QCM général Flashcards

1
Q
  1. Quel est l’objet d’étude de la psychologie du développement ?
    a) Le développement de l’enfant et de l’adolescent.
    b) La phylogénèse.
    c) L’ontogénèse psychologique.
A

c) L’ontogénèse psychologique.

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2
Q
  1. A partir de quel siècle l’enfant apparait-il comme tel ?
    a) 14ème et 15ème siècle.
    b) 15ème et 16ème siècle.
    c) 16ème et 17ème siècle.
    d) 17ème et 18ème siècle.
A

c) 16ème et 17ème siècle.

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3
Q
  1. Qui est l’humaniste hollandais ayant dit ‘’on ne nait pas Homme on le devient’’ ?
    a) Montesquieu.
    b) Rousseau.
    c) Montaigne.
    d) Erasme.
A

d) Erasme.

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4
Q
  1. Quelle était la pensée de Montaigne ?
    a) Refus des châtiments corporels.
    b) L’affection n’est pas nécessaire au développement de l’enfant.
    c) La scolarité est essentielle.
A

a) Refus des châtiments corporels.

c) La scolarité est essentielle.

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5
Q
  1. Qui a dit ‘’l’Homme naît bon, c’est la société qui le corrompt’’ ?
    a) Montaigne.
    b) Locke.
    c) Rousseau.
    d) Tarde.
A

c) Rousseau.

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6
Q
  1. Quelle était la pensée de Rousseau ?
    a) Forcer et changer les tendances naturelles de l’enfant qui sont mauvaises.
    b) Préserver l’enfant des influences de la société adulte.
    c) L’attachement maternel n’est pas prédominant.
    d) Eduquer n’est pas socialiser mais laisser l’enfant s’exprimer.
A

b) Préserver l’enfant des influences de la société adulte.

d) Eduquer n’est pas socialiser mais laisser l’enfant s’exprimer.

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7
Q
  1. Quelle est la théorie de Darwin et quand a-t’ elle été formulée ?
    a) 1859 : l’Homme est le produit d’une longue évolution collective.
    b) 1861 : les espèces n’ont pas de souche commune.
    c) La sélection naturelle ne retient que les formes les plus adaptées.
    d) Ce mécanisme d’évolution est appelé phylogénèse.
A

a) 1859 : l’Homme est le produit d’une longue évolution collective.
c) La sélection naturelle ne retient que les formes les plus adaptées.
d) Ce mécanisme d’évolution est appelé phylogénèse.

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8
Q
  1. Qu’est-ce que la psychologie scientifique ?
    a) Le recours à l’introspection.
    b) L’utilisation de l’hypnose.
    c) Prônée par Darwin.
    d) Au début du 20ème siècle la philosophie se dote de méthodes des sciences exactes et devient psychologie.
A

d) Au début du 20ème siècle la philosophie se dote de méthodes des sciences exactes et devient psychologie.

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9
Q
  1. Qui fonde l’un des premiers laboratoires de psychologie et quand ?
    a) Wilhelm Wundt en 1879.
    b) Stanley Hall en 1865.
    c) Wilhelm Wundt en 1882.
    d) Gesell en 1897.
A

a) Wilhelm Wundt en 1879.

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10
Q
  1. Qui est Stanley Hall ?
    a) Créé le premier laboratoire de psychologie aux USA.
    b) Est le premier étudiant étranger au laboratoire de Wundt.
    c) Utilise une approche scientifique du développement avec le questionnaire pour l’exploration de l’esprit des enfants.
    d) Utilise pour la première fois l’observation filmée.
A

b) Est le premier étudiant étranger au laboratoire de Wundt.

c) Utilise une approche scientifique du développement avec le questionnaire pour l’exploration de l’esprit des enfants.

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11
Q
  1. Qui est Gesell ?
    a) Fonde une clinique du développement de l’enfant à l’université de Yale.
    b) Est le premier à utiliser l’observation filmée.
    c) Construit un inventaire du développement applicable aux enfants de 4 semaines à 5 ans.
    d) Le développement psychologique est possible grâce au développement biologique.
A

a) Fonde une clinique du développement de l’enfant à l’université de Yale.
b) Est le premier à utiliser l’observation filmée.
c) Construit un inventaire du développement applicable aux enfants de 4 semaines à 5 ans.
d) Le développement psychologique est possible grâce au développement biologique.

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12
Q
  1. Qu’est-ce que la SLEP, créée en 1899 en France ?
    a) Société libre d’études psychologiques.
    b) Syndicat libre des enfants perdus.
    c) Société libre pour l’étude de la psychologie de l’enfant.
A

c) Société libre pour l’étude de la psychologie de l’enfant.

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13
Q
  1. Quel est l’objet de la psychologie du développement ?
    a) Ensemble des étapes temporelles conduisant un organisme vivant d’un état 1 à un état 2.
    b) Mécanisme assurant le passage d’une étape à une autre.
    c) Mission uniquement qualitative (descriptive).
    d) Mission qualitative et quantitative (fonctionnelle).
A

a) Ensemble des étapes temporelles conduisant un organisme vivant d’un état 1 à un état 2.
b) Mécanisme assurant le passage d’une étape à une autre.
d) Mission qualitative et quantitative (fonctionnelle).

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14
Q
  1. Qu’est-ce que l’orientation pré-formiste ou maturationniste ?
    a) Portée par Gesell (1880-1961).
    b) Le développement est prédéterminé (programmation de l’organisme).
    c) L’enfant a de nouvelles compétences grâce à l’expérience.
    d) L’enfant a de nouvelles fonctions qui sont le produit de transformations préprogrammées qui lui permettent de se développer.
A

a) Portée par Gesell (1880-1961).
b) Le développement est prédéterminé (programmation de l’organisme).
d) L’enfant a de nouvelles fonctions qui sont le produit de transformations préprogrammées qui lui permettent de se développer.

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15
Q
  1. Quelle est la pensée de Gesell ?
    a) Le développement psychologique est à l’image du développement biologique.
    b) La programmation se fait au fur et à mesure.
    c) Le déroulement des étapes suit un ordre immuable.
A

a) Le développement psychologique est à l’image du développement biologique.
c) Le déroulement des étapes suit un ordre immuable.

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16
Q
  1. Qu’est-ce que l’orientation interactionniste ou associationniste ?
    a) L’environnement social aide ou entrave les activités psychologiques.
    b) L’expérience n’est pas fondamentale.
    c) Ne comprend pas les théories béhavioristes.
A

a) L’environnement social aide ou entrave les activités psychologiques.
b) L’expérience n’est pas fondamentale.

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17
Q
  1. Qu’est-ce que l’orientation cognitivo-constructiviste ?
    a) Baldwin et Piaget en sont les principaux auteurs.
    b) Baldwin : premier à postuler que l’enfant utilise les informations de l’environnement et accommode son comportement pour construire ses connaissances.
    c) Piaget : le sujet est actif.
    d) Le déroulement des étapes suit un ordre immuable.
A

a) Baldwin et Piaget en sont les principaux auteurs.
b) Baldwin : premier à postuler que l’enfant utilise les informations de l’environnement et accommode son comportement pour construire ses connaissances.
c) Piaget : le sujet est actif.

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18
Q
  1. Qui est à l’origine de la théorie constructiviste ?
    a) Darwin.
    b) Janet.
    c) Piaget.
    d) Baldwin.
A

d) Baldwin.

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19
Q
  1. Quels sont les principes de la théorie constructiviste ?
    a) La biologie est à l’origine du développement.
    b) La motivation du sujet entraine le développement.
    c) Le sujet est inactif.
    d) Le sujet se construit au cours d’échanges entre lui et le milieu.
A

b) La motivation du sujet entraine le développement.

d) Le sujet se construit au cours d’échanges entre lui et le milieu.

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20
Q
  1. Quelle est la pensée de Piaget ?
    a) L’enfant est sous l’influence extérieure.
    b) La connaissance n’est pas une copie de la réalité.
    c) La connaissance est un processus actif.
    d) Le développement va de 0 à 16 ans.
A

b) La connaissance n’est pas une copie de la réalité.
c) La connaissance est un processus actif.
d) Le développement va de 0 à 16 ans.

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21
Q
  1. Quel lien y-a-t’il entre Piaget et Darwin ?
    a) L’intelligence découle de l’évolution.
    b) La marche bipède est la meilleure forme d’adaptation à la vie.
    c) Les conduites intellectuelles sont l’aboutissement de l’évolution biologique.
    d) L’intelligence n’est pas centrale à la survie de l’espèce humaine.
A

a) L’intelligence découle de l’évolution.

c) Les conduites intellectuelles sont l’aboutissement de l’évolution biologique.

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22
Q
  1. Quels sont les mécanismes permettant le développement de l’intelligence d’après la théorie constructiviste ?
    a) Adaptation.
    b) Assimilation.
    c) Accommodation.
    d) Acceptation.
A

b) Assimilation.

c) Accommodation.

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23
Q
  1. Quels sont les objectifs de la théorie constructiviste ?
    a) Décrire les mécanismes permettant le développement de l’intelligence.
    b) Observer l’âge d’acquisition des diverses compétences.
    c) Expliquer l’organisation de l’acquisition des compétences d’une complexité croissante
    d) Utiliser la biologie pour comprendre l’intelligence de l’enfant.
A

a) Décrire les mécanismes permettant le développement de l’intelligence.
b) Observer l’âge d’acquisition des diverses compétences.
c) Expliquer l’organisation de l’acquisition des compétences d’une complexité croissante

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24
Q
  1. Quels sont les schèmes de la théorie constructiviste ?
    a) Schéma de la pensée.
    b) Schéma du développement.
    c) Analogies d’actions et de représentations reposant sur des connaissances structurales qui organisent la pensée.
    d) Schéma de la biologie de l’intelligence.
A

c) Analogies d’actions et de représentations reposant sur des connaissances structurales qui organisent la pensée.

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25
Q
  1. Qu’est-ce que l’équilibration ?
    a) Compensation active du sujet en réponse aux perturbations extérieures.
    b) Equilibre interne de l’enfant entre le conscient et l’inconscient.
    c) Rôle de la socialisation dans l’équilibre psychologique de l’enfant.
    d) Réglage à la fois rétroactif (système en boucle/feedback) et anticipatif.
A

a) Compensation active du sujet en réponse aux perturbations extérieures.
d) Réglage à la fois rétroactif (système en boucle/feedback) et anticipatif.

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26
Q
  1. Qu’est-ce que l’assimilation ?
    a) Mécanisme issu de la théorie piagétienne.
    b) Mécanisme issu de la théorie constructiviste.
    c) Permet au sujet d’intégrer ce qu’il rencontre aux schèmes préexistants.
    d) Permet à l’enfant d’intégrer les connaissances sans avoir besoin de les traiter.
A

a) Mécanisme issu de la théorie piagétienne.
b) Mécanisme issu de la théorie constructiviste.
c) Permet au sujet d’intégrer ce qu’il rencontre aux schèmes préexistants.

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27
Q
  1. Qu’est-ce que l’accommodation ?
    a) Acceptation de nouvelles connaissances
    b) Reconstruction cognitive en tant que processus d’ajustement des schèmes préexistants aux nouvelles données.
    c) Les schèmes peuvent être complétés, modifiés et modulés.
    d) Les nouvelles connaissances effacent celles maintenant inutiles.
A

b) Reconstruction cognitive en tant que processus d’ajustement des schèmes préexistants aux nouvelles données.
c) Les schèmes peuvent être complétés, modifiés et modulés.

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28
Q
  1. Qu’est-ce que l’entretien clinique ?
    a) Est utilisé par les empiristes.
    b) Est utilisé dans le modèle constructiviste.
    c) Considère la manipulation de la tâche par l’enfant et ses verbalisations
    d) Prend en compte les éléments extérieurs à l’entretien.
A

b) Est utilisé dans le modèle constructiviste.

c) Considère la manipulation de la tâche par l’enfant et ses verbalisations

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29
Q
  1. Qu’est-ce que le stade sensori-moteur ?
    a) De 0 à 12 ans, avec 8 sous-stades.
    b) De 0 à 24 mois, avec 6 sous-stades.
    c) Correspond à la construction de l’intelligence sensori-motrice.
    d) L’intelligence se construit de façon schématique et non pratique.
A

b) De 0 à 24 mois, avec 6 sous-stades.

c) Correspond à la construction de l’intelligence sensori-motrice.

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30
Q
  1. A quel sous-stade du stade sensori-moteur apparait l’intelligence ?
    a) Sous-stade 2, entre 3 et 5 mois.
    b) Sous-stade 4, entre 9 et 12 mois.
    c) Sous-stade 6, entre 14 et 16 mois.
    d) Sous-stade 1, dès la naissance.
A

b) Sous-stade 4, entre 9 et 12 mois.

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31
Q
  1. Que sont les réactions circulaires ?
    a) Cycles empêchant l’enfant de progresser.
    b) Permet le progrès.
    c) Le bébé reproduit une action qui a eu un effet.
    d) Le bébé coordonne les schèmes entre eux et les transfert.
A

b) Permet le progrès.
c) Le bébé reproduit une action qui a eu un effet.
d) Le bébé coordonne les schèmes entre eux et les transfert.

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32
Q
  1. Qu’est-ce que l’erreur A non B ?
    a) Les bébés acquièrent au cours du 1er stade la notion de permanence des objets.
    b) Les bébés acquièrent au cours du 3ème stade la notion de permanence des objets.
    c) Expérience où un objet est caché successivement à deux endroits différents.
A

a) Les bébés acquièrent au cours du 1er stade la notion de permanence des objets.
c) Expérience où un objet est caché successivement à deux endroits différents.

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33
Q
  1. Quel est l’âge du stade des opérations concrètes ?
    a) De 1 ans à 6 ans.
    b) De 3 à 6 ans.
    c) De 2 à 12 ans.
    d) De 2 à 8 ans.
A

c) De 2 à 12 ans.

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34
Q
  1. Qu’est-ce que le stade des opérations concrètes ?
    a) Longue période d’organisation des représentations.
    b) Capacité de grouper de représentations mentales selon des règles.
    c) Le langage et la pensée symbolique ne sont pas concernés.
    d) Schèmes sensori-moteurs progressivement traduits en concepts.
A

a) Longue période d’organisation des représentations.
b) Capacité de grouper de représentations mentales selon des règles.
d) Schèmes sensori-moteurs progressivement traduits en concepts.

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35
Q
  1. Quelles sont les caractéristiques du stade des opérations concrètes ?
    a) La pensée est intuitive et imagée avant 7-8 ans.
    b) La pensée cesse d’être intuitive et imagée à 10-12 ans.
    c) A 7-8 ans la pensée intuitive évolue vers une pensée qui n’est plus imagée.
    d) Repose sur des relations logiques entre les représentations mentales d’objets.
A

a) La pensée est intuitive et imagée avant 7-8 ans.
c) A 7-8 ans la pensée intuitive évolue vers une pensée qui n’est plus imagée.
d) Repose sur des relations logiques entre les représentations mentales d’objets.

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36
Q
  1. Qu’est-ce que le stade des opérations formelles ?
    a) A partir de 8 ans.
    b) A partir de 11-12 ans.
    c) Plus besoin de support concret pour raisonner.
    d) Mise en œuvre d’une pensée hypothético-déductive.
A

b) A partir de 11-12 ans.
c) Plus besoin de support concret pour raisonner.
d) Mise en œuvre d’une pensée hypothético-déductive.

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37
Q
  1. Quelles sont les structures du raisonnement hypothético-déductif du stade des opérations formelles ?
    a) La combinatoire.
    b) L’enfant ne peut pas faire de combinaison à partir d’un ensemble de possibles, systèmes et liens de réversibilité.
    c) Le groupe des transformations IRNC (N est l’inverse de I par inversion et R est la réciproque de I par réciproque).
A

a) La combinatoire.

c) Le groupe des transformations IRNC (N est l’inverse de I par inversion et R est la réciproque de I par réciproque).

38
Q
  1. Quelles sont les limites du modèle piagétien ?
    a) Universalité du développement (ex : autisme).
    b) Epreuves portant sur des connaissances scientifiques.
    c) Piaget prend en compte les facteurs environnementaux.
    d) Les bébés ont des compétences beaucoup moins précoces que ce que pensait Piaget.
A

a) Universalité du développement (ex : autisme).

b) Epreuves portant sur des connaissances scientifiques.

39
Q
  1. Qu’est-ce que l’abstraction réfléchissante ?
    a) Incapacité d’apprendre à cause d’une surcharge d’informations.
    b) Capacité d’observer son action pour en étudier les effets.
    c) Les actions et les effets ne sont pas traduits en schème.
    d) L’enfant peut reproduire des schèmes.
A

b) Capacité d’observer son action pour en étudier les effets.
d) L’enfant peut reproduire des schèmes.

40
Q
  1. Qui est à l’origine de la théorie des opérateurs constructifs ?
    a) Baldwin, 1891.
    b) Piaget, 1886.
    c) Pascual-Leone, 1988.
    d) Janet, 1907.
A

c) Pascual-Leone, 1988.

41
Q
  1. Qu’est-ce que la théorie des opérateurs constructifs ?
    a) Ressources cognitives (attention mentale) permettant d’activer le bon schème (pertinent).
    b) Le schème trompeur est prévalent sur le schème pertinent.
    c) Décrit une architecture cognitive générale.
    d) La mémoire n’est pas permanente.
A

a) Ressources cognitives (attention mentale) permettant d’activer le bon schème (pertinent).
c) Décrit une architecture cognitive générale.

42
Q
  1. Que comprend l’architecture cognitive générale de la théorie des opérateurs constructifs ?
    a) Mémoire permanente.
    b) Instance attentionnelle.
    c) Instances de contrôle.
    d) Mémoire à court terme.
A

a) Mémoire permanente.
b) Instance attentionnelle.
c) Instances de contrôle.

43
Q
  1. Quels sont les différents opérateurs de la théorie des opérateurs constructifs ?
    a) Opérateur excitateur, augmente l’activation des schèmes pertinents.
    b) Opérateur d’activation mentale, augmente l’activation des schèmes pertinents.
    c) Opérateur d’inhibition, désactive les schèmes trompeurs.
    d) Opérateur de l’activation du champ, active les schèmes en contexte déjà appris.
A

b) Opérateur d’activation mentale, augmente l’activation des schèmes pertinents.
c) Opérateur d’inhibition, désactive les schèmes trompeurs.
d) Opérateur de l’activation du champ, active les schèmes en contexte déjà appris.

44
Q
  1. Quelle est la pensée de Robbie Case ?
    a) La mémoire de travail est un élément clé du développement.
    b) L’enfant est observateur de son développement.
    c) Les structures sont définies par leur niveau de complexité.
    d) Capacité illimitée de traitement.
A

a) La mémoire de travail est un élément clé du développement.
c) Les structures sont définies par leur niveau de complexité.

45
Q
  1. Quelle est la notion de capacité limitée de traitement de Case ?
    a) L’automatisation des tâches libère de l’espace de stockage dans la mémoire de travail.
    b) Liée uniquement à la croissance nerveuse.
    c) Liée à son utilisation optimale.
    d) Liée à la croissance biologique et nerveuse.
A

a) L’automatisation des tâches libère de l’espace de stockage dans la mémoire de travail.
c) Liée à son utilisation optimale.
d) Liée à la croissance biologique et nerveuse.

46
Q
  1. Quels sont les stades de la structuration de Case ?
    a) Stade sensori-moteur.
    b) Stade relationnel (opérations qualitatives entre les objets).
    c) Stade dimensionnel (aspect quantitatif des variables).
    d) Stade vectoriel (rapport entre les variables).
A

a) Stade sensori-moteur.
b) Stade relationnel (opérations qualitatives entre les objets).
c) Stade dimensionnel (aspect quantitatif des variables).
d) Stade vectoriel (rapport entre les variables).

47
Q
  1. Qui est à l’origine de la théorie de l’attachement ?
    a) Freud.
    b) Bowlby.
    c) Spitz.
    d) Harlow.
A

b) Bowlby.

48
Q
  1. Quelle est la vision de Bowlby sur l’attachement ?
    a) Le lien mère-enfant est secondaire.
    b) L’attachement est une programmation biologique.
    c) L’Homme a un système comportemental d’attachement.
    d) Les comportements d’attachement sont les cris, les pleurs…
A

b) L’attachement est une programmation biologique.
c) L’Homme a un système comportemental d’attachement.
d) Les comportements d’attachement sont les cris, les pleurs…

49
Q
  1. Quelle est la différence de vision sur l’attachement entre Freud et Bowlby ?
    a) Freud : l’attachement est formé par le nourrissage.
    b) Freud : l’attachement est secondaire.
    c) Bowlby : l’attachement est primaire.
    d) Bowlby : le nourrissage n’implique pas l’attachement.
A

a) Freud : l’attachement est formé par le nourrissage.
b) Freud : l’attachement est secondaire.
c) Bowlby : l’attachement est primaire.
d) Bowlby : le nourrissage n’implique pas l’attachement.

50
Q
  1. Qui est René Spitz ?
    a) Observe des enfants élevés en institution.
    b) L’attachement n’est pas essentiel.
    c) Le développement de l’enfant est entravé si absence de référent fixe.
    d) L’enfant a principalement besoin d’être nourri.
A

a) Observe des enfants élevés en institution.

c) Le développement de l’enfant est entravé si absence de référent fixe.

51
Q
  1. Quelle est la pensée de Harry Harlow ?
    a) Expériences en institution.
    b) Expérience sur des bébés singes.
    c) Recherche de contact indépendamment du nourrissage.
    d) Contact tactile secondaire
A

b) Expérience sur des bébés singes.

c) Recherche de contact indépendamment du nourrissage.

52
Q
  1. Qu’est-ce que le système peur-alarme du nourrisson ?
    a) L’enfant pleure pour effrayer quelqu’un.
    b) L’enfant pleure en cas de menace.
    c) Les pleurs de l’enfant déclenchent un système d’attachement.
    d) Le système d’attachement déclenche une réponse de l’adulte.
A

b) L’enfant pleure en cas de menace.
c) Les pleurs de l’enfant déclenchent un système d’attachement.
d) Le système d’attachement déclenche une réponse de l’adulte.

53
Q
  1. Qu’est-ce que la notion de dépendance de la théorie de l’attachement ?
    a) La perception du danger est uniquement fonction de la vulnérabilité.
    b) La perception du danger est fonction de l’âge et de la vulnérabilité.
    c) La figure d’attachement est un havre de sécurité.
    d) L’éducation et la culture n’influencent pas les réactions innées de peur.
A

b) La perception du danger est fonction de l’âge et de la vulnérabilité.
c) La figure d’attachement est un havre de sécurité.

54
Q
  1. Quelle est la vision de Bowlby sur le système d’exploration ?
    a) La relation d’attachement n’a pas d’impact sur la capacité d’un enfant à dépasser ses craintes.
    b) L’attachement permet de devenir autonome.
    c) Le système d’exploration est antagoniste au système d’attachement.
    d) L’exploration est possible seulement quand le système d’attachement est sollicité.
A

b) L’attachement permet de devenir autonome.

c) Le système d’exploration est antagoniste au système d’attachement.

55
Q
  1. Qui introduit la notion de base sécurisante ?
    a) Bowlby.
    b) Case.
    c) Ainsworth.
    d) Waters.
A

c) Ainsworth.

56
Q
  1. Qu’est-ce que la base sécurisante ?
    a) Présence physique et psychologique de la figure d’attachement.
    b) Accessibilité de la figure d’attachement.
    c) La présence physique compte plus que l’accessibilité.
    d) Ressource interne permettant à la personne de se sentir en sécurité/autonome.
A

a) Présence physique et psychologique de la figure d’attachement.
b) Accessibilité de la figure d’attachement.
d) Ressource interne permettant à la personne de se sentir en sécurité/autonome.

57
Q
  1. Que sont les stratégies secondaires d’attachement ?
    a) Les stratégies du côté de la figure d’attachement.
    b) Stratégies plus efficaces pour obtenir l’attention de la figure d’attachement.
    c) Résultent de la modification du niveau d’activation du système d’attachement.
    d) Stratégies moins performantes que les primaires.
A

b) Stratégies plus efficaces pour obtenir l’attention de la figure d’attachement.
c) Résultent de la modification du niveau d’activation du système d’attachement.

58
Q
  1. Qui a mis en place la situation étrange et quand ?
    a) Ainsworth, Blehar, 1978.
    b) Ainsworth, 1983.
    c) Waters, Wall, 1978.
    d) Blehar, 1976.
A

a) Ainsworth, Blehar, 1978.

c) Waters, Wall, 1978.

59
Q
  1. Qu’est-ce que la situation étrange ?
    a) Réaction d’un enfant ne manifestant pas de système d’attachement.
    b) Dispositif expérimental permettant de révéler les stratégies d’attachement de l’enfant.
    c) L’enfant est alternativement avec et sans sa mère.
    d) La séparation n’induit pas de stress.
A

b) Dispositif expérimental permettant de révéler les stratégies d’attachement de l’enfant.
c) L’enfant est alternativement avec et sans sa mère.

60
Q
  1. Quels sont les différents styles d’attachement d’après Ainsworth ?
    a) Evitant.
    b) Repoussant.
    c) Sécure.
    d) Ambivalent/résistant.
A

a) Evitant.
c) Sécure.
d) Ambivalent/résistant.

61
Q
  1. Qu’est-ce que l’attachement sécure ?
    a) Stratégies secondaires.
    b) Stratégies primaires/innées.
    c) Activé uniquement en cas de stress.
    d) Possible uniquement si les stratégies primaires donnent lieu aux réponses attendues.
A

b) Stratégies primaires/innées.
c) Activé uniquement en cas de stress.
d) Possible uniquement si les stratégies primaires donnent lieu aux réponses attendues.

62
Q
  1. Qu’est-ce que l’attachement insécure évitant ?
    a) Activation du système d’attachement.
    b) Inhibition du système d’attachement.
    c) Ne manifeste pas de détresse ni de recherche de contact.
    d) Evitement lors des retrouvailles.
A

b) Inhibition du système d’attachement.
c) Ne manifeste pas de détresse ni de recherche de contact.
d) Evitement lors des retrouvailles.

63
Q
  1. Qu’est-ce que l’attachement insécure résistant/ambivalent ?
    a) Hyperactivation du système d’attachement.
    b) Ne proteste pas contre la séparation.
    c) Sollicitation durable au retour (difficulté à être consolé, inhibition du système d’exploration).
    d) Colère : punition envers le parent.
A

a) Hyperactivation du système d’attachement.

c) Sollicitation durable au retour (difficulté à être consolé, inhibition du système d’exploration).

64
Q
  1. Qu’est-ce que l’attachement désorganisé/désorienté ?
    a) Absence de stratégies d’attachement.
    b) Approche et fuite.
    c) Colère.
    d) Freezing et peur.
A

a) Absence de stratégies d’attachement.
b) Approche et fuite.
d) Freezing et peur.

65
Q
  1. Que sont les stratégies d’attachement masquées ?
    a) Stratégies invisibles.
    b) Comportement (reproduit) n’ayant pas pour but l’attachement mais entrainant cet effet.
    c) Comportement du parent.
    d) Mise en danger = intérêt du parent.
A

b) Comportement (reproduit) n’ayant pas pour but l’attachement mais entrainant cet effet.
d) Mise en danger = intérêt du parent.

66
Q
  1. Qu’est-ce que l’accommodation ?
    a) L’enfant intériorise les régularités des échanges.
    b) L’enfant cesse d’avoir un comportement d’attachement.
    c) Formation de modèles de relation à l’image de ce que l’enfant vit.
    d) L’enfant s’accommode aux modèles préexistants.
A

a) L’enfant intériorise les régularités des échanges.

c) Formation de modèles de relation à l’image de ce que l’enfant vit.

67
Q
  1. Qu’est-ce que l’assimilation ?
    a) Intériorisation des modèles.
    b) Modèles servant à interpréter les nouvelles informations à la lumière du passé.
    c) Intégration dans un schème.
    d) Imitation des stratégies d’attachement.
A

b) Modèles servant à interpréter les nouvelles informations à la lumière du passé.

68
Q
  1. Que sont les modèles d’expérience intériorisée ?
    a) Influencent la perception et l’anticipation des événements et comportements.
    b) La qualité des soins reçus n’influence pas l’image de soi et de l’autre.
    c) Estime de soi : varie selon le traitement parental.
    d) Notion introduite par Craik et reprise par Bowlby.
A

a) Influencent la perception et l’anticipation des événements et comportements.
c) Estime de soi : varie selon le traitement parental.
d) Notion introduite par Craik et reprise par Bowlby.

69
Q
  1. Qu’est-ce que la confiance épistémique ?
    a) Confiance de l’enfant envers la société.
    b) Authenticité des échanges avec autrui.
    c) Permet de comprendre le monde social.
    d) Absence = facteur de risque de psychopathologie.
A

b) Authenticité des échanges avec autrui.
c) Permet de comprendre le monde social.
d) Absence = facteur de risque de psychopathologie.

70
Q
  1. Qu’est-ce que l’exclusion défensive ?
    a) L’enfant trouve un bénéfice à exclure de sa conscience un besoin de sécurité.
    b) Mécanisme consistant à ne pas traiter certaines informations.
    c) Peut être provoqué par des interdits parentaux niant une expérience précédente.
    d) Provoqué lorsque le système d’attachement de l’enfant est sollicité mais ne reçoit pas de réponse.
A

a) L’enfant trouve un bénéfice à exclure de sa conscience un besoin de sécurité.
b) Mécanisme consistant à ne pas traiter certaines informations.
c) Peut être provoqué par des interdits parentaux niant une expérience précédente.
d) Provoqué lorsque le système d’attachement de l’enfant est sollicité mais ne reçoit pas de réponse.

71
Q
  1. Qu’est-ce que le modèle cognitivo-comportemental ?
    a) Les comportements ne sont pas influencés par le contexte social dans lequel a lieu l’apprentissage.
    b) Les différences individuelles du comportement sont attribuées à l’histoire de l’apprentissage.
    c) Les facteurs génétiques et biologiques sont la base à partir de laquelle l’environnement forme les comportements.
    d) Le capital génétique n’influence pas le potentiel.
A

b) Les différences individuelles du comportement sont attribuées à l’histoire de l’apprentissage.
c) Les facteurs génétiques et biologiques sont la base à partir de laquelle l’environnement forme les comportements.

72
Q
  1. Qu’est-ce que l’apprentissage répondant (Pavlov) ?
    a) Apprentissage par répétition.
    b) Lien temporel entre stimulus et réponse.
    c) Réponse à une demande extérieure.
A

b) Lien temporel entre stimulus et réponse.

73
Q
  1. Qu’est-ce que l’apprentissage opérant (Skinner) ?
    a) Apprentissage réussi.
    b) Apprentissage mis en pratique.
    c) Relation entre un comportement et ses conséquences.
A

b) Apprentissage mis en pratique.

74
Q
  1. Qu’est-ce que l’apprentissage social ?
    a) Apprentissage des normes sociales.
    b) Lien entre comportements manifestes et pensées.
    c) Evaluation par la société.
A

b) Lien entre comportements manifestes et pensées.

75
Q
  1. Quand a été mis en évidence le conditionnement classique ?
    a) 18ème.
    b) 19ème.
    c) 17ème.
    d) 20ème.
A

b) 19ème.

76
Q
  1. Dans l’expérience de Pavlov :
    a) La nourriture est un stimulus inconditionnel (ne nécessite pas d’apprentissage).
    b) La cloche est un stimulus conditionnel (résulte de l’apprentissage d’une association).
    c) Saliver face à la nourriture est une réaction conditionnée.
    d) Saliver suite à la cloche est une réaction inconditionnée.
A

a) La nourriture est un stimulus inconditionnel (ne nécessite pas d’apprentissage).
b) La cloche est un stimulus conditionnel (résulte de l’apprentissage d’une association).

77
Q
  1. Qu’est-ce que la désensibilisation systématique ?
    a) A chaque rencontre d’un nouveau stimulus.
    b) Procédé thérapeutique pour traiter l’anxiété.
    c) Consiste à défaire l’association entre un stimulus et sa réponse par une réponse antagoniste.
    d) Forcer le stimulus de peur pour le faire disparaitre.
A

b) Procédé thérapeutique pour traiter l’anxiété.

c) Consiste à défaire l’association entre un stimulus et sa réponse par une réponse antagoniste.

78
Q
  1. Qu’est-ce que la théorie de l’inhibition réciproque ?
    a) Une phobie se transmet à une autre personne.
    b) Une réaction à un facteur passager de stress peut persister en l’absence de ce facteur.
    c) Une phobie peut se généraliser à d’autres stimuli proches.
    d) La disparition d’une phobie entraine la disparition de toutes les autres.
A

b) Une réaction à un facteur passager de stress peut persister en l’absence de ce facteur.
c) Une phobie peut se généraliser à d’autres stimuli proches.

79
Q
  1. Qui est à l’origine du conditionnement opérant ?
    a) Pavlov.
    b) Bandura.
    c) Skinner.
    d) Baldwin.
A

c) Skinner.

80
Q
  1. Qu’est-ce que le conditionnement opérant ?
    a) Le comportement est appris.
    b) Les facteurs non observables sont nécessaires à la compréhension d’un comportement.
    c) Le comportement est déterminé par ses antécédents et ses conséquences.
    d) Plus un comportement est renforcé plus il est susceptible de réapparaitre.
A

a) Le comportement est appris.
c) Le comportement est déterminé par ses antécédents et ses conséquences.
d) Plus un comportement est renforcé plus il est susceptible de réapparaitre.

81
Q
  1. Qu’est-ce que la loi de l’effet de Thorndike ?
    a) Un renforcement négatif amène la fin d’un stimulus aversif.
    b) Apprentissage par observation.
    c) Le sujet répète des actions ayant des conséquences bénéfiques.
    d) Le sujet répète des actions lui permettant d’échapper à une situation désagréable.
A

c) Le sujet répète des actions ayant des conséquences bénéfiques.
d) Le sujet répète des actions lui permettant d’échapper à une situation désagréable.

82
Q
  1. Qui est à l’origine de la théorie de l’apprentissage social (cognitivo-comportemental) ?
    a) Darwin.
    b) Locke.
    c) Bandura.
    d) Skinner.
A

c) Bandura.

83
Q
  1. Qu’est-ce que la théorie de l’apprentissage social ?
    a) L’apprentissage se fait par observation et imitation.
    b) Le comportement se forme à travers le conditionnement classique et opérant.
    c) Les processus indirects (représentations) ne sont pas impliqués.
    d) Les processus cognitifs ou symboliques ont un rôle majeur.
A

a) L’apprentissage se fait par observation et imitation.
b) Le comportement se forme à travers le conditionnement classique et opérant.
d) Les processus cognitifs ou symboliques ont un rôle majeur.

84
Q
  1. Qu’est-ce que l’apprentissage vicariant ?
    a) Processus de conditionnement classique dans lequel l’apprentissage est basé sur le renforcement négatif.
    b) Processus de conditionnement opérant dans lequel l’élément déterminant est le renforcement.
    c) Le sujet observe chez son modèle la conséquence de son comportement.
    d) Le sujet apprend par renforcement négatif.
A

b) Processus de conditionnement opérant dans lequel l’élément déterminant est le renforcement.
c) Le sujet observe chez son modèle la conséquence de son comportement.

85
Q
  1. Qui est Albert Bandura ?
    a) A observé le comportement agressif/neutre d’enfants à l’égard d’une poupée.
    b) L’apprentissage par des processus directs est plus important que par des processus indirects.
    c) L’apprentissage par des processus directs est aussi important que par des processus indirects.
    d) Les enfants apprennent par l’observation.
A

a) A observé le comportement agressif/neutre d’enfants à l’égard d’une poupée.
c) L’apprentissage par des processus directs est aussi important que par des processus indirects.
d) Les enfants apprennent par l’observation.

86
Q
  1. Qu’est-ce que l’auto-efficacité ?
    a) Les attentes influencent le comportement.
    b) Plus une personne se perçoit comme efficace mois elle l’est.
    c) Une personne a de meilleurs résultats si elle a confiance en elle.
A

a) Les attentes influencent le comportement.

c) Une personne a de meilleurs résultats si elle a confiance en elle.

87
Q
  1. Que sont les appréciations Beck ?
    a) Evaluation uniquement du comportement d’autrui.
    b) Evaluation de son comportement et celui d’autrui.
    c) Les pensées automatiques précèdent et influencent les réactions aux événements.
    d) La thérapie cognitivo-comportementale permet au patient de se rendre compte de ses pensées automatiques.
A

b) Evaluation de son comportement et celui d’autrui.
c) Les pensées automatiques précèdent et influencent les réactions aux événements.
d) La thérapie cognitivo-comportementale permet au patient de se rendre compte de ses pensées automatiques.

88
Q
  1. Que sont les attributions (Abramson, Seligman et Teasdale) ?
    a) Les causes du comportement sont perçues durablement et internalement.
    b) Par l’internalité, la globalité et la stabilité.
    c) Echec perçu comme interne, stable et globale = symptôme dépressif.
A

b) Par l’internalité, la globalité et la stabilité.

c) Echec perçu comme interne, stable et globale = symptôme dépressif.

89
Q
  1. Que sont les croyances (Ellis) ?
    a) Les croyances irrationnelles engendrent de la détresse.
    b) Des croyances élevées entrainent la réussite.
    c) La thérapie rationnelle correspond à l’acceptation de ces croyances.
    d) La thérapie rationnelle correspond à la remise en question de ces croyances.
A

a) Les croyances irrationnelles engendrent de la détresse.

d) La thérapie rationnelle correspond à la remise en question de ces croyances.

90
Q
  1. Qu’est-ce que le modèle de traitement de l’information sociale (Crick et Dodge) ?
    a) Le traitement de l’information est secondaire.
    b) Le traitement de l’information est à l’origine des comportements sociaux.
A

b) Le traitement de l’information est à l’origine des comportements sociaux.