santé mentale Flashcards
santé mental et ses trois grands critères
un état de bien-être qui permet à chacun de réaliser son potentiel, de faire face aux difficultés normales de la vie, de travailler avec succès et de manière productive et d’être en mesure d’apporter une contribution à a communauté.
mesuré par
1. fonction psychologique (émotions, cognition(perception) et comportements) (INTERNE)
EXTERNE) +
2. sentiment de DÉTRESSE (tu veux changer, tu est écoeuré de ta situation) et de bien-être (–>bon sentiment dans plusieurs domaines, relations avec ton milieu)
3. réactions normales (selon la culture et société) + fluctuation normale avec temps (adaptation PASSAGE DU TEMPS)
origine de la santé mentale, modèle biopsychosocial
3 facteurs:
biologique, psychologique, social
si on veut guérir, il faut s’attarder aux 3
biologie: drogues qui rebalance nos hormones + tempérament,
psychologique: schémas, carapace émotionelle + technique de gestion de stresseurs. estime de soi
social: adversité dans l’enfance, relation interpersonnels saines, sentiment de contribution à la société.
étapes de la dégradation de santé mentale (modèle stress diatèse)
vulnérabilité
+ facteurs de risque (prédisposants, augmentant la vulnérabilité)
+ facteur de protection (diminie vulnérabilité)
donne —>
facteurs déclencheurs
(précipitants, déclencheur, entrapinent ‘apparition du problème, crise situationnelle. pk la personne a cassé)
donne—>
facteur de maintien, favorisent la persistance du problème, garde la personne tjrs dans sa zone de confort (relation toxique, qui garde le trouble tjrs présent.)
Quels sont les 3 grands modèles étiologiques? Parlez de la présence de chacun à travers l’histoire ?
Modèle surnaturel :
Domène plus de croyance que de connaissance
Les troubles de santé mentales viennent de qqc de plus haut que nous, religion, astre : puni, démon qui ont pris possession du corps
Prescrit par des rites religieux, exorcisme
Trépanation : faire un trou dans le cerveau pour que le mal sort, retour en force 1300 avec la religion qui prend beaucoup de place avec l’inquisition médiévale
Modèle biologique :
Venue avec les Grecques et les romains qui essayent d’accumuler le plus de connaissance possible
Hypothèse que le corps qui a un problème (pensait que c’était le cœur)
Les mettait hors d’état de nuire
1600 en Europe : création d’asyle,
Amène de force (si tu ne fonctionne pas bien dans la société : autisme, toxicomane)
Pas de bonne condition : pas de bonne hygiène, pas de droit humain, les riches bourgeoisies les visite
Modèle psychologique
Milieu 1800 : traitement moral Pinet
Offre de la thérapie, une meilleure qualité de vie pour qu’il s’améliore et respecter leur droit, sortir et profiter le grand air.
Les plaçait loin de la ville et pour « éviter » la « contamination »
Théorie occupationnelle : occupait les patients avec des activités
Commençait à comprendre qu’il y a une souffrance = des médecins font des hypothèses car voit que ça ne marche pas
traitement de choc et lésionnel
Le traitement choc : possible d’Avoir un état de calme, baissais le symptôme
Utilise électrochoc
Traitement lésionnelle : création d’une lésion dans le cerveau, très populaire
Lobotomie :
Hypothèse : cortex préfrontal siège de la personnalité
Testé sur les singes et deviennent dociles
Relativement bien fonctionné, alors en a fait à plus grande échelle
Lobotomie transorbital par le Dr. Freeman au États-Unis, accès par l’œil
Fonctionné à un certain point
Remarqué plus de mauvais côté
c’est quoi la désinstitutionalisation
Premier neuroleptique de chlore qui a permis la désinstitutionalisation
Popularité de la drogue
Les compagnies pharmaceutiques créent plusieurs médicaments pour plusieurs troubles
Besoin des asiles est moindre, donc désinstitutionalisation
Désinstitutionalisation : Diminuer les nombres de gens dans les asiles pour les traiter à l’extérieur des murs via la médication
Problème : famille qui s’occupe de la personne, mais beaucoup de gens qui n’ont pas de famille, isoler alors responsable de leur propre traitement
Conséquence : ne prenne pas toujours leur traitement, non pas l’encadrement nécessaire
Aspect psycho-sociale : réforme aller à moitié : donne médicament en espèrent que les gens se prend en charge en espèrent qui aillent consulter
Euthymie
variation, fluctuation de notre humeur normale
dépression:
critères de diagnostique
1. temps nécessaire de la présence des
2 semaines. (certaines situations sont exceptions)
conséquence: on n’est pas sûr si cest réellement un bon diagnostic
(+ passage de temps n’améliore pas)
- triad dépressif pour l’aspect cognitif
besoin de soit: apathie ou humeur dépressive
et 4 des ceux ci-
- changement de poids, appétit
- sommeil affecté
- agitation lié à agitation psychomoteur ou ralenti
- fatigue
- worthlessness, guilt
- dysfonction exécutif
- idées suicidaire
quand on vit un expérience dépressive: on vit des émotions dépressives sur deux sujets: futur et soi et le monde
schémas mésadaptés: l’échec, les autres ne peuvent pas m’aider, je ne vais jamais réussirs
ils accrochent juste aux émotions négatives: émotions de guilt et de worthlessness
facteurs de risque de dépression biopsychosocial
BIOLOGIE
gènes de vulnérabilité :
(certaines personnes ont des neurotransmetteurs appelés allele court 5HTP (pas un bon système de recapture)
Hypoactivation frontale: hypofrontalité: le fait que les dépressés, le region dorsolatéral n’est pas activé, la région qui contrôle la conscience (côté neuro de la dépression)—> on est capable d’induire par la thérapie ce qu’on peut induire par la médication pour réactivation de la région dorsolatéral
baisse de la sérotonine:
hypothèse: un peu oversimplifié. il n’y a pas d’étude qui le démontre. C’est des liens indirects. Quand on prend des médicaments, sentiments de dépression restent même si taux de sérotonine augmement. sérotonine est pas relié avec le facteur plaisir. c’est pas juste l’augementation de sérotonine qui aide la personne, mais plutôt est long avant qu’il fonctionne pcq c’est une chaine de réactions qui arrive après l’augmentation
cortisol élevé: système qui déclenche, syndrome dépressivo-anxieux. lien entre coeur et système limpique
hypothèse maqueurs inflammatoires: bcp de dépressifs ont des marques inflammatoires.
PSYCHOLOGIQUES
-idéalisme et perfectionnistes: constamment frustrés pcq les choses ne vont pas comme ils le veulent
- basse d’estime de soi
- présence de distorsion négatifs: filtre négatif: rapidité à voir des aspects négtifs dans la vie
SOCIAL
- faible résau social, (réseau petit sans support social)
- adversité dans l’enfance, système limbique altéré à l’enfance n’as pas les ressources, FRAGILISE
- pauvreté: stress pour assouvrir: pour être capable de survivre,
-STRESSEURS À CARACTÈRE DE PERTE: évè marquant où tu perds qqch que t used to. (breakup, deuil)—> celui là est grave: perte d’$, perte de sens (direction dans la vie sans aspirations), de qqn
dépression- Antidépresseurs, traitement biologiques
+ effets indésirables
inhibiteurs sélectif de recapture de sérotonine :
blocage de transporteur de la serotonine = empèche la recapture de la séro. (donc augmente taux de sérotonine dans la synapse)
33% des gens répondent à des placebos: l’ultime étude pour voir si les antidépresseurs fct?
après le premier essai de médication: 33% —> ressemble bcp à l’effet placebo
quand on change de médication: 53%
après 1 an, 67 % ont plus de dépression.
—> c’est long avant que ca commence à marcher (rétablissements graduelle 2-3 mois)
effets indésirables:
- prise de poids—> pas sur encore si c’est relié
- problèmes sexuels; perte d’érection, incapacité d’atteindre l’orgasme, absence de libido
- effets aigues: au début, prise d’un antidépressseurs, peut causer étourdissements, de l’akathise (désir de bouger) sudation extrême = des effets transitoires
dépression-thérapie psychologiques
Les thérapies cognitives
–> attaque aux distorsions cognitives des patients
+ Restructuration des schèmes de pensée
Apprendre à identifier les distorsions
Les remplacer par des raisonnements plus adéquats
Beaucoup de preuves scientifiques prouvant l’efficacité de ces approches
- Élimination graduelle des symptômes suivant l’application des techniques
doit se prolonger pour une période d’au moins 10 séances, souvent davantage
Le patient doit être proactif entre les séances
Les thérapies interpersonnelles:
Centrées sur les relations immédiates du patient
(symptômes de la dépression découlent de relations interpersonnelles déficientes)
Favoriser la communication et la résolution de problèmes
Développer des compétences sociales chez le patient
dépression: traitements de derniers recours
- ÉLECTROCHOCS: (se fait sur des personne dont dépression = réfractaire au médicaments) se faire zap le cerveau, agit rapidement mais mécanisme d’action inconnu
- implantation d’un générateurs de rythme au NERF VAGUE qui va imposer un rythme pour le coeur qui relie à son système limbique
- traitement à la ketamine: injection par IV (action sur le glutamate)
- stimulation magnétique transcranienne: on zap, pas besoin d’être hospitalisé
maladie bipolaire se définit par
une succession d’épisode (où elle a une humeur euphorique,—> péter des coches, colère intenses)
désorganisés avec une mégalomanie en faisant des affaires super risqués. beaucoup de projets avec une volonté intense de tout es finirs. manque de sommeil pcq il a. bcp de projet: diarrée verbale.
critères diagnostique pour épisode maniaque ou hypomaniaique
critères nécessaires: humeur euphorique, et irritabilité
trois ou plus des critères suivantes:
- mégalomanie
- très productifs avec des gros projets parfois
- prise de risque
- moins besoin de sommeil
- problème de concentration
- parle sans cesse
- apparition de bcp bcp d’idées
bipolarité: facteurs de risque biopsychosociaux
BIOLOGIQUE
- génétique (si ta famille l’a)
- hypothèse neurodéveloppementale:
hyperexcitabilité frontale: circuits neuronaux sont relativement fragiles
parfois ces circuits vont se déclencher hyper ou hypoactivation de ses circuits et les neurones se déchargent bcp.
+ hypothèse: diminution des épines dendritiques au niveau du cortexe préfrontale (on sait que plus il y a d’épisodes de déséquilibre, plus ça abîme matière grise)
- consommation de psychotropes (peut déclencher épisode)
PSYCHOLOGIQUE
- traits de personnalités (prise de risque, hostilié, impulsivité)
- estime de soi fluctuantes
SOCIAL
-isolement social
- évènement de vie stressante
- abus et violence
bipolarité: La pharmacothérapie
- On utilise de plus en plus la polypharmacie pour gérer la bipolarité
- Les stabilisateurs de l’humeur (famille regroupant plusieurs médicaments) sont utilisés pour le traitement chronique de la bipolarité
Neuroleptique: même médicament que ceux offert pour les troubles psychotiques.
Anticonvulsivant: Inventer pour traiter l’épilepsie. Ralentissent souvent les patients cognitivement mais les gardent stable au niveau de l’humeur.
Lithium: Difficile à bien doser et peut-être néfaste pour la santé à long terme (glande thyroïde). Moins utilisé qu’avant.
+ courte fenêtre thérapeutique: lithium = besoin d’une qté exacte sinon fonctionne ps du tout.
psychothérapie pour bipolarité
(+ vs dépression)
Objectifs différents de la psychothérapie dans la dépression. Ne peut être utilisée seule.
- Aider patient à faire deuils, à mieux se connaître, à mieux prédire ses périodes de déstabilisation.
- Aide à apprendre via la psychoéducation ce qu’est sa maladie.
- Enseigne des techniques de gestion du stress.
- Toutes les approches peuvent avoir un impact positif dans la mesure ou la relation thérapeutique est positive pour le patient.
alors que dépression: –> attaque aux distorsions cognitives des patients
+ Restructuration des schèmes de pensée
alors que ici, c’est plus pour apprendre à pouvoir prédire et non casser ses patterns, ses schémas.
stress est… anxiété est …
stress est gérable et adaptatif, anxiété est patholithique
le stress c’est bien, tu détecte une menace, présence d’un stresseur
Connaitre les 6 possibilités de diagnostic (les grandes caractéristiques qui les distingues)
La phobie spécifique : 1 élément précis
La phobie sociale : peur situation sociale
Le trouble de panique : faire attaque de panique
Le trouble obsessionnel-compulsif :
Obsession (pensé intrusive qui prenne le contrôle) compulsion : geste moteur stéréotypé motrice
But : baisser le stress, fusion pensé-action comme superstition, se traite différemment
Anxiété généralisée : caractéristique : intolérance à l’incertitude, peur de se tromper, indécis, somatisation, trouble physique lié au stress
L’état de stress post-traumatique :
Relier à la mémoire
Amnésie dissociative et le souvenir est réactiver 25 ans plus tard= post-traumatique à retardement
Symptômes ;
- Flashback vif
- Évitement (ce qui rappelle situation)
- Cognition distorsions (dépression)
- Hypervigilance (Sensible changement)
- Détresse (trouble abus de substance)
Traitement : essayer de modifier le souvenir, utilise la période de reconsolidation de modifier le souvenir pour baisser la charge émotionnelle du souvenir par la drogue
Être capable de me parler de l’hyperactivité amygdalienne couplé à l’hypo frontalité présent dans la plupart des troubles anxieux
Amygdale reçoit signaux envoie hypothalamus envoie signal hormonal envoie signal aux glandes surrénales qui font en sorte de prendre les décisions en niveau de stress
Beaucoup de glucocortoïde qui libère le cortisol en période de stress
Va voir toutes les situations dangereuses
Période prolongé ce ça fait en sorte que tu n’es plus capable de gérer
Atrophie l’hippocampe qui régule l’amygdale
L’amygdale se retrouve alors en hyperaction et la personne est en état de super vigilance
Lorsqu’il y a des stimulais, sans la présence de l’hippocampe, il créer une réponse exagérée
Le cortex préfrontal est incapable de calmer cette hyperactivation et créer des idées disrtortionnées ce qui enclenche émotion négatives
Circuit des soucis : hyperactivation des certaines
Présent dans tous les troubles : prisonniers des idées, mais prit dans la
Expression est différente mais ils possèdent cela
troubles anxieux
Les facteurs de risque biopsychosociaux
Biologique :
Vulnérabilité génétique
Hyperactivité amygdalienne chez l’enfant = change de routine ça le perturbe
Psychologique :
Mauvais apprentissage pour gérer les stresseur, mène vers l’évitement, structure anxieuse
Sociale : style parental anxieux ou autoritaire, évènement stressant
Les éléments clés de la cognition des gens anxieux
Perception de contrôle : impuissance face à leur environnement
Pensée catastrophique : rapidement ils voient le pire dans les situations (schéma vulnérabilité)
Hypervigilance : hypervigilant dans leur environnement et voit des menaces où il n’y en a pas
Appréhension anxieuse : prévoit le futur et voit le pire en essayant de voir ce qui va se passer
Les traitements biologiques (en deux temps)
Traitement en 2 temps :
- Benzodiazépine
- Optimise GABA pour ralentir système
- Période aigu, agit rapidement sur les symptômes
- Dépendance, tolérance, interaction avec alcool,
- Antidépresseur
- Inhibe recapture sérotonine
- Chronique
- Prise de poids, lent à agir, effet néfaste au début
Le long court doit travailler aspect social et psychologique
Les différentes approches psychologiques dans l’anxiété
Traitement psychothérapie :
Approche psychodynamique
Approche behavioriste : l’exploration des processus inconscients de l’anxiété (inspiré Freud, pas prouvé science)
Approche cognitiviste : identifier les schémas de cognition lié au pensée et réponse distortionnée afin de restructurer la cognition
trouble alimentaire: accès hyperphagique: diagnostiques et leurs critères de diagnostique
- accès hyperphagique
critères:
1. crise de gloutonnerie: binge-eating
- absortion d’énorme qté de nourriture plus que qté normale
- sentiment de perte de contrôle pendant la crise
- association avec:
- manger beaucoup plus rapidement que normal
- manger jusqu’au inconfort abdominale
- manger grande qté de nourriture m^ si pas faim
-manger seul pcq on veut pas montrer aux autres notre habitude de trop manger
- dégouté par toi m^ - au moins 1 fois par semaine pendant 3 mois
- entraînent une détresse marquante
trouble alimentaire: anorexie mentale: diagnostiques et leurs critères de diagnostique
anorexie mentale:
2 types d’anorexie mentale:
type restrictif: auncun recours à des tehcniques purgatifs et aucune hyperphagie
type accèes hyperphagique et purgatif: bcp crise de gloutonnerie et de vomissement
- restriction des apports énergétiquees entraînant un poids très bas comparé aux autres de notre âge, sexe etc.
- peur intense de gain de poids
- changement de poids influence grandement notre estime de soi.
trouble alimentaire: boulimie: diagnostiques et leurs critères de diagnostique
- bcp de crise de gloutonnerie
- utilisation de façons innappropriés pour perdre du poids: vomissement provoqué, jeûne, laxatifs
- crise de gloutonnerie chq fois par semaine pendant 3 mois
- influence estime de soi
- n’est pas limité dans anorexie mentale uniquement
facteurs de risque pour troubles alimentaire
biologique
psychologique
social
BIOLOGIQUE
- vulnérabilité génétique
- perturbation de la sécrétion de la sérotonine
PSYCHOLOGIQUE
- faible estime personnelle
- impulsivité
- anxiété
- distortions cognitives quand à l’idéal corporelle
SOCIALE
- familles valorisant apparences et perfectionnisme, extr^mes images de corps et alimentation malsaines
traitement pour boulimie et anorexie:
La boulimie
La psychothérapie est souvent plus importante dans la boulimie.
- de type individuelle ou en groupe et souvent d’inspiration cognitive-comportementale.
- plusieurs séances dépendant de la sévérité de l’importance que prends le poids.
L’anorexie
- plus résistant au traitement= un traitement plus long et plus intense
- Le traitement sera proportionnel au niveau de sévérité de l’anorexie
- la thérapie individuelle est souvent de mise en privée ou à une clinique spécialisée comme la clinique des troubles alimentaires de l’hôpital Douglas.
- Si la personne est admise, elle peut faire l’hôpital de jour,
l’hôpital de jour,
traitement de 10 à 15 semaines dans un groupe d’une quinzaine de filles qui doivent entrer à 9h00 le matin et partir souper à la maison (certaines restent pour souper) 4 jours par semaine. On veut donc que la personne garde un lien avec son environnement. Des séances de thérapies de groupe, individuelles (de plein de types différents) mais surtout une rééducation alimentaire impliquant des nutritionnistes et la confection des repas est nécessaire.
Connaitre le spectre des troubles psychotiques et les préjugés qu’on accole à la psychose
Spectre :
Le pire = schizophrénie
Paranoïaque, schizoïde et schizotypique sur le continuum du spectre
Dépend force de symptôme : hallucination (perception créer), retrait à cause méfiance et paranoïa
Préjugé :
Perception négative de ces gens : les voit comme dangereux et violent
Peuvent être rejeté à cause de la méfiance dans leur condition
Connaissez le trouble délirant et distinguer les types d’idées délirantes
Trouble délirant :
Idée délirante pendant minimum 1 mois : entretienne des croyances qui deviennent la réalité, un fait
Ex : persuadé d’une relation amoureuse inexistante
Doit imposer de l’aide :
But : s’assurer qu’il prenne le traitement, utilise la cour pour obliger des soins : ordonnance de soins
Très dur pour les proches d’avoir accès à eux
Même médicament que les schizophrènes
croyances sont fixes et inflexibles, la personne reste organisée et n’a pas d’hallucinations.
Types idées délirantes
Paranoïa :
Hostilité, paranoïa, complot, on me veut du mal = très stresser
Idée de grandeur :
Mission, choisi pour qqc, doit répondre la nouvelle, éclatement du discours
Référence :
Vont croire que des messages sont cachés envoyé à eux, de l’information leur sont envoyé personnellement
Érotomaniaque : tout le monde t’aime
Jalousie
Nihiliste : fin du monde est le 12 décembre heure de Mexico
Bizarre : mes intestins ont été échangé avec quelqu’un d’autre sans laisser de trace
Les critères diagnostiques de la schizophrénie sont importants à maîtriser
Schizophrénie :
Critère diagnostique selon DSM-5
Idée délirante
Hallucination (perceptions distorsions)
Discours désorganisé
Avant la crise : comportement désorganisé et catatonique
Pendant la crise : diminution d’expression émotionnelle
Décompenser = état de crise à soin nécessaire
En général, quels sont les facteurs de risque pour la schizophrénie
Biologique :
- Ventricule plus large = altération structure cérébrale
-Consommation psychotrope
Psychologique :
-Tempérament plus solitaire
- Schéma abus et méfiance
- Trait paranoïa
- Basse estime de soi
Sociale :
- Milieu urbain
- Milieu socio-économique faible
- Adversité dans l’enfance
Connaitre l’hypothèse dopaminergique associé à la schizophrénie
Le nigrostriée: pas de problème
Le mésolimbique (trop actif): hyperactivié, rapport avec gestions émotionnelle et avec la réalité (créer la psychose)
Le mésocortical (sous actif): déclanche les symtomes plus négatifs
La voie tubéroinfundibulaire: pas de problème
Problème : trop de dopamine dans un et moins dans l’autre pour combattre les symptome positif et négatif
Comment on gère la médication et les effets indésirables
Doivent bloquer les récepteurs à dopamine D2
Les neuroleptiques classiques : atteint les 2 voies qui étaient correct
- Bloquais vraiment la dopamine
- Nigrostriée: problem moteur, Parkinson
- Tubéroinfundibulaire: problème hormonal, lactation, prise de poids
Les neuroleptique atypique:
- Les voies restent normales
-Effet prise de poids qui amène des problèmes de diabètes, perdre 20 années à cause des problèmes de santé
- Utilise long acting injection qui permet de ne prend pas leur dose
La psychothérapie sert à quoi dans la schizophrénie.
Besoin d’être accompagné
Bon filet sociale pour bien s’en sortir
Approche individualisée
Approche de psychoéducation : comprend son état, doit prendre sa médication, comprendre qu’il y a des rechutes, des échecs