santé mentale Flashcards
vrai ou faux : plus de 50% des gens traités pour une dépendance à la drogue, l’alcool ou au jeu ont aussi des problèmes de santé mentale
vrai
vrai ou faux: un problème de consommation de drogue peut camoufler un problème de santé mentale
vrai
vrai ou faux: la consommation d’Alcool, contrairement aux drogues, n’est pas un risque pour la psychose
faux
quelle est la prévalence de dépendance et de santé mentale?
- 1,2% des canadiens âgés de plus de 15 ans ont souffert d’un problème de santé mentale et d’un tus simultanément au cours de l’Année précédant l’enquête
- plus de 50% des personnes cherchant de l’aide pour un tus présentent aussi un problème de santé mentale
- 15 à 20% des personnes s’adressant à des services en santé mentale vivent aussi avec un TUS
quels sont les les liens entre la consommation de spa et les problèmes de santé mentale?
la consommation de SPA peut créer, déclencher ou exacerber des problèmes de santé mentale.
ex: l’Alcool est un dépresseur. POur des gens avec des prédispositions au trouble bipolaire, la consommation d’alcool peut augmenter le risque de passage à l’acte suicidaire
la consommation de spa peut imiter ou masquer des problèmes de santé mentale.
ex: les effets des amphétamines peuvent ressembler à des délires paranoïdes. la cocaïne peut masquer le TDAH
pourquoi est-il difficile d’établir un diagnostic lorsque les gens ont un TUS?
les effets pharmacologiques des SPA peuvent imiter les symptômes de certaines maladies mentales.
il peut être difficile d’établir si les manifestations s’apparentent à un problème de santé mentale indépendant (trouble primaire) ou à un trouble induit par l’usage de SPA
qu’elle est la différence entre un trouble primaire et un trouble induit?
trouble primaire: ni la conséquence ni la complication d’un trouble
trouble induit: causé par problème de santé physique, usage de substance, etc.
difficile de différencier psychose toxique de psychose non-toxique
quelles sont les différences entre un trouble induit et la comorbidité?
induit:
- l’apparition des symptômes d’un trouble mental est la conséquence physiologique de l’intoxication ou du sevrage à une substance ou à un médicament
- les symptômes sont apparus pendant l’intoxication ou le sevrage, ou pendant le mois qui a suivi
- les symptômes ne durent pas plus d’un mois
- l’utilisation est de nature à créer la perturbation
- la perturbation n’est pas mieux expliquée par un trouble mental indépendant de la prise d’une substance ou d’un médicament
comorbidité:
- le trouble mental et le trouble lié à l’utilisation d’une substance existent séparément, mais ils interagissent entre eux
- les symptômes d’un trouble mental ont précédé le début de l’intox ou du sevrage à une substance ou à un médicament
- les symptômes persistent de façon prolongée (plus d’un mois après l’intoxication ou le sevrage)
- les symptômes sont excessifs par rapport à ce qu’on attendre en général de la substance, du médicament ou de la durée de la consommation
- antécédents d’épisodes récurrents d’un trouble mental non lié à l’utilisation, l’intoxication ou le sevrage d’une substance
pourquoi dit-on que l’usage de drogue peut déclencher/contribuer à la présence d’un trouble de santé mentale?
- la consommation de cannabis accroit de 2,1 fois le risque de développer des symptômes psychotiques ou un trouble du spectre de la schizophrénie
- quand ajusté à l’âge, le sexe, le début de la consommation et les facteurs prédisposants, le ratio diminue à 1,4
- une concentration de THC plus élevée a plus de chances de déclencher des troubles mentaux, la consommation quotidienne précoce aussi et les stresseurs dans l’enfance
pourquoi dit-on que l’intoxication à une spa peut favoriser le passage à l’Acte suicidaire?
- l’alcool déculpe la détresse
- au canada, un décès par suicide sur quatre est lié à l’Alcool
- les personnes qui ont des idées suicidaires sont 7 fois plus à risque de fair une tentative de suicide lorsqu’elles boivent beaucoup
- utilisation de moyens avec faible probabilité de survie. substance: donne le guts de prendre des moyens plus définitifs
- l’alcool peut aussi être utilisé comme moyen de suicide, seul ou en combinaison avec d’autres substances. alcool avec benzos peut être léthal
qu’est-ce que l’alcool myopia?
- la vision en tunnel sous l’Effet de l’alcool
- en réduisant la peur et l’inhibition
- en altérant le jugement et la capacité de prendre des décisions (ne voit pas les conséquences à long terme)
- en augmentant l’impulsivité et l’agressivité
- en modifiant l’état d’esprit (ex: tristesse, désespoir, amplification de l’effet dramatique de la situation)
qu’est-ce que l’hypothèse de l’automédication? modèle du TUS comme effet secondaire
les gens vont prendre des substances pour contrôler la détresse psychologique mais il y a des effets secondaire et des symptômes négatifs.
une personne consomme pour soulager les symptômes d’un problème de santé mentale, gestion des émotions, idéations suicidaire.
le trouble de santé mentale ammènerait le TUS
certains vont consommer des substances pour gérer les effets secondaires de médication (pot pour les nausées)
plusieurs données d’études longitudinales indiquent que les troubles anxieux précèdent le TUS. les jeunes qui ont besoin de médication vint aller s’automédicamenter s’ils n’ont pas la médication qu’ils ont besoin
dans l’Exemple du PTSD, pourquoi et comment une personne pourrait s’automédicamenter?
environ 30 à 50% des personnes qui souffrent de PTSD ont un TUS.
- anesthésie de la souffrance et des souvenirs
- gestion des symptômes intrusifs (cauchemars)
- gestion des sentiments négatifs: honte, culpabilité, anxiété et peur. dissociation induite chimiquement
qu’est-ce que le modèle de variance commune?
la consommation de SPA et les problèmes de santé mentale viendrait de facteurs explicatifs communs.
un même ensemble de facteurs de risque peut augmenter les risques tant du TUS que de la maladie mentale. les facteurs de risque peuvent être d’ordre biologique, social ou environnemental
par exemple:
le TUS et la schizophrénie sont deux troubles distincts ayant une origine commune dans le cerveau (les systèmes dopaminergiques)
quels sont les facteurs de risque commun dans le modèle de la variance commune?
- hérédité et antécédents familiaux
- maladies physiques
- deuil, négligence, pertes, sévices et traumatismes pendant l’enfance
- violence psychologique
- exigences élevées envers soi
- pauvre estime de soi
- isolement, manque de soutien
- pauvreté
- discrimination et stigmatisation
- violence et délinquance
- absence d’emploi
- manque d’affiliation religieuse ou spirituelle