison de la distance entre les deux ) et des amplitudes courtes et différentes en raison de leur nature et propriété de réflectance différentes
29
Q

type de retour

A

nuage de points généré (selon l’addition totale d’intensité des retours) par un onde retour compris de beaucoup de peak d’amplitude dispersé en raison de leur distance et de leur nature.

30
Q

Contact multiples et réflectance

A

les points rouges représentent les enregistrement constant à chaque nano secondes (en full wave form) ce qui va donner des vagues avec une intensité maximale variable qui décrit un objet et ses propriétés

31
Q

PARTIE 3 ENREGISTREMENT FWF

A

PARTIE 3 ENREGISTREMENT FWF

32
Q

enregistrement FWF

A

les enregistrement à des intervalles de 0.5 - 1 ns (10^-9), mais rarement demandé, car il est difficile de bien interpréter les vagues reçues.

Plus simple de demandé les points des mesures à intervalles discret déjà géré par le récepteur.

33
Q

Impulsion porté de 2m avec Tp de 1ns
vs
Impulsion portée de 1m à Tp de 0.5ns

A

les deux vont avoir la meme exactidude (1m et 0.5ns vs 2m 1ns)

MAIS:
l’impulsion à 1m et 0.5 ns va pouvoir mieux distinguer les objets localisé proche le long du trajet de l’impulsion on parle alors de PLUS GRANDE RÉSOLUTION VERTICALE

sur l’image il s’agit de FWF

plus l’onde est courte, plus il faut de vitesse pour prendre le plus de points possible pour la courbe

34
Q

Relation PRF-longueur de l’onde

avec le lidar, la distance c’est du temps, le temps c’est de la distance

A

C’est quoi la relation entre fréquence d’émission et l’impulsions émise.

Important
** Pour une fréquence d’émission (PRF) faible, la puissance est plus élevée. l’impulsion est plus longue (large dans le sens de graphique) et la résolution verticale est plus faible**

35
Q

Distinction des objets (résolution verticale)

le terme FWHM est utilisé pour parler du diamètre de l’impulsion ou la longueur de l’impulsion (en ns)

car on oublie pas, le temps c’est une distance et la distance du temps et on passe de l’un à l’autre avec cette formule-ci

r=c (FWHM/2)

A

-séparation minimale entre deux objets frappées par une impulsions= r
-“r” est égale à la moitié de la longueur de l’onde émise:
r= c (FWHM/2) ou c= 299 792 458 m/s

ex: pour une onde de 8 ns (10^-9)m/s

(299 792 458 m/s x 8 (10^-9)m/s) /2
= 1.199 m = 120 cm

36
Q

Distinction des objets (résolution verticale)

A

impulsions courte = vague étroite sur le graphique, plus la résolution verticale va augmenter

impulsions longue = vague large sur graphique

37
Q

Angular resolution

A

vue d’une impulsions venant vers nous, il s’agit d’un cercle, si le cercle frappe un cable sur le bord de son diamètre, le point va quand même être enregistré au centre du cercle avec les données de l’objet situé en périphérie, il est donc dangereux d’avoir un diamètre trop grand. cela cause des imprécisions HORIZONTALE si ça vient d’en haut(aéroportée).

ce qu’on peut faire c’est donc voir la réflectance du premier retour (exemple avec coin de maison) qui a frappé le coin de la maison et vu qu’une toute petite partie de l’impulsion a frappée la maison il va etre retournée avec une réfléctance mais avec une basse intensité (10% de l’impulsion par exemple) ce qui nous fait savoir que le point enregistré n’est pas exactement la position à laquelle se trouve le coin de la maison

38
Q

ajuster la divergence du laser

A

une divergence faible = des résultats plus précis pour la prise de mesure horizontale (lorsque nous somme en aéroporté) et augmente l’énergie réfléchie

divergence élévée= on doit voler plus bas, peut servir lorsqu’on veut détecter des objets comme des câbles électrique ou le sommet des arbres.

39
Q

les différents retours

A
  • en retour discret:
    on va mesurer les différents retours et la position de sommet des vagues
  • en FWF:

en continue, on enregistre tous pleins de points qui décrivent ces vagues là.

40
Q

FWF- retours multiples et divergence

A

en FWF il est conseillé d’avoir une divergence élevée pour capter les empreintes au sol contigues. la forme d’onde doit être représentative de ce quelle frappe.

  • mode discret une divergence petite permet de concentrer l’énergie dans l’impulsion et diminuer la durée de l’impulsions, on augmente ainsi la RÉSOLUTION VERTICALE et cela donne une meilleure séparation des différents objets frappés par l’impulsion
41
Q

Processus d’analyse de l’énergie

retournée pour identifier les retours

A
  • déterminer le nombre d’objets distincts
  • déterminer leurs distances du scanneur
  • utiliser des fonctions continues pour décrire la forme de l’onde reçue
  • Calcule de paramètres d’écho additionnels (réflectance, intensité)

Les résultats fournis par un systèmes de retours multiples est HAUTEMENT DÉPENDANT DE L’INSTRUMENT.

la hauteur de vol de l’avion va aussi influencer la qualité et propriétés des données (quelle type de données on reçoit, les statistiques de données, est-ce qu’on a frappé le sol?) cela va avoir un impact de l’efficacité de la donnée et le pourquoi l’acquisition a été effectué.

42
Q

LE PHOTON COUNTING

plus d’info à la page 55

A

envoie d’impulsion très très courte (1ns) qui contient beaucoup moins d’énergie, mais il va en envoyer plusieurs au même endroit

Objectif:
description de la structure verticale de ce qui se trouve à la surface. Il utilise un détecteur qui détecte des photons individuellement. Ces photons, il va les placer à différents endroits verticalement. On utilise beaucoup cette application pour la composition atmosphérique.

particularité: puisque l’impulsion est très courte, la résolution verticale est très élevée. il va recevoir des photons et va avoir une représentation verticale du matériel.

peut être utilisée en foret pour représenté les différente strates (sommet, canopée , sol)

43
Q

Partie 4

A

Partie 4

44
Q

Photon counting (suite)

A

avantages:

interprétation plus simple, au lieu d’une longue vague on compte des photons, besoin de moins d’énergie aussi.

il y a deux façon de faire:
-un gros pulse avec beaucoup de photon en retour sur la meme ligne (multiphoton), capable de détecter plusieurs photon par pulse.

  • Multipulse avec single photon detection pour chacun des pulses (donne plus ou moins une vague), plusieurs pulse au même endroit. capable de détecter un seul photon par pulse.
45
Q

Déformation de l’impulsion en pente

A

augmente l’incertitude sur la position horizontale et verticale. encore pire quand l’angle de visé est déjà grande et que ça frappe une pente qui va dans le même sens, ça accentue l’erreur.

différence entre le centre (peak) de l’énergie et le centre du point.

46
Q

CE QU’ON DOIT SAVOIR

-les facteurs qui influencent l’intensité du signal émis et mesuré

A

-les facteurs qui influencent l’intensité du signal émis et mesuré:

47
Q

CE QU’ON DOIT SAVOIR

-Interpreter l’intensité du signal lidar

A

-L’intensité du retour lidar est fonction de la
distance, de la réflectance de la cible, et de la
fraction d’énergie de l’impulsion qui frappe la
cible

  • Distance
  • réflectance de la surface
  • fraction d’énergie d’impulsion qui frappe la cible (ex: 50% de l’impulsion frappe la cible qui a une réflectance de 50% il reçoit donc 50% de 50% de l’impulsion)
48
Q

CE QU’ON DOIT SAVOIR

-Les différences entre FWF et retours discrets

A

-Les différences entre FWF et retours discrets:

les deux systèmes reçoivent la même chose, c’est la façon dont il l’enregistre et il nous le présente
** les systèmes FWF prennent aussi les retour discret, les retours discret est une interprétation du FWF ou l’on représente le sommet des piques**

49
Q

CE QU’ON DOIT SAVOIR

  • Ce qui détermine la résolution verticale des données lidar
A
  • Ce qui détermine la résolution verticale des données lidar

1- résolution verticale: la capacité du lidar à séparer deux objets le long de l’impulsion)

2- les deux vont avoir la meme exactidude (1m et 0.5ns vs 2m 1ns)

MAIS:
l’impulsion à 1m et 0.5 ns va pouvoir mieux distinguer les objets localisé proche le long du trajet de l’impulsion on parle alors de PLUS GRANDE RÉSOLUTION VERTICALE

3- Pour une fréquence d’émission (PRF) faible, la puissance est plus élevée. l’impulsion est plus longue (large dans le sens de graphique) et la résolution verticale est plus faible**

4- impulsions courte = vague étroite sur le graphique, plus la résolution verticale va augmenter
impulsions longue = vague large sur graphique

5- En mode discret une divergence petite permet de concentrer l’énergie dans l’impulsion et diminuer la durée de l’impulsions, on augmente ainsi la RÉSOLUTION VERTICALE et cela donne une meilleure séparation des différents objets frappés par l’impulsion

50
Q

CE QU’ON DOIT SAVOIR

  • Le principe du photon counting
A
  • Le principe du photon counting

envoie d’impulsion très très courte (1ns) qui contient beaucoup moins d’énergie, mais il va en envoyer plusieurs au même endroit

Objectif:
description de la structure verticale de ce qui se trouve à la surface. Il utilise un détecteur qui détecte des photons individuellement. Ces photons, il va les placer à différents endroits verticalement. On utilise beaucoup cette application pour la composition atmosphérique.

particularité: puisque l’impulsion est très courte, la résolution verticale est très élevée. il va recevoir des photons et va avoir une représentation verticale du matériel.

peut être utilisée en foret pour représenté les différente strates (sommet, canopée , sol)

avantages:

interprétation plus simple, au lieu d’une longue vague on compte des photons, besoin de moins d’énergie aussi.

il y a deux façon de faire:
-un gros pulse avec beaucoup de photon en retour sur la meme ligne (multiphoton), capable de détecter plusieurs photon par pulse.

  • Multipulse avec single photon detection pour chacun des pulses (donne plus ou moins une vague), plusieurs pulse au même endroit. capable de détecter un seul photon par pulse.
51
Q

faire attention: on parle de résolution avec les unités de mesure étant le mm, pk?

A

laser à impulsions, la résolution dans ce contexte fait référence à l’intervale entre deux mesures de l’énergie reçue au capteur, ceci est fonction de la vitesse de la lumière et de la fréquence d’échantillonnage, illustrée en page 36.