RÉVISION Mémoire sémantique Flashcards

1
Q

(La connaissance) Qu’est-ce que l’information aquise et retenue ?

A

Tout ce qu’une personne apprend

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2
Q

La mémoire sémantique (organisation des connaissances)

A

La connaissance est organisée selon une certaine structure en mémoire sémantique

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3
Q

Les connaissances sont organisés selon 4 formes : (CCSS)

A

Concepts et catégories

Scripts et schémas

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4
Q

Concept :

Catégorie :

A

Concept : représentation mentale abstraite qui nous permet de catégoriser les éléments (objets / individus) du monde qui nous entoure

(unité fondamentale de la connaissance, joue un rôle central dans la cognition)

Catégorie : regroupement concret d’objets représentant le concept.

*La formation d’un concept permet de catégoriser

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5
Q

La fonction des concepts et des catégories (3)

A
  1. Permet d’identifier rapidement des objets
  2. Réduit la complexité de l’environnement (objets regroupés en classes)
  3. Réduit le besoin d’apprendre continuellement (permet de faire des inférences avec les caractéristiques)
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6
Q

L’étude de BOURNE 1970

A

Concepts définis par des règles logiques

Limites : catégorie « artificiel » attributs formes et courleurs (très différent des catégories « naturelles » du quotidien.

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7
Q

Caractéristiques des catégories « naturelles » (4) :

A
  1. Définis selon des dimensions continues plutôt que discontinues
  2. Organisées hiérarchiquement (par niveau)
  3. Tous les membres d’une catégorie ne sont pas égaux; certains sont plus typique que d’autres
  4. Les caractéristiques ne sont pas nécessairement indépendantes ( ex: plumes relié à ailes)
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8
Q

Étude de LABOV 1973 (limites imprécises)

A

la classification des objets est influencée par le contexte de présentation

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9
Q

ROSCH (organisation hiérarchique)

A

Niveau :

  1. subordonné (en bas complètement)
  2. de base (milieu) (Niveau privilégié par l’individu)
  3. supérieur (haut)

exemple :
électrique
guitare
instrument de musique

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10
Q

TANAKA et TAYLOR 1991

A

classer rapidement des objets de catégories subordonées

L’expertise augmente le caractère distinct du niveau subordonné (l’activité de catégorisation est influencée par l’expérience)

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11
Q

ROSCH 1973 (typicalité des items)

+

Effets de la typicalité (3) :

A

Selon Rosch, un membre d’une catégorie sera jugé typique en fonction du nombre d’attributs qu’il partage avec les autres membres de sa catégorie

Les items typiques partagent plusieurs attributs avec les autres membres de la catégorie ET peu d’attributs avec ceux de catégories adjacentes

  1. Temps de réaction et précision
  2. Probabilité de production d’items
  3. Des atténuants (presque, un peu…) sont utilités pour les objets non typiques
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12
Q

Deux modèles de catégorisation :

A
  1. Le modèle du prototype : Le prototype d’une catégorie est défini comme étant la « moyenne » des membres de la catégorie
    Prototypes : selon Rosch, l’activité de catégorisation utilise le prototype. Un objet nouveau sera classifié par sa comparaison avec un prototype : plus il ressemble au prototype, plus il sera catégorisé rapidement
  2. Le modèle des exemplaires : La représentation d’une catégorie consiste en un nombre d’exemplaires. Les nouveaux exemplaires (nouveaux objets) sont comparés aux exemplaires déjà connus en mémoire. Si le nouvel objet correspond à l’un des exemples en mémoire, il sera considéré comme appartenant à cette catégorie
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13
Q

Schémas :

Scripts :

A

Schéma : ensemble de caractéristiques relatives à une situation

Script : séquence structurée d’événements associés à une situation

Les scripts et schémas représentent le prototype d’une situation

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14
Q

BRANSFORD et JONHSON 1972

A

Une situation donnée n’active pas toujours le schéma idéal
Si un schéma erroné est activé (lorsqu’aucun titre n’est fourni au participant), moins d’information est encodée relativement à la situation.

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15
Q

INTRAUB et AL. 1989 et 1998

A

Lors de la reproduction d’une figure, le participant tend à dessiner plus loin que les frontières de la photo. – Effet des « frontières » (boundary effect)

L’examen d’une scène visuelle active un schéma correspondant qui est plus complet, contient plus d’informations que la scène présentée.
Ce schéma est utilisé lors de la reproduction de l’image, ce qui fait en sorte que davantage d’informations sont rappelées

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16
Q

ASCH 1946

A

démontre comment les gens font des inférences sur les individus à partir des schémas
La catégorisation, au plan social, peut mener à de fausses inférences et au développement de préjugés

17
Q

Modèle du réseau hiérarchique

A

Un réseau hiérarchique est constitué de nœuds et de liens.

  1. Les nœuds représentent les concepts.
  2. Les concepts peuvent être représentés à différents niveaux.
  3. Les liens relient les nœuds
  4. À chaque noeud sont associées les propriétés spécifiques au concept.
  5. Les caractéristiques partagées par l’ensemble des membres de la catégorie sont emmagasinées à un niveau supérieur (principe d’économie)
18
Q

COLLINS et QUILLIAN 1969

A

Tester le modèle hiérarchique (vérification d’énoncés)

Si le réseau est hiérarchique, le temps de réponse augmentera en fonction du nombre de niveaux entre les termes (l’effet de niveaux)

Le temps de réponse augmente en fonction du nombre de niveaux à traverser (effet de niveaux)

**Effet d’inversion de niveau : Parfois, le jugement est plus rapide pour comparer des concepts non adjacents

**Effet de typicalité : Les membres d’une classe ne sont pas équivalents : certains concepts plus typiques (p. ex., moineau) sont catégorisés plus rapidement que d’autres concepts moins typiques (p. ex., poulet) même si le nombre de niveaux à traverser est le même

19
Q

COLLINS et LOFTUS 1975

A

Proposent que l’organisation en mémoire sémantique n’est pas hiérarchique

Distribution de l’activation :
Lorsqu’un concept est présenté, il est activé en mémoire

20
Q

MEYER et SCHVANEVELDT 1971

A

utilisation d’une tâche de décision lexicale pour de tester le modèle de distribution de l’activation

Lorsque les deux mots sont associés (p. ex., chat et chien), la réponse est plus rapide (effet de préparation sémantique)