questions de lecture Flashcards

1
Q

quelle est la prévalence de la dysfonctionnelle orgasmique chez les femmes cis?

A

entre 16% et 46%

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2
Q

pourquoi avons-nous moins de données/études sur les troubles orgasmiques chez les hommes ?

A

Parce que la perspective biomédicale peine à distinguer l’orgasme de l’éjaculation chez l’homme cis

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3
Q

nommer deux défauts de la 2e définition de l’orgasme qui a tenté d’inclure un perspective bio psychosociale

A

dichotomisation de l’expérience de l’orgasme selon le sexe et manque de discernement entre orgasme et excitation sexuelle intense

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4
Q

Selon le Modèle de Courtois et Dubray (2014), comment s’explique une dysfonction sexuelle?

A

Par la non-atteinte du seuil critique de déclenchement de la tempête sympathique

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5
Q

quel modèle explique les dysfonctions sexuelles par une activité excitatrice neurone basse ou une activité inhibitrice neurale élevée ?

A

The faucet model of orgasm de Kmoisaruk et Cerro (2022)

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6
Q

comment le modèle de McKenna conceptualise l’orgasme ?

A

atteinte du seuil d’activation du CPG dû aux signaux des nerfs sensoriels et moteurs

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7
Q

selon le modèle de Safran (2016), comment s’expliquerait un orgasme induit par stimulation psychogène ?

A

par l’imagination d’une activité sexuelle rythmée ou une auto stimulation impliquant la contraction rythmée de la musculature à proximité des zones érogènes

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8
Q

nommer les deux échelles de mesures pour la feinte d’orgasme chez les femmes

A

FOS (faking orgasm scale) et RPOI (reasons for pending orgasm inventory)

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9
Q

quels sont les deux éléments considérés dans le modèle des DS de Barlow, en lien avec le focus attentionnel

A
  • effets distrayants de l’anxiété
  • inattention portée aux stimuli sexuels
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10
Q

sur quoi sont basées des pistes d’interventions pour un trouble de l’orgasme qui tiennent compte de la dimension psychoperceptuelle de l’orgasme ?

A
  • exploration du corps
  • ancrage corporel
  • attention au corps/présence à soi
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11
Q

nommer deux éléments faisant partie du modèle de régulation émotionnelle interpersonnelle en lien avec les DGP

A
  • facteurs interpersonnels du niveau distal et proximal influencent la régulation émotionnelle.
  • Les réactions du.de la partenaire influencent directement la trajectoire de la dysfonction
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12
Q

expliquer le rôle central de la communication selon le modèle de régulation émotionnelle interpersonnelle d’une dysfonction sexuelle chez la femme

A
  • une communication sexuelle bienveillante et ouverte au sein du couple pourrait atténuer les effets négatifs de la douleur
  • le sentiment d’être acceptée, comprise et prise charge par son partenaire est associé à une plus grande résilience du couple face aux défis de la dysfonction
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13
Q

VRAI ou FAUX : une douleur génito-pelvienne n’affecte que l’intimité sexuelle

A

FAUX : l’intimité du couple est affecté au sens large, on dénombre moins de signes d’affections et de tendresse au sein du couple et de la part du partenaire

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14
Q

expliquer l’influence du type d’attachement dans l’expérience d’une DGP

A
  • une femme évitante pourrait être moins enclin à partager sur sa détresse et è demande du support à son partenaire lorsqu’elle vit une douleur
  • une femme anxieuse pourrait vivre davantage de peur face à l’abandon de son partenaire et à développer une hypervigilance face à sa douleur
  • une couple qui présente un type d’attachement insécurisant serait plus porté à exagéré l’expérience de la douleur
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15
Q

VRAI ou FAUX ? l’humeur des 2 partenaire n’a pas d’implication sur la manière de réagir à la douleur ou sur l’intensité de l’expérience de douleur ?

A

FAUX : elle a une implication importante, si un des partenaires ou les partenaires sont en détresse psychologique, qu’ils vivent de l’anxiété ou ont une dépression, les douleurs vécues seraient plus fortes

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16
Q

nommer les deux raisons qui fournies par la direction du DSM-V pour rejeter la requête de mettre un diagnostic équivalent au THSC (trouble hypersexualité compulsive)

A
  • preuves scientifiques insuffisantes
  • préoccupations au niveau de potentiel mauvais usage du diagnostic du THSC
17
Q

nommer les aspects de la santé sexuelle affectés par une sexualité compulsive

A
  • attitudes négatives envers la sexualité
  • culpabilité excessive envers ses comportements sexuels qui peuvent interférer avec les sensations de plaisir/satisfaction et créer de la détresse
  • victimisation sexuelle, sexualité coercitive
  • augmentation des risques de transmission ITSS
18
Q

quels sont les éléments à considérer lors d’une évaluation multidimensionnelle d’un trouble d’hypersexualité compulsive ?

A
  • fréquence, nature et contexte des comportements sexuels
  • nature des motivations (régulation émotionnelle, compulsive, gestion stress)
  • nature de la souffrance vécue (culpabilité, isolement, impact sur la vie)
  • facteurs comorbides (TDAH, TSPT, anxiété, addictions)
19
Q

VRAI ou FAUX ? Il est déconseillé d’adopter une approche thérapeutique basée sur une abstinence totale et une pathologisation des comportements

20
Q

expliquer le lien entre la moral et la détresse face à l’hypersexualité compulsive

A
  • les personnes qui vivent une inconuruence entre leurs comportements sexuels et leurs croyances religieuses, normatives et individuelles perçoivent leurs comportements sexuels comme addictifs
21
Q

expliquer les 3 éléments du cadre conceptuel préliminaire pour expliquer la détresse fasse à la fonction sexuelle dans le texte « understanding sexual distress related to sexual fonction : A preliminary framework based on qualitative Study with Clinical sexologists »

A
  • burning from the inside : expériences émotionnelles négatives perçues reliées à l’activité sexuelle avec un partenaire. Ces expériences intensifient le sentiment d’isolement
  • wicked games :dissonances entre ce que les individus sont sensé être selon les normes sociétales, la pression sociale et normes de genre et ce qu’ils sont (dans un contexte sexuel)
  • running up that hill : identification des facteurs de risques pour le développement et la persistance du SDRSF
22
Q

expliquer la différence entre une détresse psychologique et une détresse reliée la sexualité

A

La détresse psychologique est due à des stresses de la vie, des événements traumatiques ou des conditions psychiatriques spécifiques tandis qu’une SDRSF est tout ce qui englobe les émotions négatives de la sphère sexuelle associées à une combinaison de symptômes psychologiques et physiologiques (ex : image corporelle, trauma, pensées négatives répétitives)

23
Q

VRAI ou FAUX : la détresse sexuelle est souvent exacerbée par des croyances personnelles, culturelles ou religieuses qui peuvent amplifier la perception du dysfonctionnement

A

VRAI et ce, même dans l’absence de problèmes physiologiques ou relationnels objectifs

24
Q

nommer 3 conséquences associée à une aversion sexuelle intense et persistante et un évitement des rapports sexuel

A
  • stigma
  • isolement social
  • difficultés relationnelles
25
quels sont les conséquences du retrait du diagnostic du SAD ?
- Moins de fonds alloués aux recherches - invisibilité de la population affectée par cette difficulté - manque de guide sur les traitements pour les professionnels qui doivent travailler avec ce genre de difficulté - difficulté à obtenir des couvertures d'assurance pour les services médicaux et psychologiques en lien avec cette difficulté
26
nommer les caractéristiques spécifiques associées aux personnes ayant une aversion sexuelle
- niveaux plus élevés de peur, dégoût et évitement sexuel - plus susceptibles d'être célibataires - plus susceptibles d'avoir vécues une agression sexuelle - rapportent un bien-être psychologique et une satisfaction sexuelle moindre
27
quelle est la prévalence de l'Aversion sexuelle ?
9.7 % de la population générale entre 4.5% et 15% chez les femmes entre 11% et 17.1% chez les personnes trans ou non-binaires 6.9% chez les hommes