Questions Socrative Flashcards

1
Q

Quelle était, selon Freud, l’éthiologie de la “névrose actuelle”?

a) un traumatisme passé
b) une agressivité refoulée envers le parent du même sexe
c) un refoulement excessif des pulsions sexuelles

A

C

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2
Q

Vrai ou faux. En psychanalyse, angoisse et anxiété sont des synonymes.

A

Faux.

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3
Q

Quel mécanisme parmi les suivants n’intervient pas dans le développement d’une phobie selon l’approche psychanalytique?

a) le clivage
b) le déplacement
c) la projection
d) l’évitement

A

A

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4
Q

Vrai ou faux. Bergeret donne une définition plus complète que Kernberg de l’organisation psychotique de la personnalité, alors que Kernberg donne une définition plus complète de l’organisation limite (ou borderline).

A

Vrai.

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5
Q
  • *L’angoisse qui domine dans la psychose est celle…
    a) de dépression
    b) de castration
    c) de morcellement
    d) d’engouffrement
    e) d’abandon
A

C

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6
Q

Pour Kernberg, la caractéristique principale de l’organisation limite de la personnalité est…

a) la perte de contact avec la réalité
b) la paranoïa et la méfiance
c) la diffusion de l’identité
d) la présence de conflits autour de la compétition
e) aucune de ces réponses

A

C

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7
Q

Vrai ou faux. Le narcissisme, en psychanalyse, fait référence à un état nécessairement pathologique.

A

Faux.

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8
Q

Lequel de ces enjeux conflictuels n’est pas typique de l’organisation névrotique de la personnalité?

a) l’expression de l’agressivité
b) la sexualité
c) la compétition
d) la relation avec l’autorité
e) le clivage des représentations

A

E

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9
Q

Quel élément parmi les suivants est faux? Kernberg conçoit l’anorexie comme une attaque sadique et acharnée de la patiente…

a) contre le plaisir
b) contre la féminité
c) contre la mère
d) contre la société
e) A, b, c et d sont vrais

A

D (pas tant une bonne question selon le prof).

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10
Q

Vrai ou faux. La “règle fondamentale” correspond en psychanalyse à la manière avec laquelle l’analyste devrait écouté l’analysé.

A

Faux, ça devrait être la règle de l’association libre.

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11
Q

Vrai ou faux. La neutralité en psychanalyse implique que la thérapeute ne devrait pas s’impliquer trop émotivement auprès du patient, et devrait garder une distance affective avec les enjeux vécus par ce dernier.

A

Faux. (Serait pas posée à l’examen pcq pas assez claire, si posée, va très claire pour un côté ou un autre.)

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12
Q

_____________ est une intervention qui permet d’établir des liens entre des énoncés ou des évènements en apparence isolés, ou de rendre explicites les défenses, les résistances ou les manifestations du transfert.

a) la confrontation
b) la perlaboration
c) l’interprétation
d) l’exploration
e) aucune de ces réponses

A

C

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13
Q

Quel énoncé parmi les suivants est vrai? Le thérapeute devrait proposer une interprétation…

a) le plus rapidement possible
b) même s’il n’est pas certain de sa justesse
c) la plus en profondeur possible
d) même lorsqu’il a l’impression que le patient va en arriver à la même conclusion tout seul
e) en ciblant la résistance en premier

A

E

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14
Q

Vrai ou faux. Une interprétation, pour être considérée comme efficace, devrait toujours amener chez le patient un sentiment d’émerveillement, de découverte (“a-ha!”).

A

Faux, elle doit plutôt alimenter le travail de réflexion, le travail de liaison.

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15
Q

Lequel des éléments suivants n’est pas selon Greenson (1967) un motif possible de résistance en thérapie?

a) la peur du changement
b) un transfert hostile
c) un transfert érotique
d) des gains secondaires liés à la pathologie
e) a, b, c et d sont tous les motifs possibles de résistance selon Greenson

A

E

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16
Q

Vrai ou faux. Un thérapeute de devrait pas accepter qu’un patient entreprenne une psychothérapie alors qu’il prend une médication psychiatrique, et devrait l’encourager à cesser cette médication avant de pouvoir débuter un suivi.

A

Faux.

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17
Q

Vrai ou faux. La recherche (p. ex. Neborsky, 2006) a bien démontré que l’interprétation était très efficace dans sa capacité à traiter les traumas à la fois explicites et implicites.

A

Faux, l’interprétation est efficace pour traiter les traumas explicites (ce qui est verbal),mais les traumas implicites (qui ne viennent pas d’événements marquants, de paroles, de faits explicites) vont plus répondre à la relation thérapeutique.

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18
Q

Vrai ou faux. La position dépressive correspond à un phénomène qu’il faut éviter en thérapie, car le patient est alors susceptible de devenir déprimé et même suicidaire.

A

Faux, c’est un objectif à atteindre en thérapie dans bien des cas.

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19
Q

Pour Westen et Gabbard (2003), les deux types de transfert les plus souvent observés en thérapie sont ceux impliquant…

a) les relations amoureuses intimes et les figures d’autorité
b) les parents et les frères/soeurs
c) les relations d’autorité et les relations de compétition
d) les relations positives et les relations négatives
e) aucune de ces réponses

A

A

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20
Q

Un transfert caractérisé avant tout par des conflits proximité-distance est surtout typique des patients présentant une personnalité…

a) paranoïaque
b) schizoïde
c) narcissique
d) histrionique
e) obsessionnelle-compulsive

A

B

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21
Q

Un transfert caractérisé avant tout par la rigidité, le contrôle et l’alternance entre des positions de soumissions et de rébellion est surtout typique de la personnalité…

a) paranoïaque
b) schizoïde
c) narcissique
d) histrionique
e) obsessionnelle-compulsive

A

E

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22
Q

Le contre-transfert…

a) est toujours inconscient
b) est heureusement évitable grâce à la formation et à la supervision
c) est avant tout la conséquence d’enjeux non résolus chez le thérapeute
d) inclut uniquement des réactions dites “réalistes”
e) a, b, c et d sont faux

A

E (tout est faux, pas tjr inconscient entre autres).

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23
Q

Un thérapeute dont le fils aîné vient d’être incarcéré pour avoir vendu de la drogue se met en colère et met fin à une séance avant l’heure prévue parce que son patient lui avoue avoir consommé du cannabis la veille. Cela correspond plus probablement…

a) à un contre-transfert névrotique
b) à un contre-transfert réaliste

A

A, contre-transfert névrotique, ce n’est pas un contre-transfert réaliste pcq ce ne sont pas tous les thérapeute qui vont réagir à un telle chose en mettant leur patient à la porte.

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24
Q

Lequel des types de contre-transfert suivants n’a pas été identifié par la recherche?

a) impuissant-inadéquat
b) désengagé
c) sexualisé
d) parental-protecteur
e) tous ces types de contre-transfert ont été identifiés par la recherche

A

E, ont tous été identifiés par la recherche (toute la gamme des émotions est possible).

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25
Q

Vrai ou faux. La fatigue, la distraction et l’inattention peuvent être vues comme les causes des actes manqués.

A

Faux, ce sont des facteurs facilitants, mais la cause c’est l’interférence entre deux intentions.

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26
Q

Vrai ou faux. Le cauchemar contredit l’hypothèse psychanalytique voulant que la réalisation d’un désir infantile se cache derrière le rêve.

A

Faux, ce serait l’émergence d’un désir très cru et inacceptable (selon Freud).

27
Q

Vrai ou faux. L’hypothèse de Freud voulant que l’amnésie du rêve soit la conséquence de la censure a été bien démontrée par la recherche contemporaine.

A

Faux.

28
Q

Le processus de _____________ correspond à une organisation des éléments du rêve en un ensemble cohérent en obéissant aux processus secondaires de la pensée.

a) figurabilité
b) projection
c) condensation
d) déplacement
e) aucune de ces réponses

A

E, aucune de ces réponses. Ce serait l’élaboration secondaire (ou révision secondaire).

29
Q

Le contenu ____________ du rêve correspond à ce que le rêveur raconte de son rêve, tel qu’il lui apparait avant l’analyse.

a) latent
b) manifeste
c) des reste diurnes

A

B

30
Q

Vrai ou faux. Un fantasme sexuel particulièrement agressif pourrait suggérer une forte intrication des pulsions agressives et sexuelles chez un individu.

A

Vrai.

31
Q

Vrai ou faux. Le nombre d’analystes et de patients désireux d’entreprendre une analyse est en légère hausse depuis quelques années en Amérique du Nord.

A

Faux.

32
Q

Vrai ou faux. Affirmer que les psychanalystes considèrent la schizophrénie comme le résultat d’une relation avec une mère schizophénogène et toxique serait un bon exemple d’un argument ad hominem.

A

2- Faux, (à retenir c’est quoi la logique ad hominem pcq très souvent utilisée contre la psychanalyse).

33
Q

Vrai ou faux. Parmi les critiques adressées par Drew Westen aux psychanalystes, il leur reproche notamment de sur-simplifier leur description de mécanismes complexes, et de parfois abuser de métaphores et d’images obscures pour remplacer la description rigoureuse de concepts théoriques.

A

Vrai.

34
Q

Vrai ou faux. Les critiques selon lesquelles la psychanalyse est une pseudoscience sans hypothèses testables est, malheureusement, très largement fondée.

A

Faux.

35
Q

Vrai ou faux. Les psychanalystes français sont généralement très ouverts à soumettre la psychanalyse à des vérifications empiriques rigoureuses.

A

Faux.

36
Q

Laquelle des hypothèses suivantes de la psychanalyse n’est pas appuyée par les travaux du courant de la neuropsychanalyse?

a) l’importance des processus inconscients
b) le lien entre pulsions et affects
c) les notions de processus primaires et secondaires
d) les hypothèses sur l’amnésie infantile, liée au refoulement de contenus sexuels
e) toutes les hypothèses précédentes sont appuyées par la neuropsychanalyse

A

D, les hypothèses sur l’amnésie infantile, liée au refoulement de contenus sexuels ne sont pas appuyées par la neuropsychanalyse.

37
Q

Qu’est-ce qui ne fait pas partie de l’essence de la thérapie psychodynamique actuelle, selon Blagys et Hilsenrith (2000)?

a) un accent sur les affects et l’expression des émotions
b) l’identification des thèmes récurrents et des patterns
c) une discussion des expériences passées
d) un accent sur la vie sexuelle présente et passée
e) une exploration des désirs, des rêves et des fantaisies

A

D

38
Q

Lequel des énoncés suivants à propos des différences entre l’approche psychodynamique et l’approche CBT est vrai?

a) la recherche démontre clairement la supériorité de l’approche CBT
b) la recherche démontre clairement la supériorité de l’approche psychodynamique
c) les deux approches mettent autant d’accent sur les symptômes
d) les deux approches mettent autant d’accent sur l’importance d’une thérapie personnelle pour la thérapeute
e) Dans l’approche CBT, les réactions affectives du patient face au thérapeute sont moins vues comme des opportunités, et sont davantage vues comme des distractions et des interférences

A

E

39
Q

Vrai ou faux. Une étude de Norcross (2005) menée auprès de thérapeutes révèle que peu importe leur orientation théorique, ces derniers choisissent majoritairement une approche psychodynamique pour leur thérapie personnelle.

A

Vrai.

40
Q

Comment est la personnalité dans l’organisation de la personnalité psychotique?

A

Profondément diffuse.

41
Q

Comment est la personnalité dans l’organisation de la personnalité limite?

A

Diffuse.

42
Q

Comment est la personnalité dans l’organisation de la personnalité névrotique?

A

Relativement intégrée.

43
Q

Comment sont les défenses dans l’organisation de la personnalité psychotique?

A

Primitives (déni, projection).

44
Q

Comment sont les défenses dans l’organisation de la personnalité limite?

A

Primitives (clivage, identification projective).

45
Q

Comment sont les défenses dans l’organisation de la personnalité névrotique?

A

Névrotiques–matures (refoulement, formation réactionnelle, …).

46
Q

Comment est le contact avec la réalité dans l’organisation de la personnalité psychotique?

A

Perdu(délire, hallucinations).

47
Q

Comment est le contact avec la réalité dans l’organisation de la personnalité limite?

A

Relativement intact, perturbé lorsque stress ++

48
Q

Comment est le contact avec la réalité dans l’organisation de la personnalité névrotique?

A

Intact.

49
Q

Comment sont les relations d’objets dans l’organisation de la personnalité psychotique?

A

Perturbations profondes (position SZP).

50
Q

Comment sont les relations d’objets dans l’organisation de la personnalité limite?

A

Perturbations plus ou moins importantes, souvent chaotiques et instables (position SZP)

51
Q

Comment sont les relations d’objets dans l’organisation de la personnalité névrotique?

A

Conflits plus subtils (autonomie –dépendance, rivalité, sexualité, …), position dépressive.

52
Q

Comment sont les capacités de mentalisation dans l’organisation de la personnalité psychotique?

A

Profondément perturbées.

53
Q

Comment sont les capacités de mentalisation dans l’organisation de la personnalité limite?

A

Perturbées(souvent de façon sérieuse).

54
Q

Comment sont les capacités de mentalisation dans l’organisation de la personnalité névrotique?

A

Généralement maintenues, perturbations occasionnelles autour des sphères conflictuelles.

55
Q

Comment est la nature des conflits dans l’organisation de la personnalité psychotique?

A

Existentiels (vie –mort).

56
Q

Comment est la nature des conflits dans l’organisation de la personnalité limite?

A

Relationnels.

57
Q

Comment est la nature des conflits dans l’organisation de la personnalité névrotique?

A

Autonomie –dépendance.

58
Q

Quelles sont les angoisses dans l’organisation de la personnalité psychotique?

A

Morcellement-annihilation.

59
Q

Quelles sont les angoisses dans l’organisation de la personnalité limite?

A

Persécutrices(bas niveau), abandonniques –dépressives (haut niveau).

60
Q

Quelles sont les angoisses dans l’organisation de la personnalité névrotique?

A

Punition.

61
Q

Comment sont le transfert et contre-transfert dans l’organisation de la personnalité psychotique?

A

Intenses, parfois positifs, mais parfois terrifiants.

62
Q

Comment sont le transfert et contre-transfert dans l’organisation de la personnalité limite?

A

Intenses, alternance entre idéalisation et dévaluation.

63
Q

Comment sont le transfert et contre-transfert dans l’organisation de la personnalité névrotique?

A

Plus subtils.