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Psychologie cognitive examen 1 > Registre sensoriel > Flashcards

Registre sensoriel Flashcards

1
Q

3 boites dans le modèle de traitement de l’information d’Atkinson et Shiffrin

A

Entrée du stimulus jusqu’au registre sensoriel

Attention= filtre
avec on a la reconnaissance des formes puis la sélection

Mémoire à court terme vers sortie/réponse,
ensuite mémoire à long terme

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Q

mémoire sensorielle (MS) (Syn.)

A

registre sensoriel

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3
Q

mémoire sensorielle (def)

A

Structure qui garde l’information sensorielle - tampon

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4
Q

Enregistrement sensoriel

A

Processus/étapes de traitement par lesquelles l’information est emmagasinée dans la «mémoire sensorielle»

nous met en contact avec le monde qui nous entoure
Percevoir notre environnement, capter des stimuli
Pas conscient de tous les stimuli (surcharge, trop) sélection des plus pertinents

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5
Q

Nous sommes bombardé de stimuli sensoriels, nous devons, … pour en saisir le sens

A

porter attention

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6
Q

Mémoire sensorielle
Stimuli y sont enregistrés et maintenus pendant … et sans …

A

un court laps de temps, sans que nous en ayons conscience (souvent)

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7
Q

Persistance sensorielle

A

Continuité, l’enregistrement sensoriel est un processus continu de la naissance à la mort même en dormant nous enregistrons certaines stimulations externes comme les sons qui sont souvent récupérées dans nos rêves, c’est un processus en action continue dont nous n’avons pas conscience

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8
Q

Quelle serait la capacité de notre registre sensoriel?

A

très grand, + qu’on pense, dépasse ce que nous avons conscience, reste inconnue (possible toute l’information sauf que pas accès car durée brève (ex: Quoi? Ah oui en fait,….)

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9
Q

Expliquer exemple du Quoi? Ah oui, …

A

ami pose une question pendant qu’on est distrait, on lui demande de répéter, mais vous avez déjà saisi ce qu’il a dit sans qu’il répète, : les sons émis par votre ami avaient effectivement été enregistrés dans le mémoire sensorielle ils ont été maintenus pendant une seconde ou 2 le temps que vous dirigez votre attention vers ces sons vous avez pu les retenir pendant un court laps de temps après leur arrivée dans votre mémoire sensorielle auditive vous savez donc été capable de les traiter ultérieurement et d’en comprendre la signification, c’est un exemple de persistance sensorielle auditive, (le temps d’y porter attention, l’info brute était toujours là)

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10
Q

Persistance sensorielle dans la mémoire visuelle

A

mémoire sensorielle visuelle les stimulations visuelles sont encore perceptibles pendant un certain temps après leur disparition ce qui fait une persistance des stimuli et crée cet effet de continuité exemples : étoile filante, cigarette dans le noir (une seule ligne et non succession de points), ballon lancé, (+ intense dans le noir), en ralentissant légèrement le déplacement nous ne percevons plus de continuité

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11
Q

Quel type d’information est gardée en mémoire sensorielle (brute ou analysée)

A

l’information brute

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12
Q

Vrai ou faux La rétention brève de l’information sensorielle n’est pas nécessaire au traitement de l’information dynamique (persistance sensorielle)
Ex: sons du langage, cinéma…

A

faux elle est nécessaire

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13
Q

mémoire visuelle (syn.)

A

mémoire iconique

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14
Q

mémoire auditive (syn.)

A

mémoire échoïque

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15
Q

Étude de Sperling (tâche et questions tente de répondre)

A

Présentation très brève de lettres dans un tachistoscope
Quelle quantité d’information peut être retenue?
Combien d’information est perdue?

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16
Q

Tachistoscope

A

distance et durée de présentation exactement pareille pour tous, standardisé

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17
Q

2 condition de l’étude de Sperling

A

Condition de rapport complet: citer toutes les informations suite à la présentation (le plus possible)

Condition de rapport partiel: citer seulement 1 des 3 lignes dépendant de la tonalité sonore entendue (tonalité après la présentation des lettres)

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18
Q

Résultats de chaque condition (Sperling)

A

Rapport complet: rapportent 4-5 lettres sur 12 (capacité en mémoire sensorielle semble limitée) (capacité maximale? Ont-ils perçu les autres et oubliés ou pas perçus)

Rapport partiel: rapportent 3-4 lettres de la ligne ce qui signifient qu’ils ont la capacité de rapporter 9 des 12 lettres (car ne savent pas encore quelle ligne doivent se rappeler)

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19
Q

Conclusion de Sperling

A

la MS a une très grande capacité mais une courte durée, Le temps de noter et surtout de ramener en mémoire en rapport complet, les autres s’effacent (le rapport des premiers éléments interfère avec les éléments suivants)

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20
Q

Limite de la … de la MS

A

durée et non capacité (durée brève, pas accès réellement à tout ce qui se retrouve en mémoire sensorielle)

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21
Q

Variables dépendante vs indépendante (nombre de lettres disponibles et délai avant la tonalité) (Sperling)

A

VD: nb de lettres
VI: délai avant la tonalité

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22
Q

icon (def) (Neisser)

A

représentation en mémoire sensorielle visuelle

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23
Q

Expérience variation du délai entre disparition des lettres et tonalité sonore, résultats et conclusion (Sperling)

A

plus le délai est long, plus l’information visuelle se dégrade (après 1 seconde le délai n’a plus d’effet rapport partiel = rapport complet)

Mémoire sensorielle visuelle peut brièvement contenir beaucoup d’informations

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24
Q

Vrai ou faux avec explication, l’expérience de Averbach et Coriell obtient des résultats semblables à celle de Sperling?

A

Rapportent en moyenne 12/16 items si indicateur immédiatement
↑ délai stimulus-indicateur engendre ↓ performance

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25
Q

En quoi consistait l’expérience de Averbach et Coriell de mémoire sensorielle visuelle

A

ensemble de lettres disposées en rangées, après la disparition des stimuli un indicateur ayant la forme d’une barre située au-dessus ou au-dessous d’une lettre apparaît le sujet devait rapporter la lettre indiquée par la barre, à mesure que le délai entre la disparition des lettres et l’apparition de l’indicateur augmente la performance se détériore.

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26
Q

Expérience Averbach et Coriell barre vs cercle (1 seul élément à rapporter)

A

avec la barre↑ délai ↓ performance: Stabilise à environ 200ms (gens ne sont plus affecté par le cercle), masquage visuel (rappel très faible) en premier lieu dans le cas du cercle car peut le confondre avec un o, revient comme si avait pas de cercle, plus de temps pour rappeler stimuli principal (pas interférence)
Quand trop rapide, interférence (2 stimuli se mélangent, un remplace l’autre) (meilleurs avec la barre)

27
Q

masquage (syn.)

A

interférence rétroactive

28
Q

Estimation de la durée de la mémoire iconique selon Sperling et selon Averbach et Coriell

A

200-300ms Sperling et 200ms Averbach et Coriell

29
Q

Principe d’oubli par interférence (masquage) (def)

A

Effet d’un apprentissage sur un autre apprentissage

30
Q

Masquage/interférence rétroactive (def)

A

Empêche le traitement d’un premier stimulus par la présentation d’un 2e stimulus (masque) (remplacement)

31
Q

2 types de masquages

A

masquage par effacement : estompe (efface le premier)

masquage par intégration: mélange des 2

32
Q

Fonction du masque

A

La persistance sensorielle deviendrais trop épuisante (surcharge de trop de stimuli et trop longtemps, évite le fouilli visuel, permet de ne pas superposer toutes les images qu’on voit et se concentrer sur 1 chose à la fois), peut être exploité dans les expérimentations de psycho cognitive (permet de contrôler très précisément le temps pendant lequel le sujet voit le stimulus

33
Q

Synchronisation vs technique de synchronie

A

Synchronisation:
Faire se produire 2 évènements simultanément
Ex: Film synchronisé lorsque le message verbal est transmis exactement en même temps que la présentation visuelle correspondante

Technique de synchronie:
Étudie la perception de la succession (et non la simultanéité)
Si l’on présente successivement deux stimuli dans un laps de temps très court, on aura l’impression qu’un seul stimulus a été présenté…
À quel point on doit séparer ces 2 stimuli pour que la répétition soit détectée?

34
Q

Technique de Synchronie penseurs et expérience

A

Haber et Standing, présentation successive de 2 cercle séparés par un bref intervalle de temps (durée de la trace sensorielle, persistance), Si intervalle <250-300ms:voit 1 seul cercle
(250-300 ms capacité de stockage de l’information visuelle pendant cette durée courte)

35
Q

Conclusion générale sur la mémoire iconique

A

Existence d’un système de mémoire sensorielle visuelle capable de stocker une grande quantité d’information pendant une durée très courte: 250 à 300 ms (grâce à l’expérience de Haber et Standing sur la technique de synchronie)

36
Q

Echo (def)

A

persistance d’un son après qu’il ait été produit

37
Q

Expérience de Darwin et al. de mémoire sensorielle auditive (en quoi elle consiste et résultats) (4)

A

Semblable à Sperling pour la mémoire iconique

Lettres et chiffres transmis par des écouteurs
Semblaient présentés simultanément à droite, gauche et au centre

Rapport complet
Rapport partiel
Indicateur visuel après la présentation auditive: gauche, droite ou centre) doit se rappeler le plus d’info selon l’endroit)
Entre 0-4 sec après présentation auditive (variable)
Sujet doit rapporter items de gauche, droite ou milieu

Résultats?
Rapport complet < partiel : existence d’une mémoire échoïque (de capacité plus grande que ce que sous entend le rapport complet)

38
Q

Pourquoi dans l’expérience de Darwin et al., ils font l’usage d’indicateurs visuels et non auditif comme les stimuli entendus

A

pour éviter le masquage, interférence,

39
Q

expérience de Massaro de mémoire échoïque (en quoi elle consiste et résultats)

A

Masquage auditif, présentation d’un signal sonore (aigu ou grave)
Délai variable
Présentation d’un «masque» (fréquence intermédiaire)
Réponse du participant
Signal (cible initiale) aigu grave?

Résultat: Durée de la mémoire auditive est d’au moins 250 ms car la performance des participants augmente plus l’intervalle de temps augmente jusqu’à un plateau à 250 ms (avant cela, le masque interfère avec le stimulus voulu)

40
Q

Expérience de Anne Treisman sur la mémoire auditive (qu’est-ce qu’elle a fait et résultats)

A

Tâche de filature (shadowing)
Sujet entend deux messages identiques, mais décalés (dans chaque oreille)
À partir de quel intervalle saura-t-il que c’est le même message?

Résultats : Décalage entre les messages ≤ 2 sec : on note la répétition
[0-2s]: on dispose encore du 1er son lorsque le 2e son survient
Durée de la mémoire échoïque serait donc ∼ 2 sec
Variabilité entre les études précédentes… Mais estimé à 2 sec

41
Q

filature (def)

A

répéter ce qu’ils ont entendu

42
Q

Pourquoi mémoire échoïque > mémoire iconique

A

visuelle, peut retourner plus longtemps dans la plupart des circonstances, échoïque + éphémère ne peut pas y revenir autant

43
Q

variation entre les résultats de Anne Treisman, Massaro et Darwin et al. (durée de la mémoire auditive)

A

environ 2 secondes (Treisman)
environ 250 ms (Massaro) (masque)
environ 4 secondes (Darwin et al.)

à cause de la diversité des stimuli auditifs utilisés

44
Q

Effet de primauté (explique)

A

On se rappelle typiquement mieux des éléments situés en début de liste… moins bon rappel des éléments du milieu. (l’information a le temps de passer en mémoire à long terme (plusieurs types de mémoires mise en cause)

45
Q

Effet de récence

A

On se rappelle typiquement mieux des éléments situés en fin de liste… moins bon rappel des éléments du milieu.

Récence: stimulis toujours présents dans registe sensoriel (persistance en mémoire sensorielle)

46
Q

Pourquoi se rappelle-t-on moins bien des éléments du milieu d’une liste

A

pas de primauté ni de récence et en plus il y a un masquage par les derniers éléments (+récents)

47
Q

Expérience de Crowder et Morton (expliquer)

A

primauté et récente mais surtout effet de suffixe et lien avec effet de récence,

Condition expérimentale: dit «go» à la fin de la liste à rappeler
Effet de suffixe: élimine effet de récence via stimulus auditif

Suffixe/masque fonctionne seulement si même modalité que les informations à retenir, sinon ne feront pas compétition

Effet de suffixe non observable avec stimulus visuel (seulement auditif)

le go agit comme un masque

48
Q

Information en mémoire sensorielle conservée de manière brute (physique) ou analysée (signification) 2 hypothèses

A

H1 : Si l’enregistrement porte sur la signification du message le contenu en mémoire sensorielle de ces 2 messages formulés différemment mais ayant la même signification devraient être le même peu importe la forme exacte de ces messages,

H2 : l’information serait plutôt gardée dans le registre sensoriel sous forme physique initiale c’est que plus tard lorsqu’on prête attention à cette information que la signification en est extraite

49
Q

Information en mémoire sensorielle conservée de manière brute (physique) ou analysée (signification) (expérience de Sperling)

A

Méthode : la nature des indices est manipulée (expérience de Sperling)
Indice : son, tonalité qui catégorise les stimuli dans la tête (p.ex. son grave = chiffres ou aigu=lettres) selon les caractéristiques physiques ou sémantiques

H1: (fausse) Rapport complet<partiel? L’indice améliore le rappel, donc information catégorielle en MS
(serais plus facile de retenir plus d’information puisque celle-ci serais catégorisée (rapport partiel) (cible plus l’attention car prend le temps de déterminer chiffre ou lettre, plus facile comme ça que juste visuel dans l’espace (rapport complet) rapport partiel plus grand que complet, prouverait que info analysée est stockée, mais c’est faux)

H2: (vraie) Rapport complet=partiel? L’indice n’apporte pas d’avantage, donc information non catégorisée, l’indice n’apporte aucun avantage, il n’y a pas de différence

Résultats :
Si les stimuli à rapporter doivent être identifiés pour être rapportés:
Rapport complet= Rapport partiel
L’information en mémoire iconique n’est donc pas identifiée, catégorisé

50
Q

Vrai ou faux (explique) l’effet de suffixe se manifeste seulement dans la modalité auditive (pas visuelle)

A

vrai, suggère que seulement représentation physique en mémoire aussi comme iconique et non analysée (expérience de Treisman et Rostron)

51
Q

À quoi ça sert ? information physique élémentaire stockée et non traitée.

A

donner le temps d’apporter l’attention sur les éléments pertinents, le reste sera oublié

52
Q

mémoire olfactive

A

unique, mémoire des odeurs reste intact malgré déficits à d’autres types de mémoires, Mémoire qui persiste très longtemps, même si catégorisation sémantique (sent sauce à spag, … capable d’identifier et catégoriser)

limite: test de reconnaissance (Miles et Jenkins), On présente au participant des odeurs à retenir dans l’ordre de présentation
Suffixe présenté à la fin des séquences: olfactif, visuel ou auditif.
Effet de suffixe survient uniquement lorsque le suffixe est olfactif, système indépendant

53
Q

Mémoire tactile (2 expériences)

A

Avantage du rapport partiel (Bliss et al.)
Doigts des 2 mains sont utilisés
Chaque doigt est séparé en 3 régions (bas, milieu, haut), qu’il apprend à nommer
Vaporisateur d’air sur plusieurs régions simultanément (nb variable entre les essais)
Rapporte les régions où il y a eu stimulation
Rapport complet
Rapport partiel (ex: indice visuel indique de rappeler seulement région du haut)
Résultats: du rapport partiel > rapport au rapport complet (grande capacité de mémoire sensorielle tactile)

Effet de suffixe (Watkins & Watkins)
Participant doit rappeler dans quel ordre on touche leurs doigts
Suffixe auditif ou tactile.
L’effet de suffixe uniquement lorsque le suffixe est tactile
Suggère que la mémoire tactile est un système de mémoire indépendant

54
Q

Caractéristiques de la MS (5)

A
  1. Mémoire très brève: l’information peut être transférée en mémoire à court et long terme si l’individu lui porte attention.
    Toutefois, le transfert est limité, puisque l’information se dégrade très rapidement. (bonne partie oubliée quand vient le temps de porter attention)
  2. Spécifique à chaque modalité sensorielle
  3. Information de nature pré-catégorielle : caractéristiques physiques
  4. Capacité relativement élevée, mais durée de la trace très courte :
    Visuel: durée d’environ 250-300 ms
    Auditif: durée d’environ 2 sec
  5. Perte de l’information en mémoire sensorielle :
    Oubli par estompage (dégradation avec le passage du temps)
    Oubli par interférence rétroactive (masquage)
55
Q

Rapport complet de Sperling met en lumière …

A

la durée en mémoire sensorielle

56
Q

Le rapport complet VS partiel de Sperling met en lumière

A

la capacité de la mémoire sensorielle

57
Q

vrai ou faux l’effet de suffixe atténue l’effet de récence

A

vrai

58
Q

Temps entre les images doit être plus court que celui de la MS pour créer effet de continuité (image précédente toujours là en MS quand l’autre apparait)

A

Persistance sensorielle

59
Q

Rapport complet informe sur

A

la durée de la MS

60
Q

Rapport partiel informe sur

A

la capacité de la MS

61
Q

Lorsque le rapport partiel est plus grand que le rapport complet alors

A

La capacité est plus grande que la durée

62
Q

Durée mémoire iconique et échoique

A

250-300 ms (iconique)

2s (échoique)

63
Q

Vrai ou faux l’effet de suffixe non observable avec stimulus visuel

A

Vrai seulement avec stimulus auditif (entre les 2)

Psychologie cognitive examen 1 (4 decks)

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