Questions pour champions Flashcards

1
Q

Production de biens et services collectifs

• Qu’est-ce qu’un bien ou service collectif?

A

• Qu’est-ce qu’un bien ou service collectif?

  • un bien indivisibles
  • des consommateur non identifiable et exclusion impossible, peu importe le prix
  • niveau de consomation déterminé par l’électeur médian
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2
Q

Production de biens et services collectifs

• Pourquoi y a-t-il des besoins non comblés (en quantité ou en qualité) de services collectifs?

A

• Pourquoi y a-t-il des besoins non comblés (en quantité ou en qualité) de services collectifs?

soit les firmes produisent trop peu de biens “bénéfiques” ou trop de biens “nuisibles”,
• soit elles limitent trop l’accès de certaines personnes à la consommation de certains biens,
• soit enfin elles produisent des biens dont les quantités et les qualités ne sont pas conformes aux attentes des consommateurs.»

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3
Q

Production de biens et services collectifs

• Comment les ESC font-elles pour répondre aux besoin non comblé de services collectifs?
?

A

?

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4
Q

Production de biens et services collectifs

• Quelle est la différence entre la production complémentaire et la production déléguée de services collectifs

A

?

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5
Q

Biens ou services de confiance

• Qu’est-ce qu’un bien ou un service de confiance?

A

• Qu’est-ce qu’un bien ou un service de confiance?
Les biens et services de confiance sont ceux dont le consommateur ne peut facilement évaluer la qualité, et qui nécessitent en conséquence un intermédiaire de confiance?

• Les entreprises d’économie sociale sont plus à même d’offrir cette intermédiation en favorisant la confiance vis-à-vis des consommateurs ou des acheteurs, entre autres parce qu’elles n’ont pas pour premier objectif de générer des profits pour en distribuer les dividendes à des actionnaires

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6
Q

Biens ou services de confiance

• Quel concept aide à comprendre pourquoi il est difficile pour un consommateur/usager d’accorder sa pleine confiance à un agent strictement motivé par ses gains pécuniaires?

A

On parle d’asymétrie d’information lors d’un échange quand certains des participants disposent d’informations pertinentes que d’autres n’ont pas. Les asymétries d’information peuvent ainsi engendrer un déséquilibre entre le producteur et le consommateur ou entre le vendeur et l’acheteur

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7
Q

Biens ou services de confiance

Pourquoi les ESC sont particulièrement bien adaptées à la production de biens ou de services de confiance

A

Pourquoi les ESC sont particulièrement bien adaptées à la production de biens ou de services de confiance

• Les entreprises d’économie sociale sont plus à même d’offrir cette intermédiation en favorisant la confiance vis-à-vis des consommateurs ou des acheteurs, entre autres parce qu’elles n’ont pas pour premier objectif de générer des profits pour en distribuer les dividendes à des actionnaires

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8
Q

Contre-pouvoir de marché

• Qu’est-ce qu’un pouvoir de marché?

A

• Qu’est-ce qu’un pouvoir de marché?

Certaines organisations se mettent sur pied en vue de contrer le pouvoir de joueurs trop dominants sur les marchés, lesquels ont la capacité de contrôler les prix ou diminuer la qualité à leur avantage ou ne privilégier que les segments de marché les plus rentables: monopoles ou oligopoles (concentration du pouvoir des fournisseurs), monopsones ou oligopsones (concentration du pouvoir des acheteurs).

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9
Q

Contre-pouvoir de marché

• Quels en sont les avantages, les risques d’un pouvoir de marché ? Pour qui?

A

Certaines entreprises d’économie sociale ont pour mission d’organiser des activités dans des marchés peu concurrentiels afin de se donner un avantage compétitif à l’avantage de leurs membres ou des communautés qu’elles desservent (ex.: coopératives, groupements de consommateurs, circuits courts ou équitables de commercialisation).

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10
Q

Contre-pouvoir de marché

• Comment les ESC peuvent-elles répondre à ces risques?

A

?

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11
Q

Attractivité entrepreneuriale

• Quels sont les éléments constitutifs d’une opportunité sociale?

A
  • Quels sont les éléments constitutifs d’une opportunité sociale?
  • Identification des opportunités
  • Dimensions entrepreneuriales
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12
Q

Attractivité entrepreneuriale

• Pourquoi les détenteurs de ressources souhaiteraient-ils les mettre à disposition des ESC?

A

• Pourquoi les détenteurs de ressources souhaiteraient-ils les mettre à disposition des ESC?
Parceque la plus value sociale l’emporte sur la lus value commerciale et que les gains monétaire sont moins important pour ces entrepreneur.

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13
Q

Attractivité entrepreneuriale

• Qu’est-ce qui motive les entrepreneurs sociaux?

A

?

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14
Q

Failles philanthropiques

• La création des OBNL précède dans bien des cas l’action publique dans les mêmes domaines. En quoi ce constat remet-il en question la vision résiduelle des théories explicatives de l’existence des OBNL?

A

?

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15
Q

• Que signifie l’expression «faille philanthropique»?

A

?

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16
Q

• Identifiez les 4 types de «failles philanthropiques

A

O insuffisance philanthropique: incapacité à générer les ressources nécessaires pour satisfaire les besoins en termes de biens publics

O particularisme philanthropique: tendance des obnlet de leurs donateurs à focaliser l’attention sur des souscatégories de problèmes (religieux, ethnique, communautaire,…)

O paternalisme philanthropique: la définition des besoins émane de ceux qui ont les ressources (ex. les riches financent les arts)

O amateurisme philanthropique: insuffisance du travail bénévole face à des problèmes complexes qui requièrent intervention professionnell

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17
Q

identifier les particularités qui peuvent distinguer la gestion des ressources humains dans les ESC ET EXPLIQUEZ en la raison d’être

A

Plusieurs catégories de travailleurs : bénévole d’activité, bénévole de gouvernance, employer, direction, etc.
Gestion des ressources humaine en fonction des valeurs de l’organisme
Gouvernance d’usager. Confusion de role entre la gouvernance et les employés.

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18
Q

: nommez les particularités de la relation entre usage et capital dans la gestion financière des ESC et expliquez-en la raison d’être

A

La distribution des surplus est fait en fonction de l’usage sous forme de ristourne pour coop. Par contre l’obnl ne peut pas faire de ristourne. Raison d’être : la coopérative a été créer pour des fin d’usage et non des fins de profit

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19
Q
  1. Quelles sont les règles afférentes aux relations avec les membres ? identifier le lien d’usage et expliquez en la raison :
A

CA – direction – employé – membre
Les membres font partie du même réseau que le CA. Le CA est à la tête de l’organisme avec la direction. La direction est garante des employés.
Part de l’activité faite avec la coop dans l’ensemble des activités de la personne permet de calculer le lien d’usage. Lien de travailleurs, producteur ou consommateur. Si la part d’activité est la même, alors on l’évalue en fonction des autres opportunités, de la compétition. Y a-t-il plusieurs autres employeuses ou plusieurs autres appartements à faible cout ?

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20
Q

4 .Équipe relation publique : quelles sont les caractéristiques distinctives des entreprises collectives ? est-ce que toute les entreprises sociales sont collectives ?

A

Mode de propriété : les membres sont propriétaire de l’Entreprise
Gouvernance démocratique – un membre un vote vs une action un vote.
Être autonome du gouvernement c’est une similitude a l’entreprise.
Ne peux pas distribuer les bénéfices à la fin de l’année mais les surplus peuvent être limité a la distribution en fonction de l’usage.
Ce sont les membres qui détermine les activités de l’Entreprise.

21
Q
  1. a Définitions et contours

1. Identifiez trois caractéristiques que l’ESC partage avec l’entreprise conventionnelle.

A
  1. Identifiez trois caractéristiques que l’ESC partage avec l’entreprise conventionnelle.
    - Autonomie par rapport à l’état + démarche entreprenariat + prise de risque économique
22
Q
  1. Outre les valeurs, identifiez quatre caractéristiques qui différencie l’ESC de l’entreprise capitaliste.
A

ssociation de personne (démocratie) + finalité non centrée sur le profit mais plutôt de remplir sa mission + on répond au besoin d’un groupe + actif impartageable

23
Q
  1. Quelle est la similitude et quelle est la différence entre une entreprise sociale collective et une entreprise sociale non collective?
A

L’entreprise sociales peut ne pas l’être indéfiniement puisque la direction peux changer de décision tandis pour pour l’entreprise sociale et collective, l’entreprise appartiens aux membres, ce qui signifie qu’elle restera sociales toute sa vie.
Elles ont toutes une dynamique entrepreneuriale, la mission de crée de la valeur, peut-être une distribution limité ou interdite des surpplus, une indépendance de l’état et un gouvernance démocratique, mais de manière discrétionnaire.

24
Q
  1. Quels sont les principales caractéristiques et différences entre les coopératives, les OBNL est les sociétés par action sous l’angle de:
A

A. La participation à la propriété : les membres ont sont propriétaires – personne morale
B. La participation au pouvoir : un membre un vote
C. La participation aux résultats : distribution limité ou interdit des excédent

25
Q

Quelles sont les instances statutaires de gouvernance des coopératives? Des OSBL? Qui sont les dirigeants?

A
  • Assemblé général
  • CA
  • Direction : pas le droit de vote, différence avec l’entreprise classique.
  • Travailleur
  • Pas de différence entre les OBNL et coopérative.
26
Q

Quels sont les pouvoirs et devoirs du conseil d’administration sur la direction générale?

A
  • Dirigeant – signataire, représentant de la coopérative (président, secrétaire et trésorier) de la coopérative
  • nommer directeur général, l’évaluer, contrôler la bonne gestion, congédiement de la direction générale.
27
Q

direction générale.

Quels sont les pouvoirs et devoirs de la direction générale sur le conseil d’administration?

A
  • Devoir de communication de transparent, de bien faire fonctionner l’organisme, saines gestions de celui-ci.
  • Pouvoir de convoquer un CA. Pas beaucoup de pouvoir.
28
Q

Quels sont les différents types de conseils d’administration selon Mayaux et quelles en sont les fonctions respectives?

A

?

29
Q

Dans quel genre de situation chacun de ces types peut être utile?

A
  • Conseil dispositif de contrôle: évaluation performance, contrôle en gestion de crise. : pour organisation qui a besoin d’encadre ex – jeune direction décès.
  • Conseil outil: développer l’organisation – jeune organisation, en vois d’émergence sans employé.
  • Conseil façade: formalité légale - CA symbolique. Pour faire bouger le quotidien plus rapidement – facilement.
  • Conseil militant : milite pour la mission originale de l’organisation – quand il faut porter une mission au niveau gouv. Et partenariat public et privé. Quand on est à la recherche de financement.
30
Q

Quel lien peut-on faire entre le rôle attendu du CA et le type de personnes que l’on souhaite y voir siéger?

A
  • Membre ordinaire : connaitre les besoins des membres, leurs besoins actuels
  • Membre expert
31
Q

Quelles sont les paradoxes d’un CA formé à la fois d’experts et de représentants des membres « ordinaires »?

A
  • Tension entre ce qui est bon pour l’entreprise et ce qui est bon pour les membres.
32
Q

Qu’est-ce que la théorie de la centralité psychologique nous apprend au sujet de l’évaluation de la direction?

A
  • La direction est responsable du succès comme de l’échec.
  • Sentiment d’être sur un siège éjectable si trop d’échec
  • Direction indélogeable si trop de succès.
33
Q

Quel est le type de tensions peuvent se poser au moment de l’évaluation de la DG?

A
  • C.a. de façade ou moment de l’évaluation des surprises surviennes. Comment évaluer le DG ? on évalue la capacité de la direction a suivre la mission de l’organisation, du plan stratégique. Pas dans les opérations quotidiennes.
34
Q

Différence entre évaluation des processus et évaluation d’impacts ?

A

Évaluation des processus
- Valeur en soi
- Éthique de l’és (finalité de service, démocratie économique, lucrativité limités. Autonomie de gestion)
- Hypothèse : le processus conduit a la production d’effet
Évaluation d’impact
- Effets (causés par l’action) sur : les bénéficiaires directs, les bénéficiaires indirects, la société.

35
Q

Qu’est-ce qu’un indicateur ?

A

Outils de mesure. La plupart des indicateurs sont des indicateurs de réalisation, et non d’effet.

36
Q

Quels sont les défis, les risques associés à l’évaluation ?

A
  • Risque de standardisation
  • Effets sélection de l’observable, du quantifiable
  • Effet boussole (dirige l’organisation)

Défi épistémologique, organisationnels, méthodologique et politique,
épistémologique
- Entre difficulté, limite, impossibilité de quantifier et une nécessaire objectivation des effets
- Entre la quasi impossibilité d’isoler le lien causal et la nécessaire question de la contribution de l’action
organisationnels
- Évaluation du processus et des effets
- Entre la mesure des effets et les effets de la mesure
- Des ressources pour l’Action ou pour l’évaluation
méthodologique
- Entre la méthode miracle et le foisonnement des méthodes toutes dotées de biais
politique
- Entre la standardisation et le particularisme
- Entre outil de contrôle et opportunité d’entreprenariat institutionnel.

37
Q

En quoi l’évaluation consiste-t-elle une opportunité ?

A
  • Renforcer la légitimité
  • Culture d’évaluation (amélioration des pratiques)
  • Mobiliser les parties prenantes
38
Q

Démarche d’évaluation : pour qui ? pour quoi ? évaluer le processus ou appréhender les effets ou l’impact, avec quel moyen ? avec quelles parties prenantes ?

A

?

39
Q
  1. L’évaluation n’est jamais neutre. Vrai ou faux? Justifiez votre réponse.
A

Vrais, jamais neutre, teinté d’un paradigme, nombreux biais, jugement de valeur, plusieurs types d’évaluations, plusieurs types d’externalité et de mesure d’impacte, différent niveau de formalisation de l’évaluation (simple et complexe). Le contexte de l’évaluation. Pour démontré ma neutralité, il faut exposé sur quels critères l’évaulaiton sera fait, sous quels paradigme. La neutralité n’est pas la rigeur même si les deux concepts sont proche, mais ils ne soppose pas.

40
Q
  1. Qu’est-ce qu’une relation causale? Comment peut-on l’établir?
A

Démontrer la cause qui est relié à l’effet. (revoir lecture TIEFF) Pour avoir une causa a effet, il ne doit pas y avoir un troisième facteur qui peut intervenir. On doit bien isolé les deux facteurs. On peux l’établir grace au contre-factuel, ex: si la maison des jeunes n’existait pas, les jeunes serait dans la rue le soir.
Quels sont les facteurs qui peuvent faire en sorte que la mesure des effets (ou d’impacts) soit moins efficace que souhaitée?
Une causalité exacte peut être établis seulement en laboratoire. Dans un cas en relation soxciales, c’est plus difficile à établis, puisque la réalité est multifactoriel et on ne peut pas isoler un seul facteur.
L’hétéronéité des sujets ne permet pas nécessairement de démontrer une relation causale
Les modes de pratiques des professionnel ex:
Les éléments de contexte (l’envirronnemnt), si celui évolue (ex; le marché du travail qui change), la mesure peu être moins exacte.
Si une troisième variable explique mieux l’effet, la relation causale du départ est moins valide.
Une corrélation n’est pas une causalité. Il faut se méfier des coorélations.

41
Q
  1. Qu’est-ce qu’un modèle logique? À quoi sert-il?
A

Modèle d’évaluation d’impact basé sur la théorie du changement. Si je fait ça, ceci va arriver. On commence avec les ressources, quand on utilise les ressources, il y a un premier résultat, qui est possible parce que… cest une déduction logique…Si alors, pourquoi. L’hypothèse est relié à la théorie du changement, il faut exposer notre paradigme. La théorie est la justification de l’hypothèse. Limite du modèle logique : on peu avoir des effets non prévus, positif ou négatif. Les effets non prévu ne pourront pas être utilisé dans notre financement. Le modèle logique ne permet pas vraiment l’innovation et de justifier des effets non prévus.

42
Q
  1. Sur quels critères peut-on évaluer les stratégies des ESC du point de vue du sociétariat, selon J.-G. Desforges?
A

?

43
Q
  1. Selon T. Jacquemin, quelles sont les conditions pour qu’un revenu de source gouvernementale soit considéré comme un revenu courant ? En quoi cette distinction peut-elle influencer la décision d’accorder un prêt à une ESC? :
A

entente de service, revenu récurent, nombre d’année du renouvellement, contre-partie de service. Une subvention pour livrer un service en nombre. Revenu de source public donc courant, il n’est pas là pour combler un déficit, mais bien pour offrir un service. Ça influence de bailleurs de fond, pour savoir si l’organisme est solvable ou non. Car des revenus sont présent pour payé le prêt.

44
Q
  1. Qu’est-ce qu’on appelle de la quasi-équité (ou quasi-avoir)? En quoi cette notion peut-elle influencer la décision d’une institution financière traditionnelle d’accorder un prêt à une ESC? :
A

si j’ai une dette, c’est un passif, donc pas beaucoup d’actif. La quasi-équité, je prends ta dette et je la met sur 15 ans, ca deviens du capital patient, à long terme. On peut aussi percevoir la part sociale dans une coop comme une quasi-équiter. L’institution financière percois alors que l’entreprise à bien un actif et non un passif et est plus à l’aide de prêter.

45
Q
  1. Quels sont les éléments principaux sur lesquels repose l’analyse des ESC du point de vue de la finance solidaire?
A

La gouvernance, l’encrage dans le milieu, la grille d’Analsye de desforge, la réponse au besoins du milieu. Etc.

46
Q

Quelle différence peut-on faire entre une conception minimaliste et maximaliste de l’innovation sociale?

A

minimaliste : tous de l’ES est de l’innovation lorsqu’on s’attaque aux symptômes. Maximaliste : on s’attaque à la cause plutôt qu’au symptômes. Vise une transformation.

47
Q

Quels sont les facteurs organisationnels qui font que les entreprises d’économie sociale ont un fort potentiel d’innovation sociale?

A

gestion plurielle, distribution limitée des excédents, la flexibilité et l’efficience a répondre un problème, ancrage dans la communauté

48
Q

Quels sont les types d’innovations sociales qu’on retrouve souvent dans les ESC?

A

création de nouvelle approche, reconfiguration des pouvoirs pour des parties qui n’en n’ont généralement pas, création entre passerelle de l’économie aux sociales. on en retrouve plus dans les services plus que dans la production de bien.

49
Q

Quels sont les facteurs déclencheurs de l’innovation?

A

Besoin à répondre(utopie, aspiration) et le contexte est crise ou rupture.